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CS1958




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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyDim 18 Juin 2017 - 15:25

L'affaire Grégory. ses derniers rebondissements. La loi suite du silence pendant 32 ans. Un monde fermé. Tout le monde se protège. Les protagonistes de 72 ans et 86 ans. Les prédateurs en quelque sorte. Pas de bande organisée. Pas de criminalité classique où l'on dénonce facilement. Un petit groupe lié par la loi du silence.
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Frédéric

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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyMar 1 Aoû 2017 - 22:48

Il y a trois ou quatre pistes possibles (que j'ai énumérées sur le forum) et d'autres qui ne tiennent pas au vu des modes opératoires. Quand vous êtes un truand chevronné, vous êtes l'objet de toutes les attentions. Il faut chercher des individus discrets, appartenant à la moyenne délinquance, et insoupçonnables. Circulant discrètement, capables de passer les frontières.

Après la fin des tueries, ceux qui restaient ont commis sans doute des faits de délinquance miteux ou sordides (hold-up de bureaux de poste, etc...).

Un bon logiciel pour recouper les faits et les auteurs.

Les enquêteurs de l'époque (pas ceux d'aujourd'hui) ont sous-estimé les témoignages de témoins présents sur les lieux.
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CS1958




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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyMar 1 Aoû 2017 - 23:42

« Un bon logiciel » c'est-à-dire le profiling, je suis parfaitement d'accord avec vous. J'ai foi en la science. Cela s'appelle pour les férus le positivisme Comtien. Du nom d'Auguste Comte. Ensuite on pourra nous rétorquer qu'évidemment, le profiling n'est pas une science exacte. Pour autant, peut-on nous affirmer les yeux dans les yeux que la médecine est une science exacte ? Cela étant dit, vous imaginez que j'ai beaucoup réfléchi. Ce qui rebute un certain nombre de personnes sur ce forum, c'est le terme « prédateur ». Cela ramène au procureur du roi Depr^tre, et par la force des choses vous ouvrez les hostilités. J'ai donc cherché le terme le mieux adapté. Je vous invite à regarder sur Wikipédia la définition de ce que l'on appelle « un psychopathe ». Je propose donc à l'avenir qu' il ne soit plus question de prédateur mais de psychopathe. Je ne parle pas à la légère. La psychopathie est référencée dans la nomenclature DSM. C'est frappant. Vous avez l'exact reflet à la lecture de ce qui constitue cet objet de discorde autrement dénommé « prédateur ». Rien de me mieux que l'aval de la science.
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CS1958




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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyMer 2 Aoû 2017 - 1:00

Voici me semble-t'il un aperçu de ce qu'est un psychopathe (prédateur)d'après Wikipédia et dites-moi ce que vous en pensez:

Psychopathie





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Ne doit pas être confondu avec Psychose, Psychopathologie ou Psychopathie autistique.

La psychopathie (des mots grecs : psyche, ψυχή (« esprit, âme ») et pathos, πάθος (« souffrance, changement accidentel »1) est un trouble de la personnalité, caractérisé par un comportement antisocial, un manque de remords et un manque de « comportements humains » décrit comme étant un mode de vie criminel et instable. Il n'existe aucun consensus concernant le critère symptomatique et de nombreuses discussions sont établies concernant les causes éventuelles et des possibilités de traitements2.

Il n'y a jamais eu de diagnostic appelé « psychopathie » que ce soit dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (ou DSM) ou la Classification statistique internationale des maladies et problèmes de santé connexes. La première édition du DSM en 1952 avait une section sur les troubles de la personnalité sociopathe, puis un terme général qui comprend des éléments tels que l'alcoolisme ainsi que d'une « réaction antisociale » et d'une « réaction dyssociale » qui seront dans la troisième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-III) attribués au terme de trouble de la personnalité dyssociale (antisociale)3, avec la mise en place d'un critère diagnostique clinique à un critère diagnostique comportemental. Le groupe travaillant sur le DSM-V a recommandé une révision de la personnalité antisociale pour être appelé trouble de la personnalité antisocial/dyssocial. Il y a aussi une suggestion d'inclure un sous-type « antisocial/psychopathique », cependant, il n'en est rien.

Malgré les termes similaires, les psychopathes sont rarement psychotiques4. Les psychopathes ne sont pas tous violents ; ils utilisent la manipulation pour obtenir ce qu'ils souhaitent. En général, ce sont des individus qui se soucient peu de ce que les autres pensent d'eux et les utilisent pour atteindre leur but.

L'évaluation des caractéristiques de la psychopathie sont largement utilisés dans le cadre de la justice pénale de certains pays et peuvent avoir des conséquences importantes pour les concernés. Le terme est également utilisé par le grand public, dans la presse populaire, et dans la représentation fictive des psychopathes5.



