Robert Close

Une citation de John K. Singlaub, extraite de "Inside the League" (Anderson, 1986) :

Un article intéressant :

https://www.cia.gov/library/readingroom/document/cia-rdp90-00552r000606200007-2

https://www.cia.gov/library/readingroom/docs/CIA-RDP90-00806R000201180104-4.pdf

Il est question de Robert Close :





Au sujet de Calero :





_ _ _


Un autre passage intéressant du même article mentionnant l'Ordre de Malte :

https://www.cairn.info/revue-courrier-hebdomadaire-du-crisp-1997-22-page-1.htm

Courrier hebdomadaire du CRISP

1997/22 (n° 1567-1568)

La représentation électorale des partis d’extrême droite

(...)

Le FNB a été officiellement fondé, avec le parrainage de Jean-Marie Le Pen, en février 1996, par des dissidents du Front national menés par Marguerite Bastien. Cette dernière, gauchiste à l’ULB dans les années 1970, membre du PS ensuite et enfin du PRL, démissionna de son poste de magistrate en 1995 pour rejoindre les rangs de l’extrême droite. Elue députée fédérale en mai de cette même année sur la liste du FN déposée à Bruxelles, elle entra très vite en conflit ouvert avec Daniel Féret. En septembre, elle en fut exclue. Elle quitta le parti, suivie de près de la moitié des élus communaux.

De septembre 1995 à février 1996, ceux-ci jetèrent les bases d’un nouveau parti, qui prit dans un premier temps le nom de Front national de Belgique, dans un second temps, pour des raisons de protection légale du sigle, celui de Front nouveau de Belgique. L’initiative fut au début soutenue par plusieurs groupes de la droite radicale catholique belgicaine, tels que Belgique & Chrétienté, la Ligue chrétienne, mais aussi par des proches de la Milice de Jésus-Christ (un ordre néo-croisé reconnu par le Vatican et lié aux milieux militaristes occidentaux). Les "éminences grises" de la Nouvelle Droite étaient également parmi les premiers partisans de M. Bastien.

D’anciens parlementaires PRL (Roger Nols et le général honoraire Robert Close) et PSC (Daniel Noël de Burlin) apportèrent leur soutien à la nouvelle formation d’extrême droite. Elle se dota d’une direction se situant dans la mouvance nationale-catholique. Parmi ses dirigeants, tous ne provenaient pas de cette famille idéologique. Effectivement, parmi eux se trouvaient Hervé Van Laethem, le chef de L’Assaut, un groupe néo-nazi responsable de nombreuses actions violentes depuis 1988.

(...)

_ _ _

Il serait intéressant d'en savoir plus sur les relations entre Robert Close et Jean Bougerol ...

Robert Close était sans doute proche de la Milice de Jésus-Christ vu sa présence à la réunion de "Europa Christiana" en novembre 1981 à l'abbaye de Royaumont, à l'invitation de Carlo Pesenti... aux côtés de Jacques Jonet, Benoît de Bonvoisin, Jean Violet, Paul Vankerkhoven, Giulio Andreotti, le père Martin Lebec (de la Milice de Jésus-Christ), etc

(voir la page 4 de ce fil de discussion)

En outre, une conférence de Jean Bougerol (sur la "guerre psychologique") a été résumée dans la revue Damoclès (où il était souvent question de Robert Close)





(voir le fil de discussion sur Jean Bougerol)

Très certainement un proche de Robert Close (et de Yves du Monceau de Bergendal ... et très probablement de Armand De Decker)


Don Ottino Caracciolo di Forino

EIS, IEPS, Ordre de Malte, OTAN ...

Dans l'autobiographie de Robert Close, on apprend que lui et Jean Militis sont des amis.

Dans une interview accordée à Guy Bouten, Jean Militis parle de son ami André Moyen.

Aurait-on un "triangle" Jean Militis, Robert Close, André Moyen ?

Sur Henri Simonet, grand ami du général Robert Close :

Hij [VDB] leefde in een jachtig tempo, maar streefde altijd naar een evenwicht tussen lichaam en geest. Zo deed hij elke dag gymnastiek, vaak in het gezelschap van zijn vriend Henri Simonet, in een sportzaal op het Vossenplein in de Marollen of speelde hij tennis met Jules Everaert, een van zijn trouwe medewerkers, die militair bevelhebber werd van het Paleis der Natie.

HERVE a écrit:

Dans l'autobiographie de Robert Close, on apprend que lui et Jean Militis sont des amis.

