Tinck - Coincer les commanditaires

Et ,conbien de perqui...et d arrestations ds les milieux de GAUCHE ?

Je pense que l'auteur de l'article s'avance un peu vite.

Sans doute ,c est possible ,mais durant ces 30 annees ,ont ils creuse cette piste ou ,elle est complètement farfelue ........?et pas digne d intérêts
Pour avoir 'travaillé'de longues annees avec les BOYS ds le monde ,je sais de quoi ils sont capables.....la mort d enfants pour eux n est pas trop 1 problème moral .....mais ça c etait loin de la Belgique .........

HERVE a écrit:

Au sujet de cette "piste américaine", à mon avis la plus proche de la réalité, il y a de nombreux documents disponibles sur

http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN

(il pourrait être utile de télécharger les fichiers car Scribd en supprime parfois...)

Biographie de Robert K. Brown

http://fr.scribd.com/doc/226089501/Robert-K-Brown-Photos

http://fr.scribd.com/doc/226098800/Robert-K-Brown-Pages-1-50

http://fr.scribd.com/doc/226104484/Robert-K-Brown-Pages-51-100

http://fr.scribd.com/doc/226107459/Robert-K-Brown-Pages-101-150

http://fr.scribd.com/doc/226110402/Robert-K-Brown-Pages-151-200

http://fr.scribd.com/doc/226112986/Robert-K-Brown-Pages-201-250

http://fr.scribd.com/doc/226132859/Robert-K-Brown-Pages-251-300

http://fr.scribd.com/doc/226137044/Robert-K-Brown-Pages-301-350

http://fr.scribd.com/doc/226139739/Robert-K-Brown-Pages-351-408

_ _


Sur John K. Singlaub

http://fr.scribd.com/doc/226444174/John-K-Singlaub-Photos

http://fr.scribd.com/doc/226711892/John-K-Singlaub-Pages-1-51

http://fr.scribd.com/doc/226727530/John-K-Singlaub-Pages-51-101

http://fr.scribd.com/doc/226730290/John-K-Singlaub-Pages-101-151

(voir ses liens "congénitaux" avec la CIA)

_ _


Sur Daniel O. Graham

http://fr.scribd.com/doc/226464712/Daniel-O-Graham-Photos

(liens avec la CIA et la DIA)


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Sur le mercenaire belge Guillaume Vogeleer et son anti-communisme primaire :

https://www.youtube.com/watch?v=ikpa3a7I8xg

Sur certaines photos, les mercenaires ont un masque en latex...  

http://www.rtbf.be/info/societe/detail_tueurs-du-brabant-jean-marie-tinck-affabulateur-ou-vrai-professionnel?id=8281495

Tueurs du Brabant: Jean-Marie Tinck, affabulateur ou "professionnel"?

SOCIETE | samedi 31 mai 2014 à 11h13

(...) Alors Jean-Marie Tinck est-il masochiste au point de se dépeindre sous un jour aussi sombre? Le rapport préliminaire d’expertise psychiatrique le déclare "normal" ce ne serait donc pas un menteur pathologique. Tout au plus un "menteur" de circonstances.

On lui connait d’autres passions que la marine, il a fait aussi du parachutisme. Et a dit à l’un de ses confidents avoir reçu une formation militaire. (...)

_ _ _


Robert K. Brown a une expérience de parachutiste (voir son autobiographie).

Aussi :

http://www.nytimes.com/1982/10/15/us/at-a-convention-songs-and-fond-echoes-of-a-war.html

AT A CONVENTION, SONGS AND FOND ECHOES OF A WAR

By GREGORY JAYNES, Special to the New York Times

Published: October 15, 1982

(...)

Soldier of Fortune is a seven-year-old militaristic publication packed with vitriol and ordnance. Begun in the Boulder, Colo., basement of an ex-G.I., Mr. Brown, with an initial press run of 8,500 copies, it has over the years touched a nerve with many Vietnam veterans as well as with survivalists who want to arm themselves to the teeth. Paid subscriptions now number 220,000 and the magazine is securely in the black. ''I was lucky,'' said Mr. Brown. ''I hit a market.''

