Estiévenart, Jean-Claude

QUETION déjà posée ,mais tjs sans réponse !
QUEL rôle ds cette histoire de l'assistante sociale FRICK???

michel a écrit:

Une réaction anonyme sur le forum du soir suite à cette affaire :

Cette affaire c'est quand meme l'AFFAIRE que personne ne veut élucider. Le "grand baraqué" qui tirait de l'arrière de la Golf GTI en fuite, tout le monde sait qu'il travaillait dans les années 80 au QG de la gendarmerie, Boulevard General Jacques, à Bruxelles.

Jamais entendu parler pour ma part.

C'est presque ca.... mais c'est une école...

Citation :

Ancienne école royale de gendarmerie d’Ixelles - Boulevard Général Jacques 210


Historique
La caserne de gendarmerie d'Ixelles vient compléter en 1909 un ensemble d'infrastructures militaires s'étendant sur Etterbeek et Ixelles et comprenant la caserne du charroi (arsenal - 1901), la caserne de l'artillerie (Rolin – 1877-1883, démolie en 1993), les casernes de cavalerie (Géruzet et de Witte de Haelen – 1875-1882), la Plaine des Manœuvres (terrain aujourd'hui occupé par la VUB et l'ULB), la gare militaire (1906 – partiellement démolie) et un peu plus loin l'hôpital militaire (1882-1888 – en grande partie démoli en 2002).

Elle était avant tout vouée à la formation des gendarmes. Elle abritait non seulement les logements de la troupe, un vaste mess et des écuries mais aussi des salles de cours, une bibliothèque et une piste d'obstacles pour la formation des cavaliers.
Après la deuxième guerre mondiale, le développement des missions de la gendarmerie et l'accroissement des moyens mis à sa disposition vont nécessiter la construction de nouveaux bâtiments: notamment les bureaux de l'État major (1947) à front de l'avenue de la Couronne et le Centre de Traitement de l'Informatique (1975) vers la rue Fritz Toussaint, flanqué dans les années 1990 d'une tour de communication.

Ces extensions demeurant insuffisantes, la gendarmerie s'étend en dehors de ses murs et prend quartier dans une ancienne maison de repos transformée (angle des rues Fritz Toussaint et Juliette Wytsman) et dans les deux casernes de cavalerie (sur le territoire d'Etterbeek).

Depuis la suppression du corps de gendarmerie en 2000, les bâtiments hébergent différents services de la Police fédérale. D'importants travaux de rénovation ont alors été effectués.

Plan
L'école de gendarmerie est composée à l'origine d'un bâtiment principal à front du boulevard Général Jacques flanqué de deux pavillons d'angle (le pavillon des officiers à l'angle de l'avenue de la Couronne et le mess des sous-officiers à l'angle de la rue Juliette Wytsman).

En intérieur d'îlot, on trouve les blocs de logements, le mess des gendarmes et le manège.
À l'angle de l'avenue de la Couronne et de la rue Fritz Toussaint se trouve un bâtiment destiné aux mariés.
L'infirmerie vétérinaire, le gymnase, la buanderie, etc. se situent le long de la rue Juliette Wytsman. Le tout est ceint d'un imposant mur de clôture.



http://www.irismonument.be/fr.Ixelles.Boulevard_General_Jacques.210.html

Henry a écrit:

Cela doit être une mort affreuse car j'imagine que se pendre dans une cellule n'a aucune comparaison avec une pendaison "officielle" ou je crois, la nuque se brise en fonction du noeud placé par le bourreau.

En cas de chute il y a  l'arrachement de l'extrémité supérieure de la moelle épinière et c'est la mort quasi instantanée.
Sans chute, il y a des spasmes musculaires surnommés "danse du pendu" pendant et après, et parfois pendant plus de 10 minutes.
A l’époque médiévale les gens trouvaient ca d'autan plus drôle que: 

âmes sensibles, s'abstenir...:

Bonjour,
C'est quand même dommage ce procès "raté".
J'ai le sentiment qu'au moins un des Borains était un TBW.
Espérons que le dossier de l'avocat général lors du prochain procès sera mieux ficelé et que des gens qui n'ont pas participé aux faits ne soient pas condamnés par le fait qu'ils ne sont pas sympathiques et que l'Etat voudrait bien ponctuer ce dossier, et en finir avec cette page noire de son histoire, par la condamnation de coupables.

Etienne a écrit:

Bonjour,
C'est quand même dommage ce procès "raté".
J'ai le sentiment qu'au moins un des Borains était un TBW.

En fait cocu a essayé de faire porter le chapeau à Estiévenard et sa compagne (qui était une toxico et donc incapable de faire un braquage).

