De Bonvoisin, Benoît (Baron)

Exact Tahchak !

Bizarres les relations entre De Bonvoisin et Moureaux...

http://lepeuple.be/merry-hermanus-voyage-dans-lantre-du-systeme-socialiste-2e-partie/15022

Note : Pierre Davister a été président du Conseil d’administration de la société éditrice du mensuel Le Nouvel Impact. Il avait auparavant dirigé l’hebdomadaire Spécial.

Pierre Davister arrive en Afrique en 1947. Il collabore successivement au «Courrier d'Afrique» et à l'«Avenir». Quatre ans plus tard, il devient correspondant de presse à Léopoldville, notamment pour «Paris-Match». Son itinéraire passe aussi par « Pourquoi pas ?» où, en 1964, sa collaboration tourne au vinaigre. Davister créera son magazine en 1965, «Spécial» qui fusionnera brièvement avec «L'Eventail», en 1980, avant de disparaître.

La carrière de Pierre Davister ne serait probablement que celle d'un journaliste brillant, aux partis pris manifestes, s'il n'avait rencontré, quelques années avant l'indépendance du Congo, le nommé Joseph Désiré Mobutu.

Le journaliste belge s'immiscera plus d'une fois dans la vie politique du Congo, ramenant notamment Tshombé à Léopoldville en 1964. Mobutu lui prodiguera de son côté largesses - les fonds congolais de «Spécial» stipendiés par «Pourquoi pas ?» en 1966 - et prébendes, emmenant en outre le couple belge lors d'un voyage officiel en Chine, en 1973. Malgré l'opposition des Chinois, au risque d'un incident diplomatique, précise Jacqueline Davister.

Au milieu des années 70, le président rendra encore visite à Pierre Davister, lors d'une opération à coeur ouvert, à l'hôpital bruxellois Erasme.

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(WDB)

23.3.84: Offergeld over de Bonvoisin en PDG

In 'La Semaine d'Anvers' van 23 maart '84, schrijft Jacques Offergeld :

"Il fut un temps ou Paul Latinus était l'homme de confiance de Bonvoisin. C'est ainsi que le 'maréchal' affirma, à plusieurs reprises, qu'il était chargé de passer régulièrement à l'hôtel particulier de Bonvoisin pour contrôler les téléphones et voir s'ils n'étaient pas sur table d'écoute. Latinus prétendant, en effet, détenir un appareil susceptible de détecter les écoutes téléphoniques."

"Il existe au ministère des Finances deux preuves:

La collusion entre Benoit de Bonvoisin et une société avec laquelle il jure n'avoir aucun lien. Or cette société payait notamment sa voiture, son essence, ses contraventions, etc. Ces documents se trouvent à la TVA.

La même voiture a été contrôlée au poste de douanes de Hensies. Les douaniers ont constaté que son conducteur, Benoit de Bonvoisin, était porteur d'un passeport rouge, d'un laissez-passer du ministère de la Défense nationale et de 'divers colis'. (cfr. rapport de l'inspection des Recherches du ministère des Finances nr 0 8335/81 VO 25). Notre enquête montre que le passeport rouge n'était pas 'diplomatique' mais simplement de service. Au ministère de la Défense il n'existe aucune trace de délivrance du fameux laissez-passer au porteur. Pour un monsieur dont la profession est 'administrateur de la Ligue Esthétique belge' tout cela est pour le moins étonnant ! (...) Fallait-il que Bonvoisin jouisse de protections pour que ces documents, ces traces fiscales et bien d'autres documents dont nous reparlerons dans la suite de cette enquête, n'attirent pas l'attention des 'fins limiers' de la PJ".

PDG zou een zilvergrijze Chevrolet Camaro ter beschikking stellen van de baron (nummerplaat: DVS 248). In mei '81 werd de bewuste wagen gekontroleerd aan de grens bij Hensies (zie ook De Morgen van 26.3.84). De baron heeft de publikatie van deze gegevens nooit gelogenstraft.

https://www.flickr.com/photos/81839398@N00/366070305

Selon Debaets, cette photo est truquée. Votre avis?

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michel a écrit:

https://www.flickr.com/photos/81839398@N00/366070305

Selon Debaets, cette photo est truquée. Votre avis?

Réponse du cegesoma à ce sujet : A mon avis il ne s’agit pas d’un photo montage, voici les sources et la légende de cette photo : Bruxelles. Le procès du baron Bonvoisin.

6.II.1991. © Photo News picture by Didier Lebrun.

