Robert Close

Opération Plumbat le nucléaire israélien : Rendez-vous avec Mr X du 27 mai 2000 atomique uranium

L'université LUISS à Rome, c'est l'université PRO DEO du père dominicain belge Félix Morlion considéré actuellement comme ayant été un agent de la CIA.





(traduction)

Enrico Jacchia, témoin d'une Europe unie, est parti

20 décembre 2011

Professeur d'études stratégiques et fondateur avec Guido Carli et Rosario Romeo du Centre d'études stratégiques de l'Université Luiss de Rome; chroniqueur pour "Il Giornale" de Montanelli, mais aussi pour Corriere della Sera, pour le "Herald Tribune", le "Los Angeles Times"; et encore sénateur (entre 1996 et 2001), écrivain ... Enrico Jacchia, figure éclectique de la scène culturelle italienne, est décédé le 19 décembre à l'âge de 88 ans.

Jacchia a vécu pleinement le XXe siècle de la construction européenne: il a été au Conseil de l'Europe, à l'UE et au C.E.E où il est resté depuis 1957 et lui a laissé le titre de directeur général honoraire. C'est précisément pour la CEE qu'il avait achevé le développement du contrôle de la sûreté nucléaire.

Les obsèques de Jacchia seront célébrées le mercredi 21 décembre au temple égyptien du cimetière de Verano à Rome.

https://it.wikipedia.org/wiki/Paolo_Ungari

(traduction)

(...)

Il a été directeur de l'Institut d'études historiques et politiques, ainsi que de l'Observatoire de l'édition du Centre de recherche en droit des affaires (CERADI) de la LUISS.

(...)

_ _ _

Encore quelqu'un de la LUISS (ex Pro Deo)...

https://wikileaks.org/plusd/cables/1979ROME27595_e.html





1. SOME ELEVEN MEMBERS OF IALIAN ATLANTIC ASSOCIATION (COMITATO
ATLANTICO) WILL BE ATTENDING FORTHCOMING WASHINGTON MEETING
OF ATLANTIC TREATY ASSOCIATION. MEMBERS OF EXECUTIVE COMMITTEE
REQUEST BRIEFING NATO CONVENIENCE OF DEPARTMENT DURING WEEK
OF OCTOBER 9 THROUGH 12.

2. MEMBERS OF EXECUTIVE COMMITTEE ARE : PAOLO UNGARI, PROFESSOR
OF HISTORY OF LAW AT UNIVERSITY OF ROME; GIORGIO CASTELLOTTI,
MINISTRY OF FOREIGN AFFAIRS,DETAILED AS EXECUTIVE SECRETARY OF
ATLANTIC ASSOCIATION; ANTOGIULIO DE ROBERTIS, PROFESSOR
OF IJTERNATIONAL ORG. UNIVERSITY OF BARI; GIUSEPPE VEDOVATO,
PROFESSOR AFRO ASIAN INST. UNIVERSITY OF ROME, FORMER DC
DEPUTY; RUGGERO ORLANDO, FOREIGN AFFAIRS COMMENTATOR FOR RAI,"
"AVANTI" CONTRIBUTOR.

3. MEMBERS OF GROUP WILL BE STAING AT MAYFLOWER HOTEL.
REQUEST CONTACT DR.CASTELLOTTI WHEN APPOINTMENT IS FIRM.

4. RECOMMEND APPOINTMENT BELOW ASSISTANT SECRETARY LEVEL TO INCLUDE


BRIEFING ON SALT II RATIFICATION PROSPECTS, SALT III PLANNING,
TNF MBFR AND SOVIET THEATRE TROOP AND WEAPONS DEPLOYMENT. GARDNER

Relations entre l'EIS et l'ASC (American Security Council)

https://docplayer.org/65323755-Geschaefte-und-verbrechen-der-politmafia.html

(traduction)

Jürgen Roth & Bernd Ender

Le livre censuré : Affaires et crimes de la mafia politique

Un inventaire critique des hommes noirs internationaux

(1995)



(extrait des pages 50, 51 et 52)