Sommaire [masquer]
1 Caractéristiques et instruments de mesure
2 Causes et physiopathologie 2.1 Théories
2.2 Environnement
2.3 Génétique
2.4 Neuroscience
2.5 Neurotransmetteurs et hormones

3 Diagnostic
4 Autres considérations diagnostiques
5 Traitements
6 Prévalence
7 Histoire
8 Médias
9 Notes et références
10 Bibliographie


Caractéristiques et instruments de mesure[modifier | modifier le code]

La psychopathie est le plus souvent évaluée par une échelle de la psychopathie révisée (PCL-R) (en) créé par le chercheur canadien Robert D. Hare, basée sur les critères de Cleckley des années 1940 pionnier des descriptions des traits de la psychopathie et de la recherche sur les criminels et incarcérés les délinquants au Canada. La PCL-R est appelée par certains le « gold standard » dans l'évaluation de la psychopathie. Des scores élevés PCL-R sont positivement associés à des mesures de l'impulsivité, de l'agression, du machiavélisme, au comportement criminel persistant, et négativement avec des mesures de l'empathie et de l'affiliation. 30 sur un score maximum de 40 est recommandé pour que la personne soit désignée psychopathe, bien qu'il y ait peu de soutien scientifique sur ce point de rupture particulier. Les critères du PCL-R ont été conçus pour être divisés en deux. Le premier facteur implique les traits de personnalité interpersonnels ou affectifs (émotion) et des valeurs plus élevées associées au narcissisme et plus faible en empathie ainsi que la dominance sociale et une moindre pondération pour la peur ou la dépression. Le deuxième facteur implique soit des comportements impulsifs irresponsables ou des comportements antisociaux et est associé à un mode de vie inadapté, y compris la criminalité. La « promiscuité sexuelle » et le « nombre d'unions conjugales à court terme » ont parfois été laissés de côté dans ces divisions (Hare, 2003).

Cooke et Michie ont fait valoir qu'une structure de trois facteurs fournit un meilleur modèle que la structure sur deux facteurs. Ces critères strictement relatifs au deuxième facteur du comportement antisocial (la polyvalence criminelle, la délinquance juvénile, la révocation de la libération conditionnelle, les problèmes comportementaux précoces, et les contrôles comportementaux pauvres) ont été supprimés. Les éléments restants sont divisés en trois facteurs : l'arrogance et la tromperie, une expérience affective insuffisante, et un style de vie impulsif et irresponsable6. Hare et ses collègues ont publié des critiques détaillées de ce modèle et argumentèrent qu'il existe des statistiques et problèmes conceptuels7.

Parce que les scores d'un individu peuvent avoir des conséquences importantes pour son avenir avec une nuisance potentielle si le test est utilisé ou employé incorrectement, celui-ci ne peut être considéré comme valide que s'il est effectué par un médecin dûment qualifié et expérimenté dans des conditions contrôlées8. La liste et concept de Hare ont également été critiqués. En 2010, il y a eu une controverse après qu'il fut menacé de poursuites judiciaires qui ont arrêté la publication d'un article des revues sur la PCL-R. Hare a allégué que l'article était mal cité ou paraphrasé. L'article parut finalement trois ans plus tard. Il a allégué que la liste de contrôle est mal considérée par beaucoup comme la définition de base de la psychopathie, mais il laisse de côté les facteurs clés, tout en rendant la criminalité aussi au cœur du concept. Les auteurs ont fait valoir que cela conduit à des problèmes de sur-diagnostic et d'une utilisation abusive de la liste de contrôle pour obtenir des condamnations. Hare a depuis déclaré qu'il reçoit moins de 35 000 dollars par an à partir des redevances associée à la liste de contrôle et de ses dérivés9.

En outre, le concept de la psychopathie de Hare a été critiqué comme n'étant que faiblement applicable à des contextes réels et tendant vers de la tautologie. Il est également dit être vulnérable aux « effets d'étiquetage » ; d'être trop simpliste ; réducteur ; incarnant l'erreur fondamentale d'attribution ; et de ne pas donner assez d'attention au contexte et à la nature dynamique du comportement humain10. Certaines recherches suggèrent que les notations effectuées à l'aide de ce système dépendent de la personnalité de la personne qui la pratique, y compris de sa propre empathie. Un chercheur légiste a suggéré que les futures études doivent examiner la classe sociale, la race et les croyances philosophiques des évaluateurs, car ils peuvent ne pas être informés et promulguer des jugements partiaux de personnes dont le mode de vie en société ou individuel ne suscitent de compréhension ou d'empathie par ces derniers11,12.

