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 Pesenti, Carlo

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dim




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 10:44

Peut-être que je me trompe, mais il me semble que l'anticommunisme militant en Belgique s'est "transformé" au cours des années.

Dans les années 60-70, c'était plutot de tendance PSC et même aristo-opusien (voir aussi le coup NEM avorté), avec des bras forts ultra-catholiques de l'OAS et d'Aginter Press (des "templiers", quoi). Durant les années '80, c'est devenu plutot de tendance "libéral" et très associé aux EUs et Israel. On dirait que les "templiers" sont devenu des "franc-maçons". On voit ça aussi en regardant les compositions de membres de l'AESP/Cercle Pinay/CEPIC en contraste avec, par exemple, l'IESP. Et au Cercle des Nations, qui trouve ses origines dans la très catholique ordre du Rouvre, on voit apparaitre des pions comme Salik, Przedb., Cryns, Mathot, Verhoeft, ... On avait découvert la très grande opportunité d'utiliser les trafiques d'armes/drogues pour le financement de buts politiques? des symbioses qui se creéent...

Comment interpreter le clash de Bonvoisin <> Gol dans cette optique?

Et comment définir cette "nébuleuse" qui s'oppose à Gol, et avec Bougerol au milieu? De quelle nature était cette nébuleuse? On songe à de Bonvoisin, mais alors quoi...? Bougerol travaillerait pour Gol, pour bloquer la mouvance de Bonvoisin? Mais pourquoi se serait-il "reconverti", ce milicien du Christ? Ou cette nébuleuse était de toute autre nature?
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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 11:52

Pour la clarté des références ... le document de douze pages sur la réunion du 2 décembre 1970 à la résidence Rockefeller se retrouve deux fois : CL00334 et KT00214. La liste complète des personnes présentes n'est malheureusement pas attachée.

Cependant, outre Pesenti, il est question d'un certain " Larragoiti ".

Il s'agit sans doute d'un membre de la famille Larragoiti dont il est question dans :

http://www.bloomberg.com/news/2013-02-28/ing-sells-part-of-sul-america-stake-to-larragoiti-family.html

Cette famille possède l'assureur brésilien Sul America

http://portal.sulamericaseguros.com.br/data/pages/FF8080811880059D01188006035A0074.htm

On retrouverait une fois de plus une compagnie d'assurances, ce qui est à noter vu les possibilités de financements occultes offertes par ce type d'activités.

Pour la famille Pesenti, voir

http://www.answers.com/topic/riunione-adriatica-di-sicurt-agave-spa

Riunione Adriatica Di Sicurtà Spa

Riunione Adriatica di Sicurtà (RAS), the second-largest insurance company in Italy, was founded on May 9, 1838, in Trieste (...)

On peut supposer qu'il s'agissait surtout d'assurances maritimes, vu la place de Trieste.

(...)

After 1952, Italmobiliare, the holding company of industrialist Carlo Pesenti, gradually became the principal stockholder.

Pesenti died in September 1984, and soon after it was announced that Allianz, the Munich-based European insurance group, would be buying Pesenti's 38% share along with other holdings purchased from Toro Assicurazioni and Saes, a subsidiary of IFI, the Agnelli family's holding company. As agreed, in 1987 Allianz's share rose to 51.51%. The other major stockholders were Imigest Fondo Imicapital with 2.01%, the Banca d'Italia with 1.09%, Fonditalia Management with 0.6%, and Credito Italiano with 0.49%. The remainder of the stock was mostly on the market.

(...).

Le passé nazi du groupe Allianz (Munich) et bien connu ... Cela a-t-il contribué au choix de la famille Pesenti ?



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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 12:50


On retrouve Carlo Pesenti (le petit-fils, né à Milan le 30 mars 1963) dans

http://www.group.intesasanpaolo.com/scriptIsir0/si09/contentData/view/ListProspII_1.pdf?id=CNT-04-0000000026FF0&ct=application/pdf

L'information semble dater de 2000 ...

Carlo Pesenti - Director

Positions held

Chairman Intertrading Srl
Deputy Chairman Gazzetta del Sud di Calabria S.p.A.
Deputy Chairman Poligrafici Editoriale S.p.A.
Deputy Chairman SES - Società Editrice Sicilia S.p.A.
Deputy Chairman Società del Gres S.p.A.
Deputy Chairman -Director and Member of the Executive Committee Calcestruzzi S.p.A.
Director and Member of the Executive Committee Italcementi S.p.A.
Director Ciments Calcia S.A.
Director Ciments Français S.A.
Director Italmobiliare S.p.A.
Director Mediobanca S.p.A.
Director Punta Ala Promozione e Sviluppo Immobiliare Srl


(un autre directeur est aussi le patron de Burgo Ardennes S.A. )


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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 14:05


Selon une "source" italienne :

Gianni Flamini, in his multi-volume work "Il Partito del Golpe", quotes Amos Spiazzi as telling Judge Giovanni Tamburino that Carlo Pesenti (senior) was one of the anti-communist businessleaders who promised financing to General Nardella and his Movimento Nazionale di Opinione Pubblica (MNOP), who were involved in coup plotting in the 1970s. {Vol 3, Tome 1, p 87).

