schéma de Michel Libert

http://www.lalibre.be/actu/belgique/le-sint-maartensfonds-ne-renie-rien-de-l-ideologie-nazie-51b87252e4b0de6db9a5c444

Le Sint-Maartensfonds ne renie rien de l'idéologie nazie

ANNICK HOVINE et PAUL VAUTE Publié le mercredi 09 mai 2001 à 00h00 - Mis à jour le mercredi 09 mai 2001 à 00h00

(...)

http://www.multinationalmonitor.org/hyper/issues/1982/01/brooks.html

JANUARY 1982 - VOLUME 3 - NUMBER 1

IRIS: Global bankers, diplomats, spies and a computer launch a private CIA

by Philip Brooks in Paris

The specter of the Iranian revolution continues to haunt international financial circles. Western bankers and industrialists who had considerable investments in Iran still wonder how a regime such as Pahlavi's, described as an island of stability, collapsed after only a few months' popular pressure.

The lesson that financiers seem to have drawn from the Iranian "disaster" is that Western intelligence services such as the CIA cannot be relied on to provide adequate warning of an imminent crises.

To prevent another such lapse of intelligence gathering, consortium of European banks has created a private international intelligence company called IRIS - International Reporting Information System - based in Crystal City, Virginia, just a few mile from CIA headquarters. IRIS is incorporated in the Netherlands.

Consortium members, who have reportedly invested $10 million, are the Bank of Bilbao (Spain), the Bank of Liechtenstein, the Swedish insurance company Scandia, the British investment bank Henry Ansbacher, and two privately held companies, Seascope Group Corporation and the Washington D.C.-based Government Research Corporation.

A spokesperson for IRIS at the firm's Cyrstal City headquarters said the company currently has about 30 employees at work and expects to have 33 full-time analysts in house within six months. The collection and analysis of data - by about 100 correspondents worldwide - will be managed under contract by GRC International, a subsidiary of Government Research Corporation which publishes the government and politics periodical National Journal.

One reason the firm maybe operating out of the U.S. is to take advantage of First Amendment protection on information gathering in the U.S., and the absence of laws regulating computer intelligence systems.

IRIS's information will be entered into a computer which the company claims is modelled on the one used by the CIA, and subscribers to the service will be able to receive virtually instant printouts of information which will vary as to length and range according to the fees paid by the subscriber. A spokesperson for IRIS estimates charges will be between $20,000 and $300,000 a year.

IRIS has also established an "international advisory council" to lend prestige and to provide an undefined degree of judgement on the information. Members of the council include former British prime minister Edward Heath as chairman, former president of the World Bank Robert McNamara representing North America, former Colombian finance minister Rodrigo Botero representing South America, and former French minister of commerce Jean-Francois Deniau representing Europe. Heath, who says his IRIS activities will take him "only a few days' work a year," will receive $100,000 annually for his services. Heath has yet to select directors for the Middle East, Asia and Africa.

Director of Information for IRIS is Paul Boaker, onetime assistant to former U.S. secretary of state Henry Kissenger and former U.S. ambassador to Bolivia. The operation will be managed by Washington publisher Anthony Stout, chairman of Government Research Corporation.

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Communication and Conflict: Studies in International Relations
Par Jörg Becker




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Commentaire de Michel Libert :

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(...)   Les balbultiements d'IRIS ont débuté dès 1979 et les crédits opérationnels  libérés (ce qui explique la réponse que me fit Paul Latinus au sujet des fonds considérés illimités devant servir aux opérations en cours et à venir ... au sujet desquels fonds nous ne devions (nous et d'autres) nous faire aucun soucis).

Sur Cesar de la Vega  (en espagnol) :

http://carlosfelice.com.ar/blog/2012/12/cinco-masones-portenos-destacados-de-la-segunda-mitad-del-siglo-xx/

et

http://www.agenciapacourondo.com.ar/cultura/propaganda-due-no-era-una-logia-cualquiera-habia-gente-influyente-de-todo-el-mundo

Le chevalier Jean Breydel (44 ° ), le 39ième candidat sur la liste (Ixelles), fut vers 1970 le dirigeant du JBJ après avoir un militant de divers mouvements d'extrême-droite dans les années '60 avec Emile Lecerf.

