Degrelle, Léon

On retrouve Léon Degrelle dans le document suivant





qui se trouve sur

http://www.unla.edu.ar/greenstone/collect/archived/index/assoc/HASH0112/b450bdc2.dir/doc.pdf

et sur

http://studylib.es/doc/6350638/el-documento--formato-pdf-

A noter :

Argentina: Adolfo Savino, Suarez Asín, Ricardo Otero


Politique hebdo, Numéros 134 à 155

(...) nomination de Adolfo Savino, ex-ambassadeur en ltalie et grand ami de Giorgio Almirante - leader du MSl - au ministère de la défense (...)

_ _ _

Membre de la loge P2 (comme Cesar de la Vega) :

Operación Primicia: El ataque de Montoneros que provocó el golpe de 1976. El ...
De Ceferino Reato




_ _ _

A noter : dans la lettre ci-dessus, on retrouve Josè Antonio Giron de Velasco qui a protégé Léon Degrelle, comme on peut le voir dans

http://www.elmundo.es/suplementos/cronica/2007/606/1180821605.html

(...)  El caso más espectacular lo protagonizó, a juicio del profesor Collado Seidel, Léon Degrelle, líder del movimiento belga nazi Rex y jefe de la Legión valona de las Wafen-SS. En 1944 aterrizó con un destartalado avión en la playa de La Concha en San Sebastián. Tras un tira y afloja con los aliados, Degrelle se instalaría en Marbella bajo la protección del falangista José Antonio Girón de Velasco. No sería el único nazi destacado que acabaría en la Costa del Sol. Collado incluye en su lista a Hans Hoffmann, el intérprete de Joachim von Ribbentrop, ministro de exteriores de Hitler. Acabó sus días en la costa malagueña convertido en un próspero promotor inmobiliario.

_ _ _

Il y aurait donc un lien indirect entre Léon Degrelle et la WACL.

Pour information

http://resistances-infos.blogspot.com/2018/04/siegfried-debbaudt-condamne-deux-ans.html

Siegfried Debbaudt condamné à deux ans fermes

[RésistanceS.be – 15 mars 2018]

ECHOS DE LA COUR D'APPEL DE BRUXELLES – Le petit-fils d’un lieutenant de Léon Degrelle avait frauduleusement organisé son insolvabilité, après avoir été déjà condamné pour violation du secret de la délibération d’un jury d’assises –

PAR JEAN-PIERRE DE STAERCKE

Jean-Robert Debbaudt est le premier activiste négationniste qui s’est manifesté en Belgique, dans les années ’70. Ses écrits seront d’ailleurs censurés. Cet ancien lieutenant de Léon Degrelle, qui avait combattu à ses côtés dans la légion SS Wallonie, intégrée à l'armée allemande sur le front de l'Est, avait reçu la Croix de fer, décernée par le Troisième Reich.

En 2003, son petit-fils, Siegfried Debbaudt, né en 1967, fut le sixième juré dans un procès d’assises qui, contre toute attente, s’était conclu par un acquittement. Les preuves réunies contre l’accusé étaient légion. Dans un contexte passionnel, un homme était accusé d’avoir occis son ancienne petite amie. Son empreinte ADN avait notamment été relevée sur le couteau maculé du sang de la victime. Malgré tous ces éléments matériels, la relaxe de l’accusé avait triomphé.

Jury manipulé

Deux ans et demi plus tard, Siegfried Debbaudt se lâchera devant Douglas De Coninck, journaliste au quotidien De Morgen. Et ce fut le tollé. Avec une arrogance peu commune, il avait avoué, sans détour, qu’il avait manipulé le jury pour prononcer l’acquittement de l’accusé. Le score avait été de six – six, cette parfaite égalité se concluant pas un acquittement. Au cours de l’interview, Debbaudt avait méprisé les autres jurés et il était fier de leur avoir fait avaler ses couleuvres.

En regard du secret auquel il était tenu et qu’il avait pourtant violé, il fut condamné à une peine d’emprisonnement de trois mois avec sursis et à une amende ferme de 1.375 euros. Pour expliquer son geste, il disait avoir voulu venger son grand-père qui avait subi les foudres de la Justice.

L’intéressé s’était déjà fait remarquer en 2003, par un ignoble canular. Lors du décès de Jean-Robert Debbaudt, il avait fait publier des avis nécrologiques dans la plupart des journaux, indiquant que le disparu fut un héros pendant la Seconde Guerre mondiale et qu’il avait notamment été décoré par la croix de fer.

Sinistre canular

Les jeunes soiristes, de permanence dans les rédactions, n’avaient pas relevé le sinistre bobard. Il faudra vingt-quatre heures pour rétablir la vérité dans les colonnes des différents journaux.

Mais, au début des années 2010, Siegfried Debbaudt se manifesta à nouveau par des délits de droit commun, comme des chèques sans provision, l’organisation frauduleuse de son insolvabilité, le dépouillement de sociétés en faillite comme la SA Château Lambert, des détournements et d’autres infractions liées à la faillite de ses entreprises, se moquant bien des curateurs et des créanciers !...