Et c'est le 10 juin 1980 que le représentant VMO des fascistes belges apparaît à un congrès remarquable : le 1er congrès des "Loups gris" turcs sur le sol belge à Anvers. En juillet 1983, un délégué de la République fédérale d'Allemagne s'est également envolé pour le congrès annuel de la WACL à Taiwan : Markus Berger, lieutenant-colonel à la retraite et membre du groupe parlementaire CDU au Bundestag. Sept mois plus tard, en janvier 1984, le Dr Gero Pfennig, député européen CDU, était à Taïwan pour la "Journée de la liberté", co-organisée par la WACL. Actuellement, le représentant mondial de la WACL est un Belge, le général de division Robert Close, qui est également le président du Conseil national de défense en Belgique. On le retrouve comme fondateur de l'Institut européen pour les affaires de sécurité, qui s'est réuni à Luxembourg le 5 avril 1982. Lors de la réunion inaugurale de cet "Institut", un cartel de pouvoir composé de politiciens, de militaires et d'industriels de l'armement, l'ancien ministre de la défense de la CDU, Kai-Uwe von Hassel, a pris la parole :

Dans tout le monde occidental, la nouvelle génération s'est épuisée à s'occuper des affaires internes de sa circonscription, de son État, voire de la fédération ; elle s'est concentrée sur les questions ayant un impact sur les électeurs : Les allocations familiales, les services sociaux et autres, guidés par ce que les sondages Gallup ont montré comme étant les aspirations des masses. Et en cela, on ne trouve pas la volonté de se sacrifier, de performer, de prendre des décisions inconfortables mais nécessaires. La nouvelle génération ne connaissait pas la situation mondiale, n'étudiait pas la politique, les objectifs et le système de la puissance mondiale communiste ; elle en était éloignée, elle s'était habituée à son poste avancé à Cuba... Les responsables de l'Institut pour la sécurité européenne sont désormais d'avis que nous devons contribuer à réduire les dangers décrits ... Les politiciens de plusieurs pays européens sont unis dans ce cercle ... avec des soldats âgés mais aussi actifs, pour ainsi dire avec ceux qui sont particulièrement bien informés, avec des scientifiques et des représentants de l'économie, mais aussi avec des journalistes qui en font tout simplement partie.

Mais bien sûr, il n'y a pas de place pour certaines personnes dans cet "institut", dit von Hassel :

... pour les personnes qui veulent démanteler la préparation ou la capacité de l'Occident à se défendre, qui veulent encourager le mouvement moderne d'anti-américanisme, qui pourraient être des adeptes d'idéologies orientales.

La droite unie de l'Europe, étrangement surtout de nombreux Allemands, se retrouve dans cet "Institute" cofondé par le représentant de la WACL Robert Close. En 1982, Franz Josef Strauß, le général (retraité) Rall, l'entrepreneur en armement Dr. Bölkow et Nicolas Estgen, vice-président du Parlement européen du Luxembourg, ont été parmi ceux qui ont demandé à faire partie du "Conseil d'administration" de l'Institut. Précédemment, le 3 mars 1982, ont été élus au conseil d'administration : Alfons Gop-pel (CSU), Dr. Aigner (CSU MEP), le général de brigade Karst ainsi que Gerhard Löwenthal. Tout aussi révélatrice est la liste des membres fondateurs, qui a été gardée secrète jusqu'à présent. Il y a l'ancien ministre-président du Bade-Wurtemberg, Hans Filbinger, le général à la retraite Kielmansegg et le général de division à la retraite Jochen Löser ; le général Pierre Cremer de Belgique ; Josef Goblirsch, un colonel à la retraite, et le lieutenant-colonel Gerhard Hubatscheck, ainsi que Gerhard Reddemann, CDU-MdB et membre du "Notparla-ment". A ne pas manquer, Otto von Habsburg.

Bien entendu, la WACL entretient également des relations qualifiées avec divers services de presse. Le magazine Asian Outlook écrivait en janvier 1979

La WACL peut mobiliser des agents de la CIA à tout moment et travaille en étroite collaboration avec les anciens agents de l'organisation Gehlen.

La Bavière semblait ou semble être un centre logistique pour cette mafia politique. Selon un rapport interne de la police italienne, une réunion de la WACL a eu lieu à Munich en 1974. Selon les informations des Italiens, plusieurs personnes appartenant à des organisations de droite et de droite radicale s'étaient rassemblées :

Stetzko, chef du Bloc Anti-Bolchevique, qui a été fondé dans les années 50. Ce groupe était financé par la CIA et le BND. Des représentants d'autres groupes européens d'extrême droite y ont également pris part. (Epoca, août 1974 ; Corriere della Sera, 21 août 1974)

Deux ans après ce congrès, un participant italien a révélé ce qui y avait été promis.

