LUCIEN MARBAIX

Selon un lecteur attentif, Lucien Marbaix était en contact avec Claude Meesen.

Il lui fournissait des renseignements pour son agence de détectives BIPS. Il avait un total accès aux casiers judiciaires.

(WDB)

Wachtmeester Marbaix maakt deel uit van het logistiek eskadron van het Mobiel Legioen. In zijn dossier zit niets over zijn deelname aan de begrafenis van Latinus maar wel een vermaning aan Marbaix van kolonel Lhost uit het najaar '83 omdat hij zijn kinderen naar de scoutsgroep Phoenix van Libert in Quenast stuurde, een verhoor van Marbaix door de BOB ivm. het merken van kogels voor WNP-terreur en een lijst met in zijn huis in beslaggenomen voorwerpen (kollektie Alarm, Tingvelier, Althing, een stenciel van 'Ordre Souverain de l'Aigle et du Lys' en vertrouwelijke interne RW-dokumenten van nivo officieren). Vermoedelijk is Marbaix ook lid van de VMO. Hij draagt een Odalrune op de rechteronderarm en is sinds zijn 20 jaar bij de RW.

Marbaix merkte destijds de kogels in opdracht van Latinus om er het gebruik van na te gaan. Latinus beweerde dat dit in opdracht van Smets is gebeurd.

Na zijn verwijdering uit het RW-korps wordt Marbaix aangeworven door de privébewakingsfirma BDRI voor wie hij een tijdlang bewakingsopdrachten uitvoert in het Noordstation.

https://www.facebook.com/lucien.marbaix.5?fref=ufi





Note : dans ses commentaires, Lucien Marbaix ne cache pas sa violence.


Quant à Hervé Van Laethem :

https://www.facebook.com/herve.vanlaethem?hc_

http://www.lesoir.be/archive/recup/un-ex-gendarme-du-westland-new-post-arrete-a-uccle-apre_t-19941108-Z08QN1.html

Mis en ligne le 8/11/1994 à 00:00

Un ex-gendarme du Westland New Post arrêté à Uccle après une saisie impressionnante d'armes en tous genres à Ixelles

Emblèmes nazis, canons sciés, balles explosives, etc.

En 1981, Marbaix «signait» déjà au poinçon les balles du WNP. Après le «groupe G», il dit être aujourd'hui du Vlaams Blok.

Samedi à l'aube, la PJ a déclenché des perquisitions en série. À trois endroits, elles ont permis la saisie d'une quantité impressionnante d'armes blanches et à feu (dont bon nombre avec silencieux), de caisses de munitions, mais aussi de fichiers détaillés sur des hommes politiques et du monde des affaires, des policiers et gendarmes proches de l'extrême droite ou ayant enquêté sur elle, ainsi que des journalistes. Avec, pour certains, des plans de repérage des lieux de résidence. Avec aussi une abondante littérature extrémiste et nazie, des revues révisionnistes, des emblèmes, des portraits et un In Memoriam de Hitler. Avec dédicaces personnelles, des portraits d'Erickson, le dernier leader de l'ex-VMO et de Degrelle (A mon ami Lucien Marbaix, 21.1.91). Des documents et des notes sur les tueries du Brabant, le WNP, Gladio (du nom italien des stay behinds, les réseaux dormants)...

Une copie conforme des panoplies saisies au cours de l'été 1983, lors de la découverte de l'existence du groupe néo-nazi Westland New Post.

Depuis plusieurs semaines, sur base d'un «tuyau» du commissaire Marnette, la PJ suivait les allées et venues d'un ancien gendarme bien connu dans les milieux durs de l'extrême droite: l'ex-maréchal des logis Lucien Marbaix, 45 ans, proche du «groupe G» (les gendarmes d'extrême droite), impliqué dans l'affaire du WNP au début des années 80 et finalement exclu du corps en 1986. C'est lui qui avait démonté puis remonté des munitions dont il avait marqué les balles au poinçon: selon certains au WNP, ces balles, emportant cette signature, devaient servir à des attentats racistes. Après la dislocation du WNP en 1983, Marbaix suivit un de ses leaders, Michel Libert, dans un autre groupement d'extrême droite, Les compagnons du Christ Graal.

Les services spécialisés de la PJ, tels que le groupe Rotor, le GSO ou la BNB, ont réussi à déterminer que Lucien Marbaix, domicilié rue Vanderkindere à Uccle, et dont l'ex-épouse vit toujours au boulevard Général Jacques à Ixelles, utilisait un grand nombre d'armes différentes, notamment lorsqu'il s'exerçait au tir dans un club d'Anderlecht.

