Degrelle, Léon

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Moi, fuhrer des Wallons!
De Eddy de Bruyne




(...)



(...)



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Une réaction de Michel Libert

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Merci 
 
Je ne connaissais rien du périple de JRD. De plus, cette littérature n'est pas du tout ma tasse de thé (lol).
 
A la lecture de ces morceaux choisis, sans aborder des domaines par moi méconnus, le nom de Hagemans me parle (personnage cité par mon Papa quand j'étais encore «adolescent maison»).
 
Un autre souvenir surgit encore lié à cette époque. Mon Papa participait annuellement à un bal dans une grande salle de fête située quelque part près de la gare centrale. S'y retrouvaient ses anciens collaborateurs et compagnons de front, des membres des Forces armées (dont des Gendarmes qui venaient fréquemment rendre visite au commerce - le Comptoir Janine) et des invités de la liste politique de celui que Papa traitait de «Le Patron» (VDB) lors de ses interventions radiophoniques).
 
TC
 
ML
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Voir :

Extrait du livre "In Memoriam : Léon Degrelle et le Rexisme" (éditions de la Toison d'Or, 1995)

https://www.scribd.com/document/431987533/Entretien-Avec-Jean-Robert-Debbaudt-60-Ans-de-Militantisme-Rexiste

Entretien avec Jean-Robert Debbaudt - 60 ans de militantisme rexiste





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Dans le même livre 

"In Memoriam : Léon Degrelle et le Rexisme" (éditions de la Toison d'Or, 1995)

un texte de Guy de Liedekerke :





(…)



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Un article signé Serge Dumont dans "Le Vif/L'Express" du 8-14 avril 1994 :










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Un extrait plus complet que ci-dessus...











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http://www.cegesoma.be/docs/Invent/AA_166.pdf






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https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k297181x/texteBrut

1932/12/18 (Numéro 353)  (...)

En l'église de Mozet (Belgique), a été célébré jeudi, en présence d'une nombreuse assistance, le mariage de la comtesse Andrée de Liedekerke, fille de feu le comte Robert de Liedekerke et de la comtesse, né Balisaux, avec M. Gustave Bosquet, fils du lieutenant-colonel et de Mme Bosquet.

La jeune mariée portait une sobre robe de charmeuse blanche avec voile de tulle, garnie de magnifiques dentelles anciennes. Les comtesses Hélène et Marie-José de Liedekerke, cousines de la mariée, habillées de velours rouge garni de fourrures, étaient ses demoiselles d'honneur.

La mariée fut conduite à l'autel par son frère le comte Guy de Liedekerke.

Reconnu dans l'assistance et à la réception donnée au Girembois: prince et princesse de Bethune-Hesdigneul, marquis et Mlle.Imperiali, Mme Beipaire-Woestej:cafnte.et comtesse Henri de Liedekerke, Mme Bosquet, comte et comtesse Gastôti; de Liedekerke et leurs filles, comte et comtesse Guy de Beauffort, comte et comtesse de Montlivault, comtesse Georges de Beauffort, comtesse Albert de Beauffort, comtesse Jean de Beauffort, baronne de Lhodeux, comtesse d'Aspremont Lynden, Mme Paul Terlinden, Aille de Coninck de Merckem, baronne de Cartuyvels de Collaert, Mme Jean de Gerlache, Mme Wasseige, comte Raymond d'Ansembourg, Mme van de Kerchove, comte John Cornet d'Elzius de Peissant, comtes Georges et Yves d'Oultremont, comte et comtesse Guillaume de Liedekerke, capitaine de Posch, baronne André Rolin, baronne Blanche de Wôelmont, etc.

M. et Mme Gustave Bosquet s'embarqueront le 12 janvier pour le Congo.

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La mère du comte Guy de Liedekerke était Nicole de Briey.

https://www.dhnet.be/actu/faits/tueries-du-brabant-le-concierge-de-l-auberge-du-chevalier-un-ami-de-degrelle-5a4286ddcd7083db8b385c56

Tueries du Brabant: le concierge de l’Auberge du Chevalier, un "ami" de Degrelle

Gilbert Dupont   Publié le samedi 27 janvier 2018 à 12h35

Il y a eu 35 ans samedi, le 2e des 28 crimes des tueurs du Brabant. Curieuse victime, un grand admirateur du chef rexiste.

