Dossogne, Francis

L'exception qui confirme la règle...

Un candidat qui me paraîtrait bien plus pertinent serait l'ancien membre de Delta Nord (fondé par Latinus), Jean-Marie Paul...

J'aurai dit comme vous EIAE mais il y'a presque 2 fois plus de résultats sur google avec JMP que JMLP.

Hoho a écrit:

J'aurai dit comme vous EIAE mais il y'a presque 2 fois plus de résultats sur google avec JMP que JMLP.

Ah bon? On parle bien de résultats relatifs à Jean-Marie Le Pen?

Avec Google, chez moi cela donne ceci pour "JMP":

Et ceci pour "JMLP"...

en recherchant
"jean-marie le pen" "jmp"
vs
"jean-marie le pen" "jmlp"

Sur le schéma on a simplement les trois lettres "JMP". Cela donne les résultats que j'indiquais.

Google est un bon chien. Si vous lui lancez Jean-Marie Le Pen avec le bâton, il vous ramène l'un ou l'autre, parfois les deux!  

Le problème est que votre requête est pour le moins orientée...

Je constate que même parmi les résultats de votre première requête, sur les six premiers listés, deux (soit un tiers) pointent sur ce forum-ci...

En septième position, il y a une discussion, justement à propos de cette abréviation:

Abréviation "JMP" pour "Jean-Marie Le Pen"

J'ai remplacé dans le corps de l'article l'abréviation "JMP" (???) par "Jean-Marie Le Pen". Je n'ai pas connaissance que cette abréviation soit couramment employée pour Jean-Marie Le Pen. L'article de Wikipedia consacré au patron du FN n'en fait pas mention. Une recherche sur Google ne donne aucun résultat, à la différence des abréviations connues pour des personnalités telles que PPDA, JJSS, BHL...

Réponse : l'abréviation usuelle est JMLP

http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Sophie_Marceau#Abr.C3.A9viation_.22JMP.22_pour_.22Jean-Marie_Le_Pen.22

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Il suffit en effet de faire l'expérience...

https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=PPDA
https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=JJSS
https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=BHL
https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=JMP
https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=JMLP

La seule requête qui ne donne pas en tête des résultats la personnalité recherchée, est celle avec "JMP"...

CQFD!

Orientée, orientée...

Quel article va utiliser uniquement l'abréviation sans le nom complet ?

Il ne faut pas prendre en compte que les premiers résultats. L'ajout du nom complet permet déjà d'exclure toutes les pages d'internet avec JMP et JMLP, car internet ne se limite pas aux abréviations de noms de personnalités francaises.

Je reste sur mon opinion, google étant mon ami depuis très longtemps

Hoho a écrit:

L'ajout du nom complet permet déjà d'exclure toutes les pages d'internet avec JMP et JMLP

Vous ne trompez que vous-même, voyez les résultats de votre propre requête! Les trois premiers mentionnent déjà JMP, ce qui contredit votre affirmation!

On peut jouer au renard qui passe, pourquoi pas, cela rappelle des souvenirs!  

Normal puisque c'est ce qu'on cherche... on exclut les pages JMP et JMLP sans le nom complet associé.

Sur google.fr :

Première requête (avec les double guillemets) : "jean-marie le pen" "jmp" Environ 95 100 résultats

Deuxième requête (avec les double guillemets) : "jean-marie le pen" "jmlp" Environ 57 600 résultats

95 100 > 57 600

cqfd ?

Puisque l'on parle de logique informatique   , ajoutons-y tant qu'à faire, un zeste de mathématiques, histoire de relever le goût! 

Le plus simple est de faire le ratio des nombres de résultats des requêtes "+"jean-marie+le+pen"+"jmp" et "+"jean-marie+le+pen"+"jmlp". (requêtes qui donnent le nombre de résultats pour une correspondance entre chacun des deux termes)

Résultat Google.be avec JMP en second terme: Environ 17.200 résultats (0,20 secondes)
Résultat Google.be avec JMLP en second terme: Environ 83.100 résultats (0,23 secondes)

Le ratio est de 0,20 et des poussières.