Demographic studies of the magazine's readers show that 11 percent are law-enforcement officers, 12 percent are active-duty personnel and 48 percent are military veterans. Soldier of Fortune, in Mr. Brown's published words, ''is a politically conservative, action adventure magazine which reports on contemporary and historical subjects.'' He added, ''It is anti-Communist, pro-military, propolice and pro-veterans and we strongly support the individual's rights to keep and bear arms.'' 'Plugging the Vietnam Veteran'

(...)

A group of former paratroopers from Louisiana who organized a paramilitary club called the ''First Airborne'' have been running a parachute jump school at the airport in Lancaster, S.C., 40 miles south of here. Off in the hickory woods of the Charlotte Rifle and Pistol Club, a weeklong shooting contest has been going on, with 127 contestants.

Near sundown, mud-spattered vehicles festooned with bumper stickers that say ''I'd rather be killing Communists,'' and ''Forget 'Nam? Never!'' return to the hotel with people in fatigues, puttees and combat boots.

''Unless you were in Vietnam,'' said that ex-infantry sergeant who was talking to Mr. Brown in the bar Wednesday night, ''you can't understand.'' (...)

http://articles.philly.com/1987-02-05/news/26176571_1_aguacate-iain-crawford-military-aid

(...) Freedom Marine sold three of the boats, for about $125,000, to the World Anti-Communist League (WACL) of Phoenix, Ariz., in December 1985, said Phaler, 47, a former Navy commando and a contributor to Soldier of Fortune magazine.

Robert K. Brown, the magazine's publisher and an influential contra supporter and trainer, had invested $500,000 in Freedom Marine and was his principal investor, Phaler said. Brown confirmed the investment.

Both Phaler and Brown denied any knowledge of the boats' use after their hulls were reinforced for machine gun mounts and sold to the WACL, whose founder and U.S. affiliate president, retired Army Gen. John Singlaub, is an influential contra fund-raiser. WACL spokesman Joyce Downey said in an initial telephone interview that she believed the boats were used for medical evacuations. (...)

http://jfk.hood.edu/Collection/White%20Materials/White%20Assassination%20Clippings%20Folders/Security%20Folders/Security-CIA/CIA%200565.pdf

http://books.google.be/books?id=_2ctAgAAQBAJ&pg=PT18&lpg=PT18&dq=%22robert+K+brown%22,+parachute&source=bl&ots=b8udU7DQF8&sig=SsAR-bxpy98VU_PkP0JiaVD-KbI&hl=fr&sa=X&ei=AtmJU6TwIMKJ0AXO7YHADw&ved=0CIcBEOgBMAk#v=onepage&q=%22robert%20K%20brown%22&f=false


Soldier of Fortune Magazine Guide to Super Snipers

publié par Robert K. Brown,Vann Spencer





Il est notamment question de Otto Skorzeny dans ce livre :





Dans son autobiographie, Robert K. Brown parle de sa rencontre avec Otto Skorzeny (et de leur conversation sur les "snipers").

http://fr.scribd.com/doc/96131318/Article-31-n-5-1985







Au sujet de Jacques Massu, voir

http://www.strategietotale.com/forum/120-guerre-et-geopolitique-en-afrique/108631-le-general-aussaresses

notamment

(...) Une fois la Libération venue, il (Aussaresses) est recruté par les services secrets. Il participe à la création du 11e Choc, le bras armé de la future DGSE. Une escapade de quinze jours hors du régiment lui vaudra alors des démêlés avec la police militaire. L'officier sera relevé de son commandement. En Indochine, Aussaresses sert comme chef de bataillon dans le 1er régiment de parachutistes coloniaux. Le militaire œuvre dans l'ombre, sa carrière se déroule loin des champs de bataille. En Algérie, il est affecté dans un premier temps à Philippeville. Il est repéré pour son «efficacité» dans la répression de l'insurrection de l'été 1955. Le général Massu le fait muter sous ses ordres l'année suivante. Il est chargé des basses œuvres et se retrouve à la tête de ce qu'il appelle lui-même «un escadron de la mort». Il fait procéder à des arrestations nocturnes, suivies de tortures, avec élimination de certaines personnes arrêtées. Aussaresses dit avoir lui-même abattu 24 personnes dont plusieurs figures du FLN.