Le tribunal correctionnel l’avait condamné à douze mois d’emprisonnement avec sursis et, immédiatement après ce prononcé, l’une des sociétés grugées ainsi que le procureur du Roi avaient relevé appel.

Changement de ton

Cette fois, les juges du deuxième degré de juridiction ont frappé fort, ce 14 mars, en condamnant le prévenu à deux ans de détention ferme et à une amende de 5.500 euros, sans davantage de sursis.

Le « sixième juré » n’était présent ni devant le tribunal, ni devant la cour d’appel. S’il le souhaite, il pourra tenter de faire opposition à sa condamnation pour être rejugé en sa présence, mais depuis l’arrivée du ministre Koen Geens à la Justice, les conditions pour recevoir l’opposition sont devenues draconiennes.

https://www.dailymail.co.uk/news/article-6345751/How-Hitlers-favourite-Nazi-commando-saved-Mussolini-fortress-farmer-Ireland.html

Hitler's favourite commando... and his celebrity life in Ireland: How Nazi nicknamed Scarface who led mission to save Mussolini became 'feted by Dublin social glitterati'

(...)

http://www.histoireebook.com/index.php?post/Narvaez-Louise-Degrelle-m-a-dit

Auteur : Narvaez Louise (Duchesse de Valence)
Ouvrage : Degrelle m'a dit...
Année : 1961

Lien de téléchargement : Narvaez_Louise_-_Degrelle_m_a_dit.zip

_ _ _

L'Orchestre noir: Enquête sur les réseaux néo-fascistes
De Frédéric LAURENT

https://www.independent.ie/irish-news/the-nazi-thug-who-became-a-murderer-for-israeli-mossad-37823385.html

News Irish News

Monday 18 February 2019

The Nazi thug who became a murderer for Israeli Mossad

Hitler's favourite Otto 'Scarface' Skorzeny moved to Ireland where he plotted to kill Egyptians, writes Liam Collins

(...)

https://books.openedition.org/pur/46753?lang=fr#bodyftn95

Chapitre V. L’Aginter presse : réseaux OAS, contre-subversion et terrorisme

(...)

La pérennité de ces réseaux, désormais principalement implantés en Espagne et ce malgré la mort de Franco, est confirmée par la tenue du congrès de l’« Alliance internationale anticommuniste » en Espagne les 30 et 31 octobre 1976. Les représentants de 17 pays se seraient réunis à Madrid, « parmi lesquels : Grèce (Plevers), Algérie, Libye, Maroc, Tunisie, Argentine, Belgique (Jean Tiriac), Brésil, France (Josef de la Grange, Alen Robert, Théodore Ballalas), Allemagne occidentale (Guenter Laenhauser), Angleterre (David Tirling), Mexique, Portugal (Jorghe Giardin et Rolando Verdian), Espagne (Luis Garcia Rodriguez) et Suisse (Richter George Spitz – F. Genoud)91 ». Un mois plus tard, une note rappelle que le 7 août 1976, une réunion des extrêmes droites européennes a été organisée par le NPD à Hambourg, en présence de représentants du Parti des forces nouvelles français et des mouvements extrémistes de Belgique, Autriche, Angleterre, Suède et de trois Italiens non identifiés. Une réunion de l’Alianza Internacional Anticomunista (AIA) se serait également tenue à Barcelone à la fin du mois d’août précédent. Cette organisation coordonnerait l’activité anticommuniste en Europe tandis que l’association parallèle World Anticomunist League « s’occuperait des mêmes problèmes pour le reste du monde92 ». La note identifie les dirigeants des deux organisations : Léon Degrelle, Yves Guillou, Salvatore Francia93, Clemente Graziani, Stefano Delle Chiaie et Luis Garcia Rodriguez94 sont cités95.

68  Ce sont ainsi des réseaux qui lient l’extrême droite européenne et les activistes italiens impliqués dans des activités subversives que mettent en évidence ces notes.

(...)

_ _ _ _ _ _ _ _ _












_ _ _







_ _ _


https://fr.wikipedia.org/wiki/Duane_Clarridge


(...) En 1984, il est nommé chef de la division européenne de la CIA, où il dirige des opérations de contreterrorisme de façon efficace. Plus tard, avec le soutien du directeur de la CIA William Casey, il conçoit et met en place le Counterterrorism Center (en) qui organise et dirige des opérations depuis Langley (Virginie). (...)