C'est donc bien (quasiment huit foix sur dix!) JMLP qui est utilisé le plus communément comme abréviation pour Jean-Marie Le Pen. Mais il est vrai que JMP est parfois utilisé. L'exception qui confirme la règle...

Il y a sans doute aussi d'autres éléments en faveur de l'hypothèse JMP=Jean-Marie Paul. A creuser, peut-être...

 https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2781-paul-jean-marie

Hoho a écrit:

Normal puisque c'est ce qu'on cherche... on exclut les pages JMP et JMLP sans le nom complet associé.

Sur google.fr :

Première requête (avec les double guillemets) : "jean-marie le pen" "jmp" Environ 95 100 résultats

Deuxième requête (avec les double guillemets) : "jean-marie le pen" "jmlp" Environ 57 600 résultats

95 100 > 57 600

cqfd ?

Je vous lis bien, Hoho, mais dans ce cas la formulation de votre requête est incorrecte* (attention avec les guillemets...). Du coup, forcément, les résultats ne correspondent pas à ce que vous recherchez*. Mais comme l'ami Google classe les pages les plus pertinentes en premier, l'erreur n'apparaît pas toujours au premier coup d'oeil. Si ce n'est pas très important (et peut même être utile) dans le cadre d'une recherche ordinaire, cela ne convient plus du tout pour faire des statistiques!

*contrairement à ce que vous souhaitez, vous obtenez parmi les résultats de votre requête les liens de pages qui ne contiennent pas soit JMP, soit Jean-Marie Le Pen. Par exemple (parmi de nombreux autres):
http://www.guitariste.com/forums/amplification,jtm-45-metroamp-et-marshall-plexi,317973.html
http://www.larioja.com/la-rioja/201405/14/ingenieros-sede-proyecto-europeo-20140514005307-v.html
http://www.je-cherche.info/-b%C3%A9ton+estamp%C3%A9+jm

Ceci dit, votre idée de départ était sensée, en ce sens que ma première recherche, un peu rapide, ne permettait pas non plus d'affiner les résultats. Cependant, dans l'optique que vous proposez, la formulation correcte devrait alors être celle que je présente dans mon post précédent, soit "+"jean-marie+le+pen"+"jmp" et "+"jean-marie+le+pen"+"jmlp". Avec le ratio à la clef...

Sommes-nous d'accord cette fois?
En tous cas, merci de m'avoir apporté la contradiction, du coup j'ai moi-même appris quelque chose d'utile, pour de futures recherches!

L'information retenue pas Walter De Bock semble tout-à-fait correcte. Il y a en effet eu un article signé "F.D." dans le "Nouvel Europe Magazine" de mai 1978 et il est très probable que cet article manifestement raciste ne pourrait plus être publié de nos jours... Voici un extrait... il y a quatre pages dans le même style...




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Extrait du carnet de Willy Acke :

https://www.scribd.com/document/328811252/Carnet-de-Willy-Acke




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Dans la "chronologie" de Walter De Bock :

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31.12.80: Eindejaarsgasten van Francis Dossogne:

Francis Dossogne (Le Moniteur de l'Indépendant) nodigt voor oudejaar in de Manhattan Club uit:

Aldo Mungo, Michel Breydel, Luc Beyer de Rycke, Emile Lecerf, Jef Anthierens, M. Michiels, W. Meurrens, Bernard Mercier, André Hermia, Daniël Noël de Burlin, Benoit de Bonvoisin, Jacques Offergeld, Saerens, Jacques Duval, Constant Hubert Maquet (en '79 avocat de P.D.G.), Frank Roels, Karl Delombaerde en professor Jacques Piret

L'enquête criminelle sur les "tueurs du Brabant": enquête parlementaire sur ...
Par Adrien Masset

Ma vie avec Patrick Haemers
Par Peter Boeckx,Denise Tyack

L'avis de Michel Libert sur Francis Dossogne ...