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Les bandes sont celles du cegesoma

Pierre-Alexandre de Bonvoisin, frère du baron Benoît de Bonvoisin :

https://gw.geneanet.org/nobily?lang=fr&pz=elisabeth+therese+marie+helene&nz=de+belgique&p=pierre+alexandre&n=de+bonvoisin





Voir :

https://www.lecho.be/nieuws/archief/courrier-des-lecteurs/9551284.html

Courrier des lecteurs
02 octobre 2014  

Quelle curieuse association de joindre la photo d'Alexandre Galopin à votre article intitulé "La reconstruction manquée de 1945" paru dans votre édition du 22 juillet dernier. Alors qu'Alexandre Galopin était décédé depuis février 1945, assassiné par les SS.

Qui plus est, cela dans une série d'articles sur la première guerre intitulée "Série 14-18" où, peut-être vous auriez pu soulever que comme suite aux contacts entre le gouvernement belge et Albert Thomas, Ministre français de l'armement, Alexandre Galopin, du fait de sa formation d'ingénieur civile et de son expérience à la direction de la FN, fut amené à diriger toute la production d'armes légères et à partir de 1917 également, celle des moteurs d'avion pour l'armée française.

Vous auriez pu ajouter que son autorité était telle qu'il fut appelé en qualité d'expert dans les négociations du Traité de Paix et dans les conférences internationales, notamment à Gênes et à La Haye.

Dans ce même article, vous stigmatisez la politique du Comité Galopin - comité constitué, à la demande du gouvernement belge, d'une dizaine de personnalités du monde politique, industriel et financier restées, elles, au pays.

Ce comité après avoir consulté des jurisconsultes ayant avancé l'état de nécessité, avait été amené à faire reprendre le travail d'ailleurs exigé par l'occupant nazi par une ordonnance de mai 1940. Si cela n'avait pas été le cas, c'eut été non pas la disette mais la famine dans le pays, comme cela fut le cas au début de la guerre de 1914, mais aussi des déportations en masse d'ouvriers vers l'Allemagne, le chômage étant considéré comme un délit par l'occupant nazi, de même que le démantèlement d'usines belges vers l'Allemagne.

Certes, on a travaillé en Belgique durant l'occupation mais, intentionnellement, peu et mal. A titre d'exemple, la sidérurgie n'a travaillé qu'à 40% de ses capacités et dans les charbonnages le rendement journalier qui était en moyenne de 750 kilos par ouvrier était tombé à 550 kilos en 1943.

Quant à votre réflexion selon laquelle la réputation d'Alexandre Galopin - je suppose que vous voulez dire celle du Comité Galopin - a de ce fait été "ternie", je vous préciserai qu'en avril 1948, le gouvernement présidé par P.H.Spaak octroya au gouverneur Galopin, à titre posthume, une distinction honorifique au titre de la Résistance. En outre, le jugement du Conseil de Guerre du 14 octobre 1947 condamnant à mort les assassins, membres belges de la SS, du gouverneur Galopin indiquait dans un de ses attendus "que la personnalité de la victime (Alexandre Galopin) a suscité la haine des suppôts de l'ennemi en raison des grands services que cette personnalité a rendus à notre pays".

Pierre de Bonvoisin

Directeur Honoraire Générale de Banque

et Petit-fils d'Alexandre Galopin


Réponse

: L'article incriminé par M. de Bonvoisin est paru dans L'Echo du 2 août 2014, sous le titre "La reconstruction manquée de 1945".

La citation entière, que notre lecteur ne mentionne pas, est la suivante: "Dès le début de la seconde Guerre mondiale, (la Belgique) met sur pied la "doctrine Galopin", du nom du gouverneur de la Générale de Belgique chargé par le gouvernement d'essayer, avec d'autres grands patrons, de maintenir l'outil industriel pendant l'occupation. Cette méthode, qui passe forcément par des accommodements avec les Allemands, sera largement controversée et la réputation de son auteur en sera ternie (alors que, résistant, il finira sous les balles de collabos). La "doctrine Galopin" a cependant porté ses fruits: en 1945, l'industrie belge n'est pas détruite et le rattrapage sera beaucoup plus rapide (qu'en 1918, ndlr)." Ce passage, comme le reste de l'article, a été rédigé en s'appuyant sur plusieurs sources dignes de foi. Citons les historiens Ginette Kurgan-van Hentenryk (auteur de "Gouverner la Société Générale de Belgique. Essai de biographie collective", De Boeck Université) et Serge Jaumain. Parmi les ouvrages consultés, mentionnons: Herman Van der Wee et Monique Verbreyt, "La Générale de Banque. Un défi permanent", Racine, 1997; et René Brion, Jean-Louis Moreau, "La Société Générale de Belgique, 1822-1997", Fonds Mercator, 1998. Ces deux ouvrages ont été rédigés à l'occasion d'anniversaires de la Générale de Banque et de la Société Générale et validés par les entreprises concernées.