HERVE a écrit:

Il y a une confirmation des déclarations de Carlo Digilio sur le rôle de Léon Degrelle sur

http://www.strano.net/stragi/tstragi/salvini/salvin64.htm

On sait aussi qu'il y a eut 3 tentatives pour capturer Degrelle et l'exfiltrer vers la Belgique mais elles ont toutes échouées.
Sans doute protégé par VDB

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Delle_Chiaie

(…)  Stefano Delle Chiaie (…) est ami de Licio Gelli, le grand-maître de la loge maçonnique Propaganda Due (P2), et a été impliqué dans l'opération Condor, en cultivant des liens avec le régime de Pinochet.  (…)

Note : Robert Close a aussi entretenu des liens avec Pinochet …

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Delle_Chiaie

(...) (Stefano Delle Chiaie) se réfugie ensuite au Chili, où, avec d'autres Italiens, y compris Vinciguerra, ils sont hébergés par Michael Townley dans une résidence de Lo Curro que leur a accordée la DINA11. Utilisée par le chimiste de la DINA Eugenio Berrios pour fabriquer du gaz sarin (Operación Andrea 12), la résidence de Lo Curro héberge aussi les Cubains terroristes Orlando Bosch et Virgilio Paz, membres du Mouvement nationaliste cubain de Miami, ainsi que le français Albert Spaggiari, alias Daniel11. (...)

Voir : Marie-Monique Robin, Escadrons de la mort, l'école française, 2008

Marie-Monique Robin, Escadrons de la mort, l'école française, 2008














(...)

Toujours sur Stefano Delle Chiaie

Notes :

L'Aspromonte est un massif de la Calabre en Italie qui culmine à 1 956 m au Montalto

Les familles De Stefano ou De Stefano-Tegano, sont l’un des clans les plus puissants de la 'Ndrangheta

Sur le procès "Gotha" et la 'Ndrangheta :

http://www.ansa.it/sito/notizie/cronaca/2018/03/01/ndrangheta-gotha-condannati-34-su-38_37fee94d-b184-4b8c-bfc4-88a6d8b4c98f.html

_ _ _ _ _ _

http://www.antimafiaduemila.com/home/mafie-news/229-ndrangheta/73975-un-patto-tra-politica-e-ndrangheta-con-i-de-stefano-come-garanti.html

''Un patto tra politica e 'Ndrangheta con i De Stefano come garanti''

("Un pacte entre la politique et la 'Ndrangheta")

Dettagli Pubblicato: 01 Aprile 2019

(...)

La relation entre le crime organisé et le pouvoir est une relation qui couvre l’ensemble de l’histoire de la mafia

(...)

Ces derniers jours, le procureur adjoint Lombardo a déposé les procès-verbaux des collaborateurs des juges Messina et Pennino, mais dans la salle d'audience, le collaborateur du juge Stefano Carmelo Serpa, membre du gang De Stefano jusque dans les années 90, a également été entendu.

Le repenti, répondant aux questions du procureur Stefano Musolino, rendit compte en particulier de la réunion qui s’est tenue en octobre 1969 à Montalto et qui a également été découverte par la police.

Selon le témoignage de Serpa, à cette réunion ont également participé des sujets du plus haut niveau de la prétendue droite subversive. Des personnages comme Stefano Delle Chiaie et Pierluigi Concutelli; mais aussi Fefè Zerbi et le "prince noir", Junio ​​Valerio Borghese, ancien dirigeant du Decima Mas qui, en 1970, a conçu un coup d'État

(...)

_ _ _ _ _ _

http://www.affaritaliani.it/cronache/un-pentito-sui-moti-reggio-calabria-c-era-ndrangheta-politica-massoneria-596752.html

Domenica, 31 marzo 2019 - 15:53:00

Un pentito sui Moti Reggio Calabria. C’era 'ndrangheta, politica e massoneria

Processo “Gotha” sul legami tra criminalità organizzata, politica e massoneria. Un’alleanza da cui, in certo zone del sud, non si può prescindere.

(Dimanche 31 mars 2019 - 15:53:00

Un repenti sur le Moti Reggio Calabria. Il y avait 'Ndrangheta, la politique et la franc-maçonnerie

Procès "Gotha" sur les liens entre le crime organisé, la politique et la franc-maçonnerie. Une alliance qu'on ne peut ignorer dans certaines régions du sud. )

(...)

Après une série, dans le même sens, d'autres procès et révélations d'anciens criminels et d'anciens membres des services secrets jugés fiables, survient la déposition du collaborateur de la justice Stefano Carmelo Serpa, un homme du clan De Stefano jusqu'aux années 90.

Serpa répond aux questions du procureur Stefano Musolino dans le procès "Gotha" sur les liens entre la franc-maçonnerie et 'Ndrangheta.

Au centre de la reconstruction du collaborateur, les Moti de Reggio Calabria, les De Stefano (la famille qui fera faire un bond en avant à l’organisation) et ce sommet à Aspromonte.

Serpa implique dans la reconstruction la droite subversive de Junio ​​Valerio Borghese , auteur d’une tentative de coup d’État dans la nuit du 7 au 8 décembre 1970. Une histoire, celle-ci aussi, pleine de questions et de mystères. Stefano Delle Chiaie, proche de Borghese, a toujours nié la reconstruction d'une proximité entre la droite subversive et la 'Ndrangheta, affirmant qu'au fil du temps, les "services" ont partiellement "utilisé" l'extrême droite italienne

(...)