Breydel a toujours été, avec son ami Benoit de Bonvoisin, un confident de Vanden Boeynants qui l'a nommé, en '76, secrétaire-général du CEPIC et, par la suite, architecte au ministère de la Défense Nationale. Dénoncé par la sûreté, dans la fameuse note de la sûreté de '81 pour ses liens avec l'extrême-droite, il entre en rupture avec le PSC à partir de la fin '82. Breydel devient ensuite un des dirigeants du nouveau parti d'extrême-droite, le PLC, avant d'entrer au PRL ou il devient le conseiller du président Louis Michel. Breydel n'a jamais renié ses sympathies pour les idées et les hommes d'extrême-droite parmi lesquels il compte beaucoup d'amis.

HERVE a écrit:

our éviter une telle déchéance de la collecte de renseignements, un consortium de banques européennes a créé une société de renseignements internationale privée appelée IRIS - International Reporting Information System - basée à Crystal City, en Virginie, à quelques kilomètres du siège de la CIA

Il y avait bien mieux que ca. En l'occurence le programme "Echelon" dont les données étaient analysées au quartier général de la NSA
Big brother is watching you
https://fr.wikipedia.org/wiki/Echelon

Ce qui me frappe avec "IRIS", c'est le financement privé. Cela me fait penser à "Milpol" de André Moyen, financé par l'Union Minière et par Brufina. On peut aussi se demander s'il n'y avait que du renseignement ou bien s'il y avait également un volet "action".

Les liens entre André Moyen et l'Union Minière ont été très forts puisque André Moyen a pu utiliser un local de l'Union Minière à la rue des Comédiens (maison qui appartient toujours à Umicore).

Une autre présentation du schéma (avec peut-être quelques différences) :

Sur Jean Breydel...

Par une lettre datée du 26 février 1980 et adressée à Jean-Michel Detournay qui dirige "PDG", Jean Breydel présente sa démission :

" Par la présente, je tiens à vous signaler que j'ai été appelé à occuper un poste dans un cabinet ministériel.
Je me vois donc dans l'obligation de vous présenter ma démission durant une période indéterminée."

La réponse de Jean-Marie Detournay du 28 février 1980 :

"Croyez que nous regrettons ce fait étant donné les nombreux et satisfaisants services que vous nous avez toujours rendus au sein de notre société.
Cependant, si pour des raisons personnelles vous désirez réintégrer notre société, nous vous assurons, dès à présent, d'agréer positivement votre demande.
Nous sommes donc d'accord de vous libérer le 18 avril prochain."


Sur PDG :

Dès l'origine, la SA Promotion et Distributions générales (PDG) a été associée au financement de certaines activités de PIO, en particulier Inforep et les conférenciers militaires; depuis 1975, des remboursements de frais de voyage furent par ailleurs effectués au profit du major Bougerol. Sise au 39, rue Belliard, à Bruxelles, fondée en 1971, dirigée par J.-M. Detournay, elle était, semble-t-il, contrôlée totalement par le baron Benoît de Bonvoisin; depuis l'augmentation de capital de 1974, elle comptait des Libanais parmi ses principaux actionnaires. En principe PDG s'occupait de promotion industrielle et de relations publiques au plan international en Afrique, en Amérique latine et au Moyen-Orient; elle assurait également la promotion et la commercialisation d'un brevet d'«économisateur» d'essence appelé SVB 3, qui appartenait à une société panaméenne. En échange de ses services, PDG recevait des exemplaires d'Inforep vendu à des sociétés sympatisantes à raison de 60.000 F par abonnement; en 1978, il y en avait eu neuf.

De la publicité pour le "SVB 3" apparaissait dans le "Nouvel Europe Magazine".


Le soi-disant « Gladio belge »
Par Hervé Hasquin

Est-ce la personne suivante ?





http://www.sdnl.nl/fraude.htm

(...)

There are also serious allegations about Mr Thomas (who exercises a similar function in the Council as Mr Eveillard did in the Commission) and how Mr Eveillard was connected to him (and other extreme right wing figures) via the extreme right wing organisation of Mr Latinus.

