| | un bout de enquete | |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 13:03 | |
| - Citation :
- LE REGARD DE DEUX ENQUETEURS DE LA PREMIERE HEURE SUR L'ENORME DOSSIER DE JUMET TUERIES DU BRABANT:DES PISTES MAIS PAS UN...
HAQUIN,RENE; THIENPONT,PIERRE-YVES
Page 35 Le Soir Samedi 7 juin 1997
Le regard de deux enquêteurs de la première heure sur l'énorme dossier de Jumet Tueries du Brabant : des pistes mais pas un indice La commission «bis» sur les tueries a entendu hier deux «vieux» engagés dans l'enquête depuis 1985, restés jusqu'ici dans l'anonymat et qui, sur les multiples pistes suivies, ont remis les pendules à l'heure, dans la simplicité, la transparence et la rigueur. Ce sont les sous-officiers de gendarmerie Lionel Ruth et Alain Lachlan. Ruth dit que l'enquête sur les tueries est différente de toute autre. Ici nous n'avons rien, ni éléments matériels, ni identification. Il est partisan des cellules mixtes, à condition de faire travailler les gens ensemble. Originaire de province, il déplore le complexe de supériorité des bruxellois de la PJ et de la BSR.
Où mena la piste des gendarmes ou des militaires ? Nulle part, mais des noms pleuvent : Beijer, Bouhouche, Lekeu, Marbaix, Lhost, Majerus, Beaurir, Bougerol, l'expert en balistique Dery.
Un bout d'enquête sur René Majerus, colonel de gendarmerie décédé en 1985, révèle par exemple qu'à la demande d'un colonel aviateur qui ne savait que dire à son filleul incité par Latinus à entrer au WNP, Majerus avait répondu que le WNP travaillait avec la Sûreté et était sérieux et propre. Pensionné, recyclé chez EIM, une société américaine de renseignement, Majerus revenait aussi voir des fiches à la gendarmerie et dut être interdit de quartier. Un ex-gendarme de l'antiterrorisme dit aussi que Majerus avait, dans les années 70, tenté d'introduire Calmette (acolyte de Latinus) comme instructeur d'arts martiaux. Calmette qu'on retrouvait aussi avec Barbier, dans les violences racistes imputées à la société (américaine) Wackenhut qui gardiennait City 2 dans les années 79-81.
L'extrême droite dans les tueries ? Deux lieux de regroupements intriguent : le bois d'Hourpes où se retrouvaient Latinus, Barbier, Libert et d'autres du WNP (et où furent abandonnées deux Golf volées et utilisées par les tueurs) et le bois de La Houssière où Nemery, Lammers, Bultot et d'autres du WNP allaient tirer (et où furent trouvés des indices calcinés des tueries de 1985 à Braine, Overijse et Alost). - On a toujours voulu rester terre à terre, dit Lionel Ruth. Au bois d'Hourpes, le lieu de rencontre des gens du WNP était bien le lieu où on a retrouvé les Golf des tueurs. Au bois de La Houssière, le lieu des tirs des gens du WNP en 1981 ne correspondait pas aux endroits où on a retrouvé les indices liés aux tueries des Delhaize en 1985.
