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| carton jaune pour De Decker | |
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Auteur | Message |
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HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 10:05 | |
| A lire :
https://sd-2.archive-host.com/membres/up/5255742961240636/Extrait_de_Noir_Chirac.pdf
CIA et initiés : le Temple et ses Loges
Extrait de "Noir Chirac" (les Arènes, 2002) de François-Xavier Verschave pp. 68-87
29 août 2002 par François-Xavier Verschave
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Sur l'auteur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois-Xavier_Verschave
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Il y est beaucoup question de la GLNF ...
Un court extrait :
Didier Schuller, un autre ténor néogaulliste des financements parallèles, lui aussi poursuivi par le juge Éric Halphen, a longtemps illustré jusqu’à la caricature cette impunité. Aux manettes de l’Office HLM des Hauts-de-Seine, ce flambeur, “Vénérable” de la loge “Silence” (GLNF), s’est enfui en 1995 via Genève et les Bahamas avant qu’un mandat d’arrêt international ne soit décerné contre lui. Il s’est établi à Saint-Domingue, où il a vécu comme un pacha, sans que s’en inquiètent la police et la justice françaises. Son fils Antoine a levé le lièvre . Il a détaillé dans un interview à Laurent Valdiguié, du Parisien , la grande proximité de Didier Schuller avec le consul américain William Kirkman, ancien patron de la CIA pour la zone caraïbe. Pour ses faux papiers et ceux de sa compagne, le fugitif aurait disposé de « tampons officiels belges ».
Toujours selon son fils, Didier Schuller serait devenu « fou de joie » en apprenant la démission du juge Halphen : « On a eu sa peau ! ». C’est donc qu’un collectif chassait le juge ? Fin 1994, Schuller avait utilisé le beau-père de ce dernier, Jean-Pierre Maréchal (GLNF), pour tenter de compromettre le gendre, ce qui fit grand scandale.
« Les enquêteurs de l’affaire Schuller-Maréchal ont acquis une certitude : [...] un réseau de policiers et d’avocats francs-maçons s’est discrètement activé à l’époque. D’abord pour déstabiliser le juge, qui menaçait à la fois le RPR et des entreprises du BTP, puis pour exfiltrer Didier Schuller [...]. Schuller aurait été aidé par ce mystérieux réseau tout au long de sa cavale. »
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 10:20 | |
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Voir aussi :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Fr%C3%A8res_invisibles
http://alnr.chez-alice.fr/presse19.html
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 10:40 | |
| Sur Pasqua
http://www.voltairenet.org/article157210.html
Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano. Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri («l’ambassadeur» de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste [3]. Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de De Gaulle, Achille Peretti —un Corse lui aussi—.
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http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article455
Thierry Meyssan, Editions Golias, 65 F
L’énigme Pasqua
Pour introduire son livre « Marchiani, L’agent politique » (1), Eric Lemasson fait part de deux anecdotes a priori amusantes. En 1997, Jean-Charles Marchiani, alors préfet du Var donc fonctionnaire d’état, s’apprête à désavouer publiquement Philippe Douste-Blazy, ministre de la Culture. Au centre de la querelle, un théâtre dont Marchiani veut la peau mais que Douste-Blazy défend. Pour mettre un terme à l’arrogance du préfet, ce dernier contacte Alain Juppé, Premier Ministre : « Oui, Philippe, tu as raison, un préfet ne peut désobéir à un ministre de la République ». A la même époque, lorsque François Léotard, maire de Fréjus et accessoirement président de l’UDF, s’en réfère au Président de la république française Jacques Chirac pour obtenir la mutation de Marchiani (puisque Jean-Louis Debré, ministre de l’Intérieur, semble impuissant sur le sujet), ce dernier rétorque : « Il faut que tu vois ça avec Pasqua. Marchiani est son protégé. » On constate alors aisément qu’un simple préfet a le pouvoir de mettre à mal la politique de Juppé et de ses acolytes. On pourrait en rire, conscient de l’intérêt public qui en découle. Mais le plus raisonnable est de s’en inquiéter : comment un préfet peut-il tenir tête à plusieurs ministres ? comment un homme peut-il à lui seul résister à leur désapprobation ? Chirac a donné la réponse : « Pasqua. Marchiani est son protégé ».
Cet ancien résistant corse mènerait donc la Vème République par le bout du nez. Impensable, me direz-vous. Et bien non. Lorsqu’on a lu, relu l’Enigme Pasqua, on comprend mieux. On comprend comment l’ex-vendeur d’anisette tisse sa toile au gré des rencontres, agitations et autres tumultes inattendus : les fibres les plus solides sont choyées, les autres sont éradiquées. Ne sont gardées que les branches qui maintiennent la cohésion du réseau. Les rebelles, les malhonnêtes, les maladroites, les parasites nuisent à l’efficacité et à la force de l’ensemble. Il faut s’en séparer. Tel est le fonctionnement du réseau Pasqua : méfiance, vigilance, et surtout pragmatisme.
Pourtant des proches de Pasqua ont parfois connu des mésaventures qui auraient pu s’avérer néfastes pour le ministre de l’Intérieur instigateur en 1986 des brigades motorisées qui coûtèrent la vie à Malik Oussékine (2). L’un d’eux, Jean Venturi, le représentant Ricard au Québec, est mis en cause dans l’affaire de la French Connection (affaire révélée en 1971). Cette histoire de trafic de drogue met aussi à mal les services secrets français de Raymond Marcellin, alors ministre de l’Intérieur, ainsi que le numéro 2 de la maison Ricard, Charles Pasqua, dont la belle-famille est québécoise. Pasqua essaiera par la suite d’effacer les traces de ses voyages au Québec. Mais en 1982, suite à « l’affaire Lucet » (3), le nom de Venturi (Dominique, le frère cette fois-ci) resurgit à Marseille dans une affaire de fausses factures mise à jour par Pasqua, lorsque celui-ci cherche à déstabiliser Gaston Deferre. Dès que le nom de Venturi ressort, Pasqua se fait tout discret, les vieux démons refaisant surface dans sa mémoire. Je passe aussi toutes les bavures des membres du SAC, Service d’Action Civique, dont Pasqua prendra le commandement en 1967 mais qu’il quittera en 1969, officiellement du moins. L’ébranlement du régime De Gaulle en 1968 a montré ce dont étaient capables les miliciens sous l’effet de la panique. Au point même que « Dominique Calzi, alias Patrice Chairoff, publiera dans Libération un plan du SAC prévoyant l’internement de gauchistes dans des stades. Ce document est attribué au marseillais Gérard Kappé qui hurle au faux (4) ». Si de lourds soupçons pèsent effectivement sur les déclarations de Dominique Calzi, le serment pris par les membres du SAC ne dément pas l’indéniable fanatisme de cette milice entièrement dévouée au Général de Gaulle : « Je prends l’engagement solennel d’obéir sans discussion à mes chefs. Si je trahis, j’accepte de subir les châtiments réservés aux traîtres ».
