Sûreté de l'Etat

wil a écrit:

Quelle implication dans le dossier di rupo???

J'ai lu mais vous confirmerez ou infirmerez que c'est lui qui aurait interrogé Trusnagh.

Henry a écrit:

wil a écrit:

Quelle implication dans le dossier di rupo???

J'ai lu mais vous confirmerez ou infirmerez que c'est lui qui aurait interrogé Trusnagh.

Interroger, c'est son boulot...

nces

wil a écrit:

Henry a écrit:

wil a écrit:

Quelle implication dans le dossier di rupo???

J'ai lu mais vous confirmerez ou infirmerez que c'est lui qui aurait interrogé Trusnagh.

Interroger, c'est son boulot...

Bien sur, Wil, c'est son boulot mais toujours d'après mes lectures, l'âge de Trusnagh au moment de sa relation avec le ministre diminuait à chaque interrogatoire.
C'est pourquoi, je dis que son rôle n'aurait pas été clair.
Mais maintenant, Wil, que cherchez-vous exactement à me faire dire, ce que j'écris, a été écrit par d'autres et vous le savez parfaitement.
Vous auriez pu en venir aux faits directement et si vous n'êtes pas d'accord avec moi, vous pouviez le signaler derechef au lieu d'avancer vos petites phrases.
Je n'ai pas été policier, Wil, et mes connaissances se limitent à des lectures soit de procès verbaux, soit de livres, soit d'articles de journaux.
Je n'ai aucune honte à être corrigé mais alors prouvez que vos dires valent les miens.

Je dis simplement qu'interroger, c'est son boulot.
Etre juger par la presse veut il dire que l'on soit coupable ?
A ma connaissance, l'intéressé n'a pas été condamné par la justice. Si les faits denoncés par les journaux avaient été exacts, cela aurait été le cas?

C'est toujours plus simple de taper sur le flic, bien sur.

wil a écrit:

Je dis simplement qu'interroger, c'est son boulot.
Etre juger par la presse veut il dire que l'on soit coupable ?
A ma connaissance, l'intéressé n'a pas été condamné par la justice. Si les faits denoncés par les journaux avaient été exacts, cela aurait été le cas?

C'est toujours plus simple de taper sur le flic, bien sur.

Ce n'était pas mon intention mais je me posais des questions, sans plus et sans le condamner.
Maintenant, je ne suis pas le seul à poser des questions, d'autres que moi l'ont fait.

Comme d'hab, et comme B.R., la faute incombe aux journalistes ... Surtout lorsqu'on n'a pas obtenu d'eux ce que l'on en attendait.

Henry :

Je pense que quelques fois les flics sont bien pourris (au sens propre comme au sens figuré) mais ce n'est pas une généralité.

Enquêter sur des politiciens n'est pas aussi simple que d'enquêter sur un simple quidam comme vous et moi. On se retrouve très vite sous les feux des médias, qui vous accusent de tous et de n'importe quoi.
Pourquoi ?
Par ignorance...Ce qu'ils ne savent pas, ils aiment l'inventer. Cela fait vendre.
Par complaisance...pour faire plaisir aux puissants. On ne sait jamais.
Par lacheté...car leur supérieur leur demande.

Je vous rassure, ces cas existent pour d'autres professions,...chez les flics par exemple.

Nous sommes bien d'accord, c'est pourquoi, il est bon de poser des questions et de créer le débat.
C'est cela un forum mais il doit y avoir moyen de discuter en posant plus vite ses pions, cela évite des irritations qui entrainent souvent des rancoeurs entrainant elles-mêmes des suspicions.

Je ne pense pas qu'il soit toujours intelligent de dire les choses directement.
Beaucoup aspirent à la tranquillité, d'autres ont décidé de changer de vie, ou souhaitent continuer le combat différemment. C'est leur choix.

Votre première phrase est raisonable.
La seconde est compréhensible, il ne nous appartient pas de juger le parcours de certains mais un dialogue doit être clair pour tout le monde et ne pas laisser croire autre chose qu'il ne veut dire.

J'y comprends rien du tout

Swan met un paquet de pv sur le site en 2008 puis personne ne les commente en 2008

ni les 5 années qui suivent.


personne ne semble les avoir trouvés

ni personne ne semble s'interessé comment la presse marche , comments les differents fractions manipulent la presse.
comment les auteurs d'investigation s'abreuvent aux liqueurs plein de magoules .

il y a quand même un paquet d'infos à décortiquer

on tout cas j'y trouve la façon comment Karl est devenu IRC , payé? pour aussi manipuler qui?

mais est ce qu'il était à ce moment déjà en discension avec D ou c'est en commun accord ?

"J'y comprends rien du tout"

Moi non plus

.

.

https://www.rtl.be/info/belgique/societe/la-surete-de-l-etat-a-rendu-son-rapport-il-y-a-une-grosse-inquietude-sur-l-extreme-droite--1081338.aspx

https://www.lalibre.be/actu/international/quand-un-ex-patron-des-services-secrets-trop-bavard-en-devoilait-les-coulisses-5c4f47967b50a607241a5b90

Quand un ex-patron des services secrets trop bavard en dévoilait les coulisses

Slim Allagui Publié le mardi 29 janvier 2019 à 11h42  - Mis à jour le mardi 29 janvier 2019 à 11h42

Jakob Scharf avait dévoilé dans un livre les méthodes du service et ses relations avec ses homologues.