Contrairement à la PCL, l'Inventaire de personnalité psychopathique (Psychopathic Personality Inventory (en) PPI) a été élaboré sur des traits de personnalité globale indexés sans se référer explicitement à des comportements antisociaux ou criminels eux-mêmes. Il s'agit d'une échelle d'auto-évaluation qui a été développé dans des expériences non-cliniques (par exemple, les étudiants universitaires) plutôt que des prisonniers, mais peut être utilisé avec celui-ci. Il a été révisé en 2005 pour devenir le PPI-R et comprend aujourd'hui 154 critères répartis en huit sous-échelles. Les scores des critères sont répertoriés en groupe de deux facteurs primordiaux et largement séparé (contrairement aux facteurs PCL-R), plus un troisième facteur qui est largement plus indépendant que les deux autres :
1.Domination sans peur. À partir des sous-échelles d'influence sociale, d'intrépidité, et d'immunité au stress. Associée à moins d'anxiété, de dépression et d'empathie ainsi que la hausse du bien-être, l'affirmation de soi, le narcissisme, et recherche de sensations fortes ;
2.Impulsion antisociale. À partir des sous-échelles du « machiavélisme », de l'égocentrisme, du non-conformiste, de la rébellion, de l'externalisation du blâme, et du manque d'Insouciance et de la planification. Associée à l'impulsivité, l'agressivité, la consommation de drogues, aux comportements antisociaux, un affect négatif, et des idées suicidaires ;
3.Sang-froid. À partir d'une sous-échelle portant le même nom.

Dans son livre The Mask of Sanity (en), Hervey M. Cleckley décrit 16 « qualités communes » qu'il jugeait caractéristique des personnes qu'il nommait psychopathes13 : la liste de Cleckley est constituée sur la base de la liste PCL-R de Hare. Cleckley a indiqué dans la première édition de The Mask of Sanity (p. 257) que ceux qu'il appelait psychopathes étaient « franchement et sans aucun doute psychotiques », contrairement aux classifications ultérieures de cet état en tant que trouble de la personnalité. Il ne les a pas particulièrement décrits comme hostiles ou agressifs, contrairement à des représentations plus sinistres que d'autres ont développé sur eux plus tard7. Il y a quelques tests traditionnels de personnalité qui contiennent des sous-échelles liées à la psychopathie, mais ils évaluent les tendances relativement non spécifiques à un comportement antisocial ou criminel. Il s'agit notamment de le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (échelle de déviation psychotique) ; le California Psychological Inventory (échelle de socialisation) ; et le Millon Clinical Multiaxial Inventory (échelle de trouble de la personnalité antisociale). Il y a aussi le Levenson Self-Report Psychopathy Scale (LSRP) et le Hare Self-Report Psychopathy Scale (HSRP). Cependant, en termes de tests d'auto-évaluation, le PPI/PPI-R est devenu le plus utilisé dans la recherche sur la psychopathie moderne sur les adultes.

Causes et physiopathologie[modifier | modifier le code]

Théories[modifier | modifier le code]

Parmi les théories psychodynamiques et psychanalytiques permettant d'approcher la question de l'étiologie du caractère psychopathique les recherches de Melanie Klein sont parmi les plus significatives14. Klein postule chez le bébé, à partir de ses observations cliniques, deux modalités normales de rapport aux « objets » environnementaux : la position schizo-paranoïde et la position dépressive. Celles-ci seraient liées à une temporalité, que Klein décrit et date d'ailleurs de manière assez précise : la position schizo-paranoïde serait grossièrement liée à la première année de vie, et la position dépressive se mettrait en place progressivement ensuite, vers l'âge d'un an. Le terme de « position » est préféré au terme de « phase » car Klein fait remarquer que la seconde modalité ne viendra pas remplacer la première, mais que, bien plutôt, elles coexisteront et travailleront ensuite côte à côte dans le psychisme[réf. nécessaire].

Dans la position schizo-paranoïde, les objets sont perçus de manière « partielle » - ce sont des fragments corporels (Klein s'attache notamment au rôle du sein maternel - qu'on pourrait d'ailleurs étendre de la même façon au biberon : ce qui est lié à la fonction de nourrissage) considérés, en quelque sorte, de manière simpliste et « manichéenne » : ils sont bons ou mauvais selon qu'ils sont gratifiants ou frustrants. Le nourrisson, par ailleurs, projetterait ses propres pulsions agressives, notamment orales, sur les objets reconnus comme mauvais ; l'archétype du bon objet est ainsi le sein qui apparaît quand le bébé le désire, et le mauvais objet le sein absent ou frustrant. Melanie Klein date vers l'âge d'un an le développement progressif de la seconde modalité de rapport aux objets, la position dépressive, dans laquelle les objets commenceraient à être reconnus de manière plus complexe et élaborée, non plus simplement bons ou mauvais, mais « composés ». En parallèle de cela se développerait progressivement la capacité « dépressive » qui ouvre la possibilité, en quelque sorte, de « s'en faire » (terme concern en anglais) pour les « objets » (le terme « objet » étant utilisé en psychologie psychanalytique dans une large acception qui désigne fréquemment les personnes avec lesquelles on est en relation).

Le bébé, en reconnaissant progressivement la « personne totale » maternelle pourrait alors se reprocher la manière dont il a pu l'attaquer notamment par son avidité orale, en craignant de l'avoir endommagée. Par suite il pourrait adopter des comportements « réparateurs » envers cet objet.