Les faits, en bref. Le 23 décembre 1982 - il y a donc 35 ans, samedi dernier - a été tué le concierge de l’Auberge du Chevalier à Beersel, restaurant connu situé près du château. José Vanden Eynde, 72 ans, a été torturé : brûlures de mégots, coups violents à la tête, battu et 6 à 8 balles tirées dans l’oreille gauche. Il était en slip, chevilles et poignets liés dans le dos. Sur place, les auteurs ont consommé alcools et gibier et volé des bouteilles de vin (grands crus) et - allez savoir pourquoi - une pile d’assiettes décoratives.

L’enquête. L’arme, de calibre 22, a servi à de nombreuses reprises, dès le fait suivant, attribué aux tueurs du Brabant, l’assassinat du chauffeur de taxi Angelou. À la différence de la plupart des victimes des tueries qui se trouvaient au mauvais moment au mauvais endroit, cet acharnement et ces tortures montrent que José Vanden Eynde pourrait n’avoir pas été tué par hasard : pour une fois, il y aurait un lien. Lequel ? Interrogé en janvier 1985, donc après réflexion, son fils Marc Vanden Eynde a eu cette réponse sibylline : "Une vengeance d’Espagne". Lors d’un entretien en 2003 avec la DH, Marc Vanden Eynde, toujours, n’a pas caché les sympathies d’extrême droite de son père ni ses liens avec Léon Degrelle, le chef nazi belge qu’il aurait côtoyé avant-guerre - ils auraient même koté ensemble à Leuven - à l’UCL.

Selon son fils, Vanden Eynde et Degrelle s’écrivaient régulièrement. Son père conservait le courrier et des archives dans une valisette noire, une Samsonite qui ne le quittait jamais. La deuxième victime des tueries est la seule à avoir été tuée de façon si particulière. À la question : qui en voulait à ce point à son père, le fils de la victime répond : "une vengeance d’Espagne". Degrelle vit à l’époque à Fuengirola.

Le témoignage. Pour la première fois, un ancien proche de Degrelle s’exprime : Siegfried Debbaudt, fils de Jean-Robert Debbaudt (mort en 2003), l’héritier politique de Rex. À l’époque, Degrelle et les Debbaudt sont quasi voisins. C’est Siegfried qui apporte son courrier à Degrelle.

Siegfried Debbaudt réfute les allégations de Marc Vanden Eynde. Pour lui, son père "ne faisait pas partie de l’entourage ni proche ni lointain de Degrelle. J’ai vérifié : inconnu au bataillon". Siegfried Debbaudt dément que Degrelle et Vanden Eynde aient pu s’écrire "tous les 15 jours". Le fils Debbaudt "exclut un lien direct entre les deux hommes. Ce M. Vanden Eynde n’était pas dans l’intimité de Degrelle". Selon lui, impossible que José Vanden Eynde ait été détenteur d’archives, listings et documents compromettants liés à Rex ou à un réseau de nostalgiques. Pour Siegfried Debbaudt, Degrelle suivait de près ce qui se passait en Belgique. "Je lui apportais les journaux. Degrelle lisait absolument tout".

Dès le 26 décembre 1982, la presse rapporte (avec détails) l’assassinat du concierge de l’Auberge du Chevalier. Selon Debbaudt, Degrelle n’a pas réagi, ce qu’il eut fait immanquablement s’il s’était agi d’un proche.

Et si Degrelle s’informait sur les tueries du Brabant, Siegfried Debbaudt assure qu’on ne l’a jamais entendu développer une théorie. Même après la découverte plus tard à Uccle d’un document l’accusant d’en être à l’origine via un groupe jamais identifié, dénommé VDO. Une commission d’enquête allait regretter plus tard que la piste n’avait pas fait l’objet d’un contrôle systématique. Et ce fut tout. Cela n’alla pas plus loin que des regrets.

Le temps, dit le procureur Christian De Valkeneer, aide à délier les langues : pour la première fois, un proche de Degrelle acceptait de parler. Fausse piste, selon lui.