Gianni Flamini IL PARTITO DEL GOLPE

Prima edizione

1982

Volume 1: 1964-1968 ; Volume 2: 1968-1970 ; Volume 3, tomo I: 1971-1973 ; Volume 3, tomo II: 1973-1974 ; Volume 4, tomo I: 1975-1976 ; Volume 4, tomo II: 1976-1978 .

Voir :

http://secretsandbombs.wordpress.com/tag/general-francesco-nardella/

http://archivio.camera.it/patrimonio/archivi_privati/ap01/documento/CD3400000421

Movimento nazionale di opinione pubblica (M.N.O.P.).

_ _ _


Intéressant ?

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t959-nardella-francesco

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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 18:57


Pour en revenir aux Rockefeller...

Nelson et David étaient présents à la réunion dont il a été question (1970), notamment avec Carlo Pesenti ...

Il faut relire :

http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/BOIRAL/10677

Trente ans d’une institution secrète

Pouvoirs opaques de la Trilatérale


Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973, dans un monde alors bipolaire, David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. Moins médiatisée que le forum de Davos, elle demeure très active, au travers d’un réseau d’influences aux multiples ramifications.

par Olivier Boiral, novembre 2003



Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines (2). »

La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. La gouvernance de l’économie internationale semble échapper aux élites des pays riches, les forces de gauche paraissent de plus en plus actives, en particulier en Europe, et l’interconnexion croissante des enjeux économiques appelle une coopération plus étroite entre les grandes puissances. La Trilatérale va rapidement s’imposer comme un des principaux instruments de cette concertation, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les décisions des dirigeants politiques (3).

A l’image des rois philosophes de la cité platonicienne contemplant le monde des idées pour insuffler leur sagesse transcendante dans la gestion des affaires terrestres, l’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu démocratique ­— et que la démocratie inquiète dès lors que des groupes autrefois silencieux s’en mêlent — va s’employer à définir les critères d’une « bonne gouvernance » internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision, assuré par une classe privilégiée de technocrates qui place son expertise et son expérience au-dessus des revendications profanes des simples citoyens : « Un lieu protégé, la Cité trilatérale, où la technè est loi, commente Gilbert Larochelle. Et, postées en surplomb, des sentinelles veillent, surveillent. Le recours à l’expertise ne relève point d’un luxe, il offre la possibilité de mettre la société face à elle-même. Le mieux-être ne vient que par les meilleurs qui, en leur hauteur inspirée, produisent des critères pour les relayer vers le bas (4). »

Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue) et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années, ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme des institutions internationales, mondialisation des marchés, environnement, finance internationale, libéralisation des économies, régionalisation des échanges, rapports Est-Ouest (surtout au début), endettement des pays pauvres, etc.

Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique. La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international ». Le cadre national serait trop étroit pour traiter des grands enjeux mondiaux dont la « complexité » et l’« interdépendance » sont sans cesse réaffirmées. Une telle analyse justifie et légitime les activités de la Commission, à la fois observatoire privilégié et contremaître de cette nouvelle architecture internationale.

Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’« une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la planète sont enjoints de collaborer sous la houlette américaine. Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld (secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient présents (5).

La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les pays riches sont invités à s’exprimer d’une seule voix et à unir leurs efforts dans une mission destinée à promouvoir la « stabilité » de la planète grâce à la généralisation du modèle économique dominant. Les démocraties libérales sont le « centre vital » de l’économie, de la finance et de la technologie. Ce centre, les autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement qu’il s’est donné. L’unilatéralisme américain paraît cependant avoir mis à épreuve la cohésion des pays de la triade. Leurs dissensions s’expriment dans les débats de la Commission. Ainsi, dans son discours du 6 avril 2002, lors de la réunion évoquée plus haut, M. Colin Powell a défendu la position américaine sur les principaux points de discorde avec le reste du monde : refus de signer les accords de Kyoto, opposition à la création d’une cour pénale internationale, analyse de « l’axe du Mal », intervention américaine en Irak, appui à la politique israélienne, etc.

L’hégémonie des démocraties libérales conforte la foi dans les vertus de la mondialisation et de la libéralisation des économies qui s’exprime dans le discours de la trilatérale. La mondialisation financière et le développement des échanges internationaux seraient au service du progrès et de l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre. Or elles supposent la remise en cause des souverainetés nationales et la suppression des mesures protectionnistes. Ce credo néolibéral est souvent au centre des débats.

Lors de la rencontre annuelle d’avril 2003, à Séoul, il a été notamment question de l’intégration économique des pays d’Asie du Sud-Est et de la participation de la Chine à la dynamique de mondialisation. Les réunions des deux années précédentes avaient été l’occasion pour le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Mike Moore, de professer dévotement les vertus du libre-échange. Après avoir vilipendé le mouvement antimondialisation, M. Moore avait même déclaré qu’il était « impératif de rappeler encore et toujours les preuves accablantes qui démontrent que le commerce international renforce la croissance économique (6) ».

La tirade du directeur de l’OMC contre les groupes réclamant une autre mondialisation ­— qualifiés de « e-hippies » — ­ souligne la troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale : son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki (7). Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie » qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre l’administration démocrate du président James Carter, qui fut membre de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton) (Cool.