Dans la cave louée avec l'appartement du boulevard Général Jacques, les enquêteurs ont découvert, derrière une cloison montée contre un mur, la plupart des armes: de guerre, de poing (de calibres 7,65 et 9 mm), d'épaule (dont deux fusils à répétition Pietta à crosses et canon soigneusement sciés et munis de silencieux fabriqués par Marbaix, un étonnant pistolet-carabine 22 avec silencieux, et deux copies en cal. 22 du pistolet mitrailleur russe Tokarev avec silencieux), ainsi que des canons, des percuteurs et du mercure, utilisé pour rendre les munitions plus dangereuses.

Lucien Marbaix a été tiré du lit chez son amie, au 395 rue Vanderkindere à Uccle. Il était en possession de la seule arme de poing pour laquelle il avait une autorisation, et qu'il porte sur lui en permanence, parce qu'il se sent menacé, a-t-il indiqué.

Il a suivi les policiers sans difficulté jusqu'à l'appartement qu'il louait à son nom, deux maisons plus loin, au 387. Là, on a saisi, outre la documentation de Marbaix, de nombreuses caisses de munitions: environ 5.000 cartouches de tous calibres. Dans le lot, des munitions explosives, des balles à têtes creuses. Et des armes blanches: nunchaku, poings américains, matraques, crans d'arrêt et le redoutable assommoir à poinçon recourbé figurant sur notre photo. Des croix gammées, celtiques, des emblèmes de la SS...

Le juge Vandermeersche a inculpé Marbaix, qui reconnait la propriété de toute la panoplie en se disant «collectionneur», d'infractions à la législation sur les armes et l'a arrêté. Le matériel saisi est à l'expertise. L'ex-épouse de Marbaix, Anne, et son amie Françoise sont inculpées mais restent libres.

Marbaix aurait aussi déclaré être obligé, par ma philosophie et mes idées politiques, de préparer des actions en cas de bouleversement politique. Le leitmotiv d'un ami de Marbaix, l'autre ex-gendarme du «groupe G», Martial Lekeu, actuellement en Floride. Marbaix, occupé comme surveillant dans des grandes surfaces, se revendique d'une extrême droite dure et affirme appartenir aujourd'hui au Vlaams Blok.

Les armes et emblèmes saisis rappellent aussi les panoplies découvertes en 1989 dans un stand de tir sous la maison d'un autre ex-gendarme d'Oupeye, Hubert Defourny, le leader du groupe «Agir», et en 1990 à Herstal, chez Henri Frère, un militant du «Dare», autre groupe dur d'extrême-droite.

RENÉ HAQUIN et

OLIVIER VAN VAERENBERGH

L'enquête criminelle sur les "tueurs du Brabant": enquête parlementaire sur ...
De Adrien Masset

Quand Bozidar Djurovski Jr. parlait d'un regard profond et froid; cette photo glace le sang.

Lucien Marbaix connaissait bien Claude Meesen. selon un témoin, Lucien Marbaix fournissait à Claude Meesen des renseignements pour son agence de détectives BIPS. Il avait un total accès aux casiers judiciaires.

Un mois après son départ de la gendarmerie, Lucien Marbaix fut engagé par Bob Louvigny comme gardien privé du BDRI.

Tant Lucien Marbaix que Claude Meesen ont été en contact avec Léon Degrelle.

Lucien Marbaix connaissait Christian Elnikoff qui a travaillé avec Jacques Borsu, mercenaire sous Bob Denard.

Lucien Marbaix dit appartenir au Vlaams Blok.

Cela fait penser à Johan Demol

https://fr.wikipedia.org/wiki/Johan_Demol

http://www.oocities.org/vlaamsbedrog/wiw/wiw_johdem.html

"Wie is Johan Demol? Waarom werd deze ex-hoofdcommissaris van Schaarbeek uit zijn functie ontslagen? Hoe kwam hij bij het Vlaams Blok terecht?"

(...)

Demol was toen lid van de Diane-brigade en zonder twijfel ook van de Groep G, een fascistische cel binnen de rijkswacht ten tijde van de Bende van Nijvel waarvan Madani Bouhouche, Lucien Marbaix, Francis Pattyn en Martial Lekeu ook lid waren. Binnen deze eenheid was Johan Demol verantwoordelijk voor het gebied waarin het hoofdkantoor van het Front de la Jeunesse lag.