Officiellement, nous n'avons pas parlé d'activités terroristes lors de la conférence. Mais bien sûr, le soir dans les bars, les conversations portaient sur les relations opérationnelles entre les groupes et les possibilités d'action.

Car, bien sûr, les néofascistes italiens, avec leur propre expérience de la "politique de la tension", ne peuvent être absents de la WACL. En mai 1971, le leader du MSI, Almirante, et d'autres alliés secrets de droite venus d'Europe se sont rendus à l'Assemblée générale de la WACL à Washington. Avec les conseillers de la CIA, des stratégies communes sont élaborées sur la manière de contenir l'influence des communistes.

À partir de ces organisations, qui se caractérisent par des liens personnels, financiers et organisationnels, les connexions avec d'autres mouvements politiques de droite radicale et des organisations politiques mafieuses, notamment avec la loge maçonnique P2 et l'Opus Dei espagnol, se sont ouvertes plus tard. Une chose est sûre : il existe un réseau que presque personne ne connaît et dans lequel sont impliqués des politiciens dits démocratiques.


6.4 La WACL en hausse

Entre-temps, en 1987, les activités de la WACL ne se sont pas éteintes, bien que le public ne prête guère attention aux activités de ce groupe. Pourtant, cela vaudrait la peine d'être surveillé de près. Depuis que l'ex-général américain John K. Singlaub a pris la direction du département opérationnel de la WACL, les liens directs avec l'administration Reagan se sont multipliés. Par exemple, lorsque la Maison Blanche a eu du mal à convaincre le Congrès de fournir une aide financière aux Contras au Nicaragua, elle s'est tournée directement vers Singlaub et la WACL. En conséquence, la WACL a lancé une campagne de collecte de fonds pour les Contras par des canaux privés. Les connexions de l'époque étaient entre Singlaub et le lieutenant-colonel Oliver North, un membre du Conseil national de sécurité qui avait été exposé pour l'accord avec l'Iran.

Mais qui finance la WACL ? Il s'agit essentiellement du gouvernement de la Corée du Sud. Dans un rapport confidentiel de la WACL publié lors de la réunion de 1985 à Dallas, il est dit que le gouvernement de la Corée du Sud a pris plus de 85 % du budget total de la WACL. Dans le passé, la WACL avait reçu un soutien financier massif de Taiwan et d'Arabie Saoudite. En 1985, le budget total de la WACL était de 380.000 dollars.

Autrefois une organisation plutôt subversive, l'importance politique de ces criminels politiques ne cesse de croître depuis deux ans. Il est constitué comme un organe semi-officiel du conservatisme international, en particulier de l'administration américaine sous Reagan, ainsi que - tendanciellement - des démocrates chrétiens d'Europe occidentale. Et ce qui est beaucoup plus significatif : il fonctionne comme l'un des organes centraux de coordination des interventions terroristes de l'État en dessous du niveau officiel du gouvernement.

Deux personnes peuvent se présenter pour cela : L'un est l'ex-général américain Singlaub. Selon un rapport d'enquête du parlement américain en 1984, Singlaub est "à la tête de cinq des treize plus importantes associations collectant des fonds privés pour les Contras". En outre - et cela fait lien - il a d'excellents contacts avec le magazine américain de mercenaires Soldier of Fortune. Soldier of Fortune envoie des mercenaires au Salvador et au Nicaragua. Singlaub, quant à lui, est considéré comme le père spirituel de Soldier of Fortune, l'un des magazines de mercenaires les plus notoires.

https://www.rts.ch/archives/tv/information/temps-present/5687618-scenario-du-pire.html

25 janvier 1979

Temps présent

1979: après une période de détente, marquée notamment par la signature des accords d’Helsinki, les relations entre l’Est et l’Ouest se sont à nouveau dégradées. Suite à  leur débâcle au Vietnam, les USA sont en position de faiblesse. Profitant de ce déclin, l’URSS et ses alliés s’engagent davantage en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud, et augmentent considérablement leur arsenal militaire et nucléaire.

