Bultot:Le livre que personne n'a osé publier,lien du blog

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D'accord, vous débarquez: vous êtes en retard d'un guerre!



IL CONTESTE SA BIOGRAPHIE ROMANCEE JEAN BULTOT SE RACONTE,MAIS NE SE RECONNAIT PASLALLEMAND,ALAIN

Page 20

Vendredi 22 septembre 1995

Il conteste sa biographie romancée

Jean Bultot se raconte,

mais ne se reconnaît pas

Dans la noria de créatures improbables charriées par l'actualité judiciaire de la Belgique des années quatre-vingt se trouve un ancien directeur de prison dont le rôle exact, sinon le nom lui-même, échappera à tout lecteur de moins de trente ans : Jean Bultot.

Bultot, c'est l'interminable dossier des «tueurs du Brabant wallon», une escapade vers le Paraguay et l'Afrique du Sud puis un retour forcé mais mythique vers les terres de Belgique, dans une «cage» aménagée tout spécialement, dans le ventre d'un C-130.

Cette vie peu commune aurait mérité une biographie, mais cette dernière était tout aussi improbable que son sujet principal : bien peu de gens ayant connu un parcours similaire à celui-là peuvent se targuer de disposer d'une plume envolée; plus essentiellement encore, la mystique et l'affabulation sont chez eux monnaies courantes mais contrefaites. Jean Bultot, s'étant frotté à l'autobiographie - un manuscrit existe, «l'homme traqué» -, a dû admettre son échec. Et tout biographe qui aurait tenté de dépasser ce premier jet se serait de toute façon heurté aux retenues et libertés historiques que le principal intéressé n'aurait pas manqué de s'accorder.

Peut-être la seule issue résidait-elle alors, quoique le genre soit forcément détestable, dans la rédaction d'un roman à clés s'appuyant sur la relecture romanesque d'une vie dont l'intérêt résidait davantage dans sa globalité que dans des détails évanescents et de pure circonstance. C'est le pari qu'a relevé un nouvel auteur, Michel Jaspar, 51 ans, ancien pilote de ligne, lequel a publié en début de mois chez Quorum (Ottignies-Louvain-la-Neuve) une biographie romancée de Bultot intitulée «Carnet de balles». Sur base du manuscrit original de Bultot, d'entretiens avec l'intéressé et de divers autres documents, Michel Jaspar tente une approche globale, agréable, forcément lisse mais lisible d'un itinéraire complexe. En un an et demi, le travail a donc été rapidement emballé, quoique sans légèreté.

Ce livre n'est pas l'oeuvre d'un seul homme, il est la résultante d'un contrat explicite, couché noir sur blanc entre le narrateur et le scribe, chacune des deux parties gardant toute liberté pour l'une de raconter à sa manière, pour l'autre de coucher sur papier cette fable selon son inspiration littéraire et sa conviction d'homme informé.

Le produit, semble-t-il, n'a pas eu l'heur de plaire à Jean Bultot, lequel a pourtant eu le loisir d'en lire le manuscrit et de le corriger préalablement à l'impression. D'Afrique du Sud, il se manifestait ce lundi par télécopie en affirmant notamment que Monsieur Jaspar dénature complètement certains de mes propos et aussi certaines paroles de mes amis; il met en outre dans ma bouche des phrases injurieuses pour les surveillants de prison, pour les avocats et les magistrats. À l'en croire, le procès menace.

Une brouille bien prévisible entre un auteur et son sujet, dont notre confrère René Haquin rappelle, en préface de ce livre précisément, quelques traits explicites de personnalité : Bultot est un incorrigible bavard doublé d'un insupportable Calimero qui hurle à l'injustice dès que se referment sur lui les ressorts de pièges tendus par le faisceau de ses fanfaronnades et de l'amalgame d'indices découverts sur ses propres traces, qu'il a lui-même semés. Comment ne pas lui souhaiter désormais... bonne récolte ?

ALAIN LALLEMAND


Michel Jaspar, « Carnet de balles. Tribulations d'un geôlier en cavale», éd. Quorum, Ottignies-LLN, 304 p.

Merci monsieur Dislaire,en retard d'une guerre,en effet...
Il faut dire aussi que le forum est bien fourni,j'ai trouvé son récit passionnant et j'ai cru bon poster le lien...

A l'avenir je ferai plus attention,encore merci

Non, David, vous n'êtes pas en retard d'une guerre.
Le lien que vous renseignez est bien celui du manuscrit original de Jean Bultot.
Ce que Jean Bultot conteste est la version romancée de Michel Jaspar .
Pour avoir lu les deux, je constate en effet des différences, même si certains passages sont de véritables recopiage, les noms sont aussi changés, ce qui n'est pas le cas dans le manuscrit original.

David a écrit:

Merci monsieur Dislaire,en retard d'une guerre,en effet...
Il faut dire aussi que le forum est bien fourni,j'ai trouvé son récit passionnant et j'ai cru bon poster le lien...

A l'avenir je ferai plus attention,encore merci

Il est bien certain que dans "carnet de balles" l'histoire a été romancée ce qui fait perdre de sa crédibilité. Je ne prendrai que le chapitre sur les geôles Paraguayennes qui est un copier-coller de "Midnight Express"Bultot s'est fait entubé en confiant son manuscrit. En fait il s'est toujours dit spolié de son ouvrage.