Ce serait donc notamment par des « accidents » et difficultés, dans le fil du développement psychique du jeune enfant, et venant entraver la mise en place correcte de cette « position dépressive », que pourraient survenir des écueils psychopathiques. Suivant ce fil théorique le caractère psychopathique serait donc lié à des difficultés dans l'élaboration de la position dépressive et par suite un « ancrage » relatif dans la position et la modalité schizo-paranoïde, ce qui peut s'avérer éclairant dans les liens que peuvent entretenir caractère psychopathique et paranoïa. Dans le cadre d'une approche psychodynamique le caractère psychopathique apparaît ainsi comme fondé sur des éléments de l'histoire archaïque du sujet, et relevant donc d'un ancrage très profond, sans que cela amène pour autant à penser une totale et absolue fixité ou irréversibilité.

Environnement[modifier | modifier le code]

Une étude a été menée par Farrington concernant des facteurs environnementaux qui peuvent déclencher des traits de psychopathie chez des sujets masculins originaires de Londres âgés entre 8 et 48 ans. Ces facteurs incluent « des parents négligeant leurs enfants, une négligence physique de l'enfant, une rare attention du père pour son enfant, un faible revenu familial, et originaire d'une famille perturbée. » D'autres facteurs significatifs incluent une mauvaise discipline, une famille trop nombreuse, une mère jeune/dépressive, un faible statut social et le mal-logement15.

Il existe également un lien entre la psychopathie et le rejet social. Henry Lee Lucas, un tueur en série et diagnostiqué psychopathe, fut autrefois harcelé lorsqu'il était enfant et expliquait que sa haine envers la société était due au rejet social16,17.

Génétique[modifier | modifier le code]

Une approche pour étudier le rôle de la génétique de la criminalité est de calculer le coefficient d'hérédité. Il décrit la proportion de l'écart qui est due à des facteurs génétiques pour une caractéristique particulière qui diffère entre les individus. La proportion non héritabilité peut être divisé avec « l'environnement partagé » qui représente un facteur non génétique rendant les frères et sœurs similaires tandis que « l'environnement non partagé » est un facteur non génétiques rendant les frères et sœurs différent l'un de l'autre. Les études sur les caractéristiques de la personnalité typique de la psychopathie ont trouvé une influence modéré de la génétique, les deux facteurs dominant du sans peur et de l'impulsion antisocial eux-mêmes modérément influencés par la génétique et ne corrèlent pas les uns aux autres n'indiquant pas des influences génétiques distinctes7.

Le polymorphisme du gène SLC6A4 codant pour le transporteur de la sérotonine a très possiblement un lien avec la démonstration de traits psychopathiques. Les allèles dits longs sont associés avec une transcription accrue du transporteur et les homozygotes de cet allèle démontre des similarités importantes avec les psychopathes18.

Neuroscience[modifier | modifier le code]

Des chercheurs, au moyen de l'imagerie cérébrale ont montré que des psychopathes exposés à des mots comme « viol », « meurtre » et « amour »présentaient une réaction des zones associées au langage et avaient simplement une réponse plus cognitive qu'émotionnelle19. En aucune manière ces résultats n'ont prouvé que les personnes diagnostiquées psychopathes étaient dépourvues d'émotions en raison d'un handicap cérébral.[citation nécessaire] Une étude sur l'empathie menée au début de 2013 à l'Université de Chicago conclut que les psychopathes ne peuvent ressentir d'empathie20. Cette étude menée par imagerie cérébrale sur 80 prisonniers âgés entre 18 et 50 ans20 ne démontrent pas l'existence d'un trouble organique, mais met en évidence que certaines aires cérébrales sont moins actives que chez les non-psychopathes voyant d'autres individus souffrir.

Neurotransmetteurs et hormones[modifier | modifier le code]

Un haut niveau de testostérone associé à un niveau bas de cortisol sont des facteurs. La testostérone est « associée à un comportement d'approche, à une recherche de récompense, et à la réduction de la peur ». Le cortisol est une hormone impliquée dans la sensation de peur et dans les états dépressifs, mais selon certaines études, il diminue « les sensations de peur, la sensibilité aux punitions et le sevrage ». Des études ont conclu que les comportements agressifs et antisociaux sont associés à un haut niveau de testostérone, mais il est impossible de savoir si les psychopathes possèdent ce haut niveau de testostérone. Quelques études ont démontré que la psychopathie est associée à un niveau bas de cortisol21.

Diagnostic[modifier | modifier le code]

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La classification des troubles mentaux, une nosologie ou taxinomie psychiatrique, est un moyen clé pour le domaine de la psychiatrie et autres professions médicales de déterminer les causes et symptômes.

Il existe actuellement deux systèmes établis pour classifier les troubles mentaux — le chapitre V de la Classification internationale des maladies (CIM-10), publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV), publié par l'Association américaine de psychiatrie (AAP). Ces deux listes catégorisent et codifient les troubles de manières distinctes.

Actuellement, la psychopathie est définie par un score : la Psychopathy Checklist de Hare. Cette liste est basée sur 20 éléments de traits de personnalité et de comportements enregistrés, complétée sur la base d'une anamnèse semi-structurée et d'informations collatérales. Toute personne ayant un score suffisamment élevé (dépendant du pays) est considérée comme psychopathe.