Ce nouvel expansionnisme soviétique amène les membres de l’Alliance atlantique à repenser les relations entre les deux blocs… et à  imaginer le pire.

Dans cet extrait de l’émission Temps présent du 25 janvier 1979, le général Robert Close, expert militaire, et le commandant en chef de l’OTAN Alexander Haig évoquent les différents scénarios d’une attaque soviétique sur le territoire européen.

Cette émission de Temps présent a été diffusée sous le titre original: Un bouclier fragile?

Journaliste Claude Smadja

https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article.php?carticle=13388

(...)

Le général Alexander Haig, commandant en chef des forces de l’Otan en Europe, lui apporte sa caution en réfutant la thèse du général Close, « une thèse universitaire vieille de six ans » fait-il observer. Il n’empêche que nous assistons à un renforcement des moyens classiques du pacte de Varsovie, de sorte que celui-ci pourrait déclencher une attaque surprise. Ce point de vue, de l’avis de certains, mérite cependant réflexion. Comment évaluer le potentiel militaire soviétique ?

(...)

Alexander Haig et Robert Close étaient présents à la réunion du Bilderberg de 1978

https://wikispooks.com/wiki/Bilderberg/1978

The 1978 Bilderberg Meeting was the 26th such meeting (...)

It was held at the Henry Chauncey Conference Center, Princeton, New Jersey, USA

https://wikispooks.com/wiki/File:Bilderberg-Conference-Report-1978.pdf

https://www.lalibre.be/debats/opinions/2001/07/17/le-general-robert-close-senateur-honoraire-XUDJC265IZGBRIMZUMITRX2PTI/

Le général Robert Close, sénateur honoraire:
«Le Roi dans son livre a parlé à son peuple. L'engouement qu'il suscite prouve qu'il a eu raison»

PAR PAUL VAUTE
Publié le 16-07-2001 à 00h00

Du général e.r. et sénateur honoraire PRL Robert Close, on connaissait la carrière militaire, puis politique, et quelques ouvrages qui firent date, tels «L'Europe sans défense?» (1977). Ces derniers temps, cet ancien résistant s'est plongé lui aussi dans les archives de Léopold III et est apparu dans maints débats publics suscités par le livre du Roi. Résolument engagé du côté des défenseurs, il prépare, sur l'action de notre quatrième Souverain, une étude qui paraîtra cet automne.

D'où vient votre passion pour cette cause?

J'ai rencontré le roi Léopold six semaines avant sa mort, à Argenteuil, et je suis sorti très impressionné de cet entretien. Longtemps après, la princesse Lilian m'a demandé de m'occuper de ses archives. Avant sa mort, le Roi lui avait conseillé de faire appel à moi comme personne de confiance.

Quand j'ai commencé ce travail, on m'a remis l'énorme brique du recueil de documents du secrétariat du Roi. Pour moi, cela a été une révélation et je me suis dit qu'il fallait que les jeunes générations puissent être mises au courant de tout cela. La princesse m'a notamment demandé de faire un livre qui complète le «Pour l'histoire», en traitant d'aspects que Léopold III n'a pas abordés par dignité royale. Les procès d'intention incroyables qui ont été faits heurtent mon sens de la justice. Je veux remettre sur son piédestal un Roi qu'on n'aurait jamais dû en descendre.

Quel bilan dressez-vous de l'accueil reçu par le livre du Roi ?

Je constate d'abord que la diffusion - on est aujourd'hui au-delà des 100 000 exemplaires - a dépassé absolument toutes les espérances pour un sujet purement historique. Du côté des spécialistes et des historiens plutôt neutres, l'avis le plus souvent entendu a été que le livre n'apportait rien de nouveau. C'est peut-être vrai pour les historiens, mais manifestement pas pour le grand public.

Il y a finalement eu peu de réactions d'une grande virulence, à l'exception de celle de M. Stengers dans votre journal. Quand je l'ai lue, j'ai eu un moment de surprise indignée. Il dit notamment que quand il a fait ses recherches sur mai 40, il n'a pas voulu rencontrer Léopold III parce qu'il est courtois et qu'il savait qu'il aurait dû démolir ce que le Roi lui aurait dit. Comment peut-on affirmer cela a priori?