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Voir

https://www.rtbf.be/emission/devoir-d-enquete/detail_devoir-d-enquete-2-reportages-le-sixieme-jure-et-les-bebes-softenon-ont-50-ans-extraits?id=3771623

LE SIXIEME JURE.

Jugé en cour d'assises pour le meurtre de sa petite amie, l'inculpé - que de fortes présomptions accusent - bénéficie pourtant de la clémence des jurés. Quelques années pus tard, l'un des jurés - le sixième - révèle à un journaliste comment il s'y est pris pour emporter cette décision. L'équipe de ''Devoir d'Enquête'' a retracé les périples de cette étrange histoire, pour tenter d'en comprendre le sens. Robert Neys et Jean Pierre Grombeer ont rencontré les enquêteurs, les avocats, les proches de la victime. Jusqu'aux questions finales, sur le rôle et les motivations du sixième juré...

_

Le "sixième juré", c'est "S.D.", pour Siegfried Debbaudt... Il s'est probablement réjoui de cette occasion de manipuler le justice de son pays... D'où la prudence nécessaire pour évaluer ses déclarations sur l'Auberge des Chevaliers...

Waarom de moordenaar van Barbara Van Oordt tot zijn eigen verbazing vrijuit ging

De Morgen - 24 Jan. 2009

(...)  Nummer zes is een 41-jarige welbespraakte man in maatpak, die vijf jaar na datum in de dure bistro op de Zavel zwierig de rekeningclaimt en pas aan het eind van een urenlang gesprek zijn motieven verraadt. "Het is iets wat is gebeurd toen ik tien was", zegt S.D."Mijn vader werd gearresteerd. Door een onderzoeksrechter. Die stopte hem een paar weken onschuldig in de gevangenis. Hij is daarna nooit meer dezelfde geweest.  (...)

HERVE a écrit:

cet acharnement et ces tortures montrent que José Vanden Eynde pourrait n’avoir pas été tué par hasard

Surtout si on lui vole LA mallette   à laquelle il tenait tant...
Une vengeance d’Espagne ca ne tiend pas si on considère une faction rivale qui ne voulait pas qu'il reviennent lui faire de l'ombrage.
C'est même un bon mobile d'éliminer tout ce qui pourrait permettre son retour puisque l'émergence politique du mouvement "Wallon"qui est en cours

connaitre la wallonie a écrit:

le Ministère de la Région wallonne se met en place à partir de 1983. Au 1er janvier 1983, l’État central entame en effet le transfert du personnel qui passe sous l’autorité de l’Exécutif wallon.

C'est même très étrange que les TBW figurent sur cette ligne du temps....Même si "rien" à propos de 1985
(case bleu foncé "justice et société")  
http://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/histoire/timeline

http://www.resistances.be/9904a3.html

Un héritier de Degrelle au Blok

(...)  En 1962, on retrouve Debbaudt parmi les participants d’un camp international organisé par la WUNS, l’Union mondiale des nationaux-socialistes (2). Quelques années plus tard, il devient l’animateur de l’antenne belge du « groupe Paladin », un réseau international de recrutement de mercenaires qui apporte un soutien logistique au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), organisation dissidente de l’OLP qui mène des actions terroristes (3). Très présent sur la scène néonazie internationale, Debbaudt fourmille également de projets pour la Belgique. (...)

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Sur "Paladin" :

http://referentiel.nouvelobs.com/archives_pdf/OBS0515_19740923/OBS0515_19740923_115.pdf

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paladin_group

(...)  Le groupe était composé d'anciens membres de l'OAS, du SAC, de la Légion étrangère, d'anciens parachutistes et autres aventuriers. Outre l'Espagne, il était lié avec de nombreux pays fascisants, tels que le Portugal de Salazar ou le régime des colonels en Grèce, ainsi que l'Italie et les groupuscules néofascistes impliqués dans la stratégie de la tension aux côtés du réseau Gladio. Le groupe possédait également des bureaux à Zurich, en Suisse  (...)

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Un témoin affirme que Stefano Delle Chiaie (dont le contact en Belgique était Jean-Robert Debbaudt) a rencontré Guillaume Vogeleer à Bangkok avec RIchard J. Slott. C'est intéressant parce que Guillaume Vogeleer connaissait la pègre belge et les mercenaires ("Soldier of Fortune") ; il a également travaillé pour la DIA et a eu pour ami Charles Masy.

