"BEETGENOMEN" , HILDE GEENS

encore qqs mensonges de popo:

Citation :

Van Esbrouck racontait hors audition à DElta que son bon copain FREDO GODF.avait voulu le louer pour faire une braquage armé sur le supermarché de BEERSEL avant que celui avait eu lieu.
FREDO qui habitait dans la commune l'aurait donné un plan brut du bazar, sur lequel le bureau du patron était dessiné.

POPO avait remerciée pour cette honneur

détails , détails  ???

pag 193 l'interview de popo par humo

Quand deux journalistes de Humo (quand) allaient faire un interview avec popo celui ci racontat des détails:

"Van Esb racontait :

Citation :

Godfroid habitait à 150 mètres de là et y allait souvent ds ce magasin et il prenait y aussi de l'essence là au station service avec des billets.
Un jour il n'avait pas de petites coupure et allait voir ds le bureau du directeur pour y changer un billet de 5000 BFr.

C'est à ce moment là qu'il a vu que le gérant était tout seul dans son bureau et que le coffre était ouvert.
d'après lui  le supermarché était un bonne occasion en or.

Van Esb racontait encore plus de détails .LE magasin était attaqué peu après et c'est Fredo qui faisait l'enquete.

Il aurait même tenter de embaucher popop comme indicateur fictif , pour ramasser ensemble le prime (de Delhaize?)

pag193

Citation :

Se rendait-t)-il compte de l'énormité de ce qu'il racontait?

il faisait complice , un de ces meilleurs copain , Fredo, le roi de la nuit de Bruxelles , celui qui avait payé son advocat , celui qui lui avait donné un toit quand il avait été liberé , ...., d'un meurte de la bande de nivelles.

Loyauté ne semblait pas son fort .

Les détails qu'il me donna , saccordent avec ce que jentendais de la bouche de Willy TENAERS, chef sécurité pendant des années de la securité de Delhaize.

L'attaque de Beersel était très bien  préparé , disait TEnaers.

" Ik ben  verbaasd dat BEERSEL beschouwd wordt  als een overval van de bende van Nijvel.

La police l'a toujours mis à coté "    

toute cette tartine il faut l'avoir lu après la magouille avec le faux témoin et la vrai banquette qui tombe des cieux le quatrième jour après l 'attaque mais cela vous ne connaissez pas je pense...

il serait urgent de comprendre ce qui a été écrit ds la presse entre les deux dates .

Je pense que cela expliqerait un peu pourqoui cette banquette est arrivé en retard mais avec les vrais cheveux du chien de la fille van camp dessus , qui mûtait...sauf un cheveu de femme non- identifié

H.G. continue en citant TENAERS je pense:

Citation :

La police l'a toujours mis à coté ".
Il y avait une belle somme d'argent volée 30.000 EUROS .
Les gangsters sont entrés au moment ou les secrétaires comptaient l'argent , le meilleur moment ,
parce que , dès le moment que la recette était dans le baby coffre , seulement la banque y avait encore acces.

ils savaient où ils comptaient et où se trouvait le coffre-fort.
et ils savaient aussi que dans le BSR de Halle il n'y avait qu'un gendarme et celui là ils l'ont envoyé ailleurs , au Colruyt !


Il est donc possible que l'histoire de popolino ne faisait pas partie de ses 90% de mensonges mais était VRAI  

si c'était vrai , il y avait au attaque et meurtre de BEERSEL un double bonus:

heden voor de nederlandstaligen toont   ACTUA -TV  opnieuw het Interview van HILDE GEENS door RIK Van Cauwelaert .

en boucle

http://willyvandamme.wordpress.com/author/willyvandamme/

Gesprek met auteur en bendeonderzoekster Hilde Geens – Een vriendelijke maar ook taaie dame

Posted on 4 augustus 2014

(...)

H.G.

Citation :

Je moet zoals de Nederlandse rechtspsycholoog professor Peter van Koppen me ooit zegde echter om iets op te lossen niet vertrekken van een motief maar van het dossier zelf, de feiten. Niet zoals men nogal gemakkelijk in bepaalde journalistieke kringen doet.

bottom > UP


mais

prenons le BURBURRY:on l'a trouvé :
certains écrivent :

1.:derrière 3CC

2.: devant ds un champs

3.dans 3CC

4.: ils l'ont trouvé puis perdu qqs jours puis ils l'ont retrouvé ds une camionette de la gendarmerie !


puis qui a entendu que les TBW ont téléphoné à l'hôpital pour savoir si Van Camp était bien mort ?