A propos de la proposition par Van Acker et le prince Charles d'une somme d'argent pour que la princesse Lilian rentre avec Baudouin en Belgique, M. Stengers écrit: «Cela pue le ragot à plein nez». Outre que c'est inacceptable quant à la forme, je peux vous dire que les preuves irréfutables de ce qu'avance le Roi existent. La princesse Lilian détient l'enregistrement, à l'Auberge du Cheval blanc à Sankt-Wolfgang, des conversations des délégations belges, quand les ministres et le Régent allaient négocier avec Léopold III. Les Américains avaient placé des micros dans l'espoir de pouvoir repérer d'éventuelles résurgences des activités nazies. Accidentellement, ils ont ainsi recueilli les propos des Belges. Des propos très bas, où il est notamment question de la somme d'argent.

Pourquoi le contenu de ces enregistrements n'a-t-il jamais été rendu public ?

La princesse ne le souhaite pas parce que cela nuirait à l'image de la Belgique. Mais elle a prévenu André de Staercke (1) et tout récemment Mme Antoinette Spaak de l'existence de ces documents.

Les pourfendeurs de Léopold III visent aussi sa vision du régime politique belge. Certains l'ont mise en parallèle avec celle de Pétain.

Le Roi était un gardien fidèle de la Constitution pour laquelle ni les syndicats ni les partis n'existent. Il a déploré que le Parlement soit devenu l'instrument des partis et des groupes de pression. Mais vous trouverez extrêmement peu de témoignages qui tentent de le comparer avec Pétain. On s'est servi de l'entrevue avec Hitler à Berchtesgaden pour jeter l'anathème sur le Roi après coup, mais à l'époque, on lisait dans le «Daily Express» que Léopold III avait défié Hitler et n'avait pas voulu être une nazi puppet. Et Churchill lui écrivait pour lui exprimer son admiration parce qu'il avait décliné toute espèce de collaboration avec l'envahisseur.

En outre, quand M. Stengers tire à boulets rouges sur le Roi parce qu'il n'a pas rendu hommage aux Alliés et à la résistance dans son «Testament politique», il oublie que ce texte est daté de janvier 1944, avant le débarquement. Il était trop tôt pour remercier.

Les lecteurs critiques du livre du Roi relèvent qu'il ne parle pas des prisonniers de guerre.

Non, mais il est à l'origine de l'office mis en place pour aider les familles des prisonniers, un office qui a compté des dizaines de résistants en son sein. Il y a eu plus de six cents interventions de l'entourage royal en faveur de personnes arrêtées.

Un Roi qui polémique d'outre-tombe, n'est-ce pas délicat pour ses successeurs ?

Après un demi-siècle de silence, je crois qu'il avait le droit de répondre. Et l'engouement qu'il suscite prouve qu'il a eu raison. La monarchie n'est plus sur un nuage. Le Roi dans son livre a parlé à son peuple. Et chaque fois qu'il y a une communication directe entre Roi et peuple, cela marche très bien. Voyez quand Albert II a reconnu ses troubles conjugaux de naguère.


(1) Qui fut le secrétaire du prince Charles (NdlR).

Décès de Léopold III : 25 septembre 1983 (à 81 ans)

https://www.lalibre.be/belgique/2003/12/07/le-dernier-close-combat-7OQDWTBX2NHDXPOUZKE5AEODIA/

Le dernier Close-combat

Vaincu par la maladie, le général Robert Close -«Bob»- est décédé à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu jeudi en l'église St-Jacques-sur-Coudenberg, dernière étape d'un chemin que jalonnèrent de multiples combats. Un livre-choc l'avait rendu célèbre en 1976. Ancien sénateur, il prit aussi à coeur la cause de Léopold III.

PAUL VAUTE
Publié le 06-12-2003 à 00h00

En juillet 1996, dans sa retraite montagnarde de Bosco Chiesanuova, entouré des mélèzes, des cèdres et des sapins qu'il planta voici plus de quarante ans, le général Robert Close concluait ses mémoires (1) en notant qu'un jour prochain, ses amis pourraient dire, paraphrasant un mot célèbre: «Il n'est pas là où il repose, mais dans le livre qu'il m'a laissé» ... Ce jour est arrivé.