Intéressant de noter qu'il y a une page Wikipedia sur Charles Masy ... en allemand ...

https://de.wikipedia.org/wiki/Charles_Masy

(...)  Dans les années 1970 et 1980, Masy exploitait le bar La Renaissance à Bruxelles, mieux connu des clients habituels sous le nom de Simba Bar, car elle était apparemment le seul restaurant servant de la bière Simba en dehors du Katanga.  (...)

Note : Guillaume Vogeleer était également en contact avec le BND du commandant François ... Il pouvait donc être connu des gendarmes qui gravitaient dans ou autour du BND.

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tueurs-du-brabant-un-ancien-enqueteur-interpelle-pour-etre-auditionne?id=10131415

(...)  F.A (François Achten) a été membre de l'ancien BND, le bureau National des drogues de la gendarmerie où il a travaillé avec les anciens gendarmes Madani Bouhouche et Robert Beijer, des gendarmes condamnés en 1995 pour de multiples crimes et délits. Rien n'a été reproché à l'époque à F.A qui a été transféré à la BSR de Hal.  (...)

https://sites.google.com/site/tueriesdubrabant/beersel82

(au sujet de Beersel)

(...)  Le juge d'instruction bruxellois Kesteloot, qui a été chargé du dossier le jour du meurtre, a déclaré devant la deuxième commission Tueurs de Brabant wallon qu'il collaborait dans ce dossier avec un adjudant de la BSR de Halle, François Achten, qui venait de la BSR de Bruxelles, où il fréquentait Madani Bouhouche et Robert Beijer.  Kesteloot a également déclaré que pendant un an, à la demande du procureur du Roi de Nivelles, Jean Deprêtre, il n'a pas pu traiter le dossier, alors que personne d'autre n'en était chargé. Lorsqu'il a voulu préparer son témoignage devant le parlement, il s'est aperçu qu'un procès verbal important avait disparu de son dossier !

Marc : "Il y a bien pire encore ! Les enquêteurs qui travaillent actuellement sur le dossier nous ont conseillé de déposer une plainte contre leurs collègues de l'époque, parce qu'ils avaient bousillé l'enquête. Il semble qu'ils n'aient rien entrepris, rien ! Ils n'auraient même pas d'empreintes digitales !  (...)

A lire sur le site de RésistanceS

Le cerveau du « casse de la rue Haute », Serge de Thibault de Boesinghe, a été condamné, en 1982, à cinq ans de prison. Il s’était déjà enfui lorsque le tribunal ordonna son arrestation immédiate. Dans les années soixante, de Thibault militait dans l’organisation Jeune Europe. Dans les années septante, il devint membre d’une organisation néonazie internationale, le Nouvel Ordre Européen, et milita dans la branche belge du mouvement, avec l’ancien combattant du Front de l’Est et rexiste, Jean-Robert Debbaudt (ndlr : aujourd’hui, membre du Vlaams Blok et proche du Bloc Wallon ; à lire sur notre sitel). Ce dernier était très lié à Léon Degrelle, l’ancien chef de Rex et général SS réfugié en Espagne. Lors d’une perquisition au domicile de Serge de Thibault, on trouva des emblèmes nazis et du courrier montrant qu’il était lui aussi en contact tr ès étroits avec Léon Degrelle. Certains allèrent même jusqu’à affirmer qu’une partie de l’argent (du « casse de la rue Haute ») avait pris la route de l’Espagne pour rejoindre le « beau Léon ». Au moment de sa condamnation, Serge de Thibault était le vice-président d’un groupe d’extrême droite, la Ligue civique belge. La justice vient semble-t-il d’accorder à Serge de Thibault de Boesinghe la révision de son procès sur la base des rétractions tardives d’un de ses accusateurs

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La Judéophobie des Modernes: Des Lumières au Jihad mondial
De Pierre-André Taguieff




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Le croissant et la croix gammée: les secrets de l'alliance entre l'Islam et le nazisme d'Hitler à nos jours
Roger Faligot, Rémi Kauffer
Albin Michel, 1990 - 308 pages