Depuis le début des années 1980, l’attention de la presse pour ce genre d’institution semble s’être plutôt portée sur des rencontres moins fermées et surtout plus médiatisées, comme le forum de Davos. L’importance des enjeux débattus au sein de la Trilatérale et le niveau de ceux qui ont participé à ses réunions ces dernières années soulignent néanmoins son influence persistante (9).

Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de « théorie du complot », la Commission trilatérale est une institution bien établie, dont la discrétion facilite la collusion entre responsables politiques et grandes entreprises. « J’espère bien que les points de vue qui sont formulés par ces gens d’expérience ont une influence réelle sur la politique internationale ! », nous a répliqué un ancien ministre canadien qui a participé à plusieurs des travaux de la Commission trilatérale. Il faisait ainsi écho aux propos du fondateur, M. David Rockefeller : « Quelquefois, les idées mises en avant par les rapports de la Commission trilatérale sont devenues des politiques officielles. Ses recommandations ont toujours été sérieusement débattues à l’extérieur de notre cercle, et elles ont joué un rôle dans les réflexions des gouvernements et dans la formulation de leurs décisions (10). »

Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés et des rencontres internationales dont le forum de Davos représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui précèdent souvent les grandes décisions. La Commission trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe. Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux principaux secteurs de la société.


Olivier Boiral
Professeur à l’université Laval (Canada)

(1) Le Monde diplomatique a consacré plusieurs articles au sujet dans les années 1970. Lire en particulier Claude Julien, « Les sociétés libérales victimes d’elles-mêmes », et Diana Johnstone, « Une stratégie trilatérale », respectivement mars 1976 et novembre 1976. Lire aussi l’article de Georges-Albert Astre, « Le nouveau capitalisme », in Manière de voir, n° 72, en vente le 15 novembre.

(2) Le nombre des « distingués citoyens » admis au sein de la Commission a été par la suite élargi et comprend aujourd’hui plus de 300 membres. MM. Raymond Barre, Thierry de Montbrial, Denis Kessler ont participé à ses travaux. M. de Montbrial est également membre du « Groupe Bilderberg ».

(3) Lire sur les réseaux de « décideurs » de ce genre, Geoffrey Guens, Tous pouvoirs confondus, EPO, Bruxelles, 2003.

(4) Gilbert Larochelle, L’Imaginaire technocratique, Boréal, Montréal, 1990, p. 279.

(5) Leurs discours, ainsi que de nombreuses autres informations, sont accessibles par le site de la Commission : http://www.trilateral.org/

(6) Mike Moore, The Multilateral Trading Regime Is a Force for Good : Defend It, Improve It, Réunion de la Commission trilatérale du 11 mars 2001.

(7) Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki, The Crisis of Democracy : Report on the Governability of Democracies to the Trilateral Commission, New York University Press, 1975.

(Cool Zbigniew Brzezinski avait été l’un des grands architectes de cette organisation avant de devenir le principal conseiller du président Carter pour les questions de sécurité.

(9) On citera, par exemple, MM. William Clinton, George H. Bush, Henry Kissinger, George Soros, Valéry Giscard d’Estaing, Ernesto Zedillo, Mme Madeleine Albright. Mais, à ces responsables politiques, il convient d’ajouter de nombreux dirigeants en exercice des multinationales Exxon-Mobil, General Electric, Daimler-Chrysler, Levi Strauss, Kodak, Xerox, ABB, Johnson & Johnson, Alcan, Power Corporation, etc.

(10) David Rockefeller, Georges Berthoin et Takeshi Watanabe, préface aux Task Force Reports : 9-14, New York University Press, 1978, p. IX.

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 20 Mar 2013 - 19:04


http://publicintelligence.net/trilateral-commission-complete-membership-list-may-2010/

Trilateral Commission Complete Membership List May 2010

(...)

DAVID ROCKEFELLER
Founder and Honorary Chairman

(...)

Carlo Pesenti, Managing Director, Italcementi, Bergamo

(...)

Baron Jean-Pierre Berghmans, Chairman of the Executive Board, Lhoist Group, Limelette, Belgium

(...)

Note : entre des chaufourniers comme Lhoist et des cimentiers comme Pesenti, il y a peut-être des liens ... même s'il y a beaucoup de monde dans la Trilatérale ...

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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 21 Mar 2013 - 10:17


Toujours au sujet de la réunion

http://fr.scribd.com/doc/130910197/Kissinger-Violet

chez Rockefeller ...

... un extrait de "La route vers le nouveau désordre mondial" de Peter Dale Scott.


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(...)


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(...)


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 21 Mar 2013 - 16:04


Pour en revenir aux liens présentés par "dim" ... et à sa question sur la Belgique ...

Carlo Pesenti (le grand-père) était un grand financier de l'extrême-droite (voir Francesco Nardella).

Via leur présence à la Trilatérale et vu la proximité de leurs activités industrielles (chaux et ciment), on peut supposer que la famille Pesenti et la famille Lhoist se connaissaient.

Carlo Pesenti possédait en outre une compagnie d'assurances qui a été reprise par Allianz.