Vaincu par la maladie, «Bob» est décédé à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu jeudi en l'église St-Jacques-sur-Coudenberg, dernière étape d'un chemin que jalonnèrent de multiples combats. Car l'homme ne faisait pas partie du régiment des tièdes. «Aux grands prêtres du conformisme et de la modération , écrivait-il, j'ai une confession à faire: toute ma vie, j'ai été un intégriste de l'amitié, un fondamentaliste de la liberté et un toxicomane de la vérité!»

C'est une thèse-choc qui le fit connaître, en 1976, en Belgique et à l'étranger. Publiée sous le titre «L'Europe sans défense?», elle démontrait que l'infériorité occidentale dans le domaine des forces conventionnelles, alors que le nucléaire était neutralisé par la dissuasion mutuelle, créait une situation où les armées de l'URSS et de ses alliés pourraient arriver «sur le Rhin en quarante-huit heures». S'ensuivit un véritable tollé. Le ministre allemand Georg Leber exigea que l'auteur soit relevé de ses fonctions du Collège de Rome pour ne pas contaminer les officiers de la RFA avec ses «théories erronées» selon lesquelles «toute l'armée allemande ne servirait qu'à régler la circulation des troupes soviétiques»... Mais l'officier persista et signa.

Hanté par la guerre, Robert Close avait de quoi l'être. Né en 1922, il venait d'entrer à l'Ecole royale militaire quand le Reich déclencha son offensive foudroyante. Prenant part à la campagne de 1940, prisonnier de guerre jusqu'en décembre, il entra ensuite dans la résistance (réseau Luc-Marc) jusqu'à son arrestation par la Gestapo, qui lui fit connaître trois camps de concentration successifs de 1942 à 1945.

Un témoin à charge

Poursuivant sa carrière militaire après la Libération, il étudia les sciences économiques, puis politiques et diplomatiques à l'ULB, fut commandant adjoint de l'Ecole de guerre belge, maître de conférences à l'Université de Liège, commandant de la 16e Division blindée en Allemagne... Mais il dut quitter prématurément la carrière militaire après avoir égratigné Karel Van Miert, alors président du Parti socialiste flamand. A l'époque, Armand De Decker, aujourd'hui président du Sénat, dénonça «ce qui, à mes yeux, apparaissait comme l'exécution d'un témoin à charge, qui, en voulant mieux servir l'armée à laquelle il appartenait, avait le courage d'en dénoncer les faiblesses» .

Le Démosthène belge entra alors en politique et fut sénateur libéral de Bruxelles, de 1981 à 1987, mais ce nouveau «Close-combat» se termina également par une rupture, suivie d'un engagement au sein du mouvement unitariste Belgique-Europe-België, resté marginal.

Dans les dernières années de sa vie, il se consacra, toujours avec la même fougue, à la défense de la mémoire de Léopold III. Devenu un familier d'Argenteuil, il bénéficia d'un large accès aux archives du Roi et se fit son avocat dans un vibrant ouvrage publié en 2001 (2). Il nous confia récemment qu'il détenait des confidences enregistrées de la princesse Lilian, avec laquelle ses relations furent parfois orageuses.

«Ma vie , disait-il, me paraît bien remplie et plutôt fertile en rebondissements imprévus» . En effet...


(1) Publiés sous le titre «Gauche! Droite!» aux Editions Ligne Claire. (2) «Léopold III. Les non-dits», même éditeur.

Gauche ! Droite !
Robert Close

(page 373 et suivantes)

Robert Close et le "Cercle"

Gauche ! Droite !
Robert Close

Gauche ! Droite !
Robert Close

Gauche ! Droite !
Robert Close




Ottino Caracciolo Di Forino


https://ecommons.udayton.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=6785&context=news_rls

3-14-1973 NATO Panel Speaks at the University of Dayton




https://dks.library.kent.edu/?a=d&d=dks19840911-01.2.47&e=-------en-20--1--txt-txIN-------

Daily Kent Stater, Volume LIX, Number 9, 11 September 1984




https://dks.library.kent.edu/?a=d&d=dks19840914-01.2.4&e=-------en-20--1--txt-txIN-------

Daily Kent Stater, Volume LIX, Number 12, 14 September 1984




https://digitalcollections-baylor.quartexcollections.com/Documents/Detail/baylor-university-press-release-04211987/527860

Baylor University Press Release, 04/21/1987





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Ordre de Malte : comme William Casey, Alexander Haig, Joseph Luns et la plupart des familles régnantes d'Europe.