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Le monde vu de la plus extrême droite: Du fascisme au nationalisme ...
De Nicolas Lebourg



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https://www.economicsvoodoo.com/wp-content/uploads/DISSERTATION-The-Black-Terrorist-International-Neo-Fascist-Paramilitary-Networks-Strategy-of-Tension-in-Italy-1968-1974_Jeffrey-Bale.pdf

(...)   New European Order

In September 1951, a mere four months after the close of the Malmo conference,
Amaudruz and Binet presided over an international gathering of unrepentant Nazis and
neo-Nazis in Zurich. In the course of this three-day conference, which was ostensibly a
meeting of the Fourth Plenary Session of the so-called "national pioneers", the
groundwork for a new fascist "international" was laid. Among the prominent attendees,
other than Amaudruz and Binet, were a certain Berti from the Centro Studi Europei in
Trieste, Vollenweider from the Volkspartei der Schweiz/Parti Populaire Suisse, and Fritz
Rossler from the German SRP. A delegation from Portugal arrived to "observe" the
proceedings, and messages of solidarity were sent to the participants by militants from
Belgium (Wallonia), Austria, Norway, Ireland, and England.108 At the conference, the
various delegates worked to establish a rudimentary organizational structure and hammer
out an ideological manifesto, and in the end both differed significantly from the
approaches adopted by the MSE/ESB. Amaudruz was elected Secretary General of the
organization, and several "adjunct secretaries" responsible for different language regions
were appointed to assist him, including former Belgian SS man Jean-Robert Debbaudt,
ex-SS man Jean Baumann, and several Italians. Unlike the MSE/ESB, however, the
NOE/ENO made no attempt to set up its own national sections in different countries.
Since new organizations of this type could be viewed as unwelcome rivals by existing
neo-Nazi groups in each nation, the leaders of the new international decided to establish
close working relationships with the latter, which later chose "national correspondents"
to serve as liasons to the loosely-structured parent body. By the early 1960s, these liason
men included Debbaudt in Belgium, Baumann in Germany, Van Tienen in the
Netherlands, Clementi in France, Giuseppe ("Pino") Rauti in Italy, and Zarco Moniz
Ferreira in Portugal.

From an ideological point of view, the chief element in the NOE/ENO’s program
was an explicit and pronounced emphasis on biological racism. This is hardly surprising,
given the views of Amaudruz and Binet, its two main theorists. Amaudruz was bom in
Lausanne in 1920 and later became both a professor of languages and the personal
adjutant of Colonel Arthur Fonjallaz, an admirer of Mussolini’s who had founded the
Schweizerische Faschistische Bewegung in 1933. However, Amaudruz himself was not
so much an enthusiast of Italian fascism as a racial extremist and an admirer of Nazism,
and after the war he actively propagated "social racist" doctrines in a series of
publications.110 Binet, whom his rival Bardeche later described as a "fascist of the
puritan type", was born in Saint-Nazaire in 1914. He had been a militant in communist
(Jeunesses Communistes) and Trotskyist (Groupes d’Action Revolutionnaire) circles
during his youth, but between 1934 and 1939 he developed a bitter hostility toward both
the Jews and the Soviet Union. After joining the French army and being captured by the
Germans during the 1940 campaign, he voluntarily entered the ranks of the French 33rd
SS "Charlemagne" Panzergrenadier Division. When the war ended, he was among the
first of the diehards to form new fascist parties and publications, and even found the time
to write three booklets outlining his biological racist viewpoints.111 These men helped
to draft the ideological pronouncements of the NOE/ENO, which were codified in the
so-called "Zurich Declaration" and the "Social-Racist Manifesto" which emerged in the
wake of the organization’s first congress.

(...)
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https://books.openedition.org/pur/46753?lang=fr

(...)

Une structure internationale en soutien aux activistes italiens ?