Depuis fin 83 on sait que c'est bbch qui distribue les armes et il veut "mouiller" Estievenard  pour donner une fausse piste à l'enquête.
BBch est "couvert" par Cocu "le flic au-dessus de tous soupesons"
Leur plan est, je présume, qu'Estiévenard aurait finit par s'en servir et aurait donc été arrêté à la place des TWB. Et Cocu s'en serait sortit avec les honneurs de la Police et une belle médaille. 
Mais Josiane Debruyne avait peur que sont mari s'en serve, elle n'a rien trouvé de mieux à faire  que le déposer à la police locale.
C'est a dire directement dans le bureau de Cocu...
Le problème est que Cocu se retrouve avec l'arme des TBW mais sans coupable  
D'autan plus embêtant que le Ruger est identifié par l'expert Dery comme étant celui des TBW.... 

Bien joué, Josi....

Bonjour Cheshire cat,
Ce n'est pas Cocu qui a reçu l'arme.
Il l' aurait probablement reconnue.
Je pensais plutôt à Adriano Vittorio.
Cocu un flic au-dessus de tout soupçon ? Ah bon.
Pas dans le même catégorie que Dani and Co.
Cette femme devait être un peu bête ou alors elle aimait en prendre plein la poire. Quand Estievenart aura compris qui lui avait pris son calibre, elle a eu droit à un nouveau tour de manège.
Pas facile d'attirer des touristes dans le Borinage.
Peut-être que Dery avait le job comme il faut.
Un expertise cela s'étaie. Les conclusions peuvent être réévaluées.

Etienne a écrit:

Bonjour Cheshire cat,
Ce n'est pas Cocu qui a reçu l'arme.
Il l' aurait probablement reconnue.
Je pensais plutôt à Adriano Vittorio.
Cocu un flic au-dessus de tout soupçon ? Ah bon.
Pas dans le même catégorie que Dani and Co.

Merci de me corriger. Cocu devait être un policier communal à la retraite et ce qui explique que l'arme soit arrivé jusqu'à l'expert Dery. Il n'a pas pu l'intercepter....

Etienne a écrit:

Cette femme devait être un peu bête ou alors elle aimait en prendre plein la poire.
Quand Estievenart aura compris qui lui avait pris son calibre, elle a eu droit à un nouveau tour de manège.

Elle avait peur qu'il s'en serve contre elle et c'est pour ca qu'elle l'à déposée au bureau de police. C'est quand même moins grave que de se faire tuer, non ?
De plus, la Police qui n'allait certainement pas la rendre à Estiévenard qu'ils connaissaient bien "aussi" comme étant un délinquant violent. Surtout que l'arme n'était pas déclarée...

Citation :

Pas facile d'attirer des touristes dans le Borinage.
Peut-être que Dery avait le job comme il faut.
Un expertise cela s'étaie. Les conclusions peuvent être réévaluées.

Il a même fait le lien entre la balle qui a tué Mendez et l'arme de bbche. D'où la condamnation de bbche. C'est un expert qui connais sont travail...

Il y a doute. Je n'ai pas les éléments pour juger.
Quant aux Allemands à qui on a demandé une contre-expertise, ils connaissaient l'attente de leur client. Un client satisfait c'est un client qui revient.
Là aussi le doute doit jouer. Sont-ils assermentés tous ces experts?

http://www.dhnet.be/actu/faits/le-ruger-d-estievenart-51b7bc1be4b0de6db98ab9e9

Daniel Choquet a reçu l'arme de Josiane Debruyne.
Cfr un post de Hervé sur ce fil, du 8 nov 2011.

Etienne a écrit:

Il y a doute. Je n'ai pas les éléments pour juger.
Quant aux Allemands à qui on a demandé une contre-expertise, ils connaissaient l'attente de leur client. Un client satisfait c'est un client qui revient.
Là aussi le doute doit jouer. Sont-ils assermentés tous ces experts?

http://www.dhnet.be/actu/faits/le-ruger-d-estievenart-51b7bc1be4b0de6db98ab9e9

Daniel Choquet a reçu l'arme de Josiane Debruyne.
Cfr un post de Hervé sur ce fil, du 8 nov 2011.

Que la diplomatie et la politique internationale s'en mêlent... parfois... on doit faire des concessions.


Le naufrage du Rainbow warroir (10 juillet 1985) ce n'était pas très légal non plus....

Bonjour Cheshire cat,
Bien sûr que ce n'est pas légal.
La défense des intérêts de la France passant alors par sa sécurité nucléaire et la réalisation d'essais (parfois (souvent au début)) atmosphériques, l'a amené à créer une zone d'exclusion autour des sites.
Tuer des gens qui veulent y pénétrer pour attirer l'attention de l'opinion publique sur ces faits (p)ou(r) empêcher les essais, est illégal car il ne s'agit en aucun cas de faits de guerre.
De même, tuer des gens dans un pays limitrophe pour y favoriser l'émergence d'une dictature ou à tout le moins d'une gouvernance dite forte, pour former un état-tampon garant d'un délai augmenté en cas d'invasion via ce pays, serait (j'emploie le conditionnel ; comme il se doit lorsqu'il s'agit d'une hypothèse) illégal.
On peut aussi imaginer un oncle qui voulant s'assurer du temps nécessaire à son intervention pour leur venir en aide, agirait de sorte que ses neveux se musclent quelque peu.