Ruth et Lachlan disent n'avoir pas été empêchés d'enquêter sur ces pistes, ni par le parquet de Nivelles, ni par celui de Charleroi. Pour eux, la réduction des effectifs de la cellule de Jumet en 1994 ou le dessaisissement de Termonde en 1990 ne révèle pas une volonté de bloquer ces enquêtes qui toutes restent ouvertes. Mais ces décisions doivent être réexaminées dans le contexte d'époque. un petit bout enquete ou ils sont con , ou ils mentent, ou ils sont pas con et ils ne veulent pas finir comme les gendarmes de Wavre c.a.d. dans la rue en train de règler les voitures en mauvaise stationnement ou ils ont été ménacés des pires des choses , ou ils ont compris pourqoui Schlicker est tombé malade après la réprise des interrogations de février 1988 oui , ces interrogations de la CBW en fevrier 1988 ,où X , informateur anonyme ,précise qu'il a denoncé au J.I Schl. l'eventuelle implication du groupe C. Mais la lecture du dossier (dixit Masset page 25) fait aussi EGALEMENT APPARAITRE que X
ici entendu par la CBW le 23.02.1988 avait aussi DEJA été entendu par le juge d'instruction Schlicker dans le cadre de l'affaire Latinus le 31.10.1985 (ch.F26,CA68.FA2,piece65), ...ETCdes pures conneries car le JI était chargé de deux affaires et il devait donc aussi avoir l'oreille pour l'affaire du TBW comme pour l'affaire Latinus mais là il n'a rien entendu , rien demandé peut -être ? et donc il a donc raté la coche complètement car s'il avait réagit il aura pu arreter et éviter les massacres de Alost. si c'est connecté aux TBW. ou les premiere interrogations du 30 oktobre 1985 ne sont jamais sorti du coffre fort de J.I. car Ruth et lachlan disent d'avoir ren trouvé c'est vrai que les 3 dossiers de 3 gendarmes de wavre n'ont été donné que deux ans après au juges Hennuy qui a eu besoin de lire trois ans ces immenses dossiers il dit lui même d'avoir été obligé de suivre les demandes des enqueteurs eux même car il n'en comprenait rien au début; donc recapitulons: il a denonciation en oktobre 1985 sur l'affaire latinus rien se passe (tiens et les apostilles non executées alors ? puis alost mendez reprise des interogations en fevrier 1988 puis deuxieme comm en 1997 puis Masset et les annees de plomb mais là ont trouve les pv de 1985 et on sait que en oktobre 1985 c'était déjà que c'est la deuxieme fois que le temoin avait d'alerté son intermediaire , l'officier L. de la gendarmerie à la retraite la première fois c'est une année plus tôt après le meurtre de Latinus la deuxième fois c'est après Overijse ou il n'AVAIT PAS ACCEPTER le massacre du jeune garçon. Donc Schlicker ne ment pas mais il oublie la deuxième partie des déclarations que ce temoin anonyme lui a pu déclarer le 30 octobre 1985 après du J.I. quand il raconte cela devant la commII mais naturellement il ne portait pas ces deux casquettes des deux affaires en plein recherche sur les affaires de Overijse et de Braine (il était déjà saisi ou dessaissi?) il ne s'interesse qu'à Latinus?. et puis question apostilles il faut aussi lire sur cet histoire devant la comm 2 (voir MASSET pag 138 ) et maintenant le petit bout enquete peut commencer. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 16:58 | |
| Qui est X ?
c'est pas Xantippe ni XANDRON
la salle d'attente de Schlicker n'est pas la salle d'un medecin, ni dentiste
mais on y vient aussi sur rendez-vous
donc ces belles journées de merde où les tueries recommencent avec une force redoublée
Schlicker reçoit des gens et un témoin anonyme: bien protégé donc ,il n'y pas plus que 5 PV je pense pe même qu' un le matin , puis Sieste et un l'après -midi car comme pour les apostilles ,Schlicker ne tient pas d'agenda donc plus tard ,circuler , rien à déclarer.
donc X n'est pas X..... mais un de centaines d'inconnu qu'on trouve ds tout les dossiers , jusqu'a ce que on tombe sur les PV de notre cher Swan ,membre éminent qui a enmené plein de doc sur les années de plomb.
excellent grignoteur d'info nous a enmener les pv par un vent favorable et là dedans on trouve un P.V. du même jour
c'est très enmerdant mais on l'a exclu ici.