et qu'ils ont menacé de venir le finir ! en argot

alors "Bottom UP" est impossible  sans acces aux dossiers


deuxième exemple :

ds le bouqin p 21 Hilde qui semble avair eu access un "peu" au dossiers donne une description de celui qui a menacé dekaize dans la nuque ds le magasin >  il n 'y a que 4 témoins qui peuvent donner cette description .

puis il ne resssemble pas au photo- robot sur site de CBW .

donc  oublie ce bazar de photo robot


tertio  : ds le bouqin on en parle et c'est très difficile de retrouver un pistolet si celui ci a été ré-utilisé et a tiré des dizaines de balles après les coup de l'attaque avant l'expertise.

en plus DERY a été menacé aussi ....semble-t-il

pour ceux qui ont lu sur une page avant l'idee du criss cross


ou on fait reference au film de Hitchcock

Citation :

http://www.imdb.com/title/tt0044079/

L'inconnu du Nord-Express (1951)
"Strangers on a Train" (original title)

A psychotic socialite confronts a pro tennis star with a theory on how two complete strangers can get away with murder...a theory that he plans to implement.
Director:
Alfred Hitchcock
Writers:
Raymond Chandler (screen play), Czenzi Ormonde (screen play), 3 more credits »
Stars:
Farley Granger, Robert Walker, Ruth Roman | See full cast and crew »


http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Inconnu_du_Nord-Express_(film)

L'Inconnu du Nord-Express (film)
.
Données clés
Titre original Strangers on a Train
Réalisation Alfred Hitchcock
Scénario Raymond Chandler
Czenzi Ormonde
Whitfield Cook (adaptation)
Acteurs principaux Farley Granger
Ruth Roman
Robert Walker
Marion Lorne
Sociétés de production Warner Bros.
Pays d’origine http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_the_United_States.svg?uselang=fr http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_the_United_States.svg?uselang=frÉtats-Unis
Genre Thriller
Durée 97 min. (États-Unis)
99 min. (Royaume-Uni)
Sortie 1951
/wiki/Mod%C3%A8le:Infobox_Cin%C3%A9ma_(film) /wiki/Mod%C3%A8le:Infobox_Cin%C3%A9ma_(film)Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Strangers_on_a_Train_-_Bruno_on_boat.png?uselang=fr http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Strangers_on_a_Train_-_Bruno_on_boat.png?uselang=fr
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Farley_Granger_in_Strangers_on_a_Train_trailer.jpg?uselang=fr http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Farley_Granger_in_Strangers_on_a_Train_trailer.jpg?uselang=fr
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Strangers_of_a_Train_-_Merry-go-round.png?uselang=fr http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Strangers_of_a_Train_-_Merry-go-round.png?uselang=fr
L'Inconnu du Nord-Express (Strangers on a Train) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1951, inspiré en partie du roman de Patricia Highsmith.
Sommaire
[masquer]
1 Synopsis
2 Fiche technique
3 Distribution
4 Lieux de tournage
5 Autour du film
6 Liens externes
Synopsis[modifier | modifier le code]
Un champion de tennis rencontre dans un train un inconnu qui lui propose un marché bien spécial : il supprime sa femme envahissante si celui-ci se charge d’éliminer son propre père afin d’obtenir son héritage. Le joueur de tennis, pensant avoir affaire à un fou, laisse passer le marché et finit par l’oublier. Quelque temps plus tard, sa femme est assassinée…


http://en.wikipedia.org/wiki/Strangers_on_a_Train_(film)

Themes and motifs[edit]
The film includes a number of puns and visual metaphors that demonstrate a running motif of crisscross, double-crossing, and crossing one's double. Talking about the structure of the film, Hitchcock said to Truffaut, "Isn't it a fascinating design? One could study it forever."[3]
The two characters Guy and Bruno can be viewed as doppelgängers. As with Shadow of a Doubt, Strangers on a Train is one of many Hitchcock films to explore the doppelgänger theme. The pair has what writer Peter Dellolio refers to as a "dark symbiosis."[46] Bruno embodies Guy's dark desire to kill Miriam, a "real-life incarnation of Guy's wish-fulfillment fantasy".[46]

suivant la page 405 c'est un policier copain de B qu'elle rencontre par hasard au Poelaertplein


qui lance l'idee du criss cross comme ds le film de Hitchcock


le hasard veut que B avait voulu aller à l'école du cinema INSAS et avait même passé l'examen

d'entree  avec deux copains de l'internat(pag 19 laatste l.)

avant d'aller finalement à la gendarmerie


B semble avoir garder le contact avec ses vieux copains


un autre copain d'internat essaie a tout pris lui donner un alibi pour alost

mais se trompe de date .....

des photos de la rue où  se trouve le Delhaize de A sont pris pour une histoire de divorce qqs temps avant ....