Bonjour à tous la filière du Rüger, est beaucoup plus complexe donc à revoir, je résume très cours en 1/
c'est Cocu, qui l'achète à l'Armurerie du Dragon à Wasmes en 2/ il le revend dans un Café -Place St-Pierre à Wasmes à un certain Sferazza dit " Carabine" (retrouvé assassiné à Baudour dans un tonneau en bois tête en bas, oublié la date), il le revend à J-C Estiévenart.
Après c'est la filière de Mme Ghislaine Frick(approchée par des policier en civils) non reconnu, après la dispute entre couple, Debruyne panique et la donne à Ghislaine, celle-ci la porte à la Police Communale de Wasmes au Policier de garde un certain, Franz De Vlaeminck. Je connais cela parce-que mon cousin y policier aussi Claude Lhost.

Le lendemain, c'est eux, qui le porte à la Gendarmerie de Colfontaine(entité) et à un certain Libert...MDL il le refile à Beduwe de la BSR de Mons, celui-ci est comme par hasard est tombé(à pic) à Ch.Amory et à la repassé au malheureux Daniel Choquet et maintenant revoir le fil ....Choquet Daniel,

Très instructif.....

Bonjour Ginlo,
Merci pour ces infos.
Quel périple !
Triste l'histoire de Daniel Choquet.
La gendarmerie n' en sort pas grandie.
A quel moment un PV a-t-il été rédigé sur cette arme?

ginlo a écrit:

Bonjour à tous la filière du Rüger, est beaucoup plus complexe donc à revoir, je résume très cours en 1/
c'est Cocu, qui l'achète à l'Armurerie du Dragon à Wasmes en 2/ il le revend dans un Café -Place St-Pierre à Wasmes à un certain Sferazza dit " Carabine" (retrouvé assassiné à Baudour dans un tonneau en bois tête en bas, oublié la date), il le revend à J-C Estiévenart.
Après c'est la filière de Mme Ghislaine Frick(approchée par des policier en civils) non reconnu, après la dispute entre couple, Debruyne panique et la donne à Ghislaine, celle-ci la porte à la Police Communale de Wasmes au Policier de garde un certain, Franz De Vlaeminck. Je connais cela parce-que mon cousin y policier aussi Claude Lhost.

Le lendemain, c'est eux, qui le porte à la Gendarmerie de Colfontaine(entité) et à un certain Libert...MDL il le refile à Beduwe de la BSR de Mons, celui-ci est comme par hasard est tombé(à pic) à Ch.Amory et à la repassé au malheureux Daniel Choquet et maintenant revoir le fil ....Choquet Daniel,

Très instructif.....

Non pas vraiment.... Je dirais même "sans intérêt".
Sur ce point et quoi qu'on en dise, j'accorde plus de crédit à un expert militaire qu'un flic alcoolique qui passe son temps à picoler dans les bars. A la limite, il a même fait faire une fausse facture anti datée pour se couvrir....
Si Derty l'identifie comme étant passé par les mains des tueurs c'est qu'elle est passée par les mains des tueurs.
La différence étant que les militaires veulent "des résultats" et pas "une jolie histoire".
Oui, je sais, c'est beaucoup moins drôle....  

J'aime bien des résultats mais l'histoire est aussi intéressante. C'est rendre justice aux victimes collatérales que de s'intéresser à leur histoire.
Certains quittent, se soustraient aux affres de l'existence, d'autres restent et font face et d'autres enfin s'éloignent mais restent au contact.

Etienne a écrit:

J'aime bien des résultats mais l'histoire est aussi intéressante. C'est rendre justice aux victimes collatérales que de s'intéresser à leur histoire.

Non...

Henry a écrit:

Une affaire sordide et certainement dans un milieu précarisé ou la boisson aidant, on peut tuer un être sans préméditation puis on cherche des solutions pour camouffler l'irréparable.

Cher Henry,

Il est pour le moins interpellant de constater les circonvolutions utilisées par certains journalistes, mais pas que, pour nous expliquer que ce pauvre et Ô combien inoffensif J.C.E, à 60 ans passés, était encore capable, aidé d’un complice, de brûler vif un copain de bistrot dans le but de lui dérober ses maigres économies.

Car au delà des effets de manches idéologiques et autres raclements de gorge embarrassés, ce sont là les faits imputables au membre boiteux (tiens, ça me rappelle quelque chose…) de cette pauvre bande de « bras cassés » tout aussi inoffensive.

Chassez le naturel, il revient au galop, pourraient dire certains audacieux.

Circulez, y’a rien à voir ! rétorqueront les autres…