Les familles Lhoist, Berghmans et Roels (Dumont Wautier) sont liées.

http://www.skynet.be/actu-sports/actu/dossier/665372/famille-lhoist-berghmans-milliard-euros

La famille Lhoist et la famille De Liedekerke sont aussi liées :

http://staatsbladclip.zita.be/moniteur/lois/2007/08/22/loi-2007202561-print.html

(membres du Conseil supérieur wallon de la Chasse :
- M. de Liedekerke Bertrand, Oudoumont 1, B-4537 Verlaine;
- M. Lhoist Léon, avenue des Fleurs 8, B-1150 Bruxelles. )

La famille de Liedekerke fait partie du "salon bleu".

La famille Roels contrôle les activités de Allianz en Belgique.

Ces familles nobles sont proches de la famille royale.

Les personnes suivantes sont proches d'Argenteuil (Léopold III, princesse de Rethy, Alexandre de Belgique, etc) : la famille de Liedekerke, le général Close, Guy Weber, Yves du Monceau de Bergendal... et aussi (Alexandre de Belgique) : les actionnaires de Mercedes (sans doute la famille Flick), Michel Relecom, Félix Przedborski (Deferm, Cravatte, Nihoul, Bouty ...et le reste).

Via la comtesse de Liedekerke, on arrive à Paul Latinus et au WNP.

Paul Latinus, c'est un lien avec la DIA.

Le WNP (hautement suspect dans les Tueries), c'est un lien vers les milieux nazis mais aussi avec la secte Moon (Alexander Haig, SACEUR...) et les mercenaires (Aginter Press mais aussi Soldiers of Fortune, etc).

Il y aurait beaucoup d'autres noms à citer, notamment ceux des schémas de Libert et de Latinus.

La famille Pesenti ne semble pas reculer devant des contacts avec Delle Chiaie et même devant la perspective d'un coup d'Etat. Il faut citer ses liens avec le Vatican, la loge P2, etc. Carlo Pesenti (le petit-fils) semble également avoir des liens avec la mafia (Caltanissetta) ... et les mafias ne peuvent être négligées dans ce qui nous intéresse. La famille Pesenti semble par ailleurs liée à la famille Ferrero (bien installée en Belgique).

Cela n'est pas si confus que cela si on pense au point commun qu'était l'anti-communisme (allant jusqu'au renversement d'Allende pourtant élu démocratiquement). Cela semble lier la droite "traditionnelle", notamment chrétienne (CEPIC, etc) mais pas uniquement (PRL-MR) et l'extrême-droite (notamment nazie).

Si l'on veut citer des exécutants, il faut très probablement se tourner vers le WNP et les mercenaires. Des truands "locaux" peuvent avoir été utilisés (Dominique Salesse ? Claude Nitelet ? etc). Mais il ne faut pas ignorer la "nébuleuse" qui les contrôle (en partie décrite ci-dessus pour la Belgique). A ne pas négliger, même s'ils sont trop peu connus : Faez el Ajjaz (financier du WNP ! lien avec Khashoggi ?) et son "garde du corps" Calmette... En ce qui concerne les commanditaires, je pense (comme Max Loiseau) à l'IESP (à l'origine général Close, Armand de Decker, Yves du Monceau de Bergendal, Alexander Haig, etc). Selon Max Loiseau, l'IESP continuerait à se réunir ...

On peut aussi aller plus loin et noter que beaucoup de personnes citées ont un intérêt direct ou indirect à l'existence d'un climat de violence : marchands d'armes, sociétés de gardiennage, compagnies d'assurance, etc. Si l'anti-communisme ne suffit plus à développer leurs "affaires", elles favoriseront une autre source de conflit (je pense au terrorisme islamique).

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyLun 25 Mar 2013 - 20:13


Il en était question dans l'affaire des avions renifleurs :

http://fr.scribd.com/doc/132251311/Enquetes-reportages-Renifleurs-2


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Et In Arcadia Ego

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMar 26 Mar 2013 - 2:51

.


Dernière édition par Et In Arcadia Ego le Sam 16 Aoû 2014 - 5:26, édité 1 fois
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David Teacher




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptySam 8 Juin 2013 - 20:47

1) Giulio Andreotti, The USA Up Close: From the Atlantic Pact to Bush (Gli USA visti da vicino; foreword by Kissinger), New York University 1992, Chapter 10: Vacation in the USA [re August 1971], pgs 61-62.

“Relations with America during my interval in government service (1968-72) did not rotate around official commitments but were nonetheless marked by moments of no lesser interest.
The French stateman Antoine Pinay invited me to join a small and entirely informal group of Europeans and Americans set up to discuss current world affairs. We used to meet once or twice a year, ordinarily in Washington at the home of Nelson Rockefeller, but at times also in Europe (I recall one session in Bavaria as the guests of Franz Josef Strauss). Some of the participants varied according to the subject for discussion (highly regarded was Henry Kissinger), while the others, according to their respective schedules, were always the same.
A scholarly Dominican, Fr. Dubois, who was on the Holy See’s Permanent Mission to the United Nations, gave a religious touch to the sessions by celebrating Mass for those who wished to attend and offering brief meditations for all. Another participant from Italy was Pinay’s good friend, the engineer Carlo Pesenti. Assiduous amongst the Americans was David Rockefeller. With his travels and personal contacts at the highest possible level in almost all nations he was always a source of the latest inside information.