Dernière édition par K le Lun 17 Oct 2011 - 20:09, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 17:39 | |
| oui un PV numero......datant de 31 octobre 1985 16h40 ds la greffe du tribunal de 1 instance à Nivelles mais pour arriver à cet PV il faut d'abord lire les déclaration du Gendarme officier a la retraite L. qui se presente spontanément chez Schlicker au même endroit le 9 october 1985 donc pv n° ....... en tout cas Depretre est ds le couloir et presse le citron Schlicker qui lui vend la mêche: c'est important:Depretre pas con avec un vive esprit ,presse Schlicker car il a perdu un membre de la famille à Overijse: mais ce type là , de description , cela me rappelle de cet affaire du peugot ! ribedebi : faites mois une apostille pour Dussart: - Citation :
- Dans le cadre de notre premier rapport d'expertise, nous avions relevé, dans l'examen
de l'axe de recherche Latinus, cette non-exécution d'apostilles par le gendarme Dussart, certaines de ces apostilles concernant des liens possibles avec les tueries du Brabant, notamment une concernant un certain X. (voir notre premier rapport d'expertise du 16 janvier 1997, pp. 25 et 44; adde audition de M. Deprêtre, 5 février 1997, 2ème partie, pp. 1 et 2: une des apostilles, celle du 18 octobre 1985, de M. Schlicker, indiquait qu'une personne suspecte semblait correspondre aux descriptions faites de certains auteurs du vol avec violence de la Peugeot 504 et des faits du Delhaize du Genval, M. Deprêtre s'interrogeant sur la personne de ce X.). puis avant l'execution Schlicker avec probalement Depretre derrière la porte entend le temoin clé , suspecté par depretre de ne pas etre seulement temoin mais etre meme un temoin acteur des affaires du vol de rue de Bernaerd et de l'attaque de Genval 31 octobre 198558 X vers 16h40 trib prem inst Nivelles et puis X arrive et déclare des differentes chose puis on fait un PV bidon sur laquel Schlicker disait que c'est sur la piste latinus tandis que l'entremetteur ,officier de la gendarmerie a la retraite, avait clairement dit que ce témoin avait été horrifié par le meurtre du garcon à Overijse et on n'en trouve nul trace ds ce PV sur des declarations sur Overijse qui doivent interesser Depretre quand même. 31 octobre 1958 X 16h40 trib prem. inst. Nivelles tout laisse à se grater ds les cheveux. comme c'est écrit ds les déclarations c'est comme si Dussart n'a pas voulu les executer mais est -ce vrai ou c'est l'inverse ?
Dernière édition par K le Mar 18 Oct 2011 - 17:36, édité 2 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 18:30 | |
| et puis cette phrase extraordinaire ou il ne sait plus ......puis ala fin - Citation :
- Répondant à une question du président de savoir pour quelle raison M. Dussart n'a
pas exécuté ces apostilles, le procureur du Roi Deprêtre répond : "je ne me souviens plus de la raison précise. M. Dussart trouvait qu'il fallait aller dans telle direction. Comme on n'allait pas dans celle qu'il avait préconisée, il a réagi en disant: "puisque c'est ainsi, on n'ira pas non plus dans les au tres directions. Je refuse d'exécuter les apostilles de monsieur le juge d'instruction. Je me souviens très bien de cet incident."
(Audition du 5 février 1997, p. 27).
c'est pas Alzheimer précoce mais alzheimer sélective une version de cette maladie qui semble frequente des les milieux judicaires mais pas dans le milieux des gendarmes de Wavre |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 19:16 | |
| - Citation :
- Chapitre V
- Non-exécution d'apostilles par l'adjudant-chef Dussart
Section A. Contexte des faits reprochés
Les gendarmes Bihay et Balfroid s'expliquent sur le contexte de cette affaire: "C' est M. Dussart. le chef de la BSR, qui reçoit les 22 apostilles et les distribue. A un moment donné, il y a une opposition de M. le procureur du Roi de continuer lafilière d'extrême- droite. M. Dussart ayant ses apostilles, il reçoit presque immédiatement une apostille de M. Schlicker lui disant qu' il doit les renvoyer d' office. Que fait M. Dussart ? Jl répond qu'il ne sait pas oi: il les a mises. Il fait semblant qu'il les a perdues et il renvoie une photocopie.
Il se rend compte qu'il s'agit d'une manoeuvre. Si on donne les pièces originales, elles vont disparaître, on dira que les enquêteurs ont agi d'initiative, donc on va les liquider.