Sa mission se termine en 1957 dans des conditions obscures. Six ans plus tard, on le retrouve aux États-Unis. Officier de liaison, il forme aux techniques d'interrogatoire les Bérets verts américains du Fort Bragg en Caroline, avant leur départ pour le Vietnam. De retour en France, il prend le commandement du prestigieux 1er régiment de chasseurs parachutistes. Le «barbouze» jouit pourtant d'une mauvaise réputation auprès de la caste des militaires. Il part ensuite au Brésil, où il est nommé attaché militaire. En 1973, en pleine dictature, il enseigne dans le Centre d'instruction de la guerre dans la jungle de Manaus. Outre les parachutistes brésiliens, l'établissement est fréquenté par des membres de la police politique de Pinochet. Le général de brigade quittera l'armée en 1975 pour devenir marchand d'armes chez Thomson-Brandt. (...)

HERVE a écrit:

''Unless you were in Vietnam,'' said that ex-infantry sergeant who was talking to Mr. Brown in the bar Wednesday night, ''you can't understand.'' (...)

C'est sur que pour des monstres qui ont brûlé des enfants vifs au napalm, abattre des enfants sur un parking de supermarché, c'est un amusement, ils n'ont pas le temps de hurler de douleur ... pas le courage ni le cœur de mettre des photos ... elle par exemple https://www.youtube.com/watch?v=-VgS1l2-EqQ

HERVE a écrit:

''Unless you were in Vietnam,'' said that ex-infantry sergeant who was talking to Mr. Brown in the bar Wednesday night, ''you can't understand.'' (...)

C'est sur que pour des monstres qui ont brûlé des enfants vifs au napalm, abattre des enfants sur un parking de supermarché, c'est un amusement, ils n'ont pas le temps de hurler de douleur ... pas le courage ni le cœur de mettre des photos ... elle par exemple https://www.youtube.com/watch?v=-VgS1l2-EqQ

HERVE a écrit:

http://books.google.be/books?id=_2ctAgAAQBAJ&pg=PT18&lpg=PT18&dq=%22robert+K+brown%22,+parachute&source=bl&ots=b8udU7DQF8&sig=SsAR-bxpy98VU_PkP0JiaVD-KbI&hl=fr&sa=X&ei=AtmJU6TwIMKJ0AXO7YHADw&ved=0CIcBEOgBMAk#v=onepage&q=%22robert%20K%20brown%22&f=false


Soldier of Fortune Magazine Guide to Super Snipers

publié par Robert K. Brown,Vann Spencer





Il est notamment question de Otto Skorzeny dans ce livre :





Dans son autobiographie, Robert K. Brown parle de sa rencontre avec Otto Skorzeny (et de leur conversation sur les "snipers").

Otto Skorzeny qui a vécu en Espagne après la guerre et a fait des affaires dans l'immobilier en association avec El Cordobès et un Tchèque, Öldrich B, ingénieur acousticien, qui a fui son pays sous le régime communiste pour se rendre au UK où il a probablement travaillé pour le MI 5 ou 6 avant de se rendre aux USA. Entre la fin de la dictature et 1987, Ö. était à Rio. Dans le même quartier, on y retrouvera Haemers. Il s'agit probablement d'une simple coincidence.

http://fr.scribd.com/doc/226089501/Robert-K-Brown-Photos

Deux conférenciers à la convention de Soldier of Fortune de 1982 ...





Voir

http://guillaumeorigoni.blog.lemonde.fr/2012/03/14/1-5-la-strategie-de-la-tension-lapplication-dune-doctrine-francaise-par-lotan-sur-le-territoire-italien/

(...) Les Field Manuals existent pour tous types d’opérations : sabotage, munitions, explosifs, infiltrations…. Celui qui est destiné à la guerre non orthodoxe ou non conventionnelle est rédigé par le Général Westmoreland et porte le numéro 30-31b (Annexe 2). Sa date de création et de diffusion est difficile à authentifier, les premières copies circulent en Europe vraisemblablement à la fin des années 1960, celles qui seront retrouvés parmi les documents de Licio Gelli, vénérable maître de la Loge maçonnique “ Propaganda Due ” (Loge P2) sont datées du 18 mars 1970. La Loge P2 est l’un des plus importants scandales de la vie politique italienne, dont il serait trop long de décrire l’histoire et l’activité. Gardons simplement à l’esprit que l’enquête parlementaire “ première génération ” de 1995 confiée à la Ministre Tina Anselmi, mettra à jour le caractère complotiste, subversif et atlantiste de la P2. Il est vraisemblable que le Field Manual 30-31b a été transmis voire instruit avant le 18 mars 1970 aux membres des stay behind italiens et européens ainsi qu’aux activistes des organisations d’extrême droite. Danièle Ganser, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Bâle, relèvera au cours des recherches pour la rédaction de son livre paru en 2005 “ Les armées secrètes de l’OTAN ”[1], l’émergence du Field Manual 30-31b dans plusieurs pays au cours des années 1990 dont : l’Italie, la Gréce, La Turquie, L’Allemagne[2]. Les enquêtes du Sénat Belge sur les réseaux de renseignements clandestins en feront également état dans la publication de leur rapport final[3]. (...)

