le Westland New Post (WNP)

Westland New Post en abrégé WNP est une organisation d’extrême droite belge.

En 1974, des étudiants liégeois créent un groupe appelé le Front de la Jeunesse qui deviendra le mouvement de jeunesse des NEM-clubs(NEM-Nouvelle Europe Magazine). De ce mouvement se crée un autre en 1979, le Westland New Post, un groupe terroriste néo-nazi. En 1982, Le Front de la Jeunesse se présente aux élections de 1982 sous le sigle bilingue "Forces Nouvelles - Nieuwe Krachten".

Christian Smets, un agent de la Sûreté de l'État belge l'infiltra jusqu'en juin 1982.

La presse révèlant la mise au jour d’un réseau secret, appelé Stay-behind, opérant avec l’appui des services de renseignements belges et étrangers. Certains ont accusé celui ci d'avoir des liens avec le WNP, bien qu'aucune preuve n'ait jamais était fournit de ses allégations

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Westland_New_Post

Les preuves sont difficile à trouver quand les unités suspectés ne sont pas sous juridiction ordinaire.

Un contact me signale qu'il existait des femmes au sein du WNP. Quel était leur rôle?

pareil que pour les hommes, je suppose?

Weykamp et Bouhouche : membres ou pas du WNP?

.

.

Parmi les activités du WNP, René Haquin a décrit l'infiltration de groupes de manifestants à Chooz :

Des Taupes dans L'Extreme-Droite La Surete de l'Etat et le WNP
By René Haquin








On peut se demander pourquoi le WNP a choisi des manifestants anti-nucléaires comme cibles. Il serait très intéressant de savoir comment et par qui cette décision a été prise.

Je vois en tout cas une analogie possible avec le document suivant, de Guy Weber :

http://fr.scribd.com/doc/86217858/WEBER-L-armee-belge-contre-l-ennemi-interieur

Sans doute ces manifestants étaient-ils considérés par certains comme faisant partie de " l'ennemi intérieur " ...

Puisqu'il est question d'infiltrations, on peut relire le récent article du " Moustique " :

http://fr.scribd.com/doc/127515457/Moustique-L-enquete-a-ete-manipulee

avec la question inévitable : qui a infiltré qui ?

Pour information :

K a écrit:

ah


à coté  des 40  zozos  il y avait 40 zazos


ils travaillaient aussi ds l'administration de la SGr-SDRA il m'arrive d'avoir lu qqs part


naturellement avec le mari ala porte il faut le double de paye pour arriver à là boucler et à boucler
les fins du mois difficiles.


les 40 OMOs aussi ?

ou ils sont tous été pendus ?

commençons une liste de femmes autour de Latinus qu'on connait et mettons une date

puis regardons les filles des zozos connus:


Autour Latinus

Sa maman =source de sous=pas memebre mais au courant de plein de choses

la fille d'un genareal de l'armee

Van houtv.  = pas membre ,

Helena parti au Baleares  en

puis

WNP & TBW:

recrutement = femme xyz  qui interroge les nouveaux  membres

agence de voyages vers l'argentine: kik?

la blonde du cimetiere des chiens

responsable des armes  voir apos Dussart

la petite blonde a qui les TBW ont parlé avant Overijse


doivent y avoir plein d'autres ......

"la petite blonde a qui les TBW ont parlé avant Overijse".

Dans une autre rubrique, un membre du forum (Michel ?) avait indiqué qu'ils avaient parlé avant l'attaque à une dame de leur connaissance, ce qui était intriguant. Comment le savoir qu'ils se connaissaient ? Vous dites que c'est une membre du WNP ?  

[quote="K"]ah


à coté  des 40  zozos  il y avait 40 zazos


ils travaillaient aussi ds l'administration de la SGr-SDRA il m'arrive d'avoir lu qqs part


naturellement avec le mari ala porte il faut le double de paye pour arriver à là boucler et à boucler
les fins du mois difficiles.


les 40 OMOs aussi ?

ou ils sont tous été pendus ?

commençons une liste de femmes autour de Latinus qu'on connait et mettons une date

puis regardons les filles des zozos connus:


Autour Latinus

Sa maman =source de sous=pas memebre mais au courant de plein de choses

la fille d'un genareal de l'armee

Van houtv.  = pas membre ,

Helena parti au Baleares  en

puis

WNP & TBW:

recrutement = femme xyz  qui interroge les nouveaux  membres

agence de voyages vers l'argentine: kik?

la blonde du cimetiere des chiens

responsable des armes  voir apos Dussart

la petite blonde a qui les TBW ont parlé avant Overijse


doivent y avoir plein d'autres ......