M. Dussart décide de garder les preuves officielies. Il veut bien les remettre officiellement mais pas ainsi. Alors qu' a-t-il fait? Il les a gardées - on ne pouvait plus les exécuter - pour prouver qu'on travaillait bien sur l'extrême-droite et avec l'accord du magistrat.
Il les a remises à M. Dorpe par la suite. Je vous signale qu'ils ont essayé de les avoir officieusement. Il y avait donc intérêt à ce qu' on récupère tous les devoirs qui nous avaient été confiés par le juge d'instruction.
Pourquoi M.Schlicker demande-t-il de les récupérer ? Il faut le lui demander. A un moment donné, il nous a fait toute une série d' apostilles pour pouvoir travailler dans le WNP et puis, tout de suite après, il nous demande de ne pas les exécuter et de les renvoyer.
Il y a là quelque chose d' anormal. C' est ce qu' avait ressenti l' adjudant Dussart et c' est la raison pour laquelle il a gardé les originaux et qu'il a donné les copies. (dans le cadre du dossier Latinus] (Auditions du 21 février 1997, p.37). Si on regarde les dates Schlicker lance des apostilles (sur x entre autre) probablement le 18 octobre 1958 ,puis peu après il veut les recuperer "ce peu après" va être probablement après le pv du 30 octobre car X a probalement fait des déclarations importantes et devenait plus que témoin mais témoin ,un peu protegé, car il en savait beaucoup trop; Je me demande quand ce PV a été ajouté au dossier. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Lun 17 Oct 2011 - 20:07 | |
| pas de commentaires pas grave
j'ai fait un erreur
depretre n'était pas derrière la porte
le 18 octobre 1985 ils ont encore entendu un autre element ds l'affaire un certain D...
et c'est probalement ce D..... qui a laissé apparaitre un element qui ne parait pas avoir attiré l'attention de la CBW
vu les dates c'est bien possible que D et pas L ,qui est à l'origine de l'apostille sur X,
puis , pas executée par après par les gendarmes de Wavre |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Mar 18 Oct 2011 - 17:09 | |
| donc qui est ce D....;. Masset re-utilise les intiniaux ds les differents chapitre et il faut faire gaffe page 25 -audition de D[????] Ch, F17, CA54, FA V, CBW • 24.02.1988 - PV 21482/88 - Citation :
- D[??????], colonel en retraite, précise que X[?????] a été recruté par Latinus pour des "opérations de surveillance";
et précise que c'est le colonel en retraite de gendarmerie Mayerus qui lui avait recommandé X[????];
D[??????] aurait dû intervenir pour recevoir du courrier de X[??????] mais n'a jamais rien reçu. ici en a en direct en relation avec ce X pas un mais deux colonels un full BAM de la gendarmerie et un moitié qui bas de l'aile et qui est pe de l'armee de l'air et a la retraite si on croit l'article de presse de Haquin on voit aussi que D est en train de tourner en rond devant son bocal de poisons rouge et il veut se faire utile; il est intermediaire ou FACTEUR dans ce jeu entre X et quelqu'un Mayerus ou autres , probablement donc ce WNP n'oubliez pas ce que disaient certaines membres WNP : qu'ils devaient attendre sur des perrons ds des gares pour transmettre du courier. c'est grave docteur! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Mar 18 Oct 2011 - 17:13 | |
| mais parbleu qqs jours apres le même D....... ou un autre D est de nouveau interrogé
[quote]-audition de D[..................]
Ch, F17, CA54, FA V, CBW - 29.02.1988 - PV 21483/88 D[????] précise avoir mis X[????] en contact avec Latinus.[/quote]
Est ce le même? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: un bout de enquete Mar 18 Oct 2011 - 17:34 | |
| et puis page 43 encore un D referant a - Citation :
l'audition de D
L'audition de D par le juge d'instruction Schlicker , le 18.10.1985 dans le cadre du décès de Paul Latinus laisse apparaitre un élément qui ne parait pas avoir attiré l'attention de la CBW donc ce D c'est le même colonel de l'air dont parle haquin qui est le filleuil de X mais c'est ds la vie catho je pense et pas filleuil ds WNP . |
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