(...)

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Michel Libert sur "Les Compagnons du Christ-Graal" avec Lucien Marbaix

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Je crois que vous avez créé "Les Compagnons du Christ-Graal" avec Lucien Marbaix. 

>>> Oui, et d'autres personnes n'ayant rien à voir avec le WNP ou une quelconque mouvance ou cellule parente. Ce que j'ai lu dans différentes colonnes au sujet de l'asbl "Les Compagnons du Christ-Graal" me sidère. L'asbl était apolitique, non dogmatique et non subsidiée. 

Quels étaient les objectifs de cette association ?  

>>> Les objectifs étaient nombreux et repris dans les statuts déposés au Moniteur. 

Je me ferai un devoir de rechercher un possible exemplaire émergeant des archives.

L'asbl "Compagnons du Christ-Graal" avait notamment vocation d'école de philosophie stoïcienne et de philosophies comparées. C'était aussi un centre d'études portant sur le déchiffrement de l'Alchimie spirituelle et de la Gnose. En sus, l'asbl voulait participer à la préservation des différentes cultures occidentales en tentant de rallier progressivement toutes les  fractions traditionalistes européennes. 

Quelles étaient les relations entre Lucien Marbaix et Christian Elnikoff ? 

>>> Elles étaient au départ cordiales. Mais d'abord quelques mots au sujet de Lucien Marbaix. Malgré ce qui a été relaté dans les médias, il était cultivé, discipliné, honnête, sincère,  un père remarquable, d'une gentillesse naturelle, toujours disponible pour aider et soutenir quelqu'un dans un désarroi ou à la dérive. Pour le reste, hormis sa collectionite aigüe d'effets et d'objets militaires les plus divers, il était outré par le comportement de la "société" toute entière et voulait participer à mettre fin à la chienlit des années 80. Il aimait, à cette fin, se rapprocher de personnalités susceptibles de pouvoir changer les choses.

Les relations se sont ensuite envenimées pour diverses raisons (notamment l'extrémisme total ayant pris possession du corps d'Elnikoff), certaines de moi inconnues.  

Il est à relever que une inexactitude rémanente fait l'objet de toutes les attentions et de nombreux commentaires. Il est exact que Lucien Marbaix, armurier, a poinçonné des cartouches. Mais celles-ci étaient destinées à C. Elnikoff. Cela a été fait sur ordre afin de pouvoir, le cas échéant, confondre "l'électron libre" qu'était  devenu celui-ci s'il avait décidé d'user de la terreur comme il en avait eu l'intention ferme et définitive.  A défaut de pouvoir l'arrêter, la seule solution pour pouvoir le neutraliser était cette confection spéciale de munitions. Serait-il passé à l'acte en n'utilisant point ces munitions piégées, personne n'aurait pu découvrir le possible auteur d'éventuels massacres. Nos référents près la Sûreté ont été  informés de tous les détails ainsi que nos référents près la Gendarmerie. 

TC

ML
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Christian Elnikoff et Jacques Borsu :

http://www.resistances.be/tueurs2.html

Europese partij-Parti européen (EPE)

Ce minuscule petit parti néonazi fut actif, entre 1971 et 1989, à Bruxelles. Son dirigeant-fondateur, feu Jacques Borsu, dans les années 60, avait milité dans l’organisation Jeune Europe. Par la suite, il s’engagea comme mercenaire en Afrique sous les ordres de Bob Denard. L’EPE collabora avec plusieurs structures d’extrême droite (dont les NEM-Clubs, le Front de la jeunesse,...) et avec d’autres qui servaient de lieu de rencontre entre les radicaux de cette mouvance et des milieux plus fréquentables (Comité Hongrie 1956-1976 ou Pro Vita, par exemple).

 Des contacts entre le dirigeant de l’EPE et des personnalités du CEPIC eurent lieu. En juillet 1976, « Europe en Avant » (« l'organe de combat du Parti européen ») publia une interview de Robert Verbelen, un ancien nazi belge recruté après la Guerre 40-45 par l’un des services secrets américains.