.

.

.

.

.

Pendant la guerre, Robert L. Jacobs a été membre pendant quelques mois du Mouvement Socialiste Wallon, dirigé par Arthur Pernet. Ce Pernet faisait en outre partie de la Propaganda Abteilung de l'AGRA, les Amis du Grand Reich Allemand.

Interné au Petit Château du 19 octobre au 27 décembre 1944, R.L. Jacobs avoua avoir été national-socialiste mais pas rexiste.

On retrouve sa trace en 1950 lorsqu'il se réinscrit dans la commune d'Ixelles. Il milite ensuite dans divers groupes d'extrême droite dont le jeune MAC (Mouvement d'Action Civique). En 1981, il devient membre de la direction de la CIDEP, la société éditrice du Nouvel Europe Magazine.

La famille Jacobs entretient depuis des années d'étroites relations avec l'Afrique du sud. Le clan Jacobs a en outre lié des contacts avec le régime chilien du temps de Pinochet.

Jacobs senior est également un habitué des voyages au pays de l'apartheid. En juin 1988, il pubie dans Europe Magazine une interview de Jan Groenewald, le niméro deux de l'AWB (Mouvement de résistance Afrikaner). Pour compléter le tableau, ajoutons que Jacobs détient depuis 1982 les droits du film antisémite de Goebels, "Le juif Suss".

_ _

A noter : Guy Bouten prépare un nouveau livre...

.

[quote="HERVE"]
Pendant la guerre, Robert L. Jacobs a été membre pendant quelques mois du Mouvement Socialiste Wallon, dirigé par Arthur Pernet. Ce Pernet faisait en outre partie de la Propaganda Abteilung de l'AGRA, les Amis du Grand Reich Allemand.

Interné au Petit Château du 19 octobre au 27 décembre 1944, R.L. Jacobs avoua avoir été national-socialiste mais pas rexiste.

On retrouve sa trace en 1950 lorsqu'il se réinscrit dans la commune d'Ixelles. Il milite ensuite dans divers groupes d'extrême droite dont le jeune MAC (Mouvement d'Action Civique). En 1981, il devient membre de la direction de la CIDEP, la société éditrice du Nouvel Europe Magazine.

La famille Jacobs entretient depuis des années d'étroites relations avec l'Afrique du sud. Le clan Jacobs a en outre lié des contacts avec le régime chilien du temps de Pinochet.

Jacobs senior est également un habitué des voyages au pays de l'apartheid. En juin 1988, il pubie dans Europe Magazine une interview de Jan Groenewald, le niméro deux de l'AWB (Mouvement de résistance Afrikaner). Pour compléter le tableau, ajoutons que Jacobs détient depuis 1982 les droits du film antisémite de Goebels, "Le juif Suss".

_ _

A noter : Guy Bouten prépare un nouveau li.

Un article qui vient de sortir !

http://resistancesnews.be/spip/spip.php?article75

http://resistancesnews.be/spip/spip.php?auteur12


Au cœur d’une organisation néonazie clandestine

Des néonazis du WNP liés aux tueries du Brabant ?

INFOS INéDITES DE RESISTANCES.BE

mercredi 16 juillet 2014, par Brice POIRIER

(...)

Très intéressant article ... il y a des informations que je ne connaissais pas ...

http://resistancesnews.be/spip/spip.php?article75


L’enquête sur les tueries du Brabant wallon a exploré plusieurs pistes possibles afin de découvrir les véritables raisons, auteurs et commanditaires de cette énigme judiciaire. L’une d’elle s’oriente vers une « stratégie de la tension » planifiée par des services secrets américains et belges dans le but de renforcer les mesures de sécurité et répressives dans notre pays. Les hommes de mains de cette opération de déstabilisation : des gangsters et des activistes d’extrême droite. Parmi eux, des militants et des proches du WNP. La Sûreté de l’Etat a constitué une liste de plus de 80 personnes membres de cette organisation clandestine néonazie active de 1979 à 1983. RésistanceS.be a pu prendre connaissance de cette liste qui intéresse fortement la cellule d’enquête sur les tueries du Brabant (CBW).

La juge d’instruction Martine Michel, en charge du dossier des tueries du Brabant, a toujours tenu en haute considération les liens entre cette affaire et la constellation de personnes ayant orbité autour du WNP, une organisation d’extrême droite active au début des années 1980. En cela, elle en revient aux fondamentaux révélés in illo tempore par notre confrère feu René Haquin du quotidien Le Soir et auteur dans ses articles et dans un livre de révélations sur l’existence du WNP.