Un livre intéressant de Massimo Ciancimino sur son père.

Il existe (notamment) en néerlandais... mais apparemment pas en français...

Don Vito: burgemeester van de maffia
De Massimo Ciancimino

https://books.google.be/books/about/Don_Vito.html?id=SvyH2PBHIz4C&redir_esc=y

Cela rejoint le documentaire suivant :

https://www.dailymotion.com/video/x5ut5x7

Le lien entre l'armée américaine et la mafia ("Lucky" Luciano) pour l'opération "Husky" (débarquement en Sicile) est connu.

Avec le procès "Gotha", on apprend qu'il y a un lien entre Stefano Delle Chiaie (proche de Léon Degrelle et de Jean-Robert Debbaudt) et la 'Ndrangheta.

Difficile de ne pas penser au rapport Panda (Me Jean-Paul Dumont et Sergio Ferrari)

https://fr.scribd.com/doc/301424513/Rapport-Panda

Un autre livre (qui vient de sortir) , sur le pacte Etat-mafia :

Le trattative
De Antonio Ingroia





Extrait :





Cette enquête a en quelque sorte décrit l’évolution du plan de renaissance démocratique et des stratégies subversives de Licio Gelli au tournant des années soixante-dix et quatre-vingt.

Exactement mais pas que. C’était un processus d’association subversive avec le gotha de Cosa Nostra, à partir de Riina, puis à nouveau le gotha de la franc-maçonnerie soi-disant détournée, car il y avait Licio Gelli parmi les suspects et le gotha de la droite subversive qui avait embrassé, avec Gelli, le projet de la Ligue du Nord à la sauce sudiste, ou celui représenté par Stefano Delle Chiaie. Il y avait aussi ceux que nous appelions les "charnières" parmi ces mondes, y compris Rosario Cattafi

_ _ _

Antonio Ingroia  a été procureur adjoint de la République à la direction anti-mafia.

https://www.dailymotion.com/video/x5ut5x7




_ _ _

En italien :

https://www.youtube.com/watch?time_continue=81&v=mFlgFxdtQJc

http://www.antimafiaduemila.com/home/primo-piano/71009-le-trattative-di-antonio-ingroia-fa-tappa-a-palermo.html

Traduction partielle :

(...)  Ingroia a également parlé du processus de négociation État-mafia et a souligné qu'il s'agissait du premier procès de toute l'histoire de l'Italie dans lequel des chefs de la mafia et des personnalités institutionnelles sont condamnés. Au cours de la présentation, il a donc été question non seulement de la négociation État-mafia, mais également du procès "quater" Borsellino et du scénario qui apparaît aujourd'hui après la phrase et les motifs exposés il y a quelques semaines.

Pour Ingroia, avec le massacre de la Via D’Amelio, «l’erreur la plus grave de l’histoire de notre pays» a été commise et tout cela pour «sauver l’Etat». Un Etat qui "d'une part - a-t-il poursuivi - s'est occupé de la mafia, ce qui l'a aidé à négocier avec l'Etat; menaçant trois gouvernements: Amato, Ciampi et Berlusconi. Et ce même État responsable - nous pouvons le dire aujourd’hui - du massacre d’État, dans lequel Paolo Borsellino et les hommes de l’escorte ont été tués, a mis en échec les enquêtes, de sorte que la vérité ne soit pas révélée ".

(...) Selon Ingroia "de l’État post-unitaire jusqu’à aujourd’hui, l’État a toujours choisi les négociations et les accords sous le comptoir avec les pouvoirs criminels. C’est la raison pour laquelle nous ne nous sommes toujours pas libérés de la mafia ". Cela s'est produit "à la fois lors du débarquement des troupes anglo-américaines en Sicile, dans lesquelles se déroulaient à l'origine une négociation et un pacte, négocié par Lucky Luciano", et lors du massacre de Portella della Ginestra, à l'époque de la bipolarité entrela  Russie et les États-Unis, dans lesquels la mafia agissait en tant que "gardienne armée du pacte atlantique". Enfin, en 1992-1993, il était nécessaire de "régénérer et de restructurer les relations avec la politique dont la mafia a besoin, comme de l’oxygène. Parce que la mafia ne serait pas mafia si elle n'avait pas de relation avec la politique. Et cela s'est passé en 1992 et 1994. "

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Autre extrait du livre :

(...)  Différents mondes dont on parle depuis les années soixante-dix, comme on l'a vu à l'occasion du massacre de Giola Tauro. Un morceau de "parti criminel" dans lequel Licio Gelli, Franco Freda, Stefano Delle Chiaie, les patrons Paolo De Stefano et Beppe Piromalli et le très célèbre avocat Paolo Romeo ont été soudés ensemble à des fins subversives. En ce qui concerne les relations entre Gelli et la mafia sicilienne, l’enquête sur les systèmes criminels s’est concentrée sur ces relations stables et découlait de conclusions d’investigations précises acquises dans le cadre de certaines procédures pénales, de différentes autorités judiciaires. (...)