_ _ _

(...)  je l'ai rencontré à plusieurs reprises au moment où je me devais d'être présent dans les murs du Fdj et ai dû subir les propos de comptoir et certains briefings auxquels j'étais convié au même titre que d'autres.

Je ne souhaite pas user de propos désobligeants au sujet de ce triste Sire mais je peux me permettre une diagonale:

... manipulateur, dissimulateur, "intéressé", condescendant.

J'ignore ses autres potentielles et fort probables qualités.

TC

ML

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Note : Michel Vander Elst conduit à Patrick Haemers, Paul Vanden Boeynants, Léon-François Deferm, Michel Nihoul, etc

https://www.youtube.com/watch?time_continue=2191&v=KcY_cy1cRTc

Guère civil
De la gendarmerie à la police unique
Jos Vander Velpen
(1998)

Page 122 :

(...) Le juge d'instruction Jean-Claude Van Espen a néanmoins saisi une série de pièces révélatrices chez le colonel retraité Victor Dossogne, qui n'est autre que le père du dirigeant du Front de la Jeunesse (FJ). Dans un coffre, les enquêteurs ont découvert, entre autres choses, des rapports de réunions du Groupe G. Plus de cent candidats officiers et sous-officiers de l'armée et de la gendarmerie, qui ont fait une carrière plutôt peinarde, auraient, selon le Morgen, été membres du FJ. La commission sur les Tueurs ne se voit cependant communiquer aucune liste de membres.

Un gendarme de la BSR, Guy Goffinon, confirme également l'existence du Groupe G. (...)

https://www.lemonde.fr/archives/article/1978/11/13/des-contre-manifestants-d-extreme-gauche-se-sont-heurtes-aux-forces-de-l-ordre_2996434_1819218.html

Des contre-manifestants d'extrême gauche se sont heurtés aux forces de l'ordre

Publié le 13 novembre 1978 à 00h00

(...)

Dans la salle, pavoisée aux couleurs de plusieurs pays d'Europe, où se côtoyaient les militants du P.F.N. (Parti des forces nouvelles), ceux du Mouvement social italien et du parti espagnol Fuerza Nueva, les orateurs ont fait conspuer le nom du maire de Marseille. Se sont succédé à la tribune, M. Joseph Ortiz, ancien membre de l'O.A.S. ; le général Busson, animateur du P.F.N. à Marseille ; MM. André Dendrinos, dirigeant du Rassemblement national (Grèce) ; Francis Dossogne, président de Forces nouvelles (Belgique) ; Blas Pinar, président de Fuerza Nueva ; Giorgio Almirante, secrétaire national du M.S.I., et Me Jean-Louis Tixier-Vignancour. Les orateurs ont souhaité " la création de milices de défense armées pour lutter contre la violence ", " le retour des travailleurs immigrés improductifs dans leurs pays ", l'installation de " contrepoids " au droit de grève. Les noms de Franco, Primo de Rivera, Robert Brasillach, les Blancs d'Afrique du Sud et les phalangistes de Beyrouth ont été tour à tour acclamés.

(...)

_ _ _

Note : en 1975, le baron Benoît de Bonvoisin avait organisé une rencontre de ce genre dans son château de Maizeret.

De kreeft met de zwarte scharen: 50 jaar rechts en uiterst rechts in België
Etienne Verhoeyen, Frank Uytterhaegen
Masereelfonds, 1982

Daarbij mag ook niet vergeten worden , dat de intussen berucht geworden baron de Bonvoisin ( CEPIC ) althans in 1975 zijn kasteel te Maizeret ( provincie Namen ) ter beschikking heeft gesteld voor een ontmoeting van internationale fascistische organisaties.

https://biblio.ugent.be/publication/4175616/file/4175676.pdf

Op 22 november kwamen onder leiding van Emile Lecerf diverse figuren samen zoals Francis Dossogne, Albert Lambert, Sampayo uit Portugal, leden van het Britse National Front en twee kaders van de Spaanse Fuerza Nueva.

