Spas 12

Le SPAS 12 n'est qu'un shotgun semi automatique, arme qui existe depuis 1905 avec le browning Auto 5

Le SPAS 12 a effectivement un design extrêmement futuriste, mais il n'apporte pas grand chose de plus en terme d'efficacité. Il est par contre beaucoup plus rare et facile a tracer qu'un Shotgun winchester a pompe, une des armes les plus répandues au monde.

Peu ou pas d'avantages, de gros inconvénients

.

Attention, j'ai bien précisé que je m'interessais au contexte qui est bien avéré pour ce qui est de la parution d'articles concernant ces deux fusils en 1982.

Ensuite vient une probabilité, assez élevée que les malfrats aient lu ces articles.
J'opte ici, il est vrai pour l'idée que je perçois plutôt fondée qu'au moins un de ces sbires devait  "avoir Gachette pour second prénom" et je pense même que les revues qui ont été trouvées à la Houssière n'étaient que du 'brol' qui trainait. La partie émergée de l'"iceberg" des objets en tous genres qui devaient constituer l'univers du/d'un Dr es-Gachette qui, assurément selon moi, faisait partie de groupe. Au moins un !...


Quant au message à propos de Doc Holliday que j'ai posté, je profite de l'occasion pour y revenir ici, à défaut du moindre fil UNIQUE, créé AU BON ENDROIT, consacré au FAUL Cal 10 (j'ai précisé unique et à sa place/la Kalachnikov, elle, a la sien par contre   ) car ce FAUL est bien plus qu'un rebut trouvé dans un sac poubelle parmi qu'autres détritus. Il en dit, j'en suis convaincu à 99% , LONG sur le profil d'au moins un des sbires).

Donc, oui je suis tout autant convaincu à 99% que le trip à Dinant était bel et bien dans le but de se procurer le FAUL Cal 10 pour "entrer dans la légende" , après l'avoir remanié comme Doc Holliday.
Coupé le canon et la crosse.

Si on accepte de faire rentrer dans les réflexions ce facteur "taré du panpan" (qui travaille à la CIA si certains veulent. Les mystères de l'Ouest c'était un peu la CIA au Far West )  alors tout le côté inexplicable du vol de ce fusil-là à Dinant sur lequel tant d'esprits invariablement étroits achoppent depuis si longtemps, s'éclaircira tout à coup. Et d'autres zones d'ombres pourraient même trouver la lumière tout à coup.

Jusqu'à même fortement suggérer dans quel 'film'/trip perso au moins un de la bande a participé aux atrocités inexplicables (elles aussi / souvent confondu avec "inacceptables") sur lesquelles nous réfléchissons.

Donc le FAUL a largement sa place dans la rubrique armes, à condition qu'il sorte de sa condition de pétoire sans intérêt.

Quant au SPAS 12, j'ajouterais même qu'un profil tentant d'imiter Doc Holliday peut tout autant vouloir se procurer le même fusil que Terminator pour s'en servir un an plus tard. Sur le plan psy, c'est complètement défendable.

Bien-sûr, l'"ennui" face à pareilles théories (souvent décrétées comme) farfelues (par d'aucun) est
: Que faire dès lors des scenarios qu'on a montés d'une manière trop hermétique et orientée (donc trop peu ouverte car contenant trop de 'remplissages maison'), dans lesquels aucune théorie étiquetée "farfelue" ne pourrait avoir sa place ?

Mieux vaut donc expédier cela sur la Lune.

Voila ce qu explique, notamment :
"Le Canal de Ronquières" : 43 pages depuis le 30 oct 2017
"fascination pour les westerns" : une "misérable" demi-page (à peine) depuis le 29 juin 2012
Édifiant !  

Vraiment, Manicon a encore bien parlé ce jour !

C.P. a écrit:

Faut-il encore une fois rappeler qu'aucune arme de ce type n'a servi lors des tueries. Pas plus que de HK...

