Interview Pierre Romeyer

le témoignage d un illustre personnage ayant un tel curriculum vitae avec les meilleur
recommandation n as t il pas effacer les autres témoignage (plusieurs vehicules au feu rouge)
des personnes pourtant mieux placer ?
les fusils et revolver ne sorte qu apres l arret au feu rouge .les personnes des véhicules voisins on eu du temps pour voir, sans inquiétudes particulières

il me semble avoir lu un message de k parlant de temoins indiquant une autre
direction de fuite

les temoin modifient assez vite leur temoingnage face a quelqu un d affirmatif...




menacer m romeyer et rendre ces menaces publique n est ce pas plus une menace envers
les autres temoin plutot que contre romeyer ?


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pout info

http://www.lesoir.be/archive/recup/moens-de-fernig-fit-du-heysel-le-centre-du-monde_t-19980411-Z0F3JL.html
Mis en ligne le 11/04/1998 à 00:00 Eric Meuwissen

Moens de Fernig fit du Heysel le centre du monde

U ne farde de presse pour deux mille journalistes. Et dans cette farde, un jeu de photos agencées non pas au hasard mais selon un rite décrété par le tout-puissant commissaire général de l'Expo, Moens lui-même: n o 1 le Roi, n o 2 le prince Albert, n o 3 Moens ... La modestie du commissaire général est bien connue, il lui déplairait de passer avant le Roi , notait un chroniqueur de l'époque.

Une anecdote qui montre où entendait désormais se situer protocolairement le «grand manitou» de l'Expo 58: Georges Moens de Fernig (1899-1978). A savoir, l'homme-orchestre qui de 1951 à 1959 prépara, organisa, supervisa cette «kermesse internationale des petits peuples» que d'aucuns n'hésitèrent pas à qualifier alors «d'un des événements les plus importants du siècle».

Moens allait y faire merveille. La cinquantaine bien sonnée, il avait derrière lui un passé de grand affairiste et de ministre et devant lui un avenir dans le secteur du diamant, de la Société Générale et de Fabrimétal.

Baron en 1949, comte en 1958, Moens fut un véritable monstre sacré de l'après-guerre. Il passait pour être l'homme le plus décoré de Belgique. Son plastron disparaissait sous les crachats, rosettes et autres grands cordons d'ordre en tous genres. Né à Liège en 1899, il était issu d'une famille limbourgeoise. Son paternel était prof à l'université catholique de Louvain, ce qui n'empêcha pas le fiston de faire des études à l'ULB! Toute sa vie, Moens resta sans étiquette politique et fut respecté pour son indépendance et sa neutralité. Ses ennemis le taxaient d'autocrate mais tous reconnaissaient en lui son sens de la grandeur. C'était d'ailleurs un homme tout en hauteur dans les deux sens du terme.

Entré dans les affaires en 1924, il devint en 1935, à l'âge de 36 ans, le plus jeune magistrat en fonction (juge au tribunal de commerce). En 1939, on le retrouve comme président-administrateur délégué de la firme Adolphe Delhaize. Arrêté en 1944 par les Allemands, il évita de justesse la déportation. Après la guerre, il fut à deux reprises ministre extra-parlementaire entre 1946 et 1948 (Ravitaillement d'abord, Commerce extérieur ensuite). En 1948, il fut chargé de l'application du plan Marshall en Belgique. En 1951, il décroche son bâton de maréchal: commissaire général de l'Expo.

Dans la résidence du Belvédère, mise à sa disposition pendant la durée de l'expo, Moens de Fernig reçut le gratin planétaire de l'époque. Sa table était alors une des plus prestigieuses de la capitale. Et pour cause, il y avait placé aux fourneaux le «grand marmiton» du Royal automobile club, un certain Romeyer. Pierre de son prénom. Une «grande toque» qui se rappela par la suite que les invités de Moens étaient toujours d'humeur égale. L'addition ne leur troublant jamais la digestion, je n'avais que des éloges.