Pinay also travelled extensively and was always up-to-date on everything. What I most admired in him were his pragmatic outlook and refusal to espouse the pessimism which was quite widespread at that time and not without a certain justification. His prestige at home and abroad was not linked so much to his length of service in government (minister of finance and for a long time prime minister) as it was to the successful campaign to strengthen the French currency and to the fact he was consulted during difficult economic situations and his advice was much appreciated. His many commitments did not prevent him from holding the office of mayor in his small hometown of Saint Chamon until not long ago; this conforms to a traditional French practice for important politicians.

Over the past few years Pinay has been active but has had to heed the precautionary measures dictated by age. Other friends of the group have departed from this world and so those annual appointments no longer take place. We occasionally meet, one on one, when someone happens to come through Italy or when I visit their respective nations.”

2) Je laisserais tomber les efforts a detailler plus le petit-fils Carlo Pesenti, ses connections pretendument mafieuses et la Trilateral Commission. Interessants certes, mais bien loin de nos preoccupations avec les TBW ou Carlo Pesenti le grand-pere est d'une importance capitale - faut pas chercher midi a quatorze heures! Le document Kissinger/Violet que Herve a heureusement mis en ligne est crucial et merite toute notre attention.
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HERVE




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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyLun 7 Sep 2015 - 18:15



http://www.myheritage.nl/research/collection-10025/newspaperarchivecom?itemId=450058508&action=showRecord#fullscreen

Galveston Daily News

2 apr 1984


Pesenti, Carlo - Page 2 Mar11110
Pesenti, Carlo - Page 2 Mar11210
Pesenti, Carlo - Page 2 Mar11310


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Carlo Pesenti était dans le "Cercle" (Pinay - Violet)

Antoine Pinay et Paul Van Zeeland ont été à l'origine du Bilderberg ...


http://www.cryptome.org/2012/01/cercle-pinay-6i.pdf


Pesenti, Carlo - Page 2 Pinay110


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http://www.myheritage.nl/research/collection-10025/newspaperarchivecom?itemId=416279786&action=showRecord#fullscreen

Orange County Register

28 sep 1984


Pesenti, Carlo - Page 2 Cp1110


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http://www.myheritage.nl/research/collection-10025/newspaperarchivecom?itemId=421821642&action=showRecord

European Stars And Stripes

9 jun 1985


Pesenti, Carlo - Page 2 Carlo10


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 9 Sep 2015 - 8:22



Voici un commentaire d'un lecteur attentif :

This is not a topic I have studied myself, so I don't know why Pesenti would be wanting to make large payments for the benefit of the IOR. I suppose it could have been a simple business mistake on his part to link repayment of the loan to the Swiss franc. Charles Raw discusses the loan briefly in his book The Moneychangers on page 91. He points out various irregularities, including the fact the loan was not mentioned in Italmobiliare balance sheets until its repayment in 1979/80, raising suspicions it had never actually been paid in the first place. It's possible the money was linked to anti-communist operations, though in that case one might have expected it to be travelling in the opposite direction. Pesenti certainly seems to have been close to Gelli, who held a copy of a business agreement between Calvi and Pesenti in his personal files. Gelli also names Pesenti in a list of business people for whom he had performed delicate consultancy services. The others were Calvi, Anna Bonomi, and publishers Fabbri and Rizzoli (p. 195 of his book La Verità).

_ _


Le lien Carlo Pesenti / Licio Gelli me semble important à garder en mémoire ...


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 16 Sep 2015 - 8:44



Evolution of Italian Enterprises in the 20th Century
publié par Renato Giannetti,Michelangelo Vasta


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 16 Sep 2015 - 8:51



http://faculty.london.edu/pvolpin/turnover.PDF


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyMer 16 Sep 2015 - 9:03



http://www.ecgi.org/wp/f1703.pdf


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyDim 27 Sep 2015 - 21:48



http://www.lifonti.it/en/italy-at-a-glance/555/Italcementi/

Italcementi

Italcementi, the Italian multinational which produces cement and other construction components, was first founded in 1864, only three years after the creation of the Kingdom of Italy. But the man who elevated the ranking of the group to the elite of Corporate Italy was Carlo Pesenti, born in 1907, who in 1934 takes the helm at Italcementi, which in the meantime was becoming a prosperous business also thanks to Carlo’s uncle, Antonio, Senator of the Kingdom and a personal friend to Benito Mussolini. That’s to say that Italcementi is a company which has a long history, and whose journey was always strictly connected with the political and economic developments of the country. In fact the Pesenti dynasty, from the northern town of Bergamo, was at the same time always connected with the Italian family-model capitalism. And it is so in current times as well. The Pesentis’ interests range from banks to publishing, including key stakes held in the so-called Italy’s “salotto buono” – the fine drawing room – such as those in Mediobanca, Unicredit and Rcs, the publisher of leading newspaper Corriere della Sera.