http://cryptome.info/cia-FM30-31B.htm

Il y a juste un petit détail qui réduit à néant cette piste , l'accent des tueurs...

kael a écrit:

Il y a juste un petit détail qui réduit à néant cette piste  , l'accent des tueurs...

Bonsoir Kael,

Faites-vous référence aux accents décrits par les témoins ? Il me semble que cela concernait la première vague (où les tueurs s'exprimaient même dans une langue étrangère). Seconde vague également ? Merci.

on a parlé d'accent francophone , flamand , voir manouche mais jamais anglais...

TICK ......il semblerait que TINCK ,via facebook avait des contacts avec des Bulgares et des Roumains
donc pour les langues .......?

kael a écrit:

Il y a juste un petit détail qui réduit à néant cette piste  , l'accent des tueurs...

POUR l ABL USA ,CIA ,DIA .....il y a des ecoles speciales pour la connaissance des langues et dialectes (+100 langues y sont enseignees !

Il est aussi important de noter que Robert K. Brown était en Rhodésie avec le belge Yves Debay.

Sur ce dernier ...

Né au Congo Belge dans les années 1950, rapatrié en métropole après l'indépendance, il sert dans les blindés avant de s'engager comme mercenaire dans l'armée rhodésienne puis sud-africaine (entre 1977 et 1982). Il travaille ensuite comme journaliste/photographe au magazine français "RAIDS" (publication ancrée à l'extrême-droite).

D'après "L'extrême-droite et l'Etat" (1981), il aurait appartenu au "Front de la jeunesse" à la fin des années 1970 …

p.97 , cf Jan Cappelle :

(...) le francophone Jean-Philippe Van Engeland de Woluwé St. Lambert (...) était membre du V.M.O depuis 1977, mais a été démis avec blâme pour indiscipline après le camp du V.M.O. à Nismes à l'automne de 1979. Peu après, il partit pour l'Afrique du Sud avec Yves Debay, militant du Front de la Jeunesse, pour y faire un stage dans la police (...)

Il a ensuite fondé son propre magazine ; il est possible qu'il ait rompu avec ses ex-collègues à cause de leur évolution politique (Eric Micheletti, François Vauvillier...). Après la fin de la guerre froide, "Raids" est progressivement passé de l'extrême-droite « crypto-fasciste » à des positions plus "modérées". Cela a commencé avec le départ d'Alain Sanders en 1991 (catholique intégriste, sympathisant du FN). Aujourd'hui, ce sont "juste" des journalistes spécialisés implicitement conservateurs et militaristes. Par contre, Debay utilise son nouveau magazine ("Assauts") pour diffuser un message virulent et se comporte comme un tribun. Il a même réussi à faire fuir une partie de ses lecteurs qui considèrent ses idées comme incompatibles avec la république et l'armée françaises ("idées très brunes").

Malgré le recyclage de "RAIDS", les journalistes ont un passé assez lourd : ils étaient liés aux diverses filières du mercenariat d'extrême-droite et disposaient de contacts un peu partout.

Les passages et les photos les plus éloquents d'un article de Debay, publié en trois parties par ses collègues de la revue RAIDS (février-avril 1990) sont sur

http://www.scribd.com/doc/85085453/RAIDS-45-46-47

L'article est anonyme mais les photos et les informations biographiques prouvent qu'il s'agit bien de Debay.

Quelques liens web pour mieux cerner le personnage :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Debay

http://fr.wikiquote.org/wiki/Yves_Debay

Selon toutes probabilités, les tueurs étaient effectivement belges (ou apparentés, style manouche).
Et puis, des mercenaires n'auraient pas attaqué une épicerie.