(...)  La proximité entre l’Aginter presse et Avanguardia Nazionale est en outre confirmée par la saisie, en 1975, dans une planque d’AN à Rome, d’une carte de l’Aginter presse, datée du 21 décembre 1971, au nom de Giovanni Martelli, collaborateur accrédité, portant la photo de Stefano Delle Chiaie et signée par Yves Guérin-Sérac. L’Italien a par la suite assuré que cette carte avait été antidatée et qu’il ne l’avait obtenue qu’en 1974. Lors de cette perquisition, un agenda, vraisemblablement imprimé en Espagne et susceptible d’avoir appartenu à Stefano Delle Chiaie, voyait figurer dans ses pages les noms et coordonnées de deux membres de l’Aginter presse – Raingeard de la Bletière et Robert Leroy – parmi d’autres membres de premier plan de l’extrême droite française ou francophone des années 1970 : Yves Bataille, Francis Bergeron, Maurice Bardèche, Gaston Amaudruz, Jean-Robert Debbaudt, Henry Coston, Joël Freymond, Saint-Loup, Saint-Paulien, Jacques Bonomo et Romain Spazziari – codification maladroite de Delle Chiaie pour masquer ses relations avec Albert Spaggiari

Vincenzo Vinciguerra va plus loin. Il mentionne l’existence d’une structure de droite formée majoritairement d’ex-membres de l’OAS qui aurait constitué un réseau de soutien logistique sur le territoire français. Elle aurait permis à toute personne souhaitant traverser le territoire français dans la clandestinité de le faire sans laisser de traces. Selon le responsable de la strage de Peteano, cette structure aurait été dirigée par Jean-Jacques Susini : à titre d’exemple, Vinciguerra affirme que, lors de l’arrestation du député du MSI Sandro Saccucci, en 1976 à Bayonne, celui-ci avait pu être libéré grâce à l’intervention de Susini. Vincinguerra n’est pas le seul à mentionner l’implication directe ou indirecte de Jean-Jacques Susini, étroitement lié au SAC de la région marseillaise, dans cette saison d’attentats qui marque l’histoire italienne des années 1970. (...)

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Intelligences secrètes: Annales de l'espionnage
De Fabrizio Calvi, Olivier Schmidt





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HERVE a écrit:

Une structure internationale en soutien aux activistes italiens ?.

Junio Valerio Borghese dit "le prince noir",  en exil également en Espagne après le coup d'Etat avorté de 1970 en Italie.

Citation :

Dans ses mémoires, l'ancien directeur de la CIA William Colby écrit que le coup d'État aurait été organisé par la CIA, sur ordre direct du Président Nixon. Selon lui l'auteur de l'énigmatique coup de téléphone faisant avorter l'opération aurait été Nixon en personne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Junio_Valerio_Borghese#Apr%C3%A8s_la_Seconde_guerre_mondiale

Pour info ;
La libre, publié le mardi 26 octobre 2010 à 04h15 - Mis à jour le mardi 26 octobre 2010 à 04h15

Citation :

Décédé samedi à Namur à l’âge de 95 ans, le baron Albert Mélot aura vraiment tout entrepris pour que la démocratie l’emporte sur le nazisme : après avoir été actif dans le renseignement, il s’occupa d’une filière d’évasion de la ligne Comète qui le fit atterrir dans les geôles espagnoles. Il en sortit pour franchir la Manche et rejoindre les Forces belges où il s’entraîna comme parachutiste pour s’enrôler dans les "Special Forces". Parachuté le 10 avril 1944 à Somme-Leuze, il devint officier de liaison de l’Armée secrète.
.../...
Après le conflit, il devint juge au tribunal de Namur avant de revenir dans l’actualité en août 1958 comme acteur d’une tentative d’enlèvement de Léon Degrelle en Espagne. Ce fut l’échec mais Albert Mélot ne rentra pas dans le rang : en 1960, il fut envoyé au Congo comme juge puis comme adjoint militaire pour le Katanga. En 1972, Albert Mélot avait dû mettre fin à sa carrière comme vice-président du tribunal de première instance pour des raisons de santé, étant invalide de guerre à 100 %. Tout logiquement pour tous les services rendus en 40-45, Albert Mélot avait été anobli en 1975.
https://www.lalibre.be/belgique/il-a-voulu-enlever-degrelle-51b8c6d8e4b0de6db9be2aa5

De mémoire, il y a eut 3 tentatives d'exfiltrations dont 2 "belges"

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L'Orchestre noir: Enquête sur les réseaux néo-fascistes
De Frédéric LAURENT







(...)