Restrictive Business Practices: Conference of Members and Staff ... with ...
United States. Congress. Senate. Committee on the Judiciary. Subcommittee on Antitrust and Monopoly

1958










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https://obtienearchivo.bcn.cl/obtieneimagen?id=documentos/10221.1/58653/2/211555.pdf

La CONFERENCIA DE BOSTON sobre DISTRIBUCION

https://www.worldcat.org/title/study-in-crisis-management/oclc/600996518/editions?referer=di&editionsView=true





https://www.worldcat.org/title/study-in-crisis-management/oclc/831847361?referer=di&ht=edition#details-allauthors





The threat posed by the Soviet Union and its Warsaw Pact has been in the past, and still is, perceived to stem from a direct strategy whereas today it may be argued that the Soviets, whilst still maintaining unimpaired unmistakably shifted their emphasis to an indirect strategy. Inded, over the past decade and a half, through the use of proxies and by methods unconventional warfare, they have gained important strategic positions throughout the world. Moreover, within this context, a new threat has been leveled against the West International Terrorism. As Ambassador de Rose has so aptly put it in his contribution A crisis is to an indirect strategy what a battle is to a direct strategy, and in order to gain a better insight into this complex problem, the European Institute for Peace and Security EIPS undertook a study in the field of Crisis Management, the proceedings of which are published in the following pages.


https://en.wikipedia.org/wiki/Ray_S._Cline

https://spartacus-educational.com/JFKclineR.htm

(il a travaillé en Chine avec John K. Singlaub et a contribué à la formation de la WACL)

Sur Ray S. Cline ...

Un article publié dans Télémoustique, le 23 avril 1992.

https://data.over-blog-kiwi.com/1/45/89/83/20150505/ob_122e4d_tm264230379-des-barbouzes-americains-e.pdf




(...)








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https://www.youtube.com/watch?v=yXavNe81XdQ&t=9s

https://data.over-blog-kiwi.com/1/45/89/83/20150505/ob_122e4d_tm264230379-des-barbouzes-americains-e.pdf





(voir la note 4 ci-dessous)


de Bonvoisin et Cie
Philippe Brewaeys, Jean-Frédérick Deliège
(1992)

Déclaration de Jean Bougerol :



Sur Arnaud de Borchgrave :

Défense nationale, Volume 38,Numéro 1
1982




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L'Europe en formation
Presses d'Europe
1983

La compétition Est - Ouest sur le plan stratégique
par le général Robert Close , Sénateur de Bruxelles , ancien président de la Commission des problèmes nationaux de défense ( Belgique )

Dans la liste des membres de l'IEPS :




"He was a leader of the Paneuropa (Kalergi) and president of the Cercle."

Ses archives sont à

https://archivesearch.lib.cam.ac.uk/repositories/9/resources/1400

Plusieurs boîtes de l'inventaire sont consacrées au "Cercle".

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Un parcours peu banal :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Julian_Amery

Lord Harold Julian Amery, baron Amery de Lustleigh, PC (27 mars 1919- 3 septembre 1996) fut conseiller privé du Royaume-Uni, capitaine honoraire de la British Army, officier du SOE, agent du MI6 et homme politique.

(...)

Son frère aîné John Amery (1912-1945), fasciste convaincu, tenta en avril 1943 de recruter des prisonniers de guerre britanniques dans les camps en Allemagne pour former la Légion de Saint-George, une unité destinée à combattre les Soviétiques sur le front de l’Est, à l’image de la Légion des volontaires français. Il fut pendu pour haute trahison le 19 décembre 1945.

(...)

_ _ _

Ses archives ont été consultées par les auteurs de

Transnational Anti-Communism and the Cold War: Agents, Activities, and Networks
Stéphanie Roulin, Giles Scott-Smith

Le général Robert Close avait (en tout cas vers la fin de sa vie) une résidence à Bosco Chiesanuova, près de Vérone.

Voici la fin de son autobiographie :





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https://www.lalibre.be/belgique/2003/12/09/le-dernier-close-combat-IFJ5WNINSJAWJF4TO7TPSCJAJ4/

Le dernier Close-combat

PAUL VAUTE
Publié le 08-12-2003 à 00h00

ÉVOCATION

En juillet 1996, dans sa retraite montagnarde de Bosco Chiesanuova, entouré des mélèzes, des cèdres et des sapins qu'il planta voici plus de quarante ans, le général Robert Close concluait ses mémoires (1) en notant qu'un jour prochain, ses amis pourraient dire, paraphrasant un mot célèbre: «Il n'est pas là où il repose, mais dans le livre qu'il m'a laissé»... Ce jour est arrivé.