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Mon hypothèse du coup de téléphone anonyme est la suivante : Romeyer a forcément parlé aux enquêteurs et à un petit groupe de personnes de son entourage professionnel. Ceux-ci ont parlé à leur tour (c'est la nature humaine) et se sont confiés à un des membres de la bande, qui devait graviter pas loin. Mais pourquoi y-a-t-il eu appel alors que le restaurateur avait tout dit ?

Ou bien le tireur reconnait instantanément la voiture de Romeyer, car ils fréquentent le même club de tir.  Une fois retourné dans la voiture, il explique à ses complices qu'il a vu Romeyer en train d'observer la scène. Ils décident de lui faire peur. On connait la suite.

inutile

Frédéric a écrit:

Romeyer a forcément parlé aux enquêteurs et à un petit groupe de personnes de son entourage professionnel. Ceux-ci ont parlé à leur tour (c'est la nature humaine) et se sont confiés à un des membres de la bande, qui devait graviter pas loin. Mais pourquoi y-a-t-il eu appel alors que le restaurateur avait tout dit ?

L'information peut effectivement parvenir aux TBW via le milieu de la restauration, milieu cité plusieurs fois dans différentes affaires. Admettons que le patron des 3 Can. soit impliqué dans l'histoire (Louvaert dixit); il apprend (par le milieu de la restauration) que Romeyer a vu des choses et il lui passe ou lui fait passer un coup de fil pour le faire taire car il ignore s'il n'a pas été reconnu.

inutile

on attends x

inutile

On a plutôt affaire à des trafiquants multi-casquettes ! Café, pralines, spiritueux, phares, batteries, volants... Ils ont des liens semblerait-il avec trois milieux différents : réparation automobile, restauration, armes.

Les TBW des revendeurs ?
Malheureusement non
Sinon l'affaire aurait été résolue.

Frédéric a écrit:

Ou bien le tireur reconnait instantanément la voiture de Romeyer, car ils fréquentent le même club de tir.  Une fois retourné dans la voiture, il explique à ses complices qu'il a vu Romeyer en train d'observer la scène. Ils décident de lui faire peur. On connait la suite.

Pensez-vous que votre trio, un psychopathe et deux 'cas sociaux', connaissait Pierre Romeyer? J'ai été dans son restaurant, il m'a fait visiter sa 'cuisine', un véritable laboratoire. Je ne pense pas qu'il connaissait des gens comme ceux que vous décrivez .

Il faut au moins caser drogue et gendarmerie, restauration et trafic d'armes, comprendre comment un mort aurait pu être rayé du jour au lendemain sans que personne ne se manifeste, savoir qui pourrait inspirer à ce point la peur à certains témoins, et comprendre comment des documents reliant à J.B auraient pu se trouver mélangés à des chèques volés à Braine et Overjise.
Il y a bien un axe qui semble se dégager, mais attendons de connaître votre nouvel élément.

"Je ne pense pas qu'il connaissait des gens comme ceux que vous décrivez"

Lui pouvait être connu d'eux, par exemple s'ils fréquentaient le même club de tir ! Il est certain que ce monsieur Romeyer était fiable et n'a rien inventé, de mon point de vue. Il a pu être en contact avec une poignée de pratiquants de tir Cooper. Quel a été son instructeur par exemple ?

Frédéric a écrit:

Mon hypothèse du coup de téléphone anonyme est la suivante : Romeyer a forcément parlé aux enquêteurs et à un petit groupe de personnes de son entourage professionnel. Ceux-ci ont parlé à leur tour (c'est la nature humaine) et se sont confiés à un des membres de la bande, qui devait graviter pas loin. Mais pourquoi y-a-t-il eu appel alors que le restaurateur avait tout dit ?

Je reviens sur votre post et ce témoignage de M Romeyer. L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'il y avait près du gendarme auquel il s'est confié des branches pourries, qui craignaient qu'il ne puisse être plus précis dans ses identifications.