Mr Robert Thomas was one of those responsible for the supervision of the security contract which was also concluded with Group 4 Securitas by the administration of the European Council in 1992. Mr Thomas has been known for years because of his exploits with guns. In the 1980's he belonged to practical shooting clubs which were investigated because they had been infiltrated by people from the extreme right wing. Even long after he was in employment as an official of the European Council in the security service, Mr Thomas was hired by the Front de la Jeunesse and the neo-nazi militia the Westland New Post of Paul Latinus. He is even alleged to have used Council buildings to organise weapon exhibitions and make use of the diplomatic pouch for unauthorised activities.

(...)

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Note : en lisant ce qui suit, il ne faut pas oublier que Stefano Delle Chiaie connaissait bien la P2 tant en Italie qu'en Argentine. Il ne faut pas oublier non plus les relations entre Otto Skorzeny et Juan Peron.


Tango Piduista
De Gabriele Zangarini
(2018)






(...)





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Peron ne peut pas être nommé, par conséquent Càmpora se présente avec le parti de gauche péronisa et gagne les élections. La première étape est terminée et Hector Càmpora s'installe à la "Casa Rosada" le 25 mai 1973. Il ne reste plus qu'à récompenser et à organiser les maçons argentins.

Le premier nom à apposer sur le cahier de Gelli s'appelle César De La Vega, médecin, numéro de carte P2 590. De La Vega est le "Grand Maître" de la maçonnerie argentine, avec lequel le "vénérable Maître" est très endetté. En fait, le soutien des francs-maçons argentins, parmi lesquels il y a beaucoup de sommets militaires, a favorisé le retour de Peron et la présence du parti justicialiste aux élections. Le représentant maximum de la "Grande Loge d'Argentine" a ainsi obtenu la nomination en tant que sous-secrétaire du ministère du Bienestar Social d'abord, puis à l'ambassadeur de l'UNESCO à Paris. L'accord entre les parties est célébré lors d'une réunion irréelle le 1er juin 1973, à l'ombre du monument équestre de Giuseppe Garibaldi, sur la Plaza Italia, dans le quartier de Palerme.
Gelli, comme il le dit lui-même, est toujours le premier de la cérémonie


La place choisie était la Piazza Italia à Buenos Aires, celle du monument à Giuseppe Garibaldi, le héros des deux mondes, également maçon. Un lieu qui avait un caractère symbolique profond. L'heure prévue pour la réunion n'était pas minuit mais une heure. J'avais organisé une cérémonie, presque solennelle, entre Hector Càmpora et le Grand Maître César De La Vega, arrivé au rendez-vous avec les plus hauts dignitaires de la maçonnerie argentine. Presque tous les militaires. Je me souviens très bien aussi du chef de cabinet Roberto Viola qui deviendra plus tard président de l’Argentine immédiatement après la chute de Jorge Videla. Les deux groupes se sont cependant arrêtés des deux côtés de la place, attendant un signal. J'ai commencé par taper des mains et les chefs des deux délégations se sont rencontrés, juste sous le monument, ils se sont serrés dans leurs bras et ont finalement fait de même avec moi. C'était, je l'ai dit, presque une cérémonie. Les détails de l'accord ont été discutés plus tard lors d'une réunion à Santa Fe.

(...)

1.5. Le péronisme s'en va, Gelli reste

"Le rôle de Gelli en Argentine était plus important que celui joué en Italie". Déclaration de Giancarlo Elia Valori devant la "Commission d'enquête parlementaire sur la loge maçonnique P2".
Avec le retour définitif de Peron, l'influence de Gelli s'élargit comme une énorme ombre sur la vie politique argentine. Le 29 août 1973, peu avant les élections, le général Cesar De La Vega, «grand maître» de la loge argentine, envoya une lettre à Licio Gelli. Dans la lettre, le médecin argentin rapporte une liste de huit noms à attribuer au prochain gouvernement Peron. Les huit candidats sont tous inscrits pour P2. Parmi ceux-ci, Federico Barttfeld, numéro de carte P2 479, devient consul argentin à Hambourg; Guillermo De La Plaza, numéro de carte P2 589, est nommé ambassadeur en Uruguay; Hipolito Barreiro, numéro de carte P2 689, (...)