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Malgré la faute d'orthographe, on retrouve Jean-Robert Debbaudt.

Il est aussi question de Hans Lenzlinger.




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https://www.lesoir.be/art/le-papa-brichet_t-19961025-Z0CUA9.html

Le papa Brichet va à Strasbourg 

Mis en ligne le 25/10/1996

Ce jeudi, Me Jean-Marie Arnould, avocat de Francis Brichet, le papa d'Elisabeth, disparue en 1989 à Namur, a annoncé que son client avait introduit un recours devant la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg. Francis Brichet réclame la modification de la législation sur le secret de l'instruction vis-à-vis des victimes et de leurs familles. Ce pourvoi a été effectué sur base de trois arguments : d'une part, le non-respect du délai raisonnable; d'autre part, le non-respect du droit à l'information; et, en dernier lieu, le traitement inhumain dégradant. (Belga.)

Demande d'entraide suisse

Berne a confirmé qu'une demande d'entraide judiciaire a été adressée aux autorités belges dans l'enquête sur le meurtre en 1979 de Hans Ulrich Lenzlinger, un Zurichois spécialisé dans le passage à l'ouest de ressortissants de l'ex-bloc soviétique. Or, selon «L'Hebdo», de Lausanne, l'homme abattu aurait été en relations d'affaires avec un marchand bruxellois lui-même lié à Jean-Michel Nihoul, l'un des principaux complices présumé de Marc Dutroux. (Belga.)


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Les plastiqueurs
Frédéric Charpier
(2018)




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Il est aussi question du groupe Paladin dans

https://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf





On retrouve Jean Vincent Martini dans

http://cras31.info/IMG/pdf/puigantich-heinzchezletatetlarevolution-t3.pdf

(article très probablement de 1974)






Une critique de l'article de Libération : 

http://www.la-presse-anarchiste.net/spip.php?article213


Jean Vincent Martini serait un des assassins du commissaire Luigi Calabresi (17 mai 1972).

Sur Luigi Calabresi, voir

https://fr.wikipedia.org/wiki/Piazza_Fontana_(film)

https://www.youtube.com/watch?v=9JNfrLbd8TQ

(surtout à partir de 24'20")

Jean Vincent Martini a-t-il connu Jean-Robert Debbaudt au sein de Paladin en Belgique ?

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The Beast Reawakens
De Martin A. Lee

adresse du paladin groupe a bxl ci dessus (1974 ?)33 rue du congres
a deux pas de la bsr

La gendarmerie de la rue de Louvain était, après la caserne du boulevard général Jacques, la plus grande de Bruxelles. Y était notamment installée la B.S.R. (Brigade de surveillance et de recherches)

http://www.reflexcity.net/bruxelles/communes/ville-de-bruxelles/pentagone/quartier-notre-dame-aux-neiges/rue-de-louvain/forum

pour info

Mis en ligne le 1/09/2010

Nouvelle expulsion, dans le centre de Bruxelles. Hier, peu avant 9 heures, une vingtaine de Pakistanais (tous des hommes) ont été délogés par la police du 33 rue du Congrès, dans le quartier de Notre-Dame-aux-Neiges, dans le Pentagone. L’expulsion s’est faite sans incident.

Ces Pakistanais (des Pachtounes ?) proviennent de vallée proche de la frontière pakistanaise, ce qui peut laisser penser qu’il ne s’agit pas de réfugiés économiques. Certains d’entre eux sont à Bruxelles depuis des années. Toujours est-il que, repoussé par Fedasil, le groupe avait occupé illégalement un immeuble de la rue Belliard, dans le quartier européen jusqu’à la semaine passée (ils en ont été expulsés le 24 août). Ils se sont alors rendus à l’église de Gesu (Saint-Josse) où se déroule pour l’instant une autre occupation (légale cette fois), mais ne sont pas restés. C’est ainsi qu’ils sont parvenus à s’introduire dans l’immeuble de la rue du Congrès, qui n’est autre que l’ancien siège bancaire Empain, construit en 1879 dans un style éclectique par Joseph Naert. Un bâtiment classé en 2005.