Autres considérations diagnostiques[modifier | modifier le code]

Selon Robert Hare, la différence entre psychopathie et sociopathie peut s'expliquer par l'origine du trouble22. La plupart des sociologues, des criminologues et même certains psychologues pensent que le trouble s'explique par l'environnement social et préfèrent parler de « sociopathes ». Ceux qui, comme Hare, pensent que le trouble s'explique par une combinaison de facteurs psychologiques, biologiques, génétiques et environnementaux utiliseront de préférence le terme « psychopathe ».

Selon David Lykken, la psychopathie et la sociopathie sont deux manifestations différentes du trouble de la personnalité antisociale. Il avance que les psychopathes naissent avec des caractéristiques psychologiques particulières comme l'impulsivité ou l'absence de peur, qui les conduisent à chercher le risque et les rendent incapables d'intégrer les normes sociales. Par opposition, les sociopathes ont un tempérament plus « normal » ; leur trouble de la personnalité tient davantage à un environnement social défavorable (parents absents, proches délinquants, pauvreté, intelligence extrêmement faible ou développée). Ces deux troubles de la personnalité résultent d'une interaction de facteurs génétiques et de facteurs environnementaux, mais la psychopathie tient surtout à des facteurs héréditaires, tandis que la sociopathie tient surtout à des facteurs environnementaux23.

Traitements[modifier | modifier le code]

La psychopathie est souvent décrite comme incurable. Le Manuel de psychopathie d'Harris et Rice dit qu'il y a peu de preuves d'un remède ou d'un traitement efficace pour la psychopathie, pas de médicaments pouvant susciter l'empathie, et les psychopathes qui subissent traditionnellement la thérapie par la parole pourraient devenir plus habiles à manipuler les autres et plus susceptibles de commettre des crimes24. La seule étude montrant une augmentation de récidive après le traitement date de 2011 elle avait trait à une rétrospective sur un programme de traitement dans les années 1960 avec plusieurs problèmes méthodologiques susceptibles de ne pas être approuvés aujourd'hui. Certaines études quasi-expérimentales relativement rigoureuses et utilisant des méthodes de traitement plus modernes ont trouvé des améliorations concernant la réduction future des comportements criminels violents, mais aucune ne fut l'objet d'un essai contrôlé randomisé. D'autres études ont montré des améliorations dans les facteurs de risque pour les crimes tels que la toxicomanie. Aucune étude avant 2011 n'avait examiné si les traits de personnalité peuvent être modifiés par ces traitements2. Il a été démontré dans certaines études que les techniques de modification de la punition et du comportement ne peuvent pas améliorer le comportement des psychopathes25.

Prévalence[modifier | modifier le code]

Il est estimé qu'environ 1 % de la population générale serait atteinte de psychopathie26. Une étude britannique de 2009 rapporte 0,6 % en communauté27.

Le psychologue Robert Hare, dans son ouvrage intitulé Without Conscience: The Disturbing World of Psychopaths Among Us, explique que la psychopathie est une prédisposition génétique. Il part du principe que chaque psychopathe (des hommes) ont des relations sexuelles sans protection et, du fait, qu'ils abandonnent rapidement ces femmes, procréent d'une manière plus ou moins élevée. Ces enfants n'hériteraient génétiquement pas de la psychopathie28.

Histoire[modifier | modifier le code]





Walter C. Langer de l'Université d'Harvard a décrit Adolf Hitler comme un « psychopathe névrosé29. »
Le concept actuel de la psychopathie a, d'une manière thématique, été associé aux écrits de Théophraste, un disciple d'Aristote durant la Grèce antique30.

En 1801, Philippe Pinel décrit des patients ayant des comportements impulsifs et autodestructeurs, sans troubles du raisonnement. Il désigne ce syndrome sous le terme de « manie sans délire31. » En 1909, Karl Birnbaum, neuropsychiatre berlinois, intronise le terme « sociopathie », dans le but de décrire les causes sociales du comportement antisocial32. Le masque de la normalité, d'Hervey M. Cleckley, publié pour la première fois en 194133, est un ouvrage qui expose le cas de plusieurs individus (majoritairement des prisonniers) qualifiés de psychopathes par Cleckley. Cleckley propose 16 types de psychopathie34.

Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, publié par la Association américaine de psychiatrie, incorpore de nombreux concepts de personnalité psychopathe/sociopathe/antisociale dans ses premières versions mais, depuis le DSM-III en 1980, le terme de trouble de la personnalité antisociale est utilisé pour décrire la psychopathie. Cette décision est basée sur le critère mis en avant par le docteur Hervey M. Cleckley (dans son ouvrage Le masque de la normalité). La CIM de l'Organisation mondiale de la santé incorpore un diagnostic similaire de trouble de la personnalité dyssociale. Le DSM et la CIM expliquent que la psychopathie (ou sociopathie) sont synonymes de leur diagnostic.