Nowadays is Carlo Pesenti’s turn. The 49 year old entrepreneur who inherited the first name from the founder of the dynasty, has a main focus: that of getting rid of the crisis which hit the construction industry in Italy by adjusting the production capacity to a structurally weak market. Cement production in Italy continues to be in excess against a demand which has scaled down to levels seen in the late Sixties. In order to cope with the new reality Italcementi started a rationalization effort involving both the production and the distribution at a national level, and by avoiding at the same time to shrink its market share. Plans being implemented are aimed at maintaining 6 continuous cycle facilities in Italy, two in the North, one in the Centre and three in the South. In addition the company is planning important capital spending of some 150 million euros to further improve the competitiveness of the Rezzato plant near Brescia, which in the words of Carlo Pesenti will become “a veritable benchmark for the development of technologies used to abate pollution”.

At the same time Italcementi is ready to take benefit from a possible re-start of big infrastructural project in Italy, of which some encouraging signals are being detected by industry experts. Italcementi also owns a 83% stake in Ciments Français, but a much talked full merge is not seen as a priority for the time being, as the management of the Italian group is fully focused on the core business and the cost cutting. An effort that is already bearing fruit, as the company is showing some improvements, namely as its capital ratios are concerned.


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 10:49


On retrouve Carlo Pesenti et Jean Violet dans une organisation peu connue : "Sint Unum"

Il faut rappeler que c'est Carlo Pesenti qui a parlé du "Cercle" à David Rockefeller.

On retrouve aussi le nom de Carlo Pesenti dans l'invitation à "Europa Christiana" dans laquelle la Milice de Jésus-Christ a eu un rôle important. A la réunion de Royaumont, il y avait des gens comme Jean Violet, Giulio Andreotti et Robert Close ...


https://wikispooks.com/w/images/a/af/Rogue_Agents_%284th_edition%2C_2015%2C_full%29.pdf


Pesenti, Carlo - Page 2 Unu12110

(...)

Pesenti, Carlo - Page 2 Unu12210

(...)

Pesenti, Carlo - Page 2 Unu12310

(...)

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(...)

Pesenti, Carlo - Page 2 Unu12510

(...)

Pesenti, Carlo - Page 2 Unu12610

_ _ _


http://www2.fr.ch/aef_query/Detail.aspx?ID=26495

http://www.abebooks.fr/livre-rouge-lEglise-pers%C3%A9cut%C3%A9e-Galter-Albert/15524853178/bd

511 pp. Cet ouvrage constitue la seconde édition augmentée de LE COMMUNISME ET L'EGLISE CATHOLIQUE. Publié sous les auspices de la Commission pour l'Eglise Persécutée des Organisations Internationales Catholiques.

http://www.abebooks.fr/servlet/SearchResults?an=Galter%2C+Albert.&cm_sp=det-_-bdp-_-author

_ _ _


A mon avis, le père Félix Morlion devait bien connaître ce sujet, vu que la Milice de Jésus-Christ était liée à l'ordre dominicain et que Félix Morlion était proche de Giulio Andreotti. On dit maintenant que Félix Morlion était un agent de la CIA. L'université Pro Deo et celle qui lui a succédé sont liées au patronat italien.

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 13:17


Toujours au sujet de "Sint Unum" :


Pesenti, Carlo - Page 2 Unu13110


Voir :

http://www.aflcio.org/About/Our-History/Key-People-in-Labor-History/George-Meany-1894-1980


Il serait intéressant de mieux connaître les liens entre George Meany et Irving Brown (que le colonel Solborg a présenté à André Moyen) et de ceux-ci avec David Dubinsky (selon Walter Baeyens, un proche de Félix Przedborski).

American Labor's Global Ambassadors: The International History of the AFL ...
Par Geert Van Goethem,Robert Anthony Waters Jr.,Palgrave Connect (Online service)


Pesenti, Carlo - Page 2 Afl12110

(...)

Pesenti, Carlo - Page 2 Afl12210


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 13:43


C'est l'occasion de relire :

http://www.voltairenet.org/article14074.html

Ingérence syndicale

AFL-CIO ou AFL-CIA ?

par Paul Labarique

Dès le début de la Guerre froide, les États-Unis se sont appliqués à neutraliser l’influence soviétique dans le mouvement syndical européen. S’appuyant sur l’AFL-CIO, une organisation qui tient plus de la corporation de branche que du syndicat de classe, la CIA a fait exploser la CGT française et a financé la dissidence de Force ouvrière. Puis, l’Agence a regroupé les centrales atlantistes européennes au sein d’une Confédération des syndicats libres. Le système a été ultérieurement étendu à l’Afrique et à l’Asie. L’opération a été dirigée par Irving Brown, responsable du réseau stay-behind en Europe.

(...)

_ _ _


et

http://www.voltairenet.org/article14156.html

1962-1979 : L’AFL-CIO et la « contre-insurrection » syndicale

(...)