Cette occupation s’est faite dans des conditions correctes, semble-t-il. Mais elle a tourné court ce mardi, lorsque la police a débarqué, accompagnée d’un huissier tenant en main une ordonnance judiciaire. Vers 9 h, le bâtiment était évacué puis gardé pour en interdire.

Les Pakistanais peuvent compter sur l’aide de groupements. Ils ont été dirigés...
(...)

https://www.lesoir.be/art/bruxelles-pakistanais-expulses-rue-du-congres_t-20100901-011JZL.html

Sur Jean Vincent Martini (groupe Paladin en Belgique, selon Patrice Chairoff) :




Pourquoi avoir assassiné le commissaire Calabresi (17 mai 1972) ? Un lien avec l'attentat de la piazza Fontana (12 décembre 1969) ?
 
Jean Vincent Martini devait bien connaître Stefano Delle Chiaie (qui a fondé Avanguardia Nazionale en 1960).
 
Ce dernier était en contact avec Jean-Robert Debbaudt.


Il faut noter que ce qu'a écrit Patrice Chairoff (https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Chairoff) ne correspond pas à ce que dit Wikipedia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Luigi_Calabresi


Il va falloir continuer à chercher...


Ecouter aussi :

https://www.europe1.fr/emissions/Au-coeur-de-l-histoire/aux-origines-des-annees-de-plomb-lattentat-de-la-piazza-fontana-rediff-3915471


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Dossier néo-nazisme
Patrice Chairoff
(1977)




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Patrice Chairoff parle du "BND-bis". A la page 135 de son livre :

"Il existe au sein du BND un "service parallèle", qui fait pendant au "SID parallèle" du général Vito Micelli, service dépendant directement de la Centrale d'espionnage de Pullach près de Munich, sous le contrôle personnel de Dieter Blötz, alias Jan Helmers.

A Rome, les hommes du "BND-bis" utilisent comme camouflage une SARL d'import-export dont le siège est situé via G. Cuboni. Cette société a, à plusieurs reprises, fourni des couvertures tant à des spécialistes du "Groupe Paladin" qu'à des journalistes-barbouzes des agences de presse "Aginter" et "World Service". Les experts du "secteur italien" du BND-bis sont au nombre de trois : Herbert Schlesinger, Erik Mullinken et Vladimir Penkowski (…)"

Vladimir Penkowski serait un ancien lieutenant du MAD.

Cela fait penser à Michel Libert.

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L'interprétation de Patrice Chairoff est reprise dans

https://libcom.org/library/appendix-d-why-pinelli

Extrait :

According to Chairoff, BND II is in fact the West German section of the secret intelligence organisation within NATO, the Italian section of which was the Rose of the Winds. In 1977 the BND II was allegedly controlled from the main espionage centre at 33 Heilmannstrasse, D-Pullach bei Munchen, by one Dieter Blotz (a.k.a. Jan Helmers). In Rome the parallel BND operated (1977) under the cover of another export-import agency in the Via G. C-boni, an address which also provided cover for the Paladin group, Aginter Press and World Service (Chairoff, as has been mentioned, actually ran the Athens-based World Service under the noms-de-guerre of Dr Siegfried Schoenenberg and N. Kalchi).

Il est question de Dieter Blotz dans

Secrets of Signals Intelligence During the Cold War: From Cold War to ...
publié par Matthew M. Aid, Cees Wiebes




http://www.sprengsatz.de/?tag=dieter-blotz

(...)  Pendant la période de la coalition sociale-libérale (1969-1982), le Service fédéral de renseignement (BND) a tenté de s'ouvrir aux médias et de devenir plus transparent. Il a donc invité des journalistes au siège du BND à Pullach près de Munich. L'ouverture a été initiée par Dieter Blötz, politicien du SPD à manches chemises, qui est devenu vice-président en 1970 et est tombé sur une relation avec un subordonné en 1979. (...)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

Selon Patrice Chairoff, Aginter Press et le groupe Paladin avaient le soutien (au moins en Italie) du BND-bis lié à l'OTAN. Le BND lui-même est issu de l'organisation Ghelen contrôlée par les USA. A l'époque, le BND était basé à Pullach, près de Munich.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Service_f%C3%A9d%C3%A9ral_de_renseignement