M.M.

La "doctrine Galopin" a cependant porté ses fruits: en 1945, l'industrie belge n'est pas détruite

pour rappel

Par contre, de
nouveaux établissements apparaissent. La
Banque Copine est créée à Namur en 1944;
une filiale belge de la Banco di Roma
s'implante dans les régions charbonnières,
(...)

la Banque Agricole et Commerciale de Belgique ayant de nombreux sièges en Wallonie.
En Hainaut, disparaissent la Banque Henri
Crombé à Kain, la Banque Auguste Jurion à
Braine-le-Comte, le Comptoir d'Escompte
Mobilier à Charleroi, la
(...)

http://connaitrelawallonie.wallonie.be/sites/wallonie/files/livres/fichiers/wph_histoire_tii_p231-246.pdf

De Bonvoisin & Cie
Philippe Brewaeys, Jean-frederick Deliège
EPO, 1992

Pour le livre, voir

https://ia801809.us.archive.org/25/items/dbec-ocr/DBEC%20OCR.pdf

https://mobile-beta.demorgen.be/nieuws/edmond-bajart~be64dd2b/

(traduction)

Edmond Bajart

« Appelez-vous cela des menaces de mort ? », a déclaré l’homme qui a été président de Veeweyde pendant près d’un quart de siècle. « Je trouve cela plutôt comique »

22 déc 2001

1919-2001

Nom de code 'hot dog'

Pendant près d’un quart de siècle, il a été président de Veeweyde, l’une des plus importantes organisations de protection des animaux de notre pays. Ce n’est qu’au cours de sa soirée de vie qu’Edmond Bajart a été accusé de faits fins tels que la falsification, la fraude et l’abus de confiance. Mercredi dernier, il est décédé à Saint-Jeannet, près de Nice dans le sud de la France. Une crise cardiaque l’a fait atterrir dans un supermarché local.

« Dans les années soixante-dix et quatre-vingt, Bajart a laissé sa marque sur la protection des animaux en Belgique comme aucun autre », explique Michel Vandenbosch, président de Gaia, qui était à peu près le bras droit de l’homme à Veeweyde entre 1989 et 1992. « Il m’a donné l’occasion d’apprendre beaucoup. Pour cela, je lui serai toujours reconnaissant. »

« Un homme qui ne s’est jamais laissé aller », Vandenbosch décrit le tempérament du défunt président de Veeweyde. « Il avait la réputation d’être très intelligent et s’il avait une autre idée, elle devait être mise en œuvre immédiatement. »

Comme cette époque où 10 000 oiseaux exotiques sont arrivés à l’aéroport de Zaventem, dont 8 000 étaient malheureusement déjà morts en cours de route. « Les spécimens survivants ont dû retourner au Mali, pensait Bajart, dans leur habitat naturel. J’ai dû arranger cela pour lui. Le fait que ces oiseaux aient été immédiatement confisqués par le régime militaire de l’époque, il s’en fichait. J’étais son collaborateur, alors je remplissais cette « mission impossible ». Assez. Cela a été une épreuve infernale, ces négociations avec les autorités locales ont été vraiment débilitantes. Bajard m’appelait à cinq heures du matin, sans tenir compte du décalage horaire : « Qu’en est-il de ces oiseaux ? Ne sont-ils pas encore libres ? Le moment venu, contre le paiement d’une rançon, il était à nouveau satisfait. Mais après un certain temps, il avait déjà oublié cela et vous avait chargé d’une autre tâche impossible. Vous l’avez probablement deviné : il n’avait pas un caractère facile. »

À la fin de 98, alors qu’il avait déjà presque quatre-vingts ans, le président de Veeweyde a été discrédité par la cour. Entre autres choses, il aurait pris l’argent de vieux qui avaient mis Veeweyde dans leur testament. Il y a eu aussi des contacts avec l’extrême droite. Le nom de baron de Bonvoisin est tombé. Bien que rien n’ait encore été prouvé et qu’il ait réussi à bien se défendre, Bajart a pris du recul il y a une bonne année. Il a démissionné de son poste de président.