Médias[modifier | modifier le code]

Le film The Corporation fait intervenir des interviews de dirigeants de grandes entreprises et associe leurs réponses sur la gestion d'une société aux points caractérisant la psychopathie dans le DSM. De la construction du film, il ressortirait que la grande entreprise prise comme individu se comporterait comme une personnalité psychopathe, alors même que ses dirigeants sont exempts de cette caractéristique[réf. nécessaire].

Dans un registre voisin, la série Profit illustre comment un psychopathe doué exploite le monde des affaires.

Le documentaire Je suis un psychopathe, tourné en 2009 par Ian Walker, suit Sam Vaknin au cours de ses démarches diagnostiques. Ce documentaire montre toute la puissance de manipulation de ce type de personnalité35.

La série télévisée Dexter présente le personnage Dexter Morgan comme un tueur en série psychopathe travaillant pour la police de Miami. Son trouble de la personnalité est dû à la mort violente de sa mère Laura Moser, tuée à la tronçonneuse par trois hommes devant lui alors qu'il avait 3 ans et son frère Brian Moser, 8 ans, qui devint aussi à son tour psychopathe et tueur en série, pour se rapprocher de son frère après son adoption par la famille Morgan.

La licence Blade Runner contient un Test d'empathie Voight-Kampff, qui détecte l'absence d'affect chez les répliquants.

Notes et références[modifier | modifier le code]

1.↑ « Dictionnaire médical en ligne (étymologie de psychopathie) » [archive], sur Médicopédia (consulté le 12 janvier 2012).
2.↑ a et b (en) J. Skeem L., Polaschek, D. L. L., Patrick, C. J., Lilienfeld, S. O., Psychopathic Personality: Bridging the Gap Between Scientific Evidence and Public Policy, vol. 12, 15 décembre 2011, 95–162 p. (DOI 10.1177/1529100611426706, lire en ligne [archive]).
3.↑ « World Health Organization ICD-10 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
4.↑ (en) What "Psychopath" Means, Scientific American (lire en ligne [archive]).
5.↑ Matt DeLisi, « The Hannibal Lecter Myth: Psychopathy and Verbal Intelligence in the MacArthur Violence Risk Assessment Study », Journal of Psychopathology and Behavioral Assessment, vol. 32, no 2,‎ nan undefined nan, p. 169–177 (DOI 10.1007/s10862-009-9147-z, lire en ligne [archive]).
6.↑ (en) David J. Cooke et Christine Michie, « Refining the construct of psychopathy: towards a hierarchical model », Psychological Assessment, vol. 13,‎ 2001, p. 171-88 (PMID 11433793, DOI 10.1037/1040-3590.13.2.171).
7.↑ a, b et c Robert D. Hare et Craig S. Neumann, « Psychopathy as a Clinical and Empirical Construct », Annual Review of Clinical Psychology (en), vol. 4,‎ 2008, p. 217–46 (PMID 18370617, DOI 10.1146/annurev.clinpsy.3.022806.091452, lire en ligne [archive]).
8.↑ Hare, R. D., & Neumann, C. N. (2006). The PCL-R Assessment of Psychopathy: Development, Structural Properties, and New Directions. In C. Patrick (Ed.), Handbook of Psychopathy (p. 58-88). New York: Guilford.
9.↑ (en) Minkel, JR. Fear Review: Critique of Forensic Psychopathy Scale Delayed 3 Years by Threat of Lawsuit [archive] June 17, 2010.
10.↑ (en) Glenn D. Walters, « The Trouble with Psychopathy as a General Theory of Crime », International Journal of Offender Therapy and Comparative Criminology, vol. 48, no 2,‎ 1er avril 2004, p. 133–148 (PMID 15070462, DOI 10.1177/0306624X03259472).
11.↑ (en) Psychopathy: A Rorschach test for psychologists? [archive] 2011 by Karen Franklin, Ph.D. in Witness.
12.↑ A. K. Miller, « On Individual Differences in Person Perception: Raters' Personality Traits Relate to Their Psychopathy Checklist-Revised Scoring Tendencies », Assessment, vol. 18, no 2,‎ 9 mars 2011, p. 253–260 (PMID 21393315, DOI 10.1177/1073191111402460).
13.↑ Cleckley, ~ klockstone/sanity_1.pdf The Mask of Sanity: Une tentative de clarifier certaines questions au sujet de la soi-disant personnalité psychopathique [archive] p. 338-339 (5e éd.).
14.↑ (en) « Brief Review of the History of Psychoanalytic Perspectives on Schizophrenia June 3, 2006 » [archive], sur http://www.isps-us.org [archive], 3 juin 2006 (consulté le 26 avril 2013).
15.↑ (en) Patrick, Christopher J, Handbook of Psychopathy, Guilford Press, 2005, p. 234, 240..
16.↑ Robert D. Hare, Without Conscience: The Disturbing World of the Psychopaths Among Us, New York, Guilford Press, 1999 (ISBN 1-57230-451-0).
17.↑ Shirley Lynn Scott, « What Makes Serial Killers Tick? » [archive], truTV.com (consulté le 10 janvier 2013).
18.↑ (en) Glenn AL, « The other allele: exploring the long allele of the serotonin transporter gene as a potential risk factor for psychopathy: a review of the parallels in findings », Neurosci Biobehav Rev, vol. 35, no 3,‎ 2011, p. 612-20. (PMID 20674598, PMCID PMC3006062, DOI 10.1016/j.neubiorev.2010.07.005, lire en ligne [archive] [html]) modifier.
19.↑ (en) Hare, Babiak. Snakes in Suits. page 184.
20.↑ a et b (en) « Psychopaths' Brains Aren't Wired To Show Empathy, Study Finds » [archive], sur Huffington Post, 24 avril 2013 (consulté le 26 avril 2013).
21.↑ DOI:10.1016/j.psc.2008.03.004.
22.↑ (en) Robert D. Hare, Without Conscience: The Disturbing World of Psychopaths Among Us, (New York: Pocket Books, 1993) page 23.
23.↑ (en) David T. Lykken, The Antisocial Personalities (1995).
24.↑ Grant Harris et Marnie Rice, « Handbook of Psychopathy », Treatment of psychopathy: A review of empirical findings,‎ 2006, p. 555–72 (ISBN 9781593855918, lire en ligne [archive]).
25.↑ Grant Harris, Marnie Rice et Christopher Patrick, Handbook of Psychopathy : Treatment of psychopathy: A review of empirical findings, 2006, p. 555–572.
26.↑ (en) Neumann Craig S. et Hare Robert D., Psychopathic traits in a large community sample: Links to violence, alcohol use, and intelligence, vol. 76, 2008, 893–9 p. (PMID 18837606, DOI 10.1037/0022-006X.76.5.893) A summary of one of Hare's books [archive].
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28.↑ (en) Hare R., Without Conscience, The Guilford Press, 1999, 70, 166–177 p. (ISBN 1-57230-451-0, lire en ligne [archive]).
29.↑ (en) Langer, Walter C., The Mind of Adolf Hitler: The Secret Wartime Report, New York, Basic Books, 1972 (ISBN 978-0-465-04620-1), p. 126.
30.↑ (en) Millon Theodore, Roger D. Davis, Disorders of Personality: DSM-IV and Beyond, New York, John Wiley & Sons, Inc., 1996 (ISBN 0-471-01186-X), p. 430.
31.↑ « Qu'est-ce qu'un psychopathe ? » [archive], sur Pour la science (consulté le 12 janvier 2012).
32.↑ (de) Über psychopathische Persönlichkeiten. Eine psychopathologische Studie, 1909.
33.↑ (en) Cleckley, M.D. Hervey, The Mask of Sanity, Mosbey Medical Library, 1982 (ISBN 0-452-25341-1).
34.↑ (en) Meloy J. Reid, The Psychopathic Mind: Origins, Dynamics, and Treatment, Northvale, NJ, Jason Aronson Inc., 1988 (ISBN 0-87668-311-1), p. 9.
35.↑ Ian Palmer, « Je suis un psychopathe - videos.arte.tv » [archive], sur videos.arte.tv, 2 août 2012 (consulté le 2 août 2012).