 Ce « parti européen » fut l’allié francophone du Vlaamse militanten orde (VMO). Lors du procès de ce dernier, en 1981 à Anvers, Borsu fut d’ailleurs condamné. Autres liens: des organisations néonazies internationales comme le Nouvel ordre européen (NOE), l’ANS (groupuscule terroriste allemand), le Mouvement européen, ainsi que Léon Degrelle. Des activistes de l’EPE se retrouveront au WNP. Parmi eux : Christian Elnikoff. Suite au décès de Jacques Borsu, le 2 novembre 1989, l’EPE disparut.

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Jacques Borsu était en contact avec François Hamon




(Nos) néo-nazis et ultras-droite

De Jacques Leclercq





L'ARRESTATION DE M. FRANÇOIS HAMON
Un néo-nazi qui ne désarme pas

LE MONDE | 11.11.1981 à 00h00 • Mis à jour le 11.11.1981 à 00h00 | LAURENT GREILSAMER.

Une fois de plus, M. François Hamon, cinquante-deux ans, militant néo-nazi de longue date, a été arrêté. La brigade criminelle l'a interpellé à son domicile, dans la région parisienne, durant le week-end. Lundi 9 novembre, M. Georges Capdevielle, juge d'instruction au tribunal de Bobigny, l'a inculpé de détention d'explosifs, transport d'armes, et la fait écroué (nos dernières éditions). M. Hamon détenait chez lui un lot d'explosifs, de détonateurs et de mèches lentes. Quelques grenades complétaient cet arsenal. Dans sa voiture, les policiers ont découvert une mitrailleuse, apparemment hors d'état de fonctionner.

L'attention des enquêteurs s'est portée sur M. Hamon par la vertu d'une commission rogatoire internationale en provenance de République fédérale d'Allemagne. Après la fusillade de Munich, le 20 octobre - qui opposa des policiers allemands à cinq néo-nazis, dont un jeune Français, Paul Coletta, - les services de renseignement, de part et d'autre du Rhin, cherchent en effet à démêler les liens existant entre militants allemands et français.

Ainsi est " tombé ", une nouvelle fois, M. Hamon. Son penchant pour un national - socialisme à l'échelle européenne s'était déjà manifesté, publiquement, les 16 et 17 juin 1978. Il avait alors pris l'initiative d'un rassemblement de jeunes, à l'occasion des feux de la Saint-Jean, au château de Blandy-les- Tours, en Seine-et-Marne. Sur fond de musique militaire allemande, de drapeaux nazis et d'accessoires annexes, six Allemands, deux Belges, un Suisse et trois Français l'avaient rejoint.

L'émotion et l'indignation des villageois de Blandy-les-Tours firent que M. Hamon fut, là aussi, arrêté. Relâché quelques jours plus tard, il rédigea une " lettre ouverte "... ouvertement antisémite, que des amis se chargèrent de diffuser à Melun, Nantes et Mormant (Seine-et-Marne), pour " laver son honneur ". Au mois d'octobre 1979, M. Hamon était condamné par le tribunal correctionnel de Melun à huit mois d'emprisonnement avec sursis et 2 000 francs d'amende (le Monde du 8 novembre 1980).
Néo-nazi, ou nazi tout court, M. Hamon touche également à la " cambriole " En 1980, il fut arrêté pour recel d'armes volées chez un particulier. Les policiers découvraient chez lui - déjà - des munitions de guerre, des détonateurs, de la poudre, des fusils et des carabines...

Ces quelques faits ne peuvent occulter un passé encore plus tumultueux. Dans les années 60, alors que M. Hamon était gardien de la paix, cet homme de la droite la plus extrême fut accusé d'avoir frappé avec plusieurs collègues un ressortissant algérien, Belaid Chitti, qui se rebellait violemment après son arrestation. Bellaid Chitti fut découvert mort le lendemain, au commissariat de Picpus, à Paris. Une autopsie révéla qu'il avait eu sept côtes fracturées, subi un éclatement du foie et une " petite hémorragie méningée". Pour sa part, le rapport d'expertise psychiatrique concernant M. Hamon le présentait comme " un policier humaniste, dont l'intelligence est au-dessus de la moyenne de celle des policiers " (le Monde du 13 décembre 1961). Ces expertises ne servirent toutefois à rien M. Hamon, qui reconnut avoir donné deux coups de pied à la victime et l'avoir fait mettre à genoux, ne fut finalement jamais jugée...

Poursuivi durant la même période pour détention d'armes et transport de journaux d'extrême droite interdits en France, M. Hamon préféra finalement disparaître. Il rejoignit alors, dit-on, les rangs de l'O.A.S.
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Manicon a écrit :

Quand Bozidar Djurovski Jr. parlait d'un regard profond et froid; cette photo glace le sang.