L’histoire a pris une autre tournure lorsque les enquêteurs et les témoins dans le dossier contre l’ex-président ont été menacés de mort plus tôt cette année. « Un hot-dog peut être fatal à toute votre famille », était le message lugubre sur l’une de ces cartes postales. Hot-dog. C’était le nom de code de l’enquête sur la vie suspecte de Bajart. De Nice, cependant, il a fait savoir qu’il n’avait rien à voir avec les menaces. « Appelez-vous cela des menaces de mort ? », a-t-il ajouté laconiquement. « Je trouve cela plutôt comique. C’est comique, n’est-ce pas? »

Jean-Paul Mulders

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https://mobile-beta.demorgen.be/nieuws/gerechtelijk-onderzoek-tegen-veeweyde~b5304b28/

(traduction)

Enquête judiciaire contre Veeweyde

Edmond Bajart, le président de Veeweyde, a été longuement interrogé par la BOB hier. Le parquet bruxellois mène une enquête financière contre la plus célèbre organisation de sauvetage d’animaux du pays.

L’une des nombreuses accusations, toutes de la part d’un Liégeois avec qui Bajart est en désaccord depuis des années, concerne le financement illégal du magazine d’extrême droite du baron Benoît de Bonvoisin, Nouvel Europe Magazine. Mais rien n’est certain.

10 déc 1998

Edmond Bajart (79 ans) aurait pris l’argent de vieux qui avaient mis Veeweyde dans leur testament. Il aurait acheté une villa dans le sud de la France à Nice. Au lieu de prendre soin d’eux, Veeweyde donnerait une injection létale à 80% des chiens et des chats sauvés. Il y aurait une disproportion extrême entre les 69 millions de francs que l’association indique chaque année comme coûts de fonctionnement et le revenu réel. C’est, d’une manière générale, l’histoire avec laquelle Léon Roufosse de Liège s’est rendu en justice après que sa révélation - dans son magazine personnel Animaux Contact - lui a coûté une condamnation pour diffamation en 1992 (Roufosse a fait appel).

En 1995, le juge d’instruction Jean-Claude Leys est chargé de l’affaire. Jeudi dernier, il a fait perquisitionner Veeweyde et chez Bajart. L’homme a ensuite été interrogé pendant une longue période, et encore hier. Il a été en mesure de réfuter la plupart des allégations assez ponctuellement et n’a été accusé de rien jusqu’à présent. La villa de Nice, dit-il, a été payée avec le produit d’une maison à Knokke qu’il a achetée pour 3 millions de francs et plus tard vendue pour 22 millions. Cela s’est produit après la mort de sa femme, un événement qui a poussé le millionnaire à décider de vendre également sa société de publicité Grey et de ne travailler que pour le bien-être des animaux dans sa vieillesse. « Cela suscite la jalousie dans les petites organisations », explique Roger Arnhem, vice-président de Veeweyde. « C’est tout ce que vous avez à découvrir. Nous sommes heureux que le parquet enquête sur les plaintes, même si cela nous coûtera malheureusement beaucoup de sympathisants. » La critique de Bajart a toujours été là. C’est lui qui, en 1990, a conçu le plan fou d’évacuer par C130 les chiens et chats abandonnés par les Belges laissés par les réfugiés après les émeutes de Lumumbashi au Zaïre. « Il est, disons, assez impulsif », dit Arnhem. « Il vit pour Veeweyde. Celle de ces seringues est donc une allégation carrément lâche. Veeweyde est la seule organisation qui admet qu’elle doit parfois appliquer l’euthanasie. Mais cela se produit dans tous les refuges pour animaux. Quatre-vingts pour cent? Ridicule.

Bajart lui-même a invité la BOB à examiner à la fois ses comptes et ceux de Veeweyde et à confisquer des documents. L’analyse complète de ces documents prendra un certain temps. Si la recherche semble évoluer plus favorablement pour Veeweyde, alors il reste un gros point d’interrogation. Pendant des années, Bajart a placé des annonces dans le magazine nouvel Europe, publié par le baron Benoît de Bonvoisin et canal financier pour soutenir des groupes d’extrême droite violents, tels que le Front de la Jeunesse. Il s’agissait de petites publicités avec des photos de chiens pathétiques à la recherche d’un propriétaire. Peut-être n’aurait-elle jamais abouti à un dossier judiciaire si l’AOP n’était pas tombée sur une série de factures bizarres lors de son enquête sur la maison d’édition Cidep - du Bonvoisin. Il s’est avéré que Cidep a facturé des montants vertigineux pour les publicités. « Je peux affirmer formellement que Bajart n’a jamais payé un franc à ce magazine », déclare Arnhem. « Un journaliste du magazine Nouvel Europe est venu et nous a suggéré d’imprimer gratuitement des photos de chiens. Comme il n’avait aucune idée du type de viande qu’il avait dans la baignoire et parce que c’était gratuit, Bajart a répondu.