Note : le 22 juillet 1970, à Gioia Tauro (Calabre), une bombe fait dérailler le train «la Flèche du Sud» (6 morts, 50 blessés). Le port de Gioia Tauro est l'un des plus importants ports à containers de la Méditerranée.

Il est question de Stefano Delle Chiaie dans

https://www.investigaction.net/fr/le-role-du-neo-fascisme-dans-loperation-condor/

Des documents ont été récemment déclassifiés au sujet de l'opération Condor :

https://www.mintpressnews.com/declassified-cia-docs-uk-france-and-west-germany-wanted-to-bring-operation-condor-to-europe/257541/

April 17th, 2019

CIA Docs Shows UK, France and West Germany Wanted to Bring “Operation Condor” To Europe

Operation Condor itself was a largely Western invention that was imposed on Latin America through a series of military coups, which again were backed by Western governments.

by Whitney Webb

(...)

notamment

April 12, 2019

5,596 records encompassing 43,472 pages were declassified and publicly released in April 2019. This material was presented by the Archivist of the United States, the Honorable David Ferriero, to the Argentine Minister of Justice, the Honorable Germán Carlos Garavano at the National Archives and Records Administration on April 12, 2019, with senior U.S. Government officials in attendance from the Departments of Defense, Justice, State, the Office of the Director of National Intelligence, and the National Security Council.

Coinciding with the official delivery of the records, these materials and the preceding Argentina Declassification Project releases were made available in a single online location at Intelligence.gov, along with substantial additional information documenting the research effort.

The online release underscores a continued commitment by the U.S. Government to make the records accessible to the people of Argentina for years to come.

(...)

_ _

A recently declassified CIA document has revealed that members of the intelligence agencies of France, the United Kingdom and West Germany discussed how to establish “an anti-subversive organization similar to [the CIA’s Operation] Condor” in their own countries. Described by the CIA as “a cooperative effort by the intelligence/security services of several South American countries to combat terrorism and subversion,” Operation Condor was a campaign of state terrorism originally planned by the CIA that targeted leftists, suspected leftists and their “sympathizers” and resulted in the forced disappearances, torture and brutal murders of an estimated 60,000 people, as well as the political imprisonment of around half a million people. Around half of the estimated murders occurred in Argentina.

The document, released last Friday as part of a release of newly declassified U.S. government documents related to the U.S.-backed military dictatorship that ruled Argentina from 1976 to 1983, states that:

   Representatives of West German, French and British intelligence services had visited the Condor organization secretariat in Buenos Aires during the month of September 1977 in order to discuss methods for establishment of an anti-subversion organization similar to Condor” due to their view that “the terrorist/subversive threat had reached such dangerous levels in Europe.”

The representatives from the three countries then stated that they felt that pooling “their intelligence resources in a cooperative organization such as Condor” would be an important way of combating the “subversive threat.” Notably, England at the time was already involved in an international “intelligence sharing” program known as ECHELON, a program between the “Five Eyes” intelligence pact between the U.K., the U.S., Canada, Australia and New Zealand that continues in a different form today.

_ _ _ _ _

https://kenfm.de/tagesdosis-7-5-2019-operation-condor-wer-wollte-staatsterror-fuer-deutschland/
Tagesdosis 7.5.2019 – Operation Condor: Wer wollte Staatsterror für Deutschland ?

_ _ _ _ _

https://wochenblatt.cc/operation-condor-europa-suchte-den-rat-der-suedamerikanischen-diktaturen/

Operation Condor: Europa suchte den Rat der südamerikanischen Diktaturen

Posted on 23. April 2019 in Nachrichten

(...)

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-nazisme-est-vaincu-meme-dans-l-esprit-de-ses-heritiers-20190508

«Le nazisme est vaincu, même dans l’esprit de ses héritiers»

Par  Journaliste Figaro    Julien Licourt  
Mis à jour le 08/05/2019 à 15:30 /
Publié le 08/05/2019 à 07:01

INTERVIEW - L’historien Nicolas Lebourg* détaille pour Le Figaro comment le camp des vaincus s’est organisé immédiatement après la Seconde Guerre mondiale afin de faire vivre ses idées et comment celles-ci sont parvenues jusqu’à nous.


LE FIGARO.- Comment se sont organisés les héritiers du nazisme dans l’immédiate après-guerre et quelles étaient leurs idées ?