Bibliographie[modifier | modifier le code]
(en) Blair, J. et al. 2005: The Psychopath - Emotion and the Brain. Malden, MA: Blackwell Publishing, (ISBN 978-0-631-23335-0)
(en) Hervey Cleckley The Mask of Sanity: [archive] An Attempt to Reinterpret the So-Called Psychopathic Personality, 5e édition, revised 1984, PDF file download.
(en) Kevin Dutton (en) (2012) The Wisdom of Psychopaths (ISBN 978-0-374-70910-5) (en) Claudia Wallis, « Of Psychopaths and Presidential Candidates » [archive], sur Scientific American, 12 août 2016 (consulté le 14 octobre 2016)

(en) Robert Hare, Without Conscience: The Disturbing World of the Psychopaths Among Us, New York, Guilford Press, 1999 (ISBN 1-57230-451-0)
(en) Paul Babiak & Robert D. Hare. Snakes in Suits: When Psychopaths Go To Work. [archive] HarperCollins, New York, NY. (ISBN 978-0-06-114789-0)
(en) Oakley, Barbara, Ph.D., Evil Genes: Why Rome Fell, Hitler Rose, Enron Failed, and My Sister Stole My Mother's Boyfriend. [archive] Prometheus Books, Amherst, NY, 2007, (ISBN 1-59102-665-2).
Michael H. Thimble, F.R.C.P., F.R.C. Psych. Psychopathology of Frontal Lobe Syndromes.
(en) Widiger et al. Thomas, Personality Disorder Interview-IV, Chapter 4: Antisocial Personality Disorder, Psychological Assessment Resources, Inc., 1995 (ISBN 0-911907-21-1)
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arthur29923