J'en suis convaicu.

L'ennui (encore un) c'est que quand dans une même phrase il est dit "pas de SPAS 12 ni d'HK à Alost" la plupart des esprits, qui ne se préoccupent pas des distinctions, des détails, des nuances.... associeront les deux et leur apporteront le même traitement.

Même si, au simple niveau de ce forum, l'évocation d'un SPAS 12 pour Alost a une toute autre histoire (en tout cas une toute autre origine) que celle du HK.

En clair, le SPAS c'est michel de sa source A1 (je cite, pas de relance de débat svp) et le HK c'est René Haquin sur la TSR en 86.

Ce sont deux évocations bien disctinctes à traiter de manière distincte.

Tout est "gris" dans cette affaire.

app-TEM-20200616

Cordialement
Lt Columbo
16-06-2020 12:39

Merovingien a écrit:

Et dans les notes de Willy Acke on trouve l'information suivante;

Bousmanne Leopold (man van de SPAS): hem gegeven door Dossogne -> zegt dat Bousmanne en Bruylandt Alex in relatie staan met Latinus.
J -> D
Opm: foto
Libert: wanneer Drogenbos?

Que faut-il déduire de ce qui figure dans ces notes de Willy Acke?

@pami75; je pense - je me trompe peut-être - que SPAS est l 'acronyme d'une organisation à laquelle Acke pensait. J'ignore laquelle. En fait, s'il avait voulu parler de "l'homme au SPAS 12", il aurait écrit "man met de SPAS", et pas "van de SPAS". Donc sans doute, pas de rapport direct avec la photo et cette arme. SPAS était peut-être l'appellation d'une association membre de cette nébuleuse de l'extrême-droite francophone de cette époque: WACL, WNP, Front de la Jeunesse, PFN, UDRT, sans oublier le PAL (structure au-dessus du WNP en Europe, selon M. Libert).

Feu Follet a écrit:

@pami75; je pense - je me trompe peut-être - que SPAS est l 'acronyme d'une organisation à laquelle Acke pensait.  J'ignore laquelle.  En fait, s'il avait voulu parler de "l'homme au SPAS 12", il aurait écrit "man met de SPAS", et pas "van de SPAS".  Donc sans doute, pas de rapport direct avec la photo et cette arme.  SPAS était peut-être l'appellation d'une association membre de cette nébuleuse de l'extrême-droite francophone de cette époque: WACL, WNP, Front de la Jeunesse, PFN, UDRT, sans oublier le PAL (structure au-dessus du WNP en Europe, selon M. Libert).

La seule organisation à laquelle on peut penser en relation avec Latinus, est le GAP. C'était son "service de sécurité" personnel.
SPAS est-il la traduction flamande du GAP, c'est possible.
Faisait partie du GAP, un certain Jandrain, qui était métis et qui pourrait ressembler à la photo. Il avait été élevé dans un home d'origine militaire pour enfants abandonnés à Nivelles.
Mais je ne suis pas convaincu que rien à voir avec cette photo et cette arme. Car Acke parle bien d'une photo et mentionne le nom de Libert en lien avec Drogenbos ? Acke est alors le magistrat de référence pour le parquet à Termonde (Delta) et c'est là que la photo est receptionnée.
La mention J vers D est aussi intrigante. Le D pourrait être Dossogne qui a reçu la photo de "J"...

Sur le forum BVN ils parlent d'une photo remise à L..ert au GB de Kraainem d'un homme posant avec un riotgun et qui serait un des auteurs d'Alost (cfr inscription ds le carnet de Acke)

Un peu de doc'...
(Ce qui ne signifie de ma modeste part aucun soutien particulier aux SPAS-discussions autour de la SPAS-photo)
Donc la doc, les sources, d'abord !