On peut se demander si la violence de la seconde vague n'est pas du à l'alliance de deux bandes rivales (ex : PH et PDS), qui auraient procédé à une surenchère. Simple supposition, soit-dit en passant. Rien ne permet de l'étayer. Je mentionne cette hypothèse car d'autres y ont visiblement pensé.

Les hold-ups de la première vague sont des actes de banditisme relativement classiques (même si plus violentes que la norme), les attaques des deux auberges et de l'usine fabriquant les gilets beaucoup moins.

S'il n'y avait que du grand banditisme, il faudrait expliquer la présence de Elio Ciolini dans l'entourage de Patrick Haemers... Cet Elio Ciolini semble être arrivé en Belgique entre les deux vagues, ce qui mérite réflexion ...

Un lecteur attentif rappelle le climat qui régnait en Belgique à ce moment, notamment avec les manifestations pacifistes :

http://journals.hil.unb.ca/index.php/JCS/article/download/14561/15630

Pacifist-Neutralism in Western Europe

by  Joris J.C. Voorhoeve

(...)

The socialist parties of the Benelux and Scandinavian countries have, in
the meantime, intensified their contacts on disarmament and East-West
détente during their so-called Scandilux-meetings. The British Labour
Party and the German SPD are also represented.

(...)

Ce n'était pas vraiment la vision des choses de Caspar Weinberger :

http://history.defense.gov/weinberger.shtml

Au sujet de "Scandilux" :

http://www.nytimes.com/1981/03/24/world/european-foes-of-missile-program-suffer-a-setback.html

EUROPEAN FOES OF MISSILE PROGRAM SUFFER A SETBACK

By JOHN VINOCUR, Special to the New York Times

Published: March 24, 1981

BONN, March 23— On Jan. 10, a series of meetings of the Socialist leaders of the northern member countries of the Atlantic alliance began in Amsterdam, the acknowledged aim of the Dutch organizers being an attempt to stop the planned deployment of new middle-range nuclear missiles in 1983.

American and West German officials regarded the meetings of the socalled Scandilux group - the Dutch, Belgians, Danes and Norwegians - with concern. They thought that the movement might gain enough momentum to impede deployment of the missiles and create new public opinion problems, notably in West Germany and Italy, concerning this security issue.

(...)

Evidently, the word that the Dutch might be softening their approach had not crossed the border quickly enough to reach their Belgian ally. In the middle of an election campaign, Mr. van Traa would hardly acknowledge that the Dutch were pulling back, but he did say, ''We're going to be using a more civil tone.''

This change was enough for an American official to comment, ''There's been a distinct departure from what we thought might take place when all this started.''

The Scandilux group will meet again in Brussels May 10. By then, there will have been three important NATO meetings, which should make clear how much influence the Dutch initiative is having.

Bulletin of the Atomic Scientists nov. 1983

(...)





(...)

http://www.csmonitor.com/1981/0330/033071.html

Just how tough will Western Europe get if Soviets move into Poland ?

By David K. Willis, Staff correspondent of The Christian Science Monitor / March 30, 1981

(...)

Smaller European countries would be less keen to agree to American pressure for anti-Soviet actions.

They have liberal, left-leaning populations whose young people tend to be impatient with anti-Soviet warnings. They have led the fight against the NATO decision to install 572 American Pershing II and cruise missiles in Europe in 1983. Both Holland and Belgium have said final approval for missiles in their countries will be delayed for further review.

The US will hope that a Soviet invasion would at least tip the balance of opinion in the smaller countries toward the need for more arms to match Soviet SS-20 missiles and other expansionism.

Already the edge seems to have been taken off the anti-US missile campaign headed by the Dutch socialists and aimed at left-wing opinion in the so-called "Scandilux" group of countries (Holland, Belgium, Denmark, Norway).

Former West German Chancellor Willy Brandt, has spoken out against the Dutch plans to scuttle the missile program since the US has signaled its desire to push on with arms-control talks.

A NATO special consultative group was planned for Brussels March 31, a NATO nuclear planning group for Bonn April 7 and 8, and a semiannual NATO ministerial meeting in Rome May 4 and 5. By the time the Scandilux countries meet again May 10, pressure on the Dutch may well have escalated.

(...)

http://digitalarchive.wilsoncenter.org/assets/media_files/000/000/710/710.pdf

Letter by the Chairman of the SPD, Brandt, to the General Secretary of the CC of the CPSU, Gorbachev

4 September 1985