Montaricourt, Lydia

Exploitante d'un réseau de prostitution. Elle avait repris la tête du réseau de Fortunato Israël. Elle fut inculpée en 1979 du chef d'exploitation de la prostitution. Elle fut condamnée par le tribunal correctionnel de Bruxelles à 15 mois de prison.

Certains s'étonnèrent de la sévérité du jugement alors que sa "collègue" F.Israël ne fut jamais réellement inquiétée pour des faits semblables.

Elle était peut etre moins jolie ?

J' "edite" pour une petite question à monsieur BR.
Des membres de l'agence ARI ont ils rencontré cette personne ?

undercover a écrit:

Elle était peut etre moins jolie ?

J' "edite" pour une petite question à monsieur BR.
Des membres de l'agence ARI ont ils rencontré cette personne ?

Pas à mon souvenir.

pour rire : au contraire, très jolie Lydia, Monsieur Paul ( le boucher ) fut son amant, avait une boîte près du Cirque Royal début ' 70.

Anonymou a écrit:

undercover a écrit:

Elle était peut etre moins jolie ?

J' "edite" pour une petite question à monsieur BR.
Des membres de l'agence ARI ont ils rencontré cette personne ?

Pas à mon souvenir.

J'avais pourtant lu quelques part qu'ARI faisait appel à ce genre de "services", le cas écheant.
N'y avait il pas des noms de cette "mouvance" sur les listing ?

Exact.

Lydia n' a jamais fait 15 mois de prison et elle a été très bien payée pour la fermer. Quant à Habib, elle savait trop de choses pour être emmerdée et était trop protégée pour être liquidée.

michel a écrit:

Exact.

Il y a donc flagrant delit de mensonge ?

wil a écrit:

Il y a donc flagrant delit de mensonge ?

Disons que Beijer a admis que certaines "filles" du réseau Montaricourt-israël travaillaient également pour lui vu que le nombre de demoiselles capables d'effectuer ce type de prestations de haut luxe n'étaient pas nombreuses dans le pays.

ARI prenait donc contact direct avec certaines des filles? Il ne passait pas par la "maquerelle" ?

m v a écrit:

Quant à Habib, elle savait trop de choses pour être emmerdée et était trop protégée pour être liquidée.

Quand on veut la peau de quelqu'un, toutes les protections du monde sont inefficaces.

wil a écrit:

ARI prenait donc contact direct avec certaines des filles? Il ne passait pas par la "maquerelle" ?

Je ne sais pas comment Beijer recrutait les filles.

A cet égard, il convient cependant de noter que, suite à
certains communiqués de presse, Beijer a adressé le
26 mars 1997 une lettre à la commission dans laquelle il se
défendait avec véhémence contre les accusations sur ce
point spécifique. En faisant référence à sa précédente fonction
de gendarme, il a souligné qu’il a conservé certaines
informations qu’il avait collectées en cette qualité en vue
de sa nouvelle activité de détective privé :
« (…) Ayant été membre de la BSR de Bruxelles, section
drogue, je suis intervenu dans une très grosse affaire de
trafic de cocaïne en 1978. (…) J’ai dû procéder à l’interpellation
et l’audition de nombreuses prostituées qui avaient
été en rapport avec ces trafiquants. (…) Je les ai personnellement
entendues. A la gendarmerie, j’avais pour habitude
de tenir une copie personnelle de tous les P.V. que je rédigeais.
Au moment ou j’ai remis ma démission de la gendarmerie,
j’ai décidé de me défaire de toutes ces copies de P.V.,
non sans avoir au préalable ventiler les informations qui
pouvaient m’intéresser dans le cadre de mon nouveau métier
de l’époque : directeur de l’agence de renseignement
A.R.I. (…) Je n’ai jamais fait appel aux prostituées dont
question ci-dessus. (…) Aujourd’hui j’apprends que ces personnes
appartiennent ou ont appartenu à un réseau dénommé
Montaricourt. A cela, je réponds : c’est possible, même
probable vu leur profession. Mais cela ne me concerne en
rien et le réseau Montaricourt m’est totalement inconnu. »

Source : REP2

PASTOOR ROBERT BEIJER KENT MONTARICOURT OF FORTUNATO NIET ?

TERWIJL IN DE JAREN ZEVENTIG GANS DE Rijkswacht de vrouwen kende.

Er werd in de kazernes over niets anders gesproken dan over hun chef en de callgirls !

La Libre
26-27 avril 1997
Philippe Golard

(...) Saisi du dossier en 1979, le juge Schellekens a vu, lu et mémorisé un répertoire recensant certains clients des réseaux de prostitution de luxe Montaricourt-Israël. Cinq noms de personnalités éminentes (deux hommes d'affaires, un ministre d'Etat, un ambassadeur arabe et un prince) ont été dûment cités, à huis clos. (...)