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Joseph Ortiz, surnommé Joey, né le à Guyotville (Algérie) et mort le à Toulon (Var, France), a été le un des leaders des émeutiers de la Semaine des barricades à Alger, avec le député Pierre Lagaillarde, Guy Forzy, Jean-Baptiste Biaggi, Marcel Ronda et le syndicaliste étudiant Jean-Jacques Susini.

Jean Jacques Susini était cofondateur et dirigeant de l'O.A.S.

Jean Jacques Susini a rencontré Amos Spiazzi (notamment le 1 avril 1980), proche de Elio Massagrande et de Gianfranco Alliata di Montereale.

Bonsoir pourriez-vous m aidé à identifié le moustachus à côté de Monsieur dossogne merci

Plus de 2 000 pages et en brésilien...

https://repositorio.pucsp.br/bitstream/handle/26515/1/Rodolfo%20Costa%20Machado.pdf

Machado, Rodolfo Costa.
Por dentro da Liga Mundial Anticomunista – gênese e gestão da WACL: filonazistas, contrarrevolução asiática e o protótipo latinoamericano da Operação Condor (1943-1976)
São Paulo: [s.n.], 2022.
2188p.

(traduction du résumé)

La présente thèse étudie la structure et l'idéologie de la Ligue mondiale anticommuniste (WACL), mais avant d'analyser sa création en 1966 en Corée du Sud et son évolution ultérieure, elle se penche sur les origines lointaines de cette "Internationale anticommuniste" de la guerre froide.

Dans un premier temps, l'ouvrage reconstruit la genèse historique et le profil idéologique des organisations qui ont structuré la WACL par la suite : l'Anti-Bolshevik Bloc of Nations (ABN), une escouade d'anciens collaborateurs nazis d'Europe de l'Est (re)créée en 1946 par les services secrets britanniques (MI6) ; l'Asian Peoples Anti-Communist League (APACL), née en 1954 comme un "fruit mûr" de la contre-révolution capitaliste en Asie du Sud-Est ; la Confédération interaméricaine de défense du continent (CIDC), première alliance d'extrême droite latino-américaine créée en 1954 dans le cadre de l'opération PBSUCCESS, guidée par les États-Unis et la Central Intelligence Agency (CIA), dans le but de légitimer au niveau régional le coup d'État "made in USA" contre le président guatémaltèque Jacobo Arbenz ; et le Comité international pour l'information et l'action sociale (CIAS), un groupe de réflexion créé en 1956 par d'anciens nazis allemands.

Il analyse comment une tentative de création de la WACL a eu lieu au Mexique à partir de l'interaction entre ces quatre organisations, en 1958, et démontre comment cette initiative d'organisation de l'internationalisme anticommuniste de la guerre froide s'est consolidée en Corée du Sud à partir de 1966. En reconstruisant le cycle asiatique des conférences de la WACL (1967 à 1971), il observe la "rotation" de la Ligue vers les Amériques, sous la pression de la visite de Richard Nixon à Pékin et de la détente entre les États-Unis et la République populaire de Chine, qui sera catastrophique pour le Taïwan de Chiang Kai-shek, le centre d'origine de la WACL. Pour en revenir au "spin" vers le continent américain, il s'agit de la création en 1972, au Mexique, de la Confederacion Anticomunista Latinoamericana (CAL), la branche régionale de la WACL en Amérique latine.