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Unveiling the Enigma: Who Stole the Hands of Juan Peron?
De David Cox, Damián Nabot
(2009)





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https://www.lanacion.com.ar/1579517-con-la-argentina-lazos-profundos-y-una-amistad-con-peron

Con la Argentina, lazos profundos y una amistad con Perón

7 de mayo de 2013

(traduction)

Giulio Andreotti a toujours nié sa relation avec le vénérable maître Licio Gelli, ancien chef de la loge maçonnique P2 (Propaganda 2), jusqu'à ce qu'une photo soit révélée. Dans l'image, le "divin Giulio" est apparu à côté de Gelli, les deux en smoking, à la Casa Rosada, à Buenos Aires, le jour de l'inauguration de Juan Domingo Perón en 1973.

Parmi les zones sombres du "divin Giulio", mort hier à l’âge de 94 ans, se trouve non seulement son lien mystérieux avec Gelli, mais aussi les relations entre l’Italie et l’Argentine pendant la dictature militaire, une période de prospérité pour les grandes industries italiennes et le pays, alors que le silence a prévalu face au drame des disparus, selon les militants.

(...)

Selon certains auteurs, comme Enrique Pavón Pereyra, Gelli et Andreotti ont visité Perón à Madrid pour lui offrir les services de la loge pour récupérer le corps d'Evita.

(...)

Gelli avait des liens profonds avec l'Argentine, le pays où il s'était rendu après la seconde guerre mondiale. Là-bas, en plus d'avoir gagné de l'argent en "aidant" les fascistes qui ont émigré, il s'est lié d'amitié avec Perón et José López Rega. En 1974, le "maestro venerabile" avait été nommé attaché commercial à l'ambassade d'Argentine à Rome, poste qui lui donnait non seulement la nationalité argentine, mais aussi un passeport diplomatique d'Argentine.

L’ex-vénérable a souligné hier que Andreotti était "le seul au monde à avoir le droit de se dire homme d’État". "Il avait des secrets qu'il prenait avec lui, seul un vrai homme les prend", a-t-il déclaré.

(...)

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Note : Giulio Andreotti était aussi présent à la réunion "Europa Christiana" à l'abbaye de Royaumont, avec Robert Close, Jacques Jonet, Benoît de Bonvoisin, Jean Violet, etc

Voir aussi :

https://www.infobae.com/opinion/2017/10/18/peron-y-la-condecoracion-a-un-controvertido-maestro-mason/

Perón e la decorazione di un controverso maestro muratore

18 de octubre de 2017

(traduction)

Le 12 octobre 1973, Juan Domingo Perón a pris ses fonctions pour la troisième fois en tant que président en République argentine.

Exactement une semaine après, une cérémonie singulière a eu lieu à la Chambre des représentants qui, à cette époque, est passée inaperçue, mais qui a fait l’objet d’une attention particulière pour certaines personnes bien informées sur les aspects cachés de la politique.

Dans son livre, Nelson Castro le décrit ainsi: «Le 19 octobre, Perón a décoré Licio Gelli de la Grande Croix de l’Ordre du Libérateur Général San Martín, lors de la cérémonie qui s’est déroulée dans le bureau du Président, le chef de l'Etat était accompagné du ministre des Affaires étrangères Vignes et de López Rega. En le remerciant de la distinction qui lui a été accordée pour sa personnalité et ses services rendus au pays, Gelli a souligné les liens d'amitié entre l'Argentine et l'Italie.

(...)

Note : Cesar De La Vega est aussi cité.

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https://www.clarin.com/politica/propaganda-due-secretos-masoneria-argentina_0_E1B3NTYZW.html

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https://www.clarin.com/politica/propaganda-due-secretos-masoneria-argentina_0_E1B3NTYZW.html

Revelaciones
Propaganda Due, el libro que revela los secretos de la masonería italiana en Argentina

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Vigilia de armas (Tomo 3). Del Cordobazo de 1969 al 23 de marzo de 1976 ...
De Horacio Verbitsky

(2013)

(traduction)

(...)