L’AIFLD : « contre-insurrection » syndicale en Amérique latine

Le premier d’entre eux est l’American Institute for Free Labor Development (AIFLD), qui se consacre au contrôle des mouvements syndicaux en Amérique latine. George Meany, président de l’AFL-CIO, en prend la direction administrative. Il en délègue la direction exécutive à Willliam C. Doherty Jr, dont l’expérience professionnelle se limite à quelques mois de travail au sein du Plan Marshall, ce qui pourrait paraître insuffisant pour un « leader syndicaliste » [1]. Un conseil d’administration, composé de grands patrons ayant des intérêts en Amérique latine, détermine les priorités d’action de l’AIFLD. Des personnalités réputées pour leurs positions anti-sociales y siègent comme David Rockfeller. Le Pdg du géant de chimie W.R. Grace Corporation et président du Chapitre nord-américain de l’Ordre de Malte, J. Peter Grace, en assume la présidence [2]. Ce casting reflète la réalité de l’AFL-CIO, une organisation qui promeut la collaboration de classe et unit de manière verticale les syndicats ouvriers et patronaux selon un modèle proche de celui des corporations fascistes.

(...)

Note :   J. Peter Grace est connu pour avoir récupéré le chimiste nazi Otto Ambrose, ancien directeur d’IG Farben. Par ailleurs, chrétien fondamentaliste, Grace fournit un emploi au révérend Pat Robertson et devint le parrain de ses enfants.

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 19:43



http://www.laboreducator.org/darkpast1.htm

http://www.laboreducator.org/darkpast2.htm

(...)  To clarify the relationship, a "summit" meeting was held on November 24, 1950. In attendance for the AFL were Meany, Dubinsky, Woll and Lovestone. The CIA was represented by Smith, its director, and his top assistant, Frank Wisner.   (...)

http://www.laboreducator.org/darkpast3.htm

(...)  The FTUC was an “off budget, off contribution” agency, whose financial operations were kept secret, even from union leaders in the AFL’s upper echelons. Two of its first actions were to appoint Jay Lovestone as executive secretary and name Irving Brown as the AFL’s sole representative in Europe.

Brown, born in Bronx, N.Y. in 1911, was a stocky, five feet nine, undistinguished in appearance and unpretentious in public. He received a Bachelor’s Degree in Economics from New York University and spent several years as a union organizer in tough campaigns, including the Ford plant in South Chicago and the coal mines of Harlan County, Kentucky.

What made Brown an outstanding choice for the job was his sharp mind, inexhaustible energy, photographic memory for names of places and people, and his talent for making friends with important U.S. and foreign labor and government officials. His wife, Lillie, who spoke five European languages, served as his secretary and adviser.

Irving had a close, if not warm, relationship with Jay Lovestone, a former leading Communist, whom George Meany had handpicked to run the AFL’s International Affairs Committee. They made a perfect team, with Jay plotting the anti-communist labor strategy for Europe and Irving carrying it out, a partnership that lasted for more than two decades.

Brown Used Bribery to Split French Labor

Arriving in Paris in October 1945, Brown said of his duties as the AFL representative: “I want to build up the non-communist unions in France and Italy and weaken the CGT in France and the CGIL in Italy.” He was to report regularly to Lovestone and Meany.

Irving preferred to make private deals with European labor leaders, where, as the AFL’s sole representative, he had a distinct advantage. But he could play hard ball, when necessary. In 1947-48, he hired squads of goons, many of them criminals, to wrest control of the docks at Marseilles and other southern ports from the communist port unions, thus enabling allied ships to deliver food, machinery and other items in short supply to France and Italy.

But Irving, as talented as he was, could not have cleared the docks for allied shipping or effectively challenged the communist-led unions without the huge sums of money which he continuously received to bribe foreign union leaders, organize demonstrations, call or break strikes, influence union elections and disrupt communist meetings.

Between 1945 and 1948, Brown was getting funds from the AFL treasury, the U.S. State Department and major corporations like Exxon, General Electric, Singer Sewing Machines and others that had commercial interests in Europe. Then, in 1948, the U.S. launched the Marshall Plan (European Recovery Plan), which allotted $13 billion to Western Europe, but nothing to countries in the Soviet orbit.

The Marshall Plan stipulated that 5% of the funds should be used for administrative purposes and rebuilding Western European unions. But since Irving had developed a cozy relationship with Averill Harriman, the Marshall Plan director, he was able to get a good slice of the $800 million available in the “sugar fund” to finance his expanding activities.

When the Marshall Plan folded in 1950, the Central Intelligence Agency, established in 1947, was there to continue funding Brown’s secret operations on an even grander scale. The CIA turned over tens of millions to the FTUC, because the spy agency found Brown’s covert operations useful. Neither the CIA nor the FTUC were obliged to report these undercover financial transactions.   (...)

http://www.laboreducator.org/darkpast4.htm

http://www.laboreducator.org/darkpast5.htm

http://www.laboreducator.org/darkpast6.htm

_ _ _ _ _ _


http://www.voltairenet.org/article14074.html

AFL-CIO ou AFL-CIA ?

(...) Washington profite de l’occasion : la CIA aborde le secrétaire général de la CGT, Léon Jouhaux, à l’occasion de son voyage à l’ONU. Jouhaux accepte de provoquer la scission qui donnera naissance à Force ouvrière, en 1948, et affaiblira durablement le syndicalisme français. Une fois l’opération terminée, George Meany déclare au Press Club de Washington : « Je suis fier de vous dire, parce que nous pouvons nous permettre de le révéler maintenant, que c’est avec l’argent des ouvriers de Detroit et d’ailleurs qu’il nous a été possible d’opérer la scission très importante pour nous dans la CGT, en créant le syndicat ami Force ouvrière » [6]. Mais, en 1967, Thomas W. Braden, ancien directeur de la division internationale de la CIA, révèle sans ambages [7] qu’en réalité les fonds furent initialement fournis par l’International Ladies Garnment Union de David Dubinsky puis « quand ils manquèrent d’argent, il s’adressèrent à la CIA. Ainsi commencèrent les versements de fonds secrets aux syndicats libres qui, bientôt, s’étendirent à l’Italie. Sans ces versements, l’histoire de l’après-guerre aurait été différente » [8].