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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyMer 2 Aoû 2017 - 5:22

vous parler de l affaire gregory

ça me fait penser au action gechem de dutroux

la firme ou travaille m ville main
LE 05/10/1993
https://www.lesechos.fr/05/10/1993/LesEchos/16490-056-ECH_le-groupe-bertrand-faure-va-restructurer-sa-filiale-autocoussin-industrie.htm

(...)
l'unité de La Chapelle, qui produit essentiellement des mousses polyuréthane entrant dans la fabrication des sièges arrière.
--

MERCREDI, 3 NOVEMBRE, 1993
L'HUMANITÉ
AGE de vingt-six ans en 1984, Jean-Marie Villemin était contremaître à l'usine Autocoussin de La Chapelle-devant-Bruyères

juge lambert (11 livres ecrit je crois); le titre de son dernier polar aurais pu etre ;
"Quatre lettres pour un suicide"

dans cette affaire aussi des gendarmes jouent des drôles de rôles... (mort de laroche)

et sous ses aspect de "clan" elle fait  penser a la tuerie d auriol .
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CS1958




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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyMer 2 Aoû 2017 - 8:20

Non,non, je parle bien du profil des tueurs.
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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyDim 28 Fév 2021 - 15:29

Le 28 février 2021, dans un fil traitant de la présence - ou non - desdits 'Bo.rains' à Nivelles lors des faits au Colruyt, 'bernard1957' a écrit:

en vrai rien ne porte à croire qu'il s'agit de terrorisme dans toute cette histoire. mais c'est juste mon avis.

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1064-les-borains-etaient-ils-a-nivelles#129584

> Wait and see, la piste de "prédateurs" va reprendre de la vigueur bientôt : j'ai pêché 2-3 éléments de toute première b..rre. (bien) mieux que du Bou.ten e tutti quanti : du factuel.

Mais cela ne s'expose pas en trois phrases + "enter" dans une zone de composition de forum.
Car après qu'un domino tombe, d'autres dominos, puis d'autres encore tombent........
Certains nouveaux sont d'ailleurs tombés ce matin encore ....

Wait and see
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MessageSujet: Re: DES PREDATEURS ?   DES PREDATEURS ? - Page 7 EmptyLun 12 Avr 2021 - 18:42

À défaut d'une piste simplement appelée "banditisme" (donc non "Grand banditisme", qui existe), le présent fil me semble le plus approprié.

Observons combien la montée subite de la violence que le Belgique a connue en 1985, dans la série de faits attribués aux tueurs du Brabant, ne "passe pas" ! Au point que l'on a répété jusqu'à présent le même mode d'approche : du haut vers le bas. Certes dans une nouvelle variante à chaque fois, mais en conservant le même principe
: partir d'une 'gande étiquette', avec tout le contexte "tout prêt, tout chaud" qui lui est propre,
dont voici quelques exemples :
- WNP
- Eurosystème
- Be.lliraj
- Bou-Beij
- Chantage DLZ, (de retour en ce moment)....
- .....

puis tenter d'établir des liens entre la "grande étiquette" choisie et les faits connus.
Mais attention, sélection obligatoire : tout ne pourra rentrer dans les cases !
Au point que la série de faits tdB sera même carrément remise en question en tant que telle.
exemples :
- on coupe en vague 1 / vague 2 (donc (pseudo)tdB v1.0 puis (pseudo)tdB v2.0)
- voire, on dépèce carrément  : les amateurs de champagne d'un côté, un peu de "Borains", mais aussi une prétendue équipe qui aurait fait semblant d'être les tdB à partir d' "Ohain" .....et enfin, les gros durs, les fous (les vrais, car les autres ne l'étaient qu'à moitié) en 1985....
Sans oublier que 'Temse' aurait été erronéement attribué aux tdB....
OU même que toutes ces pièces de puzzle ne seraient compatibles entre elles que via des commanditaires chapeautant le tout et/ou la mise à disposition d'un "pot d'armes" dans lequel les différents protagonistes, perçus comme très hétérogènes, seraient venus emprunter leurs armes quand leur tour viendrait

Bref, que n'a-t-on pas tenté comme contorsions pour maintenir coûte que coûte cette approche-là ???

Au lieu de regarder les faits DE PRÈS (!) et admettre qu'il puisse n'y avoir aucune grande étiquette à coller à tout cela, et que l'on n'ait eu à faire qu'à une bande d'invidivus atypiques, dans la plupart de leurs caractéristiques et dans leur façon d'agir.
En gardant à l'esprit, bien-sûr, que les prétendus "couacs bizarres" qui alimentent la suspicion depuis si longtemps sur certains aspects des faits, n'ont pu être qu'amplifiés et/ou déformés avec le temps. Si toutefois ces couacs en étaient bien initialement, avant que la rumeur collective (et les "grands écrivains") ne les assaisonne à sa manière.

Quand on regarde les faits et qu'on fouille suffisamment, les couacs - même s'ils s'avéraient réels - peuvent attendre....
On ne peut de toute façon pas faire mentir les faits au point que tant de gens le prétendent.
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