En analysant les congrès publics et secrets de la CAL au Mexique (1972), au Paraguay (1973) et au Brésil (1974), ainsi que les conférences de la WACL aux États-Unis (1974) et au Brésil (1975), la thèse met en évidence les liens répressifs entre le complexe WACL/CAL en Amérique du Sud et l'opération Condor (1975), un pacte entre les forces armées régionales visant à surveiller et à réprimer les "subversifs" et les "ennemis internes" des dictatures de sécurité nationale. Il se concentre sur la Société d'études politiques, économiques et sociales (SEPES), le "chapitre" brésilien de la WACL/CAL qui servait de lien "privé" avec les "Condors" et fonctionnait comme une "entité fantôme" contrôlée par le Service national d'information (SNI) de la dictature brésilienne.

D'un point de vue méthodologique, ces réseaux anticommunistes transnationaux ont été reconstitués dans leur concrétude et leur manière d'être à partir de l'analyse de leur genèse historico-idéologique, de leur structure immanente et du rôle qu'ils ont joué dans les luttes des classes politiques et sociales. Outre l'historiographie spécialisée, cette thèse s'appuie sur une myriade de sources historiques, comme les fonds documentaires de la CIA, du SNI et de la police politique "stroniste" - les Archivos del Terror du Paraguay - et les revues de l'ABN, de l'APACL et de la WACL, ainsi que les mémoires des congrès du CIDC et certains documents de la Hoover Institution.

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Page 1736 et note 723 :

(traduction)

Le nouveau président brésilien de la WYACL a remplacé le Guatémaltèque Fernando Ibarra, conseiller de droite de Mario Sandoval Alarcon, vice-président (et chef de l'escadron de la mort) du Guatemala. Ibarra, qui se targuait d'être l'agent de liaison du "puissant patron" guatémaltèque du Movimiento Libertador Nacional (MLN), a participé au troisième congrès de la CAL-Secreta qui s'est tenu en 1974 au sein de l'École nationale de renseignement (EsNI). Durant son mandat de président de la WYACL, Ibarra a travaillé avec le secrétaire général mexicain Javier Aguilar, membre du groupe de jeunes FEMACO/CAL (723).
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(723) Un rapport du Secrétaire général de la WYACL présenté au Conseil exécutif de la VIe Conférence de la Ligue de la Jeunesse à Rio de Janeiro, se référant à la période de la présidence de Fernando Ibarra Escamilla (1974-75), indique que les pays suivants ont été acceptés en tant que "Chapitres nationaux" de la WYACL : Arabie Saoudite ; Autriche ; Arbeitergemeinschaft Deutcher Antikommunist (Horst Ludwig) ; Sri Lanka ; Ceylan (Nanthiri Peruman Sundaram) ; Association de la jeunesse bolivarienne de Colombie (Carlos Albornoz Guerrero) ; Ligue britannique pour la liberté européenne (Caroline Hicks) ; Liban (Mona Chamie) ; The National Forum Youth of South Africa (Rory White) ; The Council of American Affairs (John Carbaug) ; Belgique (Francis Dossogne) ; Équateur (Manuel Alfonso Reyes) ; Egyptian Student Union (Mohamed Esmat Nasr El Shiek) ; Haïti (Jean Edward Bourand Woel) ; Jordanian University Students Association (Jaddan Abassi Mansour) ; l'Alliance populaire de la jeunesse anticommuniste du Mexique (Alvaro Razura) ; la Palestine (Suhil Atlaboni) ; la Fédération des étudiants syriens (Mandouh Fawzi) ; Trinidad Tobago (Licorish Akow Kenrick) ; la Turquie (Mehmet Sipahi Karagoz) ; et le Venezuela (Juan Antonio D'Abreu Alfonso) (HOOVER : HX11.W653.R47.1975F). Toujours sous la direction d'Ibarra, le Fondo Editorial Latinoamericano-FONEL (Arturo Ramirez), le groupe FEMACO/CAL tecos, le Croatian Liberation Movement (HOP) du Venezuela et l'African News Agency du Liban sont acceptés en tant qu'organisations internationales au sein de la WYACL (HOOVER : HX11.W653.R47.1975F, pp. 5-6).