Cette réflexion à propos de L.c..n M.rb..x m'a amené a essayer de cerner les regards de certaines "célébrités" souvent citées ici ou ailleurs… A prendre comme un quizz sans prétention.





























Bon Week-end à tous,

[...]Marbaix, occupé comme surveillant dans des grandes surfaces, se revendique d'une extrême droite dure et affirme appartenir aujourd'hui au Vlaams Blok.

(s: HAQUIN et VAN VAERENBERGH, 8 novembre 1994, Le Soir)


Se serai un comble qu'il ait quelque choses avoir avec la deuxième vagues ...

Lionel Ruth un TBW ? Sérieusement ?

@Etienne

J'ai écrit "célébrités", pas TBW...

Bonsoir,

Encore un ex-gendarme aux convictions néo-nazies bien affirmées qui bricole dans les armes. Ce n'est pas le seul, malheureusement. A noter aussi la collection de matraques...

Il me paraît intéressant de rappeler et d'insister sur "l'arsenal" découvert chez Marbaix et de le comparer à celui utilisé par les TBW:

- calibre .22 avec "silencieux"
- calibre .12 à répétition (il n'est pas précisé à pompe ou automatique) de la marque PIETTA. (Voir lien ci-dessous)

Extrait du Soir du 08/11/94
Dans la cave louée avec l'appartement du boulevard Général Jacques, les enquêteurs ont découvert, derrière une cloison montée contre un mur, la plupart des armes: de guerre, de poing (de calibres 7,65 et 9 mm), d'épaule (dont deux fusils à répétition Pietta à crosses et canon soigneusement sciés et munis de silencieux fabriqués par Marbaix, un étonnant pistolet-carabine 22 avec silencieux, et deux copies en cal. 22 du pistolet mitrailleur russe Tokarev avec silencieux), ainsi que des canons, des percuteurs et du mercure, utilisé pour rendre les munitions plus dangereuses.

http://www.pietta.org/produits/Carabine/Pump/gallery/Pump_04.html

Parmi les différentes armes saisies chez Marbaix, il y avait aussi entre-autres :
- 1 Colt .45
- 1 Ruger .38
- 1 7.65 modèle non précisé

A-t-on fait les vérifications d'usage pour s'assurer qu'elles n'ont pas servi au TBW???

Qu'un gendarme possède une ou plusieurs armes à titre privé, c'est une chose. Qu'il les conserve dans une cache dans une cave, c'en est une autre. A noter qu'à moins d'être armurier comme Bouhouche, leur nombre autorisé est limité à quelques unités (huit?) et que les armes de guerre ne sont pas des armes ordinaires. Il n'est pas plus admissible de conserver des explosifs ou d'entreposer des matières inflammables dans des immeubles résidentiels. Sans parler des munitions.
J'imagine que toutes ces armes ont été saisies et analysées. Qu'elles aient été utilisées par les TBW ou non, elles ont certainement une histoire qui devrait intéresser une saine justice.

Imaginez, Étienne, imaginez...
Un citoyen ordinaire tel que vous, ou comme moi, ou comme n'importe qui, a-t-il le droit de poser directement la question aux "autorités" concernées : "Avez-vous expertisé ces armes et quel en fut le résultats"?
Au vu de l'ancienneté des faits, les résultats de l'enquête sont-ils du domaine public ?
Qui accepterait de répondre à ces deux questions? Michel?

Je doute qu'une autorité dévoile quoi que ce soit. Ce sont des faits connexes à une enquête en cours. N'oublions pas que ce sont les policiers qui posent les questions et que les juges d'instructions mènent celles-ci théoriquement sans contrainte. Quant aux magistrats, ils sont juges et ne peuvent être pris à partie. A mon avis nous ne saurons jamais tout même à l'intervention de nos représentants.

Parmi les "amis Facebook" :

Jean-François Yokhanan Godart

https://www.facebook.com/jeanfrancois.godart

notamment :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1086949591490499&set=ecnf.1303736848&type=3&theater

La liste " d'amis " est longue... voir notamment





mais aussi :








(...)

_ _ _

Par ailleurs :





Voir :

http://www.resistances.be/r0201.html#001

et

http://parti-vrai-de-quaregnon.e-monsite.com/album/les-adherents/3-jean-francois-godart.html