Nicolas LEBOURG. - Tout de suite, il y a une construction de réseaux à partir de l’épuration. En France, on fait le tour des camps d’internement pour recruter les éléments les plus radicaux. Politiquement, deux sujets émergent chez eux. Le premier, c’est la question raciale. On s’inquiète ainsi de voir des soldats américains de couleur sur le sol européen et l’on craint pour les femmes blanches. Très vite apparaît le discours qui aboutira au mythe du grand remplacement: on écrit déjà que le génocide ce ne sont pas les Juifs en Europe, mais celui de l’Europe par l’immigration. La seconde, c’est la question de l’unité européenne.

Les anciens combattants pronazis présentent d’ailleurs le combat de la SS comme une lutte pour la survie de l’Europe, tout en gommant l’aspect raciste…

Il est assez extraordinaire de lire les Mémoires de Léon Degrelle [célèbre militant collaborationniste belge intégré dans la SS] et de ne pas trouver le mot «juif» dans les pages de l’ouvrage alors que cette question l’a obsédé. L’idée européenne fut effectivement une motivation du combat des SS. Sauf que, jusqu’à la défaite nazie, construire l’Europe pour ces gens, c’est aussi l’épurer racialement. Autre phénomène, à l’image des résistants de la dernière heure, on a eu les SS de la dernière heure. Nombre deviennent des héros de guerre… après la guerre, sans être jamais allé au front. Ils s’inventent une légende dorée forgeant l’image du combattant SS, guerrier froid et déterminé, alors que les résultats militaires des SS français ne sont pas flamboyants.

(...)

http://www.sperling.it/libri/la-bestia-carlo-palermo

La bête

Carlo Palermo

Des mystères de l'Italie aux puissances maçonniques qui manœuvrent les démocraties

2 avril 1985: la voiture qui transporte Carlo Palermo dans son bureau du procureur de Trapani saute dans les airs. Lui et l'escorte sont sauvés, mais une jeune femme et ses deux enfants meurent. Qu'est-ce qui a déclenché la vengeance dans ses enquêtes? Le juge continue à enquêter, même après avoir quitté le pouvoir judiciaire. Ses recherches prennent forme quand, en 2016, il découvre que quelques mois avant sa mort, Giovanni Falcone s'était occupé d'une opération secrète: l'extradition aux États-Unis d'un terroriste arabe, le premier fabricant de voitures piégées à l'aide de l'explosif militaire utilisé pour les attaques de Pizzolungo, dell'Addaura, via D'Amelio. Une nouvelle lumière sur les massacres de "mafia"? Plus. De vieux papiers et des documents de procédures enterrés depuis des années dans les archives permettent une lecture sans précédent de certains des plus grands mystères italiens, du meurtre d'Aldo Moro à l'attaque du pape Wojtyla, en passant par les massacres de 1992-1993 terroristes aux tours jumelles et au Bataclan, à Paris. Des liens criminels documentés permettent d'identifier des activités incroyables conçues par un annuaire international - enraciné dans l'appareil politique et militaire des États, dans l'Église, dans les sommets des oligarchies financières - qui a manipulé l'histoire européenne, l'équilibre en Méditerranée, la croissance de l'extrémisme islamique , la démocratie inachevée de notre pays jusqu'à son inexorable déclin. Les clés interprétatives de ce cadre complexe sont maçonniques. Ils sont cachés dans les palais du pouvoir en Italie, en France, en Suisse, à Londres et à New York. L'auteur les poursuit dans une quête infatigable parmi les mystères, les inspirations cachées et les machinations diaboliques qui mène finalement à Trapani, là où avait commencé l'enquête, trente ans plus tôt.

_ _ _

https://www.youtube.com/watch?v=TFqIaaw5oYs




_ _ _

http://www.carlopalermo.net/articoli-e-pubblicazioni/

https://revistes.uab.cat/tdevorado/article/view/v4-n1-calleja

LE PHOENIX QUI N'A JAMAIS ETE ENTERRE. LE RETOUR DE LA NOUVELLE EXTREME-DROITE, 1991-2014
Numéro 1, avril 2017, p. 166-227 Temps dévoré. Magazine de l'histoire actuelle
ISSN 2385-5452

(traduction des deux premières pages - il y en a 62 !)

Entre deux continents. Stratégie de la tension de l'extrême droite latino-américaine à l'européenne

Eduardo González Calleja

Professeur et chercheur, Université Carlos III de Madrid

Résumé

Les activités violentes de Stefano Delle Chiaie dans plusieurs pays d’Europe et d’Amérique pendant plus d’un quart de siècle (1960-1987), qui ont coïncidé avec la fin de la détente, la résurgence et le dernier stade de la guerre froide, servent de fil d'Ariane pour tenter de comprendre les relations complexes qui s'établissaient entre l'activisme anticommuniste d'idéologie à prédominance néo-fasciste, certains services secrets occidentaux et certains régimes autoritaires des deux côtés de l'Atlantique, obsédés par la surveillance de la subversion sous le prisme d'une guerre contre-subversive basée sur dans la propagande, la provocation et la dissimulation.