Un ex-chef du service de renseignement danois (PET) condamné à de la prison ferme pour avoir trop parlé dans un livre. Le fait est unique dans les annales du royaume du Danemark, et le premier en Europe.

Jakob Scharf, à la tête de PET de 2007 à 2013, a écopé d’une peine de quatre mois de détention vendredi, à l’issue de deux mois de délibérations au tribunal de Copenhague, pour avoir dévoilé dans un livre les méthodes du service et ses relations avec ses homologues dans le monde. La Cour a conclu qu’il avait dérogé au devoir de réserve dans 28 passages de l’ouvrage Sept ans pour le PET publié en 2016, dans lequel il confiait au journaliste Morten Skjoldager son expérience passée dans les services secrets.

Ses souvenirs, entre autres, de la Sûreté de l’État belge, sont peu flatteurs. Dans l’affaire du terroriste belge d’origine tchétchène Lors Doukaiev, arrêté le 10 septembre 2010 pour avoir tenté d’envoyer une lettre piégée au quotidien danois Jyllands-Posten qui avait publié les caricatures de Mahomet, le PET "n’a pas été impressionné par le soutien" de ses homologues belges. "Lorsque nous les avons contactés vendredi (le jour de l’arrestation), ils étaient partis en week-end. Cela nous rendait fous de ne pas pouvoir entrer en contact avec le service de renseignement belge", confiait-il.

Au cours de l’enquête, la Sûreté de l’État a commis aussi une grave erreur, selon Jakob Scharf. Lors Doukaiev a essayé en prison de donner en cachette une lettre à sa mère qui lui rendait visite, lui demandant de se débarrasser des clés d’un garage. Le PET, ayant intercepté cette missive, soupçonnait ce lieu de contenir des explosifs ou des armes et a souhaité que la Sûreté de l’État prenne en filature la mère. Mais cette requête est restée lettre morte, au grand dam du service danois. "Ils étaient à une autre vitesse à ce moment-là que nous au Danemark", constatait M. Scharf dans l’ouvrage.

L’ex-patron du PET a étalé aussi au grand jour d’autres affaires compromettantes, comme l’"Opération Cyclone", soupçonnant fortement les services américains d’opérer sur le territoire danois de leur propre chef sans informer Copenhague. Les agents du FBI suivaient au Danemark le parcours d’un terroriste américano-pakistanais, David Headly, un des instigateurs des attaques de Bombay en 2008 (166 morts), qui était en reconnaissance en 2009 à Copenhague pour planifier un attentat contre le Jyllands-Posten. "Pour les États-Unis, cette affaire était très grave et le Président lui-même en était informé par le biais de ses points d’information réguliers avec la CIA", confiait Jakob Scharf dans ce livre.

Double jeu

Il y a également évoqué sa réunion avec les responsables des services pakistanais ISI, en colère contre les caricatures de Mahomet. "Pendant une demi-heure, je n’ai pu placer un mot. Ils me grondaient, pestaient contre le Danemark et ne comprenaient pas la gestion de cette affaire par le gouvernement danois." En s’étonnant aussi que ces services qui "luttaient contre le terrorisme avaient dans leurs rangs des gens qui soutenaient des actes terroristes". Ces souvenirs, épinglés par l’accusation sans apporter de preuves, sont "très dommageables aux relations du PET avec les services étrangers", même si certaines étaient inédites.

Jakob Scharf a aussi décrit sa rencontre avec un chef excentrique d’un service étranger d’un pays du Golfe, non désigné, qui lui montrait fièrement de grands terrariums avec de gros pythons et qui lui avait offert une Rolex. Le condamné, juriste de formation, a réaffirmé qu’il n’a jamais franchi la ligne rouge en maintenant qu’il "n’a rien révélé de compromettant car les faits incriminés sont déjà connus sur la place publique" .

Il persiste et signe en défendant ses confidences dans ce livre qui "constitue une contribution essentielle à la compréhension de la société, du développement de la menace terroriste et de la lutte contre le terrorisme". "J’ai toujours pris très au sérieux le devoir de réserve, mais j’ai toujours pensé aussi que le devoir de réserve n’exclut pas une certaine ouverture sur les services de renseignement qui est nécessaire dans une société démocratique."

Pour l’expert suédois en terrorisme, Magnus Ranstorp, ce livre "n’a rien révélé de sensationnel, mais il a un effet nuisible potentiel pour le service de renseignement danois car les autres pays n’ont pas confiance dans le fait que le Danemark garde secrètes des informations confidentielles et cela risque de compromettre leur coopération".

https://www.ugent.be/nl/actueel/geheimbelgie.htm

Boek

‘Geheim België. De geschiedenis van de inlichtingendiensten 1830-2020’

Kenneth Lasoen


https://books.google.be/books?id=ik6_DwAAQBAJ&pg=PT296&lpg=PT296&dq=Jozef+Kausse&source=bl&ots=lvmqoIPkdx&sig=ACfU3U3cDhdY5qjGkSf74LN29lM_agcE-w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjBsfqt95DuAhWHz4UKHZjhAGAQ6AEwEXoECAoQAg#v=onepage&q=Nijvel&f=false