Ainsi, les noms de Kappé, Venturi, Marchiani, Guelfi (il eut été étonnant qu’Elf ne soit pas impliqué), Léandri, Foccart, mais aussi Debizet, Delouette, etc. ressortent ça et là, au gré du livre, au gré des turpitudes électorales ou diplomatiques de Pasqua.
Mais s’il est toujours confortable d’être un protégé de Pasqua (tant qu’on ne fait aucun faux pas, cela va de soi), il semble plutôt dangereux d’être un faiseur de troubles, une menace au réseau, donc à l’homme.
C’est le cas, par exemple, de Robert Boulin, dont la mort n’a jamais été élucidée. En 1978, sous pression de Bernadette, Chirac vire Juillet et Garaud du RPR, démantelant ainsi « la bande des quatre » (Marie-France Garaud, Pierre Juillet, Yves Guéna et Charles Pasqua). Alain Devaquet, secrétaire général du parti à cette époque, finit par jeter l’éponge, refusant de « jouer l’alibi pour les magouilles de M. Pasqua ». Boulin, alors ministre, réussit à obtenir la tête du corse. Suite à la mort de Boulin, Pasqua est réintégré au secrétariat National du RPR. Je compte sur votre esprit critique pour constater qu’aucun lien direct n’est effectivement établi entre la mort de Boulin et le sauvetage de la carrière politique de Pasqua. C’est ce qu’on pourrait appeler l’efficacité du réseau Pasqua. Aucun lien direct. Soit. Mais le nom de Boulin résonne encore dans les couloirs du RPR : lorsque la gauche s’est trouvée en grande difficulté, le simple fait d’évoquer le nom de ce ministre suffit à faire taire les attaques de la droite. François Mitterrand en profita en avril 1992 au cours d’une conférence de presse pour arrêter la ferveur de Pasqua sur les mauvais résultats de la gauche aux législatives. De même, le 26 février 1988, le premier secrétaire du PS Lionel Jospin glissa le nom de Boulin dans l’acharnement de Barre à l’encontre de Mitterrand sur l’affaire Urba. Efficacité hors pair. Tout ceci peut paraître extravagant, sauf quand on sait que Boulin était tout désigné par Giscard pour remplacer Barre à Matignon. Cette nomination aurait probablement sonné le glas de toute la frange ‘Chirac’ (5).
Autre personne qui doit se faire discrète : Ali Bourequat, aujourd’hui réfugié politique aux Etats-Unis, car en danger de mort en France. Au cours de ses 18 ans d’incarcération au Maroc (6), il est informé sur l’affaire Ben Barka, leader de gauche marocain qui aurait été enlevé et liquidé par les services secrets français. Incarcéré avec des truands de ces services, il en apprend alors beaucoup sur les relations entre la France et le Maroc. Après sa libération, il est rapatrié en France et commence à enquêter pour vérifier les dires de ses codétenus, l’affaire Ben Barka n’étant qu’une des accusations dont il eut écho. D’autres, au moins aussi ‘stupéfiantes’, lui furent avouées : « cela touchait les plus hautes autorités françaises du fait que la drogue était transportée dans des avions militaires et atterrissaient dans les deux importantes bases militaires d’Evreux et de Tours. Alors [...] j’ai commencé une enquête pour reconfirmer avec les contacts qui m’avaient été donnés. Et je suis tombé sur le réseau Hémard, qui est Pernod-Ricard en réalité. » Erreur ! Le doigt dans l’engrenage ! Dans le Réseau Pasqua ! Le doigt dans les fibres de la toile, on s’y empêtre, on s’y colle, on est happé. Alors, Jacqueline Hémard lâche le morceau, elle raconte tout à Bourequat (7). Il en sait désormais trop. Jacqueline Hémard et Ali Bourequat sont menacés par la DST française. La police, auprès de qui ils demandent de l’aide, est discrète. Le commissaire Sabatier conseille à Bourequat de fermer sa gueule. Pasqua est alors ministre de l’Intérieur. « Durant mon séjour à Paris, Monsieur Hémard [ndl’O : Eric, le mari de Jacqueline], s’est permis de me menacer directement par téléphone. Tous ces enregistrements, je les ai fournis aux autorités américaines. Et il ne se cachait pas de me dire que sa mère avait parlé avec Pasqua et Borderie et qu’ils allaient me liquider, et qu’ils allaient me faire mon affaire avec sa femme ». Ces éléments ajoutés aux menaces de la DST, autorité officielle française, lui ont permis d’obtenir l’asile politique aux Etats-Unis pour lui comme pour Jacqueline Hémard. Evidemment, l’entourage de Pasqua dément. A ces démentis, Bourequat répond : « Monsieur Pasqua ne vous dira certainement pas quelles sont ses relations avec le roi du Maroc et cela depuis longtemps. Il ne vous le dira certainement pas. Monsieur Pasqua ne vous dira pas ce que sont devenus les éléments du SAC dont une partie ont organisé une police privée chez Pernod Ricard et une autre partie ont crée une société de protection qu’ils appellent une société de gardes du corps et ils agissent pour la liquidation des gens. Moi j’ai une preuve que la famille Hémard a proposé la liquidation de quelqu’un pour 12000 francs. Et ça par l’intermédiaire de la police qu’ils ont, une police privée, qui a été organisée par Pasqua au sein de Pernod Ricard. » Ces propos sont extraits d’un entretien entre Thierry Meyssan et Ali Bourequat, entretien qui s’est déroulé le 5 juin 1998 à l’Assemblée Nationale au cours du congrès de la CORA (COordination Radicale Antiprohibitionniste). Au cours de cet entretien, d’autres noms apparaissent, et pas des moindres. L’assemblée est médusée.