Le diplomate CESAR DE LA VEGA, Grand Maître de la maçonnerie argentine, a rencontré Gelli en décembre 1972, lorsque l'Italien qui était arrivé avec Peron comme visiteur du siège maçonnique en tant que représentant personnel du Grand Maître de l'Orient italien et impressionné par leur « attitude anti-marxiste courageuse et sans équivoque. » Gelli avait recruté pour sa confraternité les chefs des services de renseignement en Italie et avait une grande pénétration en Argentine. En conversation avec DE LA VEGA, je relèverai l'intérêt de Peron pour éviter le futur gouvernement péroniste devrait subir la même hostilité que la maçonnerie dédiée à sa présidence.. DE LA VEGA a répondu que les négociations devraient se faire par Peron lui-même ou un représentant officiel. Gelli dit que le représentant enverrait Peron pas laisser le doute et bientôt Campora a demandé une entrevue. Selon le Grand Maître, la rencontre en solo avec le candidat à la présidentielle a eu lieu "sur le chemin de la Plaza Italia tard dans la nuit". Campora lui a offert une position élevée dans son futur gouvernement. DE LA VEGA serait secrétaire de la mineure et de la famille au ministère de la protection sociale, pour toutes les activités dont le contrôle comptable est assuré.  En avril 1973, DE LA VEGA a apporté un document de la loge P2 à une nouvelle réunion avec Campora. Selon son cinquième point, les contacts militaires de l’organisation étaient très préoccupés par «l’attitude du gouvernement national contre la subversion, ainsi que par la possibilité d’une amnistie aveugle".

(...)

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Otto Skorzeny et le couple Peron :

https://www.bbc.com/mundo/noticias/2015/01/150102_nazi_granjero_agente_irlanda_argentina_amv





Skorzeny s'est rendu à Buenos Aires où il est devenu conseiller du président Juan Domingo Perón et des gardes du corps de sa femme, Eva Perón.

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https://drantoniolasheras.wordpress.com/tag/cesar-de-la-vega/

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On mentionne Lopez Rega / le "sorcier" (en espagnol "brujo") dans "Escadrons de la mort, l'école française" (chapitre 19) et dans "Predatory States".

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http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMEve?codeEve=864

Le ministre péroniste des Affaires sociales, José Lopez Rega, joue un rôle important dans la «sale guerre» qui se déroule en Argentine entre 1973 et 1975. Il est le cofondateur de la Triple A (Alliance anti-communiste Argentine), un escadron de la mort qui exercera une sévère répression sur les éléments gauchistes.

César de la Vega était Grand Maître de la Grande Loge d'Argentine. Il a occupé un poste au ministère de la protection sociale sur ordre de José López Rega pendant la présidence de Cámpora.

Les plastiqueurs: Une histoire secrète de l'extrême droite violente
De Frédéric CHARPIER
(2018)







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http://elcorreo.eu.org/la-connexion-fran%C3%A7aise-avec-la-dictature-argentine

26 octobre 2014

DES DOCUMENTS SECRETS DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ARGENTIN PENDANT LA DICTATURE MILITAIRE

La connexion française avec la dictature argentine
L’ESMA, et sa succursale de Paris

par Alejandra Dandan, Victoria Ginzberg

La Marine dominait les relations extérieures et a transformé les ambassades en centres de propagande. Cette semaine, les archives sont publiées sur la page Web officielle et on pourra suivre des histoires comme celle du Centre Pilote de Paris, où ils ont envoyé les assassins des religieuses françaises.

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Et l'on retrouve César de la Vega

http://desclasificacion.cancilleria.gob.ar/simple_comision_ddhh?body=+CESAR+A.+DE+LA+VEGA





http://desclasificacion.cancilleria.gob.ar/userfiles/documentos/RESOLUCIONES_PUBLICAS/Res1225-1976.pdf




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Rappel (schéma de Paul Latinus) :

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Quand Cesar de la Vega, membre de la loge P2 argentine, était ambassadeur à Paris ...

http://www.rfi.fr/hebdo/20171201-dictature-argentine-esma-proces-emblematique

Dictature en Argentine: Esma, un procès emblématique
Par Jean-Louis Buchet    Publié le 01-12-2017   Modifié le 01-12-2017 à 15:23

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Escuela_de_Mec%C3%A1nica_de_la_Armada

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http://elcorreo.eu.org/la-connexion-fran%C3%A7aise-avec-la-dictature-argentine?lang=fr

La connexion française avec la dictature argentine

L’ESMA, et sa succursale de Paris

(...)  Centre Pilote de Paris  (...)