Dans une interview accordée à Guy Bouten, Jean Militis parle de son ami André Moyen.

Aurait-on un "triangle" Jean Militis, Robert Close, André Moyen ?

Chez des lascars bénéficiant d'une telle réputation, difficile de croire que deux d'entre eux aient pu parler baroud ensemble sans évoquer le troisième... toute proportion gardée (quoi que) cette question équivaudrait à se demander si deux chefs de gouvernement européen connaissent celui d'un état voisin avec lequel ils partagent une frontière.

Un article intéressant où il est beaucoup question de John K. Singlaub ... mais aussi de Robert Close...

https://www.cia.gov/library/readingroom/docs/CIA-RDP90-00806R000201180104-4.pdf





Un autre extrait (USCWF est la branche américaine de la WACL) :





A noter : John Fischer de "American Security Council" ... une association qui doit retenir l'attention !

On retrouve aussi Robert Close dans un article repris dans :

https://www.cia.gov/library/readingroom/docs/CIA-RDP87M00539R002203530054-5.pdf




(...)

Dans une publication (à diffusion restreinte) de la CIA :

https://www.cia.gov/library/readingroom/docs/CIA-RDP80-00630A000100090001-0.pdf

http://educationforum.ipbhost.com/index.php?/topic/10692-lyman-lemnitzer/

(...)

On 13th March, 1962, General Lemnitzer presented Robert McNamara with a top-secret memo, urging President Kennedy to order a variety of shocking incidents to create a rationale for invading Cuba. Code named Operation Northwoods, the memo suggested that the administration should arrange a terror campaign in Miami and Washington that would create international revulsion against the government of Fidel Castro.

JFK summoned Lemnitzer to the Oval Office on 16th March, 1962, where they discussed Operation Northwoods. Kennedy rejected the idea and three months later he told Lemnitzer that he was being moved from the Pentagon to become Commander of U.S. Forces in Europe.

After retiring from the army he was a member of the American Security Council (ASC), the lobby for the military-industrial complex. The ASC was formed by Robert Wood and Robert R. McCormick in 1952. Other members of this organization included Douglas MacArthur, Sam Rayburn, Ray S. Cline, Thomas J. Dodd, W. Averell Harriman, Nelson A. Rockefeller, Eugene V. Rostow, John G. Tower and Patrick J. Frawley. I suspect that members of the ASC could have funded the assassination. If that was the case, Ray Cline might well have been the bagman.

(...)

_ _ _

Robert Close a connu Lyman Lemnitzer au SHAPE.

Il en va de même pour Guy Weber.

Lyman Lemnitzer était proche de Léopold III.

Robert Close et Guy Weber ont travaillé à Argenteuil.

Michel Libert nous apprend que Robert Close et Karel de Lombaerde se connaissaient.

Il dit aussi que le WNP a fait des missions pour la WACL (Singlaub, Close, etc);

Selon Michel Libert, Haemers et Latinus se connaissaient bien...

Avec Haemers, nous touchons à "l'organisation" dont le WNP était un segment.

Hypothèse : se peut-il que "l'organisation" soit une émanation du complexe militaro-industriel (voir American Security Council) ? C'est compatible avec le fait que Paul Latinus a été recruté par la DIA. C'est également compatible avec le fait que Michel Libert et son père ont travaillé pour le MAD (contre-espionnage militaire allemand, sous contrôle des USA), d'où venait la littérature qui a été à l'origine des manuels "PUMA" du WNP. C'est en outre compatible avec le fait que SECURITAS, fondé en Belgique par André Moyen (léopoldiste et anti-communiste convaincu), ait été ciblé par Patrick Haemers (bien connu de Paul Latinus) qui se sentait bien protégé par "l'organisation" ... et qui a enlevé Paul Vanden Boeynants avec l'assentiment de ce dernier. Paul Vanden Boeynants, outre ses liens avec de nombreux marchands d'armes, était proche de Douglas MacArthur II.

https://fr.scribd.com/document/350872588/OTAN-Kissinger-1979

L'intervention de Kissinger lors de la conférence de 1979, publié dans la revue "Politique étrangère" à la même époque, numérisée et accessible dans le portail universitaire français "Persée".

http://www.persee.fr/docAsPDF/polit_0032-342x_1979_num_44_2_5896.pdf

Les télégrammes américains déclassifiés dans la base de données "NARA AAD" vont désormais jusqu'en 1979 (initialement ils ne couvraient que la période 1973-1978).