Un groupe de militants anti-soviétiques joue un rôle central dans la scission : il s’agit de trotskistes récupérés par le stay-behind. Pendant la Seconde Guerre mondiale, après la rupture du Pacte germano-soviétique, ils avaient fait le choix, autour d’Henri Molinier, de lutte contre Staline en adhérant à l’ultra-collaborationniste Mouvement social révolutionnaire (MASR) d’Eugène Deloncle et Eugène Schueller [9]. Sous l’impulsion d’Irwing Brown, ils constituent en 1953 un nouveau parti, le MPPT, autour de Pierre Boussel-Lambert. Ces militants obtiennent bientôt des emplois dans des Caisses d’assurance-maladie et se consacrent à l’encadrement de FO.

À la même époque, « la SFIO marseillaise a elle aussi profité des dollars de la CIA qui, par exemple, renflouent le journal Le Populaire, le quotidien socialiste à l’échelle nationale » [10]. Les activités d’Irving Brown sont en effet particulièrement visibles dans la région marseillaise, alors au c ?ur de la French connection qui gère à l’époque l’essentiel du trafic mondial d’héroïne. Ses financements viennent en général directement de la CIA, soit via l’attaché de l’ambassade états-unienne à Paris pour les questions syndicales, John Phillipsborn, soit via un compte en banque basé à Zürich au nom du président du Comité méditerranéen, Pierre Ferri-Pisani [11]. (...)

_ _

[9] Le MSR est alors un parti au sein du RNP de Marcel Déat avec lequel il vient de fusionner. Voir « L’histoire secrète de L’Oréal » par Thierry Meyssan, Voltaire, 3 mars 2004.

_ _ _ _ _


https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cagoule

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8ne_Deloncle

... et l'on retrouve la "Cagoule".


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 21:18



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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 21:23


La vidéo suivante (extraite d'un documentaire diffusé sur France 5) contient un rappel intéressant et synthétique sur le rôle d'Irving Brown dans la naissance du syndicat français "Force Ouvrière".

https://www.dailymotion.com/video/xfduvf_la-cia-et-la-mafia-complotent-contre-la-gauche_news

La CIA et la Mafia complotent contre la gauche

Sur Irving Brown, voir :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Irving_Brown

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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyJeu 14 Jan 2016 - 21:37


Toujours au sujet du monde syndical :

Shock Therapy: The United States Anti-Communist Psychological Campaign in Fourth Republic France (Susan M. Perlman, 2006)

https://www.researchgate.net/publication/254672705_Shock_Therapy_The_United_States_Anti-Communist_Psychological_Campaign_in_Fourth_Republic_France

https://fsu.digital.flvc.org/islandora/object/fsu%3A180272

On y mentionne notamment Irving Brown. Sur ses contacts avec la mafia marseillaise/corse, relire Alfred McCoy (The politics of heroin in Southeast Asia).  

On en parle aussi dans le livre de Peter Dale Scott (American War Machine) et l'ouvrage collectif auquel a contribué Philip Agee (Dirty Work: the CIA in Western Europe).

Voir aussi les articles suivants :

http://www.historiographie.info/irvingbrown.pdf

https://chrhc.revues.org/1666

http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2013/06/30/irving-brown-politique-et-transparence-i.html

Pour les informations de Philip Agee sur l'AFL CIO ou l'ICFTU, à part "Dirty Work" (Tome 1), voir "Inside the Company" :

https://leaksource.files.wordpress.com/2014/08/inside-the-company-cia-diary-philip-agee.pdf


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MessageSujet: Re: Pesenti, Carlo   Pesenti, Carlo - Page 2 EmptyVen 15 Jan 2016 - 9:16


https://www.lewrockwell.com/2010/01/douglas-valentine/the-french-connection-revisited/

The French Connection Revisited: The CIA, Irving Brown, and Drug Smuggling as Political Warfare

By Douglas Valentine

January 8, 2010

(...)

Indeed, based on four newly discovered documents, generated by the defunct Federal Bureau of Narcotics (1930–1968), it is now evident that the U.S. government, through the CIA, has historically employed drug smugglers to effect its unstated domestic agenda. The French Connection is a prime example, and a principal player in that sordid episode was labor leader Irving Joseph Brown, the American Federation of Labor’s chief overseas representative from 1945 until 1962.

Brown had a long history of involvement with the CIA, gangsters, and drug smugglers; but it was not until April 1962 that he first came to the attention of the Federal Bureau of Narcotics (FBN). The circumstances are both bizarre and revealing, and center on Etienne Tarditi, a short, potbellied, Corsican drug smuggler, who first implicated Brown in drug smuggling activities.

(...)


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