De source proche de l’enquête, nous avons appris qu’après le pétard mouillé « Jean-Marie Tinck » (qui vient d’être libéré, tout en restant inculpé dans le dossier), la piste américaine et un listing confidentiel des adhérents et personnes relais du WNP établi par la Sûreté de l’Etat, les services de renseignements civils belges, étaient considérés par la juge et les enquêteurs comme une piste très sérieuse, susceptible de mener au fameux chaînon manquant.

(...)

(suite)

WNP, un ordre nazi clandestin

Depuis la découverte de son existence, des membres du WNP, seuls une petite vingtaine de noms a filtré dans la presse. Après une enquête serrée d’investigation que nous venons de réaliser et sur base de confidences faites par d’anciens agents de la Sûreté de l’Etat et du SDRA, un service de renseignements de l’Armée belge, le web-journal RésistanceS.be est en mesure de vous révéler de manière exclusive qu’il s’agissait en réalité d’une organisation forte de près de 120 personnes (deux de ses principaux dirigeants évoquaient même le chiffre de 200 à 300 membres). Ce qui est beaucoup pour l’époque. En effet, les groupes d’extrême droite étaient alors nombreux, mais souvent constitués que d’une vingtaine de membres actifs. Le WNP formait pour sa part une organisation tentaculaire. Et de plus, elle développait une activité clandestine.

Le WNP sont des initiales. Ce sont officiellement celles du « Westland New Post » dans un premier temps. En réalité, le véritable nom de cette organisation était « Westland national socialistische ordnung » (WNSO), en français : Ordre national-socialiste occidental.

Ce WNP/WNSO est alors une organisation secrète, d’inspiration idéologique ouvertement « national-socialiste » (nazie), fondée autour de Paul Latinus en 1979, à partir du Front de la jeunesse (FJ), le plus important mouvement d’extrême droite des années 1970. Le FJ est parrainé par Emile Lecerf, un ancien collaborateur durant l’occupation allemande et directeur, à partir du début des années 1970, du Nouvel Europe magazine (NEM). Ce journal d’ultradroite préconise la création d’un grand parti conservateur de droite avec le CEPIC, l’aile droite du Parti social-chrétien (PSC), et la tendance militariste au sein du Parti réformateur libéral (PRL), dans laquelle se trouvent notamment le général Close, Armand De Decker et Jean Gol.

Le WNP recrutera les radicaux du FJ et d’autres membres des NEM-clubs, les cercles de propagande du journal NEM, mais aussi des activistes d’autres groupuscules d’extrême droite : association païenne Irminsul (Arbre de vie), son unité scoute « Le Phoénix », Europese partij-Parti européen (EPE), Vlaamse militanten orde (VMO), Mouvement social nationaliste (MSN), Zwarte orde-Ordre noir (ZOON)...

(...)

Autre extrait :

(...)

Activistes anticommunistes

Le WNP avait pour mission de travailler comme un service secret parallèle. Dès le début, il fut « infiltré » par la Sûreté de l’Etat et les services de Renseignements militaires belges. Il existait un précédent avec le BND (Bureau national des drogues) de l’ex-Gendarmerie royale de Belgique, dirigé par le commandant François, pour le trafic de drogue.

Beaucoup d’adhérents du WNP ont ainsi été manipulés par les « cerveaux » de l’Ordre pour exécuter qui de basses besognes qui des tests grandeur nature pour lutter contre ladite menace communiste « imminente » et constituer un réseau dormant. Les activistes du WNP étaient de fanatiques activistes anticommunistes. Le recrutement et l’adhésion ne se faisait que par parrainage ou après interrogatoire serré, formation et exercices pratiques. 
La structure clandestine, de type militaire, était composée à la fois de responsables de sections, d’auxiliaires et de structures périphériques :

• BURAFEX Bureau des Affaires extérieures, composé de personnes « au-delà de tout soupçon ». Il donnait l’orientation générale au WNP.

• GAP Groupe d’Action Politique, actif avec des relais notamment au sein de la gendarmerie. Le GAP était notamment en charge de la protection des dirigeants du WNP.

• Trident Groupe restreint au sein du WNP, responsable de la formation des activistes de l’organisation.

• SEREG Service de renseignements du WNP.

• CODI Service chargé de la discipline au sein de l’organisation.

• ...

Mais il y a déjà une rubrique à ce sujet:

michel
Admin

MessageSujet: L'affaire WNP Sam 5 Avr 2008 - 14:46


Pourquoi créer une autre rubrique à ce sujet ?
La promotion de RésistanceS pouvait très bien se faire à la rubrique qui remonte à 2008....   

.