Voici ce que donne l'année 1979 pour John K. Singlaub (très proche de Robert Close, etc) :

https://aad.archives.gov/aad/display-partial-records.jsp?f=5037&mtch=5&q=singlaub&cat=all&dt=2776&tf=X

Notamment :

https://aad.archives.gov/aad/createpdf?rid=66840&dt=2776&dl=2169

(...)

SUBJECT: US SECURITY COUNCIL VISIT

1. THE WEEK OF DECEMBER 9 SAW THE VISIT HERE OF THREE REPRE-
SENTATIVES OF UNITED STATES SECURITY COUNCIL, A PRIVATE US
ORGANIZATION ACTIVE IN FOREIGN POLICY LOBBYING ACTIVITIES:
RETIRED GENERALS JOHN K. SINGLAUB AND DANIEL O. GRAHAM AND
RETIRED COLONEL JAN MCKENEY (MCHENRY?) PURPOSE OF THE VISIT OSTEN-
SIBLY WAS TO GAIN FEEL FOR LOCAL SUBVERSIVE PROBLEM

(...)

_ _ _

Il est probable que le "United States Security Council" soit le "American Security Council" dans lequel on retrouve Lyman Lemnitzer.

http://spartacus-educational.com/JFKamericansc.htm

(...)

In 1978 the American Security Council organized the Coalition for Peace Through Strength (CPTS). According to one source "group members of the CPTS include conservative military organizations, right-wing organizations and a number of emigre groups with a history of association with the Nazis and current membership in the World Anti-Communist League."

General John K. Singlaub, a member of the ASC, joined forces with Ted Shackley, Ray S. Cline and Richard Helms to get Jimmy Carter removed from the White House. In December, 1979, Singlaub headed a delegation from the ASC on a trip to Guatemala. Singlaub pointed out that Ronald Reagan "recognizes that a good deal of dirty work has to be done" in order to destroy communism in Guatemala. Death squad activity in Guatemala increased dramatically following the trip." Upon his return to the United States Singlaub called for "sympathetic understanding of the death squads"

(...)

_ _ _

Quant à Robert Close :

https://aad.archives.gov/aad/display-partial-records.jsp?f=5037&mtch=2&q=%22robert+close%22&cat=all&dt=2776&tf=X

https://aad.archives.gov/aad/createpdf?rid=246174&dt=2776&dl=2169

LIBRE BELGIQUE (BRUSSELS - CONSERVATIVE) FRONT PAGES
AN INTERVIEW WITH GENERAL ROBERT CLOSE UNDER THE HEADING
"THE RED ARMY ON THE RHINE IN 24 HOURS?" WITH SUBHEAD:
"IN THE EVENT OF CRISIS THE U.S. READY TO DOUBLE ITS TROOP
STRENGTH IN EUROPE."  CLOSE, REPORTING IMPRESSIONS FROM
A RECENT U.S. TRIP, SAYS THAT (UNDER SECRETARY OF DEFENSE)
KOMER TOLD HIM THAT THE U.S. IS READY TO PROMPTLY DOUBLE
ITS TROOP LEVEL IN EUROPE IN CASE OF CRISIS AND TO TREBLE
ITS TACTICAL AIR FORCE.  "THE AMERICAN ADMINISTRATION THUS
INTENDS TO PARTICIPATE ACTIVELY IN THE DEFENSE OF THE OLD
CONTINENT."  HOWEVER, CLOSE SAYS THAT SOME U.S. MILITARY
ARE RETICENT, AND CITES GEN. MAXWELL TAYLOR AS EXPRESSING
CONCERN OVER WHAT THE U.S. "WOULD HAVE LEFT" WERE THE
FORCES IN EUROPE TO BE DEFEATED.  CLOSE ADVOCATES NEW
LEGISLATION IN BELGIUM TO REMOVE LEGAL OBSTACLES TO LOGIS-
TICAL SUPPORT FOR AMERICAN TRANSIT THROUGH BELGIUM BEFORE
DECLARATION OF WAR OR MOBILIZATION."AMERICANS MIGHT BE
TEMPTED TO RETURN TO ISOLATIONISM IF EUROPEANS DO NOT PRO-
VIDE THEM THE MEANS TO REINFORCE THEIR TROOPS IN TIMES OF
CRISIS." WITH RESPECT TO TNF, CLOSE QUOTES HARVARD PRO-
FESSOR PIPES AS SAYING THAT EUROPEAN REFUSAL TO MODERNIZE
TNF WOULD CLEAD SOME SEGMENTS OF THE U.S. PUBLIC TO BELIEVE
THAT EFFORTS TO HELP EUROPE ARE FUTILE. CLOSE ADDS THAT
HE RESPONDED TO THIS BY SAYING THAT WESTERN EUROPEAN
COUNTRIES ARE DEMOCRATIC STATES AND THAT THE INSTALLATION
OF LRTNF IS AN IMPORTANT DECISION. HE CONTINUES "CERTAINLY,
TO MAINTAIN DETERRENCE, IT IS IMPORTANT TO REESTABLISH THE
EQUILIBRUIUM WHICH HAS BEEN COMPROMISED BY THE APPEARANCE
OF SOVIET SS-20'S.  I WAS ABLE TO SAY TO THE AMERICANS
THAT EUROPE WOULD MORE EASILY ACCEPT PERSHING II AND CRUISE
MISSILES IF THE SALT II ACCORDS ARE RATIFIED BY THE SENATE,
SINCE PUBLIC OPINION ON THIS SIDE OF THE OCEAN BELIEVES
THAT SUCH RATIFICATION CONSTITUTES A STEP, BE IT A TIMID
ONE, TOWARDS A LIMITATION ON THE ARMS RACE."