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Sur le Centre Pilote de Paris :

https://www.lejdd.fr/International/Paris-Buenos-Aires-le-tango-de-la-mort-212459-3103427

Paris-Buenos Aires, le tango de la mort
17h17 , le 7 août 2010, modifié à 12h31 , le 19 juin 2017

Des Français disparus en Argentine. Un tortionnaire argentin infiltré à Paris. Le double jeu des services français. L’histoire des années noires de la dictature s’écrit aussi à Paris.

(...)

Alfredo Astiz prend, lui, la direction de… Paris. L’ambassade d’Argentine vient en effet d’ouvrir avenue Henri-Martin une ambassade bis, le Centro argentino de difusión, destiné à assurer la promotion de la junte et, à un an de l’organisation de la Coupe du monde en Argentine, de contrer la "propagande des éléments subversifs". Structure qui en cache une autre, le Centro Piloto de Paris (CPP), qui surveille les nombreux réfugiés argentins et les infiltre. C’est le job d’Astiz. Ou plutôt d’Alberto Escudero. C’est sous cette identité qu’il se présente en février 1978 lors d’une fête organisée par le Centre argentin d’information et de solidarité (Cais). L’homme se dit prêt à héberger des réfugiés dans le besoin. La manœuvre échoue. Des Argentins de Paris reconnaissent en Alberto le "Gustavo" qui a conduit à la mort trois mois plus tôt les fondatrices des Mères de la place de Mai et les deux religieuses françaises. Libération s’en fait l’écho en avril: "La découverte d’un agent des services secrets argentins à Paris, Alberto Escudero, met en évidence les projets de la Junte."

Cinq cent mille Argentins ont choisi le chemin de l’exil. Paris fait partie des destinations privilégiées. La "lutte" s’y organise. Un Comité pour le boycott du Mundial (Coba) voit le jour. Les scientifiques aussi se mobilisent pour organiser à Paris un contre-congrès au XIIe Congrès mondial de cancérologie que l’Argentine doit accueillir à l’automne 1978. Astiz-Escudero veille, se renseigne et assiste même à des réunions préparatoires. Rue 89 a publié en 2009 une photo retrouvée presque par hasard par le fils du biologiste Georges Périès, l’un des organisateurs du contre-congrès. On reconnaît parfaitement Astiz, en retrait, mais très attentif… Quatre ans plus tard, en 1982, Alfredo Astiz est filmé par la télévision en officier de marine, tout de blanc vêtu, en train de signer l’acte de reddition. L’Argentine a perdu la guerre des Malouines. Les "folles" de la place de Mai peuvent enfin mettre un nom sur "l’ange blond de la mort".

Entre-temps, le Centro Piloto a continué à fonctionner. En désaccord avec ces méthodes, une "vraie" diplomate en poste à Paris, Helena Holmberg, va payer cette opposition de sa vie. En décembre 1978, elle rentre à Buenos Aires pour dénoncer les agissements d’Astiz et de ses amis marins. Son corps sera retrouvé un mois plus tard dans un cours d’eau. Mais quelle a été l’attitude des "services" français à l’égard de ces agents sud-américains – l’Argentine, le Brésil, la Bolivie, le Chili, le Paraguay et l’Uruguay collaboraient dans le cadre du plan Condor. Pour le journaliste Roger Faligot (1), "la DST et les RG ont clairement collaboré avec les services latino-américains pour 'repérer' certains réfugiés. Les services français voulaient surtout éviter qu’on les assassine sur le sol français, d’autant que cela a généré un contre-terrorisme d’un groupe gauchiste…".

(...)

 "Le Centro Piloto servait aussi de centrale d’achat d’armements français", confirme Roger Faligot, qui souligne le double jeu des Français.

(...)

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Voir aussi :

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20091101.RUE3264/quand-la-dictature-argentine-espionnait-ses-opposants-a-paris.html

http://www.elcorreo.eu.org/L-infiltration-en-France-d-Alfredo-Astiz-parmi-les-exiles-argentins-en-1978?lang=fr

https://www.facebook