[quote="pyrénéen"]

Frédéric a écrit:

Mon hypothèse du coup de téléphone anonyme est la suivante : Romeyer a forcément parlé aux enquêteurs et à un petit groupe de personnes de son entourage professionnel. Ceux-ci ont parlé à leur tour (c'est la nature humaine) et se sont confiés à un des membres de la bande, qui devait graviter pas loin. Mais pourquoi y-a-t-il eu appel alors que le restaurateur avait tout dit ?

Je reviens sur votre post et ce témoignage de M Romeyer. L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'il y avait près du gendarme auquel il s'est confié des branches pourries, qui craignaient qu'il ne puisse être plus précis dans ses identifications.
[/quote
Romeyer a reconnu bien plus tard que le coup de téléphone n'avait rien à voir avec l'histoire du Koldam.

Citation :

Romeyer a reconnu bien plus tard que le coup de téléphone n'avait rien à voir avec l'histoire du Koldam.    

Je crois que le seul appel téléphonique que l'on peut leur attribuer est ce coup de fil passé à la clinique ou JVC se mourrait.  


Cordialement,

J'avoue douter que M Romeyer, chef multi-étoilé, ait fait une blague à qui que ce soit.
Le matin, il est témoin de la fusillade.
L'après-midi, il reçoit un coup de fil menaçant.
Il ne dit d'ailleurs pas dans son ITW en ligne que ça n'avait rien à voir.
Bien sûr que si que ça avait à voir.

Frédéric a écrit:

Ce qui est troublant est cet appel anonyme. Soit un mauvais plaisant, soit un appel émanant d'une personne ayant reconnu le 4/4 (pas du tout certain, car à 150 mètres, on ne peut pas lire une plaque) ou ayant accédé au dossier de l'enquête. Je pencherais plutôt pour cette dernière hypothèse.

L'individu de grande taille est décrit comme étant un professionnel, calme et déterminé, habitué à utiliser des armes, et formé de façon spécifique. Pas un voleur de poules et truand du dimanche, ce qui réduit considérablement le nombre de piste. Un témoignage similaire est produit par le médecin qui a assisté à un des hold-up.

C'est en effet troublant : P.R est à 150 m de distance, il n'est pas sorti de sa voiture et il était dans la file derrière la voiture des T.B.W qui ne lui sont pas passés devant.
Il certifie par ailleurs avoir reçu cet appel personnellement ( " pas d'accent particulier " ), et ce n'est certainement  pas un plaisantin.
Je doute par ailleurs que dans son entourage, quelqu'un ait voulu lui faire une plaisanterie, de très mauvais goût vu les circonstances.
Il dira plus tard à Michel, après son interview, que ça n'avait aucun rapport, et je pense que s'il a fait cette déclaration contraire à ce qu'il disait dans son interview, c'est qu'il en avait assez de voir son nom accolé à celui des T.B.W de par l' avènement d'Internet ( il avait d'ailleurs demandé à la police de ne pas citer son nom vu la réputation de son restaurant ) .
On ne peut donc en effet exclure que l'information avait été donnée par une personne pouvant avoir accès au dossier de l'enquête .

inutile

x a écrit:

Je reviens 'radoter' un peu....

> Retrouvé, sur le forum flamand, une copie d'un extrait (que je n'ai pu relocaliser...) du présent forum.

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?pid=35873#p35873
Ben 09-08-2016 16:03
the end wrote:
En terwijl de schutters in Hoeilaart toch wel met behoorlijke problemen geconfronteerd waren (mogelijk 2 gewonden) slagen ze erin om zogezegd de omgeving te observeren (getuige Range Rover) te vluchten in de buurt, en 2 uur later het dreigtelefoon te plegen naar een getuige. De kern vraag bij deze is hoe spelen de zo gezegde 3 daders dit allemaal klaar?
In verband met de dreigtelefoon naar Pierre Romeyer (de bestuurder van de Range Rover) wist Michel van het tueries-forum nog dit mee te geven:

J'en ai parlé à l'époque avec Romeyer qui m'a confirmé avoir reçu des menaces le jour même mais il me précisa que ces menaces n'avaient strictement rien à voir avec la fusillade dont il fut témoin. Cela contribue encore à la légende des tueurs ayant des complices dans la police et qui ont communiqué l’identité de Romeyer en vérifiant le numéro de plaque. Or, il est impossible que la bande ait noté dans la confusion la plaque d'une voiture se trouvant à 150 mètres...