Vaincu par la maladie, «Bob» est décédé à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu jeudi en l'église St-Jacques-sur-Coudenberg, dernière étape d'un chemin que jalonnèrent de multiples combats. Car l'homme ne faisait pas partie du régiment des tièdes. «Aux grands prêtres du conformisme et de la modération, écrivait-il, j'ai une confession à faire: toute ma vie, j'ai été un intégriste de l'amitié, un fondamentaliste de la liberté et un toxicomane de la vérité!»

C'est une thèse-choc qui le fit connaître, en 1976, en Belgique et à l'étranger. Publiée sous le titre «L'Europe sans défense?», elle démontrait que l'infériorité occidentale dans le domaine des forces conventionnelles, alors que le nucléaire était neutralisé par la dissuasion mutuelle, créait une situation où les armées de l'URSS et de ses alliés pourraient arriver «sur le Rhin en quarante-huit heures». S'ensuivit un véritable tollé. Le ministre allemand Georg Leber exigea que l'auteur soit relevé de ses fonctions du Collège de Rome pour ne pas contaminer les officiers de la RFA avec ses «théories erronées» selon lesquelles «toute l'armée allemande ne servirait qu'à régler la circulation des troupes soviétiques»... Mais l'officier persista et signa.

Hanté par la guerre, Robert Close avait de quoi l'être. Né en 1922, il venait d'entrer à l'Ecole royale militaire quand le Reich déclencha son offensive foudroyante. Prenant part à la campagne de 1940, prisonnier de guerre jusqu'en décembre, il entra ensuite dans la résistance (réseau Luc-Marc) jusqu'à son arrestation par la Gestapo, qui lui fit connaître trois camps de concentration successifs de 1942 à 1945.

Un témoin à charge

Poursuivant sa carrière militaire après la Libération, il étudia les sciences économiques, puis politiques et diplomatiques à l'ULB, fut commandant adjoint de l'Ecole de guerre belge, maître de conférences à l'Université de Liège, commandant de la 16e Division blindée en Allemagne... Mais il dut quitter prématurément la carrière militaire après avoir égratigné Karel Van Miert, alors président du Parti socialiste flamand. A l'époque, Armand De Decker, aujourd'hui président du Sénat, dénonça «ce qui, à mes yeux, apparaissait comme l'exécution d'un témoin à charge, qui, en voulant mieux servir l'armée à laquelle il appartenait, avait le courage d'en dénoncer les faiblesses».

Le Démosthène belge entra alors en politique et fut sénateur libéral de Bruxelles, de 1981 à 1987, mais ce nouveau «Close-combat» se termina également par une rupture, suivie d'un engagement au sein du mouvement unitariste Belgique-Europe-België, resté marginal.

Dans les dernières années de sa vie, il se consacra, toujours avec la même fougue, à la défense de la mémoire de Léopold III. Devenu un familier d'Argenteuil, il bénéficia d'un large accès aux archives du Roi et se fit son avocat dans un vibrant ouvrage publié en 2001 (2). Il nous confia récemment qu'il détenait des confidences enregistrées de la princesse Lilian, avec laquelle ses relations furent parfois orageuses.

«Ma vie, disait-il, me paraît bien remplie et plutôt fertile en rebondissements imprévus». En effet...

(1) Publiés sous le titre «Gauche! Droite!» aux Editions Ligne Claire.

(2) «Léopold III. Les non-dits», même éditeur.

Autre extrait de l'autobiographie de Robert Close :





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https://www.google.be/search?hl=fr&tbo=p&tbm=bks&q=inauthor:%22Clare+Boothe%22

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Clare Booth Luce et Robert Murphy en Italie :



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https://www.loc.gov/item/mm82030759/

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http://digitalcollections.library.cmu.edu/awweb/awarchive?type=file&item=399909













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https://www.dia.mil/About/History/Directors-of-DIA/LTG-Eugene-F-Tighe-Jr-USAF/

https://en.wikipedia.org/wiki/Eugene_F._Tighe