Voir aussi :

https://aad.archives.gov/aad/createpdf?rid=274365&dt=2776&dl=2169

Un autre proche de Robert Close : Henry Simonet...

Deux documents (août-septembre 1979) :

https://aad.archives.gov/aad/createpdf?rid=36068&dt=2776&dl=2169

(...)

CONFERENCE ARRANGEMENTS AND PARTICIPATION ARE MATTERS TO
BE DEALT WITH BY GEORGETOWN CSIS AND THE CODEL; THE
EMBASSY IS NOT A PARTY THERETO.  WE UNDERSTAND VIA
TELCONS THAT, IN ANY CASE, THERE IS DEFINITE CODEL
INTEREST IN ATTENDING THE SATURDAY OPENING SESSION AT
WHICH FOREIGN MINISTER SIMONET, KISSINGER AND WILLIAM
HYLAND WILL LEAD OFF THE CONFERENCE.

(...)


https://aad.archives.gov/aad/createpdf?rid=321272&dt=2776&dl=2169

NATO SEMINAR

BRUSSELS -- THE UNITED STATES MUST CONTINUE TO GUARANTEE
THE DEFENSE OF EUROPE, BUT THE NATO  ALLIES ON BOTH SIDES
OF THE ATLANTIC HAVE A "JOINT INTEREST" IN DEVELOPING A
CREDIBLE FUTURE DEFENSE CAPABILITY, FORMER U.S. SECRETARY
OF STATE HENRY KISSINGER HAS TOLD A THREE-DAY NON-GOVERNMEN-
TAL CONFERENCE ON THE FUTURE OF THE ATLANTIC ALLIANCE.
BOTH EUROPE AND THE UNITED STATES MUST DEVELOP A DEFENSE
DOCTRINE "WHICH LEADERS CAN EXPLAIN TO THEIR PUBLICS..,
THAT CAN BE DEFENDED BEFORE OUR PUBLICS AND ONE WHICH OUR
OPPONENTS WILL BELIEVE," DR. KISSINGER TOLD REPORTERS HERE
SEPTEMBER 3 AT THE CLOSE OF THE CONFERENCE, ORGANIZED BY
THE GEORGETOWN UNIVERSITY CENTER FOR STRATEGIC AND INTERNAT-
IONAL STUDIES (CSIS).

ON THE STRATEGIC LEVEL, HE EXPLAINED TO DELEGATES, THE
UNITED STATES SHOULD "RESTORE RAPIDLY SOME COUNTERFORLM
CAPABILITY" TO MAINTAIN THE CREDIBILITY OF THE U.S.
DETERRENCE. THIS STRATEGY IS CURRENTLY BASED ON THE THEORY
OF "MUTUALLY ASSURED DESTRUCTION" INVOLVING STRIKING
PRINCIPALLY AT POPULATION CENTERS IN THE SOVIET UNION.
THE LIKELIHOOD OF A CRISIS ARISING IN THE WORLD "IS REDUCED"
IF THE U.S. HAS A "PLAUSIBLE WAR-FIGHTING CAPABILITY" AND
IS NOT FORCED TO PROTECT THE MILITARY CAPABILITIES OF ITS
EUROPEAN ALLIES BY THE "EXCLUSIVE THREAT" OF DEATH TO CIVIL-
IANS, DR. KISSINGER EXPLAINED.