Ah bon, ça n'a rienà voir :



Ce n'est bien sûr certainement qu'une coincidence si M Romeyer a été menacé dans la foulée de sa déposition .

P.S : on attend toujours vos grandes révélations

x a écrit:

Je reviens 'radoter' un peu....

> Retrouvé, sur le forum flamand, une copie d'un extrait (que je n'ai pu relocaliser...) du présent forum.

C'est ici :
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2756p15-dauphin-jean-paul

@ pyrénéen,
concernant Romeyer et son témoignage.
Tout d'abord : dans la dh : "accent Bruxellois".
                     dans son interview : "il n'avait pas d'accent particulier".
En outre, lorsqu'il déclara à Michel que le coup de fil n'avait rien à voir avec les faits de la fusillade, cette déclaration il l'a faite des mois après son interview sur ce forum.
Avec un peu de BON SENS, on comprend donc que Romeyer a dû se renseigner au sujet de ce coup de fil, et qu'il a découvert de qui provenait ce coup de fil et a donc déclarer à Michel son erreur.
Alors, vous nous repostez chaque fois son interview, et nous vous rétorquons à chaque fois sa déclaration à Michel... Vous voyez qu'il existe une explication.

De plus, quand il dit :" si tu parles on aura ta peau".
Franchement... Il vient de faire sa déclaration à la police, donc il a parler. Cette phrase n'a donc aucun sens.
Et concernant sa description du tireur "style Jeef Cooper".
Je vous rappele qu'il se trouvait à +/- 150m de l'action ( environ 1x + 1/2x la longueur d'un terrain de foot ! ) avec plein de voitures interposées entre lui et l'action. Conjugué avec le stress que provoque la vue d'une fusillade, je doute, non pas de son honnêteté mais des détails qu'il décrit. Peut être a t-il voulu épater les policiers en leur montrant qu'il pratiquait le tir et qu'il connaissait cette position.

R.I.P Monsieur Romeyer.

Mais il a eu plus de 25 ans Glen pour se renseigner puisque son interview est de 2009.
Et vous dites qu' après son interview, il se serait rendu compte ... de quoi d'ailleurs ?
D'une coincidence ?
D'une blague ?
Et que plus de 25 ans après, il se serait renseigné ....
Libre à vous d'y croire.
Moi j'aurais plutôt tendance à penser qu'il n'est pas impossible qu'il se soit rendu compte de la portée de ses déclarations qu'il a alors voulu minimiser.
Ca me paraît être le " bon sens ".

pyrénéen a écrit:

Mais il a eu plus de  25 ans Glen pour se renseigner puisque son interview est de 2009.
Et vous dites qu' après son interview, il se serait rendu compte ... de quoi d'ailleurs ?
D'une coincidence ?
D'une blague ?
Et que plus de 25 ans après, il se serait renseigné ....
Libre à vous d'y croire.
Moi j'aurais plutôt tendance  à penser qu'il n'est pas impossible qu'il se soit rendu compte de la portée de ses déclarations qu'il a alors voulu minimiser.
Ca me paraît être le " bon sens ".

Et tout les autres témoins sur place (les occupants des autres voitures, les passants) de moindre notoriété que Romeyer, ont t-ils eux aussi étés menacer?
Qu'est ce que Romeyer aurait pu voir ( à 150m) que tout les autres témoins n'auraient pas vu pour qu'il soit le seul à être menacé?

Concernant l'accent Bruxellois qui disparaît dans ses affirmations?
Concernant la menace "si tu parles on aura ta peau", alors qu'il venait justement de parler (déclaration à la police)?
J'aurai aimer entendre vos explications.