_ _ _


Une histoire italienne: les aventures de Stefano Delle Chiaie entre Europe et Amérique

Le 27 mars 1987, le militant néofasciste Stefano Delle Chiaie, alias Er Caccola, Topogigio, Alfa ou Alfredo di Stefano, a été arrêté à Caracas et extradé en Italie pour son implication dans l'attentat perpétré dans une agence bancaire sur la Piazza Fontana à Milan le 12 décembre 1969, causant 17 morts et 88 blessés ». Un fait violent pas encore complètement élucidé, mais qui peut être interprété comme la réponse des secteurs de l'extrême droite aux mobilisations d'étudiants et aux victoires syndicales de "l'automne chaud" de 1969. Cette attaque a marqué un tournant historique dans les "années de plomb", car cela signifiait la fin des relations de confiance entre l’État italien et une partie des citoyens, convaincus qu'une partie des instances les plus "sensibles" de l'administration dissimulait ou encourageait ce type d’actions favorisant la "stratégie de la tension", un terme couramment utilisé en Italie pour désigner

_ _

«Sur l'attaque de la Piazza Fontana, voir Bettin, 1999; Boati (19931 et (1999); Calvi et Laurent (19971; Cucchiarelli (20091); Cucchiarelli et Giannuli (1997): 147-154; Dianese et Ferraresi (1995): 173-215) Une disculpation dans Selle Chiaie (20121: 76) -82 et 101 à 138. Tamburino (19851. Sur le "terrorisme noir" dans son ensemble, Bocca, 1980: 49-56 ou Rao (2009): 214-226. Deux membres de l'ON, Franco Freda et Giovanni Ventura s’est évadé en octobre 1978 et janvier 1979, alors que le quatrième procès se déroulait à Catanzaro pour le massacre de la Piazza Fontana, où ils furent inculpés avec Guido Giannettini (spécialiste de la déstabilisation employé par la CIA en Italie) et de deux autres personnes. Membres de la SID: Gian Adelio Maletti et Antonio Labruna, Freda et Ventura ont été arrêtés pour avoir utilisé de faux documents en août 1979: le premier au Costa Rica (d'où il avait été extradé) et le second en Argentine (où il était incarcéré jusqu'au Août 1985 (Bertagna, nd: 15.) À maintes reprises, les gouvernements italiens ont opposé leur veto au communication au Parlement

_ _


la réponse que le néo-fascisme italien a apportée aux manifestations d’étudiants et de travailleurs quand, avec le soutien direct ou indirect des services secrets et de certains secteurs de la classe politique, il a eu recours à l’infiltration entre les groupes de gauche et à la violence provocante avec pour objectif de créer un climat de désordre social et de déstabilisation politique qui justifierait la mise en place d'un gouvernement autoritaire.

Les aventures de ce personnage unique dans plusieurs pays d’Europe et d’Amérique pendant plus d’un quart de siècle (1960-1987), qui a coïncidé avec la fin de la détente, la reprise et la phase finale de la guerre froide, peut nous aider à comprendre les relations complexes qui n’étaient pas encore complètement clarifiées qui ont été établies entre l’activisme anticommuniste à l’idéologie à prédominance néo-fasciste, les services secrets occidentaux et certains régimes autoritaires des deux côtés de l'Atlantique obsédés par la surveillance de la subversion sous le prisme d'une guerre secrète basée sur la propagande et la provocation.

Le point de départ: la solidarité transnationale du néo-fascisme et du néo-nazisme

D'un point de vue académique, le néofascisme a été considéré comme une matière peu attrayante sur le plan intellectuel et même indigne d'attirer l'attention des chercheurs. Il y a, sans aucun doute, un fossé historiographique (en particulier dans la triade de son internationalisation et de ses implications dans des actes de violence politique très notoires) qui doit être comblé sans entraîner de dérives paranoïaques liées aux théories du complot chères à ce secteur idéologique. La confrontation des témoignages de l’époque avec des travaux d’investigation de valeur diverse, provenant pour l’essentiel de la production italienne abondante à cet égard, peut permettre un premier éclaircissement de la question, qui doit être correctement contextualisée dans la résurgence de la guerre froide à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix.

En tant que grand mouvement politique et idéologique qui a été vaincu au cours de la Seconde Guerre mondiale, le fascisme a connu dans l'après-guerre un processus mondial de stigmatisation lié aux tâches de dénazification et de défascistisation, qui a empêché sa résurgence dans les pays de l'ancienne Europe occupée. Sa réorganisation s’est opérée de manière discrète sous la forme d’organisations d’un

_ _

se référant au financement de groupes soupçonnés d'être impliqués dans le terrorisme de droite (Smith, 1998: 616). Sur le blocus du Servizio Informazione della Difesa (SID) dirigé par l'amiral Henke et le général Miceli, des enquêtes judiciaires à l'attention de la Piazza Fontana, voir Flamini (1985): 222-223.