AS FAR AS TACTICAL NUCLEAR FORCES ARE CONCERNED, HE WENT ON,
THE SOVIET UNION'S SUPERIORITY OF THREE-TO-ONE IN THIS
FIELD IN CENTRAL EUROPE WILL HAVE TO BE MET BY MODERNIZING
NATO'S TACTICAL NUCLEAR HARDWARE IN EUROPE AND DEFINING A
DOCTRINE TO EMPLOY IT.

THE SAME DAY, DR. JOSEPH LUNS, NATO SECRETARY GENERAL, IN A
SPEECH TO THE CONFERENCE CALLED ON THE EUROPEAN MEMBERS OF
THE ALLIANCE TO "MUSTER THE NECESSARY POLITICAL WILL" AND
NOT TO POSTPONE A DECISION TO MODERNIZE THESE FORCES.
FAILURE TO DO SO WOULD "GRAVELY AFFECT THE CREDIBILITY OF
THE ALLIANCE AND THEREBY JEOPARDIZE OUR SECURITY...(AND)
OPEN EUROPE TO SOVIET BLACKMAIL," HE SAID.

SPEAKING IN A PERSONAL CAPACITY, BELGIAN FOREIGN MINISTER
HENRI SIMONET -- WHO CO-CHAIRED THE CONFERENCE WITH DR.
KISSINGER -- SAID THAT "THE EUROPEAN COUNTRIES WILL NOT
HESITATE" IN THE MODERNIZATION OF THE TACTICAL NUCLEAR
WEAPONS IN EUROPE BECAUSE OF THE NEED TO REDRESS THE
BALANCE IN THIS AREA.

OVER THE PAST TEN YEARS, HE SAID, THE SOVIET UNION HAS
BECOME A SUPERPOWER "IN ITS OWN RIGHT." IT CAN EXERT
INFLUENCE ON EUROPEAN TERRITORY "BY THE MERE FACT OF ITS
PRESENCE, TO WHICH EUROPE HAS NO POSSIBLE ANSWER WITHOUT
HAVING RECOURSE TO THE U.S. (NUCLEAR) GUARANTEE."
DR. KISSINGER ALSO CALLED FOR "BIPARTISAN SUPPORT" IN THE
UNITED STATES FOR FOREIGN AND DEFENSE POLICIES. "WE NEED TO
BE ABLE TO SPEAK WITH A COMMON VOICE" TO ASSESS NOT ONLY
THE QUESTION OF MILITARY STRATEGY BUT ALSO HOW TO DEAL WITH
THE SOVIET UNION IN OTHER AREAS, HE SAID.

THE QUESTION OF INCREASING CONSULTATIONS WITHIN THE ALLIANCE
ALSO ON ISSUES AFFECTING ALL MEMBER COUNTRIES WAS A RECURR-
ING THEME THROUGHOUT THE CONFERENCE, AS WAS THE NEED FOR A
WIDER PUBLIC UNDERSTANDING OF THE PROBLEMS CONFRONTING NATO

(...)

Sans connaître son nom, il est question de Robert Close ("the authorship of the so-called NATO report") dans ce qui suit :

https://search.wikileaks.org/plusd/cables/1976LONDON04037_b.html

(...)



(...)



(...)

Une (autre) publication de l'IEPS :





Il en est question dans :




(...)



Deux autres extraits :



(...)



(...)

Cercle Pinay-Violet ("Pesenti group" selon David Rockefeller)

du 30 juin 1983 au 3 juillet 1983 à Bonn





Participants belges :





Parmi les autres participants (outre Brian Crozier) :





Ted Shackley et Donald Jameson méritent toute notre attention.





Ted Shackley a occupé un poste important à la CIA. Un bon résumé est sur

http://spartacus-educational.com/JFKshackley.htm

Ted Shackley a notamment travaillé avec John Singlaub (WACL, proche de Robert Close) et Edwin Wilson qui mérite aussi l'attention vu qu'il a été basé en Belgique, près d'Anvers :

http://spartacus-educational.com/JFKwilsonE2.htm

Quant à Donald Jameson, c'est aussi un ancien de la CIA :

https://wikispooks.com/wiki/Donald_Jameson

http://www.voltairenet.org/article167497.html

On retrouve Donald Jameson à la réunion du "Cercle" à CapeTown (Afrique du Sud) en 1984 :

Ainsi qu'à la réunion du "Cercle" à Washington en février 1985 :



(...)