L'irruption d'Henry qui se veut bien sûr contrariante ne fait que renforcer et l'article d' Alain Lallemand et mon constat: c'est parler pour ne rien dire.
Dans le texte que j'ai survolé pour vous répondre il faut reconnaître que les promenades sentimentales la main dans la main au bord d'un lac africain bucolique avec sa Dodo adorée, ex épouse du procureur Claude Leroy, n'apporte rien aux affaires. Et me fait sourire pour avoir vécu chez moi, en direct, la fin chahutée de l'idylle de nos deux tourtereaux déjantés.

apres une message sur site sur les papiers et telecommandes retrouvé ds le bois de houssieres

je me suis resolu a finalement lire l'ouvre de bultot

en partant des photo's des telecommandes sur killersbrabant je ne vois pas comment on a pensé à bultot

aucun video- telecommande là dedans. puis pour les papiers aucun lien je pense

par contre ds son bouqin il fait des erreurs.

le frère de mendez a déclaré que son frère faisait référence à VDB et pas à GOL qui retourne souvent comme accusé  ds cet oeuvre de Bultot.

interessant est qu'il met bien des dates sur les differentes épisodes mais il fait un erreur je pense ds les dates du proces  de leroy car il avait

-planifié un voyage en paraguay et de l'autre coté il voulait absolument suivre le proces leroy !
c'est comme si il planifie ce voyage pour fair ....aider à fuir ...Leroy ?

il a probalement écrit son bouqin a l'aide de plusieures agenda's de rendez vous et comme cela il peut se construire un alibi pour le donner à son advocat qui le defendait je pense , >>tout à fait normal donc .

mais regarde son bouqin sur sa première mention de van Esbroek :

Citation :

Au Réveillon de Noël (25 decembre 1984), j'aurai la surprise d'être invité au restaurant le MACON par FREDDY GODEFROID. Il est heureux et libre. Nous devisons joyeusement pendant le réveillon et je me ramasse même une joyeuse cuite. En face de moi, son ami de longue date, toujours souriant et affable : LEOPOLD VAN ESBROEK.

il le déclare comme ami de long date de FREDO et il laisse van Esbroek expliquer

et il se laisse entrainer ds l'aventures des controles des obligations volées ce qu'il ignore naturellement et se fait donc berner par ce van esbroek , malin.

mais Bultot fait l'innocent là :

il connait tres bien van Esbroek donc aussi son réputation car


1.-Van Esbroek a  été plusieures fois en tôle ds son prison a st gilles (source doc parlement comm1) et pag177 les tueurs dupont et ponss:

Citation :

le 18 aout 1976 2 ans pour faux et écrit , vol qual et rec.(trop tot)
mais aussi
le 15 janvier 1981 : 15 mois pour idem et
le 18 janvier 1982 : 26 mois pour idem
ala sortie  quand  il rejoint  une bande spec ds le vol de sigarettes (tiens comme le pere L ? )une activité pas encore connu quand il est arreté le 12 mars 1985 etc

2.-Van Esbroek a été sorti de son prison st gilles sur demande de ce godfroid par congé exceptionel
donnée par Bultot (source pag 178 dupont et ponssaers) pour l'assister sur ces recherches de BEERSEL2 et les TBW
Van Esb  était l' indic attitré (primes d'assurances) de ce Fredo

3.-Van Esbroek declare a une date inconnu  que c'est fredo qui a organiser ce BEERSEL2 car il y habitait que à deux cents mètres etc  (source beetgenomen)


on peut donc extrapoler possiblement

car tout ce beau monde connait bien L-pere
oui celui là qui ds Masset est situé comme celui qui cherche une numero de immatriculation d'un VW golf ...que on retrouve sur celui de van camp repeinte

utilisé à ...BEERSEL et vu a jambes le , derrière le coin de la rue de DAVE. et avenue bourgemestre Materne à Jambes...etc

capice ?


question est de con -firmer si entre Nivelles où van Esbroek a joué une rôle en aidant destaercke, fraichement échappé de Tournai , se cacher chez un des Papadoupolos et le moment soi -disant où van Esbroek était en tôle à st gilles (début novembre 1983 ?)
si ce van esbroek etait vraiment en tôle à st gilles ou y était en semi liberté comme destarcke etait aussi au moment de l'arrestation de van esbroek et bultot apres l'histoire des obligations (mars 1985) moment à lequel destarcke decide soudainement de ne pas revenir en tôle ... car devenu riche ....si les obligations qui venait de lui étaient banqable.

c'est cette échange des obligations manquée  , qui fait que dest. lance ue contrat sur la tête de B.

Ramadan previent B une semaine après  la fête de sortie de B vers sept 1985

ce qui mènent au bataille entre le mousse et rama puis des balles ds la bastingue de mouss , puis la mort de rama et la mise a feu de son ancien café etc


question qui est ce baron Frederic de Disb. copain de popol et qui donne un 9mm Tanarmi pour les préparatif de l'évasion du sciècle de Tournai qui se passe en fine , d'une autre façon .pag179

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t180-de-staercke-philippe

Seigneur j'aurai du lire ce texte plus tôt... Désolé mais vous vous trompé royalement sur beaucoup de faits ou peut être vous êtes mal renseigné ?
Van esbroeck Leo