quand une 20- années après ce copain est devenu gérant d'un succ de VW a brux et vend son affaire a des juifs parisiens , un accountant intervient de cette même rue où se trouve le Delhaize

qqs temps après les repreneurs sont déjà en failitte


coïncidences  ....à verifier

il faut relire le listing Beij.

toump et carr sont là dedans tandis que toump ne savait pas se memoriser qu'il avait travaillé avec carr sur Wavre : impossible s'écriait -il      

goss est la dedans : cfr mercedes buslik

mais incroyable  8+ aussi  ,  donc   notre dupont aurait pu etre parfaitement au courant des evenements et plongées planifié à Ronq



et aussi des évolutions  des diverse enquetes  , ....un vrai agent secret ....


dommage qu'il n'a  pas suivi le chemin de Hitch





la date du list doit dater de la prise des floppy's  :a verifier

Mythe N°11 : « La bande des Tueurs du Brabant existe »

Est-il plausible que les gangsters qui prirent des postures de tireurs entrainés  peuvent quand ils ont attaqué le magasin à Uccle, soit les mêmes, moins d'un un an plus tard, ont tiré sept fois [?], quand ils sont allés braquer la bijouterie Szymusik?

La bande des Tueurs du Brabant  n’existe pas. C’est une bulle de savon qui éclate dès que vous la touchez du bout du nez. Alors il ne reste quasi rien de ces grandes histoires.

Parce qu’il reste les aveux d’un suspect qui a été assassiné, les preuves contre le clan DS et les preuves insuffisamment investiguées contre quelques anciens gendarmes. Ensuite, bien sûr, il y a aussi les preuves contre quelques  autres suspects dont on connait  beaucoup moins bien les noms, mais qui ont été accusés pendant des années pour un certain nombre de crimes. Il y aura certainement eu plus qu’un fantasme de la part de quelques enquêteurs.

Vous pouvez brûler le reste des milliers de documents, mais il serait préférable de ne pas le faire. L’ensemble de l’histoire politico-criminelle de la Belgique dans les années de plomb est dans ce dossier. C’est une grande source pour les historiens qui veulent comprendre les changements de la guerre froide.

« Trouvez-vous que le dossier des Tueurs du Brabant est typiquement belge ? » me demanda un journaliste du Groene Amsterdammen fin octobre 2017. Je n’y avais jamais réfléchi, mais j’ai répondu spontanément « Oui ». C’est tellement surréaliste, comme du Magritte. Alors, j’ai pensé « Non, ce n’est pas Magritte, plutôt du James Ensor, parce que c’est trop dur. »

Traduction libre de H.Geens, "Beetgenomem"

A relire!
A relire absolument!
A relire absolument et intégralement !
Met hartelijk danken aan k

Dans 'Beetgenomen...', Hilde Geens a écrit:

Vous pouvez brûler le reste des milliers de documents, mais il serait préférable de ne pas le faire. L’ensemble de l’histoire politico-criminelle de la Belgique dans les années de plomb est dans ce dossier. C’est une grande source pour les historiens qui veulent comprendre les changements de la guerre froide.

Version 'remix' :

Vous pouvez brûler effacer le reste des milliers de documents messages, mais il serait préférable de ne pas le faire. L’ensemble de l’histoire politico-criminelle de la Belgique dans les années de plomb est dans ce dossier forum. C’est une grande source pour les historiens les personnes 'lambda' qui veulent comprendre les changements de la guerre froide.

Mais tant le dossier que le forum sont bien pauvre en éléments pour coincer ces zigues...

Aussi...

Concernant Alost Hilde Geens écrit:

... un client voulait entrer dans le parking du Delhaize à Alost. Devant l'entrée, quatre hommes se tiennent à environ deux mètres l'un de l'autre. Trois d'entre eux portaient une arme à feu et tiraient en direction de l'entrée. Ils étaient déguisés. Le quatrième homme semblait donner des instructions. Il n'était pas masqué, était assez petit, avait environ vingt-cinq ans et portait une petite moustache.


Un autre client de Delhaize attendait au volant sur le parking pendant que la famille faisait ses courses. Il avait une vue dégagée sur l'entrée lorsque les trois hommes sont arrivés. Ils portaient des mitraillettes courtes et des cagoules. Le témoin a déjà dû raconter son histoire à haute voix : "Ils avaient l'air de trois gars galants, dans le sens où ils se déplaçaient de manière athlétique. Ils se sont immédiatement dispersés. Le premier s'est dirigé vers l'allée du parc Osbroek, sur le côté du grand magasin, le deuxième vers l'entrepôt de bouteilles vides, d'où il avait une vue sur le parking, la rampe de sortie et la route d'Osbroek. Le troisième a attrapé un client qui sortait du magasin. J'ai entendu un coup de feu et j'ai vu cette personne s'effondrer comme un sac. Dans la foulée, j'ai entendu des cris glaçants de voix de femmes".