... avec Charles Pasqua :

Monique Garnier-Lançon, grande amie de Robert Close, avait une correspondance avec Ted Shackley :






TGS International Limited in the Virginia suburbs of Washington. ... TGS International is owned by Ted Shackley, who was CIA Associate Deputy Director of Operations when Bush Sr. headed the Agency.

After leaving the CIA in September, 1979, Shackley formed his own company, Research Associates International, which specialized in providing intelligence to business.

https://fr.scribd.com/document/357532541/The-Secret-Team

Ted Shackley, Thomas G. Clines, Richard Secord, Ricardo Chavez, Rafael Quintero, Albert Hakim, Edwin Wilson and Richard L. Armitage set up several corporations and subsidiaries around the world through which to conceal the operations of the "Secret Team"

Il est beaucoup question de Edwin Wilson (et de Ted Shackley) dans le livre

Inside the Shadow Government (1988)

https://www.scribd.com/document/357592394/Edwin-Wilson-Christic-Institute

(j'ai surtout repris les extraits relatifs à Ed Wilson)





https://en.wikipedia.org/wiki/Christic_Institute

(...) In 1986, the Christic Institute filed a $24 million civil suit on behalf of journalists Tony Avirgan and Martha Honey stating that various individuals were part of a conspiracy responsible for the La Penca bombing that injured Avirgan.[2][3] The suit charged the defendants of illegally participating in assassinations, as well as arms and drug trafficking.[2] Among the 30 defendants named were Iran–Contra figures John K. Singlaub, Richard V. Secord, Albert Hakim, and Robert W. Owen; Central Intelligence Agency officials Thomas Clines and Theodore Shackley; Contra leader Adolfo Calero; Medellin cartel leaders Pablo Escobar Gaviria and Jorge Ochoa Vasquez; Costa Rican rancher John Hull; and former mercenary Sam N. Hall. (...)

Sur le même sujet, voir

http://www.romeroinstitute.org/docs/Christic%20scan%20archives%201/IranContraFullaff.pdf






Par exemple :





(...)

HERVE a écrit:

(...)   In 1986, the Christic Institute filed a $24 million civil suit on behalf of journalists Tony Avirgan and Martha Honey stating that various individuals were part of a conspiracy responsible for the La Penca bombing that injured Avirgan.[2][3] The suit charged the defendants of illegally participating in assassinations, as well as arms and drug trafficking.[2] Among the 30 defendants named were Iran–Contra figures John K. Singlaub, Richard V. Secord, Albert Hakim, and Robert W. Owen; Central Intelligence Agency officials Thomas Clines and Theodore Shackley; Contra leader Adolfo Calero; Medellin cartel leaders Pablo Escobar Gaviria and Jorge Ochoa Vasquez; Costa Rican rancher John Hull; and former mercenary Sam N. Hall.  (...)

Tony Avirgan était un des cinq 'Felix Watchers' (avec Walter De Bock) qui échangeaient entre eux des infos sur F Przedborski.
Martha Honey est l'auteur du livre 'Hostile Acts' dans lequel il s'agit entre autres du 'projet' à Santa Elena (voir Rapport Atlas) au Costa Rica,
dans lequel Felix (et Deferm, et d'autres...) avait investi. Martha se souvient du nom Przedborski, mais elle a 'oublié' tout le reste...

https://www.amazon.com/Hostile-Acts-Policy-Costa-1980s/dp/0813012503/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1504091032&sr=1-1&refinements=p_27%3AMartha+Honey

C'est très intéressant car cela montre que le "Secret team" n'hésitait pas à avoir recours à la violence.

Ted Shackley servant aussi de charnière avec le "Safari club", on peut penser que les décisions étaient prises et éventuellement financées par le "club" (notamment par l'Arabie Saoudite).

Cela peut expliquer le rôle de Faez al-Ajjaz comme financier du WNP.

Cela peut aussi expliquer l'intervention de Robert K. Gray (proche de Edwin Wilson) à l'armurerie Dekaise.

Il serait très intéressant de savoir quel était le rôle de Alexandre de Marenches... (et de clarifier celui de Félix Przedborski).

Quant à Robert Close, nous savons qu'il était avec Ted Shackley à Bonn à la mi-1983 (réunion du "Cercle") et qu'il était très proche de John K. Singlaub, un ami de Ted Shackley.

John K. Singlaub est aussi un ami de Robert K. Brown. Voici ce qu'il en dit :





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