LE SPAS 12

Au premier regard, le SPAS 12 fait penser à une arme militaire et tout a été fait pour renforcer cette impression. Intégralement de couleur noir ou phosphaté gris pour certaines pièces, il est équipé d'une crosse métallique repliée sur le dessus de l'arme et d'une poignée pistolet. L'ensemble fût-garde-main, fait de plastique noir et de métal ajouré pour faire office de radiateur, n'est pas sans rappeler celui de la mitrailleuse américaine M 60. L'ensemble est très compact et dégage une impression de puissance. Seul le calibre du canon et la forme de la boîte de culasse ne peuvent renier leur origine et permettent de diagnostiquer que le SPAS 12 a été construit à partir d'un mécanisme de fusil automatique calibre 12.

PRISE EN MAIN UTILISATION

L'arme, assez longue, mesure 95 cm crosse déployée et 71 cm lorsque la crosse est repliée. Malgré l'utilisation de matières plastiques, le Spas 12 accuse, à vide, un poids de 3,7 kg ce qui est important pour une arme de ce type. Ces deux dernières caractéristiques, taille et poids, rendent son utilisation assez pénible pour les « petits gabarits ». La crosse repliée sur le dessus de l'arme en faisant office de poignée de transport, se met aisément en place grâce à un verrou en forme de bille. Elle est d'une taille bien adaptée (31 cm) et permet une position à l'épaulé assez confortable. La poignée pistolet en plastique noir est bien dessinée mais elle satisfera plutôt les tireurs possédant de grandes mains. Le garde-main, particulièrement imposant, est situé très en avant sous l'arme et occupe une fonction importante : équipé dans sa partie inférieure d'un bouton-poussoir 60 La firme italienne Franchi, bien connue pour la qualité de ses armes de chasse, a déjà produit à la fin des années 1970 un fusil automatique calibre 12 destiné aux forces de police. Encouragée par le succès commercial de ce modèle qui a été adopté par certains services de police d'Allemagne de l'Ouest, elle a proposé début 82 le SPAS 12, en vue de satisfaire à une demande toujours croissante, y compris sur le marché civil américain. permettant de le faire coulisser, il détermine selon la position qui lui est donnée le long du radiateur, le mode de fonctionnement de l'arme : enclenché à fond vers l'avant, le SPAS 12 fonctionnera en semi-automatique ; en position intermédiaire, l'arme fonctionnera à répétition, le garde-main servant de pompe comme sur un riot-gun classique. C'est de ce double mode de fonctionnement que l'arme tient son nom (Special Purpose Automatic Shotgun). Le SPAS 12 est également équipé d'un système de double sûreté assez particulier :'une sûreté à deux positions située devant le pontet, de forme classique certes, mais qui a la particularité de bloquer la culasse en position verrouillée, et une sûreté « rapide » située sur l'avant du pontet autorisant avec l'index, un effacement avant d'appuyer sur la détente. La boîte de culasse est équipée sur sa gauche d'un verrou qui permet de renvoyer la culasse vers l'avant mais aussi d'abaisser l'élévateur donnant ainsi accès au magasin. Sur la droite de la boîte de culasse, à l'opposé du verrou, on trouve le bouton permettant le déchargement du magasin. Une fois la crosse déverrouillée et mise en place, le tireur s'aperçoit que l'ceilleton massif du SPAS 12 sert de logement au verrou de la crosse. Ceci explique son diamètre important (8 mm), rendu aussi nécessaire par le fait que cet oeilleton est situé au milieu de l'arme, pratiquement à 30 cm de l'ceil du tireur, en position à l'épaulé. A cette distance, la portion de terrain prise en compte par l'oeil à travers l'oeilleton est équivalente à celle d'un fusil de guerre et donc assez restreinte. Le guidon, assez épais (3 mm), renforce encore cette impression donnant au SPAS 12 le système de visée classique d'une arme militaire. La ligne de mire est assez courte (36 cm) par rapport à la taille de l'arme mais l'ensemble est net et suffisant pour les munitions généralement employées (balles brenneke et chevrotines) aux distances usuelles d'emploi d'un riot-gun (0 à 50 m). Après avoir mis la sûreté sur F (feu), ramener la culasse en arrière pour accrocher le marteau puis libérer la culasse vers l'avant grâce au verrou de culasse, le tireur peut (enfin !) procéder au chargement, après avoir remis la sûreté (sur S). En appuyant sur le verrou de culasse, il abaisse le transporteur et introduit les six cartouches de 12 (2 3/4 - 70 mm exclusivement) dans le magasin. Avec celle que l'on peut introduire dans la chambre, le SPAS 12 peut donc contenir 7 cartouches, ce qui est honorable. Il existe une version du SPAS 12 à canon plus long de 10 cm, équipée d'un prolongateur et qui accepte 7 cartouches plus une dans la chambre. Les opérations de chargement sont assez fastidieuses sur le SPAS 12 car elles obligent le tireur à appuyer en permanence sur le verrou de culasse, tout en introduisant des cartouches, ce qui nécessite un certain « savoir-faire ». Une fois l'arme approvisionnée, il suffit d'introduire une cartouche dans la chambre après avoir sélectionné le mode de fonctionnement grâce à la position du garde-main.

ESSAIS DE TIR

Destiné à être employé par le personnel des services de police, nous avons testé le SPAS 12 dans cette optique avec les munitions calibre 12 (70 mm) usuellement employées par ces services, à savoir : — Munition à balle brenneke (Rottweil) — Munition à chevrotines 12 grains (VIRI) — Munition au gaz CS (Ferret). Pour chaque essai, nous avons testé les 2 modes de fonctionnement ainsi que les 3 types de munitions. Nous ne rendons compte dans cet article que des tirs les plus caractéristiques :


1) Tir à l'épaulé 25 m balle brenneke, fonctionnement semi-auto.

Après avoir déplié la crosse et approvisionné (péniblement) l'arme, nous prenons à 25 m la position à l'épaulé sur une silhouette Police. Avec la balle brenneke, le fonctionnement semi-auto est parfait et la précision satisfaisante. L'arme bouge assez peu mais la position devient assez vite pénible étant donné le poids de l'arme et le fait que la main gauche du tireur est placée très en avant, bras en extension, à cause de la position avancée du garde-main en fonctionnement semi-auto. Les 5 impacts sont groupés dans un cercle de 10 cm de diamètre, ce qui est satisfaisant.


2) Tir à l'épaulé 25m, cartouche Ferret, fonctionnement répétition.

En ramenant le garde-main dans sa position intermédiaire, nous sélectionnons le fonctionnement à répétition. Le SPAS 12 fonctionne alors comme un fusil à pompe classique. La pression développée par les projectiles Ferret étant insuffisante pour faire fonctionner l'arme par emprunt des gaz, ce type de fonctionnement s'impose. La nouvelle position du garde-main, plus en arrière, rend le tir plus agréable. Les deux Ferret sont tirées sans aucun problème et bien évidemment leur recul est nul étant donné le faible poids du projectile au CS. Tir à la hanche, chevrotine 12 grains, fonctionnement semi-auto. Dans la position à la hanche, les défauts du SPAS 12 deviennent des qualités. La crosse étant coincée sous le coude droit, la longueur de l'arme devient un avantage pour l'appréciation du tir au jugé, et la main gauche tombe naturellement sur le garde-main mis en cause lors de la position à l'épaulé. Le poids assez conséquent permet une excellente stabilité lors du tir en semi-auto avec les chevrotines 12 Grains, et le SPAS 12 délivre dans ces conditions idéales, une puissance de feu impressionnante que l'on maîtrise aisément malgré une cadence de tir élevée. Dans la même position et avec les mêmes munitions, nous testons le fonctionnement à répétition qui donne satisfaction bien que la précision du tir au jugé soit moins bonne, l'arme étant dépointée à chaque mouvement de la pompe. Sa cadence de tir est elle aussi sensiblement diminuée et le recul augmenté par le fait du type de fonctionnement. A 15m, les 12 grains de la munition ne sortent pas d'une silhouette de tir rapide, ce qui est satisfaisant.

CONCLUSION

Nous avons été plusieurs à tester le SPAS 12, et les avis ont été partagés. Pour ma part, je retiendrai les avantages suivants : - Aspect dissuasif. - Finition robuste et nécessitant peu d'entretien. - Fonctionnement semi-auto et répétition très sûre. - Contenance (6 + 1) ou (7 + 1) très satisfaisante. Par contre les inconvénients ne sont pas à négliger : - Poids trop élevé. - Dimensions excessives (encombrement). - Sûretés trop nombreuses pour être efficaces en cas d'urgence et surtout, - Sophistication excessive au niveau de la conception. Le choix du mode de fonctionnement, pour intellectuellement satisfaisant qu'il soit, est un luxe à notre avis déraisonnable pour une arme de police. Utilisateur depuis de nombreuses années du fusil semi-automatique Franchi à 8 coups, je ne l'ai jamais pris en défaut et n'ai jamais été tenté par le fonctionnement à répétition des riot-gun classiques. L'usage possible de munitions spéciales ou sous-chargées n'interdit pas l'emploi du fusil semi-automatique, le levier d'armement remplaçant très efficacement la pompe en cas de pression insuffisante. Le SPAS 12 mérite donc à notre avis une nouvelle version semiautomatique seulement simplifiée et allégée.

Bernard GOUVION

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Dans un livre de 2007

https://fr.scribd.com/document/47754324/Uno-Bianca-e-trame-nere

Uno Bianca e trame nere
(page 101)

Nel frattempo si era diffuso il panico in Belgio: Jean Gol, allora ministro della giustizia, dichiarava pubblicamente che sarebbero state adottate tutte le misure necessarie a garantire la sicurezza dei cittadini, mobilitando pattuglie delle forze dell’ordine, paracadutisti e jeep equipaggiate con artiglieria leggera che stazionavano nei parcheggi dei centri commerciali. Per gli esperti non si trattava di criminalità comune, ma di professionisti. E non solo per la risolutezza militare con cui entravano in azione, ma anche per l’abilità alla guida quando si davano alla fuga.

Denominatore comune a tutti gli assalti, inoltre, era la presenza di un uomo di statura notevole, ribattezzato dalla stampa il gigante, che dava ordini agli altri e che sparava con un fucile SPAS12 prodotto in Italia dalla Franchi S.p.A. Inoltre, si diceva, la spietatezza caratterizzava le incursioni: per esempio, se ne ebbe dimostrazione a Wavre, il 30 settembre 1982, quando un poliziotto ferito e dunque non più pericoloso per i malviventi venne ucciso con un colpo a bruciapelo. Oppure a Nijvel, il 17 settembre 1983, quando i banditi uccisero una coppia in un negozio di alimentari e, invece di fuggire, attesero la polizia per attirarla in un agguato.

(traduction)

Entre-temps, la panique s'était répandue en Belgique: Jean Gol, alors ministre de la Justice, déclarait publiquement que toutes les mesures nécessaires seraient prises pour assurer la sécurité des citoyens, mobilisant les patrouilles des forces de l'ordre, les parachutistes et les jeeps équipés d'artillerie légère qui se sont garés dans les parkings des centres commerciaux. Pour les experts, ce n'était pas un crime habituel, mais des professionnels. Et non seulement pour la détermination militaire avec laquelle ils sont entrés en action, mais aussi pour leur capacité à conduire lorsqu'ils ont fui.

De plus, le dénominateur commun de tous les assauts était la présence d'un homme de taille considérable, renommé par la presse "le géant", qui donnait des ordres à d'autres et qui tirait avec un fusil SPAS12 produit en Italie par Franchi S.p.A. En outre, a-t-on dit, l'impitoyabilité a caractérisé les raids: par exemple, cela a été démontré à Wavre le 30 septembre 1982, lorsqu'un policier blessé et donc plus dangereux pour les criminels a été tué d'un coup de feu à bout portant. Ou à Nivelles, le 17 septembre 1983, lorsque les bandits ont tué un couple dans un magasin et, au lieu de s'enfuir, ils ont attendu la police pour l'attirer dans une embuscade.

_ _ _

L'information est reprise dans un intéressant livre de Stefania Limiti en 2013 :

https://www.amazon.fr/Doppio-livello-organizza-destabilizzazione-Italia/dp/8861904122

(...)   A un certo punto gli inquirenti ritennero che uno dei killer che aveva agito in Belgio, conosciuto come il Gigante – la stampa lo aveva ribattezzato così perché in tutti gli assalti era segnalata la presenza di un uomo molto alto, che dava ordini agli altri e sparava con un fucile Spas 12 prodotto in Italia dalla Franchi Spa - fosse arrivato in Italia a esportare la sua merce nera: da noi lo chiamavano il Grosso. Era alto un metro e novanta. Era stato individuato come l'uomo degli assalti della banda che terrorizzo il Brabante-Vallone e il photofit era identico a quello di uno dei killer braccati dal pool degli investigatori lungo la via Emilia. (...)

(traduction)

(...) À un moment donné, les enquêteurs ont cru que l'un des tueurs qui avaient agi en Belgique, connu sous le nom de Géant - la presse l'avait renommé ainsi parce que dans tous les assauts il avait été signalé la présence d'un homme très grand, qui donnait des ordres à d'autres et a tiré avec un fusil Spas 12 produit en Italie par Franchi Spa -  était venu en Italie pour exporter ses marchandises noires: ils l'appelaient le Grosso. Il mesurait 1,90 mètre. Il avait été identifié comme l'homme des agressions du gang qui terrorisait le Brabant-Wallon et le portrait-robot était identique à celui de l'un des tueurs recherchés par le pool des enquêteurs le long de la Via Emilia. (...)

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A ce sujet :

https://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/1991/08/23/killer-del-brabante-nell-emilia-insanguinata.html

1991 > 08 > 23

(traduction)

En Belgique, ils l'appelaient le Géant, en Italie, ils l'appelaient le Grand. Il mesure 1,90 mètre et a mené les assauts des «tueurs du Brabant» qui ont terrifié le Brabant wallon. En quatre ans, vingt-huit personnes ont été tuées. Sans pitié et sans raison apparente. Ils n'ont pas tué pour de l'argent: tout le butin sans importance des années de terreur a été retrouvé au fond du canal Bruxelles-Charleroi. Le géant est italien. Il s'est échappé de Belgique, il est probablement maintenant en Italie. Il est devenu le Grosso du "Fiat Uno bianca", le meurtrier que les témoins ont vu à l'oeuvre au "Pilastro" de Bologne, à Castelmaggiore, dans l'assaut des camps nomades. Arme sur le côté, aplatie à hauteur des hanches, tir très rapide sans viser, «tir instinctif» étudié et testé sur de longues heures d'entraînement. C'est l'homme que poursuit le groupe d'enquêteurs depuis trois mois le long de la Via Emilia. Le Grosso n'est pas revenu de ce côté des Alpes, des hommes de sa bande l'ont suivi. Italiens, probablement Siciliens. Le portrait-robot de l'un des tueurs "Fiat Uno bianca" est extraordinairement similaire au portrait-robot de l'un des assassins du Brabant wallon. Est-ce le Big One? Est-il un de ses complices? C'est certainement le point fixe qui fait dire au juge Roberto Sapio: "Nous les connaissons". La confiance du juge est le résultat d'une centaine de jours de travail de renseignement mené par les carabiniers entre l'Émilie et la Belgique, d'un cadre circonstanciel qui comporte trois chapitres et se regroupe autour des hommes mystérieux et ambigus de la bande du Brabant wallon rentrés en Italie. , à la figure d'un ancien carabinier, aux entreprises de la "banda delle coop", à la détermination des tueurs "Fiat Uno" (...)

_ _ _

Voir

http://www.misteriditalia.it/cn/?page_id=4253

(traduction)

Bologne, 4 janvier 1991, quartier du Pilier : quelques minutes avant 22 heures, une patrouille composée de trois carabiniers, dans une Fiat Uno bleue, est attaquée par un groupe d'hommes armés tirant depuis une Fiat Uno blanche. Une avalanche de feu frappe les trois très jeunes hommes en uniforme. Andrea Moneta, Otello Stefanini et Mauro Mitilini, un peu plus de vingt ans, meurent fauchés par le plomb des assassins qui, après l'embuscade, les achèvent par un coup à l'arrière de la tête. (...)

Lt Columbo a écrit:

AVIS DE RECHERCHE DU 16-06-2020

app-TEM-20200616

Cordialement
Lt Columbo
16-06-2020 12:39

pour info tres forte resemblance avec FV dit FlB : oreilles, nez, bouche, machoire. (cheveux?). photo a comparer absolument

@KeBiesse : sur le lien vers le site de la Libre il y a justement un article en dessous avec la photo de notre ministre de la santé FVDB je trouve qu'il lui ressemble aussi

Bin oui et pourquoi pas Maggie De Block aussi ministre de la santé avant . Au fait , Francis Verzar est 'il gaucher ?

francis oui mais pas verzar. pour le gaucher rien ne dis que l'homme sur la foto est gaucher ou droitier.
mon francis es sorti de prison en juin 84.

Je trouve que F le B ne ressemble pas à la photo du mec au SPAS, il a une mâchoire beaucoup plus large que sur la photo, de plus ce Francis n'avait de belge que le surnom, je ne lui connais pas de lien direct avec notre pays, et sa zone de confort était la cité phocéenne.

Après avoir bien contrôlé la photo je vois qu'elle est dans le bon sens .. Lorsque je prends une arme de poing dans la main , je la prends de la main droite , pareil si je prends la crosse d'un fusil et le fût de la main gauche . Je suis droitier .. De plus de quel Francis vous parlez ?

bien sur je ne dit pas que s'est lui hein. je n'acuse personne. juste que pour moi s'est celui qui ressemble le plus a la photo. tout comme vous voyer une ressemblance avec notre ministre FVDB

Bin oui Kebiesse , j'avais compris cela . Mais dis moi c'était bien de lui que tu parlais..

domi: qu'es ce qui vous permet de dire qu'elle est dans le bon sens ? il sufit qu'ele sois inversee (symetrie). vous paraitrez alors gaucher....

s'est a totor que je repondai au dessus

L'ouverture d'éjection de la douille est normalement à droite ( pour cette arme ) , hors ici elle me parait de l'autre côté , donc la photo n'est pas inversée.

je n'ai pas penser a l'ouverture de douille. bonne idee.
mais en il y a sur cette partir un petit elemen qui ressort perpendiculairement a l'ouverture. voir les photos de l'arme plus haut.
sur la photo avec l'individu il y a exactement au meme endroit (en dessous du 3 eme trou de la crosse repliable) une tache brillante qui peut être le reflait du soleil sur cet elemen.
donc a mon humble avis l'ouverture est entre l'objectif de l'appareil foto et l'arme. et non pas entre l'arme et l'individu. on ne distingue pas l'ouverture a cause du mauvais contraste de la photo.

la photo est donc inversee. a mon avis une fois encore.

Bon ok KeBiesse , on peut aller plus loin . L'ouverture de son pantalon est bien du côté "masculin" sur la photo ???