Le témoin a immédiatement pris la route avec son fils en bas âge à l'arrière et a continué à rouler lorsque la vitre arrière de la voiture a volé en éclats. Ressentant des douleurs à la tête et au sang, il a déposé l'enfant dans un café voisin et est retourné chercher sa femme.


Pendant ce temps, les voleurs s'étaient approchés du magasin. L'un d'eux a tiré sur tout ce qui bougeait. Il y avait un vent violent et il a visé les panneaux publicitaires. À l'intérieur, les clients remplissaient leurs chariots pour le long week-end de la Saint-Martin, une fête plus célébrée à Alost que la Saint-Nicolas. Un client a entendu des détonations rappelant celles d'un feu d'artifice. Il a vu un garçon d'une douzaine d'années avec un livre à la main et un ballon. L'enfant pleurait et râlait et l'homme voulait aller vers lui, mais il a entendu un tintement de verre et s'est soudain retrouvé face à un gangster qui est entré "d'une démarche légère mais terrible". Le sous-directeur est pris en otage.


Un autre enfant entend des coups. Son petit frère a peur et pleure. L'enfant s'est levé et s'est couché sur son petit frère. Des clients sont entrés en trombe dans le magasin et ont couru entre les rayons jusqu'à la sortie principale. Ils ont crié les uns à travers les autres qu'il y avait un vol. Tout le monde s'est mis à courir après eux. Un enfant a crié : "Ne me faites pas de mal, ne m'attrapez pas".


Une famille venait de payer. Le reçu a été retiré à huit heures moins vingt. Ils sont sortis, la femme, l'homme, leur petite fille. Juste avant la sortie, la petite fille demande une sucette. Son père fouille dans les sacs de courses. La femme a entendu des coups qui se sont succédé. L'homme s'est jeté sur son enfant, a crié "Couche toi !" et a tiré sa femme vers le bas. La femme reçoit des coups de pied. Elle a fait semblant d'être morte. Quelqu'un lui donnait des ordres dans une langue qu'elle ne comprenait pas. Elle a été tirée par l'épaule gauche et s'est retrouvée face à un homme avec un pistolet suspendu à sa poitrine. Il l'a saisie à la gorge des deux mains. Elle dit : "S'il vous plaît, lâchez-moi", et aperçoit en un clin d'œil le directeur adjoint du grand magasin. Il l'a supplié : "S'il vous plaît, laissez-la partir." "Poussez-vous", dit le gangster dans un néerlandais correct.


Elle s'est enfuie, paniquée, d'abord vers le bureau du magasin, où elle a vu un homme prendre quelque chose dans le coffre-fort. Elle a fait demi-tour et a couru jusqu'à la réserve. Là, elle a vu un autre homme vider la caisse 13. L'homme qui l'avait attrapée avait disparu. Il était très grand, au moins 1,90 mètre.


Un enfant a tout filmé avec ses yeux : "Mon mètre était couché devant la porte de sortie. Elle a essayé de s'enfuir à plat ventre. C'est alors que l'homme 1 a passé son arme par le trou de la porte et a tiré sur ma marraine. Celle-ci a été touchée à la gorge et est morte sur le coup. Le coup de feu a dû la faire reculer, dégageant ainsi la sortie. Les trois gangsters sont ensuite sortis. L'homme 1 portait un costume marron clair excitant avec une veste tachetée sous son gilet comme les parachutistes. À sa ceinture pendaient trois pochettes et un couteau de 20 centimètres. Un autre couteau est suspendu à un cordon de cuir autour de son cou, dans un étui en cuir. Il mesurait 1,90 m et était de type bodybuildé. Il portait un pistolet anti-émeute et parlait le néerlandais et le français.


Le second homme avait un pistolet à la main et une mitrailleuse dans le dos. Ils ont frappé les clients avec deux pistolets antiémeute différents et une mitraillette Ingram. Une personne ayant travaillé dans la police militaire a également reconnu la Thompson qu'il avait elle-même utilisée. Plusieurs témoins oculaires ont vu un double canon, avec les canons côte à côte, comme le Centaure volé par le Gang. David van de Steen, le garçon qui a perdu ses parents et sa sœur lors du raid, est certain que c'est avec cette arme qu'on lui a tiré dessus. Il a décrit le double canon négligemment raccourci que tenait l'auteur de l'attentat. Sa mitraillette était sous sa veste et le pistolet dans son gilet.


Source : Beetgenomen | Hilde Geens