Les factures en question ont été retrouvées lors d’une perquisition chez Cidep. Il se pourrait qu’il s’agisse de fausses factures, une technique que Cidep a également utilisée pour compromettre les politiciens et blanchir l’argent noir. « Oui, c’est possible », répond Arnhem. « Mais tout à l’heure, l’un de nos membres les plus actifs a appelé. Signaler qu’il démissionne. Roufosse a déjà partiellement atteint son objectif. Nous avons déposé une autre plainte contre lui. » (DDC)

Van fraude verdachte voorzitter Veeweyde 'leefde luxueus over de rug van de hond'

De Morgen - 24 Okt. 2000

(...)

Geheel onbesproken was Bajart voor donderdag niet. Zijn naam dook destijds al op in een onderzoek naar een facturenzwendel rond baron Benoît de Bonvoisin. Veeweyde was jarenlang een zeer opvallende adverteerder in New Europe Magazine (NEM), het tijdschrift dat tot in de jaren tachtig fungeerde als financieel doorgeefluik voor de extreem-rechtse terreurgroep Front de la Jeunesse. Veeweyde en Bajart hielden altijd vol dat het NEM zo met hondenwelzijn begaan was dat het systematisch gratis advertentieruimte vrijmaakte.

In de boekhouding klopt weinig, maar volgens Edmont Bajart is er voor alles een uitleg.

https://www.gregoiredetours.fr/thematiques/histoire-transversale/alain-leclercq-les-histoires-les-coquines-des-rois-et-reines-de-belgique/

(...)   « Dans les années 2000, des enquêteurs fouillent la demeure d’un certain Edmond Bajart (…) Il y a, entre autres, des papiers appartenant à Willy Weemaes qui fut dans le passé le secrétaire d’un cabinet de Léopold III et parmi ceux-ci une étonnante lettre rédigée par une des dames suédoises de la suite d’Astrid et adressée à Léopold. Elle y dit à ce dernier qu’elle ne veut plus demeurer au Zoute après son mariage et que son époux a adopté leur fille»  (...)

_ _ _

https://www.dhnet.be/archive/une-forteresse-en-allemagne-de-l-est-51b7e0c7e4b0de6db991cd88

(...)  

Par contre, deux proches collaborateurs du Roi, Willy Weemaes (son secrétaire privé) et le gouverneur des Princes, le vicomte Gatien du Parc, furent du voyage ainsi que trois femmes chargées d’encadrer les quatre enfants, Joséphine-Charlotte, seize ans; Baudouin, treize ans; Albert, dix ans, et le petit prince Alexandre qui n’a pas encore deux ans.

(...)

Il est singulier de savoir que le futur Albert le Joyeux n’a parlé, le plus souvent, de ses années de guerre qu’en racontant des épisodes qui l’ont fait rire. Le 30 août 1943 à Ciergnon : “Des maquisards s’étaient emparés des soldats allemands de la garde. Les maquisards les ont désarmés et renvoyés en pan de chemise au pavillon, à l’entrée du château. C’était d’un comique…” Il a souvent évoqué aussi le secrétaire de son père, Willy Weemaes, quand il bombait le torse et gonflait les joues pour imiter le Feldwebel de garde.

Dans la liste des participants à ce qui a sans doute été le 25ème et dernier congrès du CEDI :

Madrid - 25-28 Novembre 1976

_  

Benoît de Bonvoisin

Jean Bougerol

Brian Crozier

Florimond Damman

Jacques Jonet

Bernard Mercier

Carlo Pesenti

Antoine Pinay

Angèle Verdin  

Jean Violet

(...)

Note :

Carlo Pesenti était lié à la Milice de Jésus-Christ et a lancé les invitations pour la réunion de Royaumont ; il a aussi supporté financièrement Avanguardia Nazonale de Stefano Delle Chiaie...

Florimond Damman était en contact avec Yves Guérin-Sérac de Aginter Presse (où on retrouvait aussi Stefano Delle Chiaie).

Le baron Benoît de Bonvoisin restaure son honneur après 43 ans de combat

La Cour d’appel de Liège a sommé l’État belge de lui présenter des excuses.

Publié le 29-03-2024 à 06h46

https://www.lalibre.be/belgique/judiciaire/2024/03/29/le-baron-benoit-de-bonvoisin-restaure-son-honneur-apres-43-ans-de-combat-DBRLP4V4JVFMHFUPDSKZVULYEY/

Je n'ai pas accès à l'article dans son entièreté..

Voir

https://news.dayfr.com/local/3616665.html#google_vignette