_ _

En italien :

Vidéo

http://www.parmateneo.it/?p=48600





Audio

https://www.youtube.com/watch?v=8oE9d6w_YJE

(traduction) L’interview porte sur le plan Condor, l’opération mise en place dans les années 1970 dans divers pays d’Amérique latine pour éliminer l’opposition aux dictatures militaires soutenues par la CIA. Des dizaines de milliers de personnes ont été torturées et tuées: c'est l'histoire tragique des desaparecidos. Nous en discutons avec l'avocat Andrea Speranzoni, avocat au procès Condor, qui s'est achevé à Rome avec la peine d'emprisonnement à vie de certains responsables d'actes de torture et de meurtre, mais avec l'acquittement de nombreux autres.

(suite)

transnational qui a agi loin de son espace historique d'origine. Les premières tentatives d'internationalisation du fascisme de l'après-guerre avaient trait à la complicité qui avait permis la création des réseaux pionniers ODESSA et Spinne, qui avaient des succursales en Amérique latine, à Lisbonne et à Madrid. Cette dernière ville sert de refuge à son principal animateur, l’ancienne gloire de la SS Otto Skorzeny, qui, avec l’ancien as de la Luftwaffe, le général Hans Ulrich Rudel, a créé ODESSA (organisation particulièrement active entre 1949 et 1952, qui aurait été dissoute vers 1956) pour évacuer les nazis d'Autriche et d'Allemagne par la voie d'évacuation Bremen-Bari en direction de l'Argentine, devenue une terre d'asile pour environ 100 000 hitlériens, notamment dans la ville de Cordoba. Plusieurs milliers sont arrivés au Brésil, au Venezuela, au Chili, au Pérou, au Paraguay, à Cuba ou en Colombie.

Les groupes d'assistance aux anciens combattants tels que Front Noir International et Secours Noir, créés à la fin des années 1940, ont été les précurseurs des premières réunions clandestines de survivants de groupes fascistes organisées à Rome en 1950 et de l'organisation établie à Malmö en mai 1951 sous le nom de Mouvement social européen (MSE), la première internationale néo-nazie fondée sur des bases clairement racistes et xénophobes, qui a officiellement vu le jour à Zurich le 28 septembre 1951 sous le nom de Nouvel Ordre Européen et la présidence de René Binet (trotskyste français passé au néofascisme) et du négationniste suisse Gaston-Armand Amaudruz. La MSE regroupait une quarantaine de formations néo-fascistes d'une douzaine de pays et avait été mise en contact avec des groupes pronazis tels que l'Association Europe-Argentine présidée par Rudel, qui avait connu un certain développement de 1955 à 1961.

De 1960 à 1963, plusieurs réseaux internationaux à caractère raciste et antisémite ont vu le jour en Europe, partageant le projet de former une troisième force au contenu européen: Jeune Europe fondée par le collaborateur belge Jean Thiriart (prédicateur du racisme nordique et avec des liens avec l'OAS) en 1960, la Ligue d'Europe du Nord en 1960, le Parti national européen en 1962 et l'Union mondiale des socialistes nationaux (WUNS) en 1962, qui comprenait

_ _

J Bale, 11994: 52-90; Del Boca et Giovana, 11965): 125-128 et 426-427 et Goni (1998). Pour sa part, Correa Da Costa (2008): 342 calcule l'entrée légale entre 80 000 allemands et autrichiens (dont 800 nazis et une cinquantaine de criminels de guerre) entre 1945 et 1955, dont 18-20 000 restant en Argentine, protégés par Peron jusqu'à sa chute en 1952. Parmi eux, entre autres, Adolf Eichmann, Josef Mengele et Franz Novak assistant de Eichmann), responsables d'expériences médicales dans des camps de concentration et d'extermination. La ville de Cordoue est le "Nuremberg argentin" à la fin des années quarante, à Eisenberg (1964) 137. Sur ODESSA, voir Rodriguez Jimenez, (1994): 244-245. Bale (1994): 90-106 et Milza (2003): 52.
Del Boca et Giovana 11965): 128-131.

_ _

Condor: les axes du mal

2003 français Réalisé par Rodrigo Vasquez

Ci-dessous en trois parties

https://www.dailymotion.com/video/xfel3d

https://www.dailymotion.com/video/x7h5gw

https://www.dailymotion.com/video/x7h5vr


Il est question de Roger Trinquier (qui a rencontré Guy Weber au Katanga), Paul Aussaresses (11° Choc , comme Yves Guérin-Sérac de Aginter Presse), de Fort Bragg (où Jean Bougerol a été), de la DINA, etc

On ne parle pas d'activités de "Condor" en Belgique mais il y avait bien entendu de agents de la DINA à Bruxelles. Marie Thérèse de Cuevas (épouse de Philibert de Liedekerke de Pailhe) les connaissaient probablement.

Il est beaucoup question de Henri Kissinger ... qui sera (est encore ?) un pilier du Bilderberg, aux côtés de Etienne Davignon (lui-même lié à la famille de Liedekerke).