L’assemblée est médusée de devoir admettre l’inadmissible, de devoir accepter l’inacceptable : le réseau Pasqua. Le lecteur l’est tout autant. Il comprend alors un peu mieux la relative efficacité d’un ministre de la Vème République qui ose chatouiller les branches d’un réseau dont Thierry Meyssan explique la genèse puis la prolifération, fibre par fibre. La récurrence de certaines personnes ou sociétés permet de cerner l’homme qui, à la fin du livre, n’est plus franchement une énigme, même si le sujet mérite amplement une investigation bien plus approfondie, curiosité et affliction obligent. A la lecture de l’énigme Pasqua, on comprend aussi les alliances et autres revirements politiques de Pasqua (de Balladur à Villiers pour les plus récentes), multiples convergences vers un seul et unique objectif : maintenir la cohésion de son réseau, donc sa suprématie. L’outil démocratique semble être utilisé pour asseoir un tissu relationnel excessivement puissant aux caractéristiques bien spécifiques. Le réseau Pasqua ne ronge ni les branches de la diplomatie, ni celles de la démocratie. Il s’y appuie. Il sait utiliser à parfait escient les institutions sans les altérer pour étendre un système de relation et de pouvoir indépendant, intouchable, mais paradoxalement fortement impliqué dans la vie politique française et internationale.
Pasqua, ami de Georges Bush Jr (le bourreau du Texas), sévit aujourd’hui au Conseil Général des Hauts-de-Seine en tant que Président. Il est aussi président du RPF et accessoirement candidat à la Présidence de la République...
(1) Editions du Seuil, mars 2000.
(2) En 1986, « terroriser les terroristes » était son mot d’ordre. La police pouvait agir, « il les couvrira ». Coulèrent alors les sangs de Jean-Claude Delta, de Rabah Boufferkas, de Loïc Lefebvre, le sang de William Normand, de José Maya, de Sandra Deschaux-Beaume, de Farid El Orabi, le sang d’Adbel Benyahia, celui de Malik Oussekine.
(3) Suicide peu vraisemblable du directeur de la Caisse primaire d’assurance maladie des Bouches-du-Rhône.
(4) Gérard Kappé est le lieutenant de Pasqua au SAC de Marseille. Il en prend la tête quand Pasqua rejoint le siège national à Paris, au 5 rue de Solférino. En face, au numéro 2 de la rue, les bureaux de la maison Ricard.
(5) Lire à ce sujet l’époustouflante enquête du magazine Golias : « l’affaire Boulin, vingt ans après : des témoignages et documents inédits » . N°69 Nov-Déc. 1999.
(6) Lire « Dix-huit ans de solitude, Tazmamart » par Ali Bourequat. Editions Michel Lafon, 1993.
(7) Jacqueline Hémard est la femme d’Eric Hémard, fils et héritier de Jean Hémard. Eric est le propriétaire d’une petite usine de plastique de Maisons-Alfort, « paravent de la prostitution en grande banlieue » , selon Bourequat.
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Marchiani: l'agent politique
Éric Lemasson
Éd. du Seuil, 2000 - 210 pages
Jean-Charles Marchiani est un homme de l'ombre. Avant de faire parler de lui comme préfet du Var, cet homme secret a œuvré pendant trente ans dans les filières souterraines du pouvoir. Tout jeune étudiant, ce Corse fut recruté par les services de renseignement français. Une spécialité qu'il n'a jamais reniée. Retracer l'itinéraire de Jean-Charles Marchiani revient à effectuer un forage dans la France de ces dernières décennies : guerre froide, guerre d'Algérie, crises sociales, terrorisme international, commerce des armes, extrême droite. Pour suivre les allées et venues de Marchiani, il faut plonger dans les coulisses de l'histoire. Les Etats ont leurs services secrets. Certains hommes politiques aussi. Jean-Charles Marchiani est un agent politique, au service d'un clan, d'un homme. Depuis vingt ans, il est l'agent n° 1 de Charles Pasqua. Sa nouvelle mission, en sortant de l'ombre, est la conquête du Sud-Est de la France, sur les terres idéologiques où le Front national a prospéré.
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 11:27 | |
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http://www.liberation.fr/societe/010134985-l-ombre-d-un-truand-sur-le-proces-alstom
L'ombre d'un truand sur le procès Alstom
11 janvier 2006 à 20:02
Etienne Leandri, proche de Pasqua mort il y a dix ans, voit sa vie étalée au grand jour.
(...)
Puis les années 50 voient la CIA recycler d'anciens nazis et trafiquants de drogue au nom de la lutte anticommuniste. Leandri en est, l'occasion pour lui de fréquenter Lucky Luciano, parrain des parrains, successeur d'Al Capone. Les services américains assurent son retour au bercail. En 1957, Leandri se rend spontanément à la justice française. Il est blanchi de toute collusion avec l'occupant. «D'une droite rigide, il était plus excentrique que gestapiste», assure un ami.
Revenu aux affaires, Leandri devient un pilier des Trois Canards, café parisien faisant office de QG du grand banditisme. A la différence de ses compagnons de bistrot, qui cultivent la came, la prostitution ou les jeux, Leandri donne dans l'immobilier et l'armement activités plus haut de gamme, mais tout aussi ténébreuses. «Son avantage sur eux, c'était son éducation», raconte un ancien partenaire. Le personnage est campé : toujours tiré à quatre épingles, pompes vernies, verre de Cointreau à la main, la Bentley avec chauffeur patientant sur le trottoir.
Leandri se fait «arrangeur» auprès de grandes boîtes françaises (Thomson, Elf, GMF, Lyonnaise et Générale des eaux). Cela va du recouvrement musclé de créances à la contrepartie off-shore d'un deal.
(...)
L'affaire Alstom est encore plus problématique, car le retour de commission touche au fils, Pierre-Philippe Pasqua. Michel Carmona, distingué professeur à la Sorbonne, est un franc-maçon aimanté par la face sombre des affaires au point d'avoir fréquenté avec assiduité Leandri à la fin de sa vie. Ensuite, il a dénoncé l'affaire Alstom, avec sa petite idée sur la problématique filiale : «J'ai compris qu'Etienne Leandri finançait le fils pour éviter de compromettre le père par des affaires douteuses. Selon moi, ce souci qu'il avait du fils était une sorte d'investissement pour ménager le père. Une sorte de créance morale.» Un grand classique du milieu : rendre service amicalement, puis exiger retour à l'envoyeur, plus ou moins fermement. Aux obsèques d'Etienne Leandri, en très petit comité, Pierre-Philippe Pasqua brillait par sa présence. Avant de s'enfuir en Tunisie, lorsque tout a foutu le camp.
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 12:47 | |
| Puisqu'il est question de l'affaire Alstom, il faut savoir que cette société apparaît dans le dossier ATLAS : Il faut se souvenir des liens de Pasqua avec le Québec, comme indiqué ci-dessous : "Pourtant des proches de Pasqua ont parfois connu des mésaventures qui auraient pu s’avérer néfastes pour le ministre de l’Intérieur instigateur en 1986 des brigades motorisées qui coûtèrent la vie à Malik Oussékine (2). L’un d’eux, Jean Venturi, le représentant Ricard au Québec, est mis en cause dans l’affaire de la French Connection (affaire révélée en 1971). Cette histoire de trafic de drogue met aussi à mal les services secrets français de Raymond Marcellin, alors ministre de l’Intérieur, ainsi que le numéro 2 de la maison Ricard, Charles Pasqua, dont la belle-famille est québécoise. Pasqua essaiera par la suite d’effacer les traces de ses voyages au Québec. Mais en 1982, suite à « l’affaire Lucet » (3), le nom de Venturi (Dominique, le frère cette fois-ci) resurgit à Marseille dans une affaire de fausses factures mise à jour par Pasqua, lorsque celui-ci cherche à déstabiliser Gaston Deferre. Dès que le nom de Venturi ressort, Pasqua se fait tout discret, les vieux démons refaisant surface dans sa mémoire. Je passe aussi toutes les bavures des membres du SAC, Service d’Action Civique, dont Pasqua prendra le commandement en 1967 mais qu’il quittera en 1969, officiellement du moins. L’ébranlement du régime De Gaulle en 1968 a montré ce dont étaient capables les miliciens sous l’effet de la (...) " Un lecteur attentif me signale qu'il pourrait exister un lien Pasqua-Bronfman (Canada, trafics d'alcool, drogues). Voir : http://en.wikipedia.org/wiki/Bronfman_family et ce qui concerne la société Seagram ... (...) The Seagram Company Ltd. was a large corporation headquartered in Montreal, Quebec, Canada that was the largest distiller of alcoholic beverages in the world. Toward the end of its independent existence it also controlled various entertainment and other business ventures. The Seagram assets have since been acquired by other companies, notably The Coca-Cola Company, Diageo, Pernod Ricard. (...) On n'est pas loin de noms comme Rothschild, Meyer Lansky, Desmarais ... C'est loin d'être la première fois que l'on tombe que des personnes citées dans le dossier ATLAS ... |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 13:18 | |
| http://www.laprovence.com/article/marseille/la-mort-du-dernier-parrain-a-lancienne
Avec Jean Venturi, c'est le dernier parrain à l'ancienne qui est mort
Publié le samedi 01 janvier 2011 à 13H46
Jean Venturi, 89 ans, frère de Nick, est décédé mercredi
C'est sans doute la dernière page de l'histoire du "Milieu" du Marseille de la seconde moitié du XXe siècle qui vient de se refermer. Jean Venturi, 89 ans, est mort mercredi. Il a été incinéré hier, après une cérémonie religieuse à l'église de la Gavotte, près de Marseille.
Une cinquantaine de personnes lui ont rendu hommage. Loin de l'image d'Épinal du Milieu qui aurait voulu voir là des chefs de clan et leurs gardes du corps aux lunettes noires. Pas de grosses berlines aux verres fumées. Mais quelques quinquas et sexagénaires, hommes et femmes, dans la même affliction que toute personne en deuil.
Un très vieux monsieur, rasé de frais et impeccablement habillé, parle doucement avec des intonations corses
... C'est bien de l'Île de Beauté que venaient la famille de Jean Venturi et son cadet Dominique, surnommé Nick, mort en 2008. Ils ont grandi dans le quartier du Panier, à Marseille.
La grande particularité du clan, c'est d'avoir choisi pendant la Seconde Guerre mondiale le bon camp, celui de la résistance. Nick reçut même en 1946 la Croix de Guerre. Une très solide amitié les lia très longtemps avec celui qui était le chef du réseau Brutus, Gaston Defferre, qui devint maire de la ville en 1953.
"Nick" servit même de garde du corps à Gaston Defferre, et rendit quelques services occultes, par exemple lorsque socialistes et communistes s'affrontèrent pour le contrôle du port, au lendemain de la guerre.
Dans les années 50, alors que Nick, qui fait dans le trafic de cigarettes et le racket, reste en France, Jean s'installe au Canada et investit dans les boîtes de nuit, le négoce de minerai, et il est même représentant local de la société Ricard.
Les deux frères sont fichés par la police française, le FBI et même la police montée canadienne : ils sont soupçonnés d'appartenir à la French Connection, qui importe en Amérique du Nord de l'héroïne fabriquée à Marseille, mais ne seront jamais inculpés - ni a fortiori condamnés.
Le nom de Jean Venturi apparaît dans l'affaire des fausses factures émises par des sociétés (d'enlèvement d'ordures ménagères notamment) au préjudice de la mairie de Marseille, ce qui vaudra la rupture avec Gaston Defferre. Mais seul Nick est condamné, en 1985, à quatre ans de prison. Si Nick s'est remontré en public dans les années 90, Jean menait ces dernières années une vie discrète.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Combinatie
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http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article17
Article paru le 22 février 1995 dans Maintenant
Pasqua : les questions sans réponse : De la French Connection à Matignon ?
(...)
: en 1972, le quotidien new-yorkais "Newsday" publie une série d’articles intitulés "The Heroïn Trails". Une équipe de journalistes a commencé son enquête au Canada sur les agissements, dans les années 60, de Jean Venturi, représentant local de la firme Ricard, dont le supérieur hiérarchique direct avait été à l’époque Charles Pasqua, directeur des ventes à l’export.
Après avoir obtenu confirmation auprès des services de police compétents du document du bureau américain des narcotiques incriminant Jean Venturi dans un trafic d’héroïne à destination des États-Unis, les journalistes new-yorkais arrivent à Paris pour remonter cette ramification de la célèbre French Connection. Leur récolte est maigre.
L’opacité de la firme Ricard ne leur a pas permis d’établir la vraie nature et l’ancienneté des liens unissant Pasqua et Venturi. Au moins ceux-ci étaient-ils liés par une réalité hiérarchique au moment de la cavale de Venturi, en 1967.
Il n’a pas été non plus établi si les Pasqua - que des liens familiaux unissent au Canada - étaient, par ce biais aussi, en contact avec les Venturi. Parallèlement, des recherches ont été menées sur le patrimoine de la famillePasqua.
En 1994, à l’occasion d’une recherche, la disparition inexpliquée des archives de "Newsday" concernant cette ensquête a été constatée.
En 1967, un mandat d’arrêt international a été établi à l’encontre de Jean Venturi. Ce dernier n’a jamais été arrêté.
Qu’est-il devenu ?
De quelles complicités a-t-il bénéficié pour échapper ainsi à la Justice ?
Le nom de Charles Pasqua aurait-t-il figuré un temps sur la liste des personnes indésirables aux États-Unis ?
Jean-Charles Marchiani, éminence grise de Pasqua, reconnu comme tel depuis la première cohabitation en 1986, est l’homme que le président Georges Pompidou fit personnellement chasser du Sdece en 1969. Il le considérait comme l’auteur et le propagateur de photos truquées attentatoires à l’honneur de sa famille (affaire Markovic). Charles Pasqua a attendu la célébration en grande pompe par Balladur et Chirac du vingtième anniversaire de la mort de Pompidou, en avril 1994, pour faire nommer Marchiani préfet. Il lui fit ensuite attribuer la Légion d’honneur le 1er janvier 1995.
Pourquoi cette insulte à la mémoire de Pompidou n’a-t-elle pas été relevée par la cohorte des fidèles, au premier rang desquels figurent, avec ostentation, Chirac et Balladur ?
Marchiani a-t-il joué un rôle dans la très longue cavale de Venturi ?
Au Maroc, Charles Pasqua a noué au temps de la fusion Pernod-Ricard d’étroites relations avec le roi Hassan II. L’hospitalité royale lui a notamment permis d’organiser en 1988, à l’hôtel de la Mamounia à Marrakech, un mystérieux réveillon commun avec Pierre Joxe, son successeur immédiat au ministère de l’Intérieur.
Qu’avaient-ils donc à se dire ?
En janvier 1994, Pasqua a été l’unique ministre d’un État membre de l’Union européenne à effectuer une visite de travail à El Ayoun (capitale du Sahara Occidental) cautionnant ainsi par sa présence - à la fureur du Quai d’Orsay - l’annexion par le Maroc de cette ancienne colonie espagnole.
Le Maroc a-t-il facilité la cavale de Jean Venturi ?
En Afrique noire, l’influence de Pasqua s’avère aussi ciblée que déterminante. Sa prochaine visite, prévue début mars 1995 au Cameroun (si tout va bien), donne lieu à ce commentaire d’un spécialiste des affaires africaines dans "La Lettre du continent" du 8 février 1995 : "Au Cameroun, deux dossiers sont à l’instruction contre des casinos et des salles de jeux qui favorisent la grande délinquance dans notre pays. Paul Biya (le Président camerounais) devrait enterrer toute velléité de poursuivre au nom de l’amitié franco-camerounaise : en marge de la visite de Charles Pasqua, il serait inconvenant de heurter de front les intérêts corses."
Marchiani est-il lié aux "intérêts corses" dans les salles de jeux camerounaises ?
Est-ce également le cas de Monsieur Raffali ? Raffali, à l’époque directeur d’une célèbre salle de jeux parisienne, s’était notamment illustré en 1986, en transmettant pour le compte du déjà ministre de l’Intérieur Pasqua le vrai-faux passeport destiné à Yves Challier, du "Carrefour du développement".
Qui se cache derrière les "intérêts corses" maîtres des jeux camerounais ?
Ces "intérêts corses" ont-ils favorisé la cavale de Jean Venturi ?
(...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 13:38 | |
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Voir :
http://memoiresvivantes.com/projets/partie.php?id=5
et
http://www.sciencespo-rennes.fr/mediastore/fckEditor/file/Benichou.pdf
Le démantèlement de la French Connection : la répression internationale des filières françaises de l’héroïne.
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| | | HERVE
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| | | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 16:32 | |
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Vu le probable lien Pasqua - Bronfman (Seagram), il est utile de s'intéresser à la famille Bronfman ...
Voir :
http://lyndonlarouche.org/dope9.pdf
(une source datant de 1978 et qu'il faut sans doute recouper avec d'autres mais qui semble néanmoins instructive)
Voir aussi :
http://www.lonepinepublishing.com/cat/9781894864114/gallery/excerpt
The Bronfman brothers of Seagram Distillers fame made their fortune selling booze to American gangsters during the U.S. Prohibition years. In this excerpt from “Mobsters and Rumrunners of Canada,” author Gord Steinke recounts a meeting between the Bronfmans and the notorious Al Capone at a hotel in the small Saskatchewan town of Bienfait.
(...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mar 13 Nov 2012 - 18:28 | |
| Sur la famille Bronfman (liée à Charles Pasqua) ... ... il est même question du Belge Jean Lambert ... http://lyndonlarouche.org/dope9.pdf |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 1:27 | |
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Pour en revenir au SAC (Adriano Vittorio, Elio Ciolini, etc), on peut noter qu'il y avait des liens avec la FANE
http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9d%C3%A9ration_d%27action_nationale_et_europ%C3%A9enne
http://en.wikipedia.org/wiki/FANE
Les membres de la FANE sont des néo-nazis.
Selon un rapport français, la FANE avait des contacts avec d'autres pays et notamment la Belgique, avec Jacques Borsu
Voir :
http://www.resistances.be/tueurs2.html Europese partij-Parti européen (EPE)
Ce minuscule petit parti néonazi fut actif, entre 1971 et 1989, à Bruxelles. Son dirigeant-fondateur, feu Jacques Borsu, dans les années 60, avait milité dans l’organisation Jeune Europe. Par la suite, il s’engagea comme mercenaire en Afrique sous les ordres de Bob Denard. L’EPE collabora avec plusieurs structures d’extrême droite (dont les NEM-Clubs, le Front de la jeunesse,...) et avec d’autres qui servaient de lieu de rencontre entre les radicaux de cette mouvance et des milieux plus fréquentables (Comité Hongrie 1956-1976 ou Pro Vita, par exemple).
Des contacts entre le dirigeant de l’EPE et des personnalités du CEPIC eurent lieu. En juillet 1976, « Europe en Avant » (« l'organe de combat du Parti européen ») publia une interview de Robert Verbelen, un ancien nazi belge recruté après la Guerre 40-45 par l’un des services secrets américains.
Ce « parti européen » fut l’allié francophone du Vlaamse militanten orde (VMO). Lors du procès de ce dernier, en 1981 à Anvers, Borsu fut d’ailleurs condamné. Autres liens: des organisations néonazies internationales comme le Nouvel ordre européen (NOE), l’ANS (groupuscule terroriste allemand), le Mouvement européen, ainsi que Léon Degrelle.
Des activistes de l’EPE se retrouveront au WNP. Parmi eux : Christian Elnikoff. Suite au décès de Jacques Borsu, le 2 novembre 1989, l’EPE disparut.
_ _ _
Christian Elnikoff
http://archives.lesoir.be/wnp-elnikoff-s-est-retracte-et-est-inculpe_t-19890717-Z01UMZ.html
http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/401540/tueries-du-brabant-ils-ne-trouveront-pas-de-cadavre-chez-moi.html
(...) Wachtelaer a conservé une liste de membres d’Yggdrasil. Des noms en lien avec les tueries ressurgissent ! Ce sont ceux de gens du Westland Newpost ou WNP, groupuscule néo-nazi, un des grands axes d’enquête dans le dossier des tueries. Michel Libert s’inscrit chez Yggdrasil le 30 octobre 1982, Jean-Francis Calmette le 8 novembre, Christian Elnikoff le 20 décembre 1982, Frédéric Saucez le 31 mai 1983. Elnikoff devait se suicider plus tard, comme Paul Latinus en 1984 : “Mon ami Paul, un type bien, un gars de valeur qui ne s’est pas suicidé. On l’a suicidé.”
(...)
_ _ _
Adriano Vittorio apparaît dans
https://www.dailymotion.com/video/x56d3b_1986-les-tueurs-du-brabant-wallon-2_news
Il tenait un bar à Marseille ... une ville dont on a beaucoup parlé ci-dessus ... et il était membre du SAC.
Il a aussi été voisin du néo-nazi Simon Genevois.
Existait-il un lien entre Simon Genevois et la FANE ?
Il est en tout cas très intéressant de relever que Christian Elnikoff a été un activiste du parti européen de Jacques Borsu (contact de FANE en Belgique), et qu'il est devenu membre du WNP et même de Yggdrasil (Herman Wachtelaer, qui se dit nazi)
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| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 4:15 | |
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Dernière édition par Et In Arcadia Ego le Sam 16 Aoû 2014 - 0:40, édité 1 fois |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 8:42 | |
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http://www.express.be/sectors/nl/public/minnelijke-schikking-fraudedossiers-levert-66-miljoen-euro-op/180908.htm
Minnelijke schikking fraudedossiers levert 66 miljoen euro op
14 nov 2012
In Vlaanderen en Brussel hebben de parketten al in minstens veertien dossiers met de verdachten een regeling getroffen volgens de verruimde minnelijke schikking. Dat is volgens de krant De Standaard gebleken uit cijfers van federaal minister van justitie Annemie Turtelboom. De overeenkomsten zouden de Belgische overheid tot nu toe een bedrag van 66,5 miljoen euro hebben opgeleverd. Het grootste gedeelte van die som werd aangebracht door het Antwerpse parket, dat met een filiaal van de Franse bank Société Générale (SocGen) een schikking voor 39,2 miljoen euro sloot rond een dossier van belastingfraude uit de jaren negentig. Ook het Brusselse parket zou een schikking voor 22,2 miljoen euro hebben getroffen met de miljardair Patokh Chodiev. Andere dossiers variëren van enkele duizenden euro tot enkele honderdduizenden euro. Door de wet op de verruimde minnelijke schikking wil de overheid ingewikkelde fraudedossiers afhandelen zonder in een jarenlang proces of een procedurestrijd terecht te komen. (MH)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 9:33 | |
| Il y a un fil de discussion dédié à Christian Elnikoff : https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t735-elnikoff-christian?highlight=Christian+ElnikoffSes liens avec Jacques Borsu (EPE) étaient connus ... Dans un article de René Haquin : (...) Dans la lettre d'adieu, les aveux d'Elnikoff sur le double assassinat de la Pastorale tiennent en quelques lignes. La plus grande part des sept pages contient des attaques contre des membres de l'EPE (le «parti européen» de Borsu, à Schaerbeek, auquel Elnikoff appartint avant 1982), contre des militants du WNP et contre Paul Latinus, le chef «pendu» en avril 1984. (...) _ _ _ Pour être précis au sujet du SAC et de la FANE, il faudrait relire ce qui suit (notamment les pages 104 et 105) : http://fr.scribd.com/doc/105682430/Enquete-sur-la-droite-extreme-CHP-9 "Enquêtes sur la droite extrême", chp 9 Il peut sembler étonnant de parler d'une organisation après qu'elle ait été officiellement dissoute (comme le SAC par exemple). Mais même René Haquin le fait : http://archives.lesoir.be/vittorio-libere_t-19890608-Z01Q05.html (...) Vittorio dit aussi n'avoir jamais rencontré Jean Bultot ni avoir participé en juin 1985 à Bruxelles à une réunion du SAC (l'ancien service d'action civique dérivé de l'OAS), ce qu'affirmait l'ex-gendarme Amaury, arrêté en 1988 dans le cadre de l'affaire Mendez. De même, il dit n'avoir jamais participé à une quelconque transaction d'armes avec l'ancien gendarme Beijer et n'avoir jamais mis les pieds au bar «Le Toucan» du motel de Nivelles-Sud, où Beijer proposait en 1985 à un ami de Vittorio des «armes chaudes» à vendre. (...) Il faudrait sans doute mieux parler des "héritiers du SAC" et des "FNE" (successeurs de la FANE). Voir aussi Les brigades noireshttp://fr.scribd.com/doc/77306582/Les-Brigades-Noires-CHP14 Pages 185 à 187 (...) Parfois, le moteur a des ratés et ces anonymes se font prendre. C'est le cas du néo-nazi François Hamon, auteur d'une lettre antisémite distribuée en juin 1978 dans les boîtes aux lettres de Melun, Nangis et Marmant. L'enquête révèle très vite que Hamon était l'organisateur les 17 et 18 juin d'un camp international de néo-nazis à Blandy-les-Tours, en Seine et Marne. Des Allemands, des Belges, des Français et des Suisses devaient venir y fêter les feux de la St-Jean en uniforme SS. Hamon prétend avoir agi au nom d'un groupe dénommé "Ethnologie du Parti Européen", alors qu'en fait il était commandité par le groupe néo-nazi belge EPE dont nous avons parlé dans les chapitres précédents. L'enquête policière a démontré que le tract de Hamon a bien été dactylographié sur la machine de l'EPE dont le dirigeant, J. Borsu, est un ancien de "Jeune Europe". Le cas Hamon est d'ailleurs un modèle du genre. Agé de 53 ans, Hamon n'est pas seulement l'organisateur du camp de Blandy-les- Tours. La police a découvert chez lui des grenades, des explosifs, des mèches lentes, des détonateurs et une mitrailleuse. Hors d'usage, il est vrai. Dans les années 60, Hamon, qui était policier, fut accusé d'avoir, avec ses collègues, fait subir des sévices au ressortissant algérien Belaïd Chitti dans les locaux du commissariat de Picpus. Le lendemain, Chitti était retrouvé mort. A la même époque, il était poursuivi pour détention d'armes et transport de journaux interdits en France (242). Certains le prétendaient membre de l'OAS. En 1980, Hamon est de nouveau arrêté pour recel d'armes volées et, en perquisitionnant chez lui, les enquêteurs découvraient des fusils, des carabines, de la poudre et des munitions de guerre. La justice allemande s'est aussi intéressée à lui après la fusillade de Munich le 20 octobre 1981 qui opposa 5 jeunes néo-nazis - dont le français Paul Coletta - à la police munichoise. Autre exemple de technique du "prête-nom", la réunion de la FANE les 21 et 22 juin 1980 dans le château de Paule-les-Echarmeaux (Beaujolais). Une fois encore, il s'agissait de fêter la St-Jean, activité par ailleurs très honorable. Quelques jours après le départ des militants de la FANE, la gendarmerie découvre un engin explosif au pied du monument dédié à la mémoire des résistants de Chatillon-d'Azegues fusillés par les nazis en 1942. Est-ce une coïncidence si ce monument se situe à quelques kilomètres du lieu où se déroulait le camp de la FANE ? Bien que cette tentative avortée d'attentat ait été revendiquée par le "Groupe Hermann Goering", n'y a-t-il pas des questions à se poser? A noter aussi: ce château est la propriété du Comte Philippe de Sailly-Condeau, un ancien officier de la Légion reconverti dans l'informatique qui se présenta sur la liste du "Front National" dans la 2ème circonscription de Lyon. Pourtant, Le Pen a toujours prétendu que son parti n'entretient aucune relation avec les néo-nazis. Marc Fredriksen lui-même, plus connu sous le pseudonyme du "fuhrer français" et président de la FANE, a été candidat sur la liste du "Front National" de Seine-Sr-Denis lors des élections municipales de 1977. Quand on sait que la FANE sert de plaque tournante et de relais à de nombreux néo-nazis européens, qu'elle noyaute le "Syndicat National de la Presse Indépendante", qu'elle publie un bulletin raciste confidentiel intitulé "Le Lien du Lynx Club" et que plusieurs de ses membres faisaient partie de la police - dont un chargé de la protection rapprochée du Grand Rabbin de France - on est en droit d'être inquiet. Bien sûr, on peut toujours prétendre que la FANE a été dissoute et Marc Fredriksen condamné mais à quoi sert une dissolution si un mouvement réapparaît le lendemain sous un autre nom, en l'occurence les FNE (Faisceaux Nationalistes .Européens) ? Même condamné, Fredriksen qui se veut le porte-parole des "nationaux-socialistes européens qui sont persécutés depuis plus de 35 ans" 'continue à y croire. Les liens d'amitié qu'il a tissés avec le VMO, le Wolfsangelgroep, l'EPE et Rex en Belgique, la Hoffmangruppe en Allemagne, et d'autres groupes néo-nazis en Europe sont toujours bien réels. Le procès de Fredriksen aura au moins eu l'avantage de révéler au grand jour les agissements de tels mouvements et la relative impunité avec laquelle ils ont pu agir durant de nombreuses années. (...) _ _ _ François Hamon, ancien policier et néo-nazi, mérite probablement plus d'attention. Cela vaudrait aussi la peine de s'intéresser davantage à l'ancien du SAC nommé Robert N'Guyen van Dom, alias Robert Deviorne ou Robert le Viet. |
| | | HERVE
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| | | | HERVE
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| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 10:45 | |
| Sur Jacques Borsu ... http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1111 In 1971 richtte Jacques Borsu, ex-Jeune Europe en ex-huurling onder Bob Denard, de Europese partij-Parti européen (EPE) op. EPE werkte tot haar eind bij de dood van Borsu in 1989 samen met allerlei extreemrechtse structuren zoals de Vlaamse Militanten Orde (VMO) van Bert Eriksson, de NEM-clubs, het Front de la Jeunesse, de Nouvel ordre européen (NOE), le Mouvement européen en het ANS (Duitse terroristengroepering), maar stond ook in contact met Léon Degrelle, het Comité Hongrie 1956-1976, het CEPIC en Pro Vita. Samen met de VMO organiseerde Borsu trainingskampen in de Ardennen en in Bonheiden. Een aantal EPE-leden, zoals Christian Elnikoff, gingen op in WNP. De broer van Borsu was André Borsu, gerechtelijke politie Brussel en bezoeker van de BROC. http://www.christiebooks.com/PDFs/Rogue_Agents_the_Cercle_Pinay_complex_1951_1991.pdf |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 11:23 | |
| Sauf erreur de ma part, Jacques Borsu a fait partie de la liste des membres du Comité Hongrie avec des gens comme Ernest Töttösy, Francis Dessart, Victor Stankovich, Bernard Mercier, Florimond Damman, Emile Lecerf ...
Par ailleurs, François Hamon, très proche du FANE, était un membre français de EPE de Jacques Borsu
Un autre membre de EPE de Jacques Borsu a été Christian Elnikoff qui est ensuite passé à WNP/Yggdrasil ...
Jacques Borsu a aussi été en Afrique sous les ordres de Bob Denard ...
Peut-être a-t-il connu Guillaume Vogeleer (Jimmy le Belge), qui connaissait bien la pègre bruxelloise (Havelange, Romain ...) et qui sera par après très proche de Jim Coyne ("journaliste" de Soldier of Fortune, dirigé par Robert K Brown).
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 11:41 | |
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Sur Ernest Töttösy (Comité Hongrie) :
http://www.collectionscanada.gc.ca/eppp-archive/100/205/300/records_totosy/05-04/partthree.html
De emigré's: Deze in Hongarije geboren en getogen advocaat werd bij die gelegenheid geafficheerd als afgevaardigde van het in 1977 in België gestichte Comité Hongrie '56. Het comité was gevestigd in een pand aan de Beliardstraat 39 te Brussel. Evenals een kleine batterij van organisaties die gelieerd waren met de extreemrechtse vleugel van de christen-democratische partij, waarvan men in de jaren tachtig en negentig nog zou horen. In diezelfde jaren werd Töttösy's Comité Hongrie ontmaskerd als een "CIA-antenne". De tot de Hongaarse adel behorende Töttösy was in 1952 in zijn geboorteland achter de tralies beland na een door de CIA gesteunde coup-poging. Ten tijde van de opstand in 1956 wist hij te ontsnappen en sloot zich aan bij het christen-democratische verzet. Nadat de Russen met zwaar geschut het wankele regime in Boedapest weer in het zadel hadden geholpen, vluchtte Töttösy en zijn gezin via Joegoslavië naar België. In 1964 werd hij genaturaliseerd en lid van de Brusselse balie. Gesteund door spekpater Werenfried van Straaten (zie bijvoorbeeld Kleintje nummer 192 en 326) sloot hij zich aan bij de NTS (Narodnyi Trudovoy Soyuz). Een door Russische emigre's in het leven geroepen anti-communistische organisatie, waar hij in de loop der tijd een leidinggevende rol veroverde. In 1970 was de Hongaars/Belgische advocaat medeoprichter van het Amitalia Fund. (...)
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 12:33 | |
|
Voir aussi l'article suivant, en anglais et datant de 1980 :
http://www.csmonitor.com/1980/1014/101441.html
Some French police linked to neo-Nazis
One of the most disturbing bits of information to surface so far during the investigation of the bombing of a Jewish synagogue here Oct. 3 is the news that a number of French police officers belong to neo-Nazi organizations.
Jose Deltorn, secretary-general of the union that represents most of France's plainclothes police detectives, maintains that a list of members of a neo-Nazi group calling itself FANE (Federation d'Action Nationale Europeen) was sent before the synagogue bombing to Minister of Interior Christian Bonnet, who is responsible for the police in France.
(...)
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 12:40 | |
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www.senat.fr/leg/ppr80-028.pdf
SÉNAT
PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1980-1981
Annexe au procès-verbal de la séance du 10 octobre 1980.
PROPOSITION DE RÉSOLUTION
tendant à la création d'une commission d'enquête sur l'utilisation des forces de police et les complicités dont bénéficient les mouvements se réclamant du nazisme à l’intérieur des services.
(...)
EXPOSÉ DES MOTIFS
MESDAMES, MESSIEURS,
Les mois qui viennent de s'écouler ont été marqués notamment par une recrudescence inquiétante des menées terroristes et particulièrement par des attentats revendiqués par des mouvements d'extrême droite.
En Italie, les fascistes ont tué une centaine de personnes en faisant exploser une bombe dans la gare de Bologne.
Récemment, un attentat commis par un membre d'une organisation nazie d'Allemagne de l'Ouest vient de faire douze victimes.
Cette série d'opérations criminelles a révélé à l'opinion tant mondiale que nationale que les mouvements d'extrême droite pouvaient tuer massivement et dans n'importe quel endroit, qu'ils disposaient d'organisations structurées et qu'ils entretenaient des contacts au niveau européen.
En effet, quelques jours après l'hécatombe de Bologne, les policiers italiens découvrent que l'inspecteur des Renseignements généraux français Paul Durand, membre connu de la direction de l'organisation néo-nazie F.A.N.E., a eu des contacts réguliers avec les principaux mouvements d'extrême droite coupables de nombreux attentats et suspectés d'être à l'origine de celui de Bologne.
La question de la pénétration de la police française par des éléments d'extrême droite liés au terrorisme était une fois de plus posée.
Après la nouvelle, le ministre de l'Intérieur décidait le 11 août 1980 de suspendre Durand pour activité illicite. Ceci permet de penser que, si le massacre de Bologne n'avait pas eu lieu, Durand, membre du bureau d'une organisation nazie, serait toujours en fonction dans la police.
La France n'est pas épargnée par cette vague de terrorisme et celui-ci s'est montré plus arrogant et aussi plus actif pendant la dernière période.
Ainsi, plus de 150 attentats ont été recensés dans les derniers mois.
Des tombes, des synagogues, des monuments publics ont été profanés. Des personnalités ont été menacées de mort. Des militants d'organisations démocratiques, des immigrés ont été assassinés.
Aucune des poursuites engagées à la suite de ces attentats n'a, à ce jour, abouti ; aucune des organisations nazies n'a été démantelée conformément à la loi, si ce n'est la F.A.N.E. qui vient d'être dissoute après que l'opinion eut été informée de ses relations avec les tueurs de Bologne et alors que, depuis son existence, la presse démocratique avait multiplié les mises en garde et révélé ses activités.
(...)
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 13:38 | |
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Jacques Borsu, dont le frère aurait été policier, est donc plus que probablement en contact avec François Hamon, membre français de EPE et très proche du FANE. Jacques Borsu a été mercenaire en Afrique sous les ordres de Bob Denard.
Le FANE avait dans ses rangs de nombreux policiers.
Cela fait penser aux frères Eveillard ...
Pierre Eveillard a intégré la CEE et est devenu au fil du temps coordinateur du bureau de la sécurité, un peu comme Gérard Lhost ... (voir aussi le contrat Securitas avec Philippe Alexandre).
Christian Eveillard était policier à Etterbeek et avait des liens avec le DOLO. Il s'est suicidé.
Jean-Claude Darville fréquentait le Dolo avec d'autres mercenaires de la mouvance Denard.
On pense bien entendu à Guillaume Vogeleer ("Jimmy le Belge") avec sa bonne connaissance de la pègre bruxelloise (Havelange, Romain).
Il faudrait relire (ou interroger) "Max", le chauffeur du Dolo ...
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 13:45 | |
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Le frère de Jacques Borsu est André Borsu.
Il fréquentait le Brussels Reserve Officiers Club (BROC), qui aurait été visité par Paul Latinus (officier de réserve dans les années 1970).
Il y aurait probablement rencontré le colonel Paul Detrembleur (SDRA), le lt-col. Gaspard Vuylsteke (Speakersbureau, PIO, OTAN), Arthur Gerbehaye, Pierre Eveillard, Jean-Pierre Dutry (beau-frère de VdB), Hugo Van Gompel, Freddy Stolting (PSC, extrème droite), Jean-Marie Flagotier (avocat; Union pour la Defense et le Respect du Travail), etc
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 14:47 | |
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 15:22 | |
| Des extraits du livre "P comme Police" (1983) sont sur : http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN http://fr.scribd.com/doc/113222069/Dossier-P-Comme-Police-a-hamon-J-C-marchand-1983 Intéressant de faire une recherche avec "F.A.N.E" A la dernière page : une lettre anonyme au "Nouvel Observateur" en 1978, émanant d'un supposé inspecteur des RG dégoûté par l'ancrage de son service à l'extrême droite (authentique ?) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: carton jaune pour De Decker Mer 14 Nov 2012 - 15:54 | |
| Des extraits du livre "Les néo-nazis" sont sur http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN http://fr.scribd.com/doc/113224335/Les-neo-nazis-1982-Bibliographie http://fr.scribd.com/doc/113224393/Les-neo-nazis-1982-Couv-resume-tdm http://fr.scribd.com/doc/113224440/Les-neo-nazis-1982-p-214-217 http://fr.scribd.com/doc/113224465/Les-neo-nazis-1982-p-220-221 http://fr.scribd.com/doc/113224574/Les-neo-nazis-1982-p-231-238-Notes http://fr.scribd.com/doc/113224616/Les-neo-nazis-1982-p-74 http://fr.scribd.com/doc/113224656/Les-neo-nazis-1982-Photos-Fredriksen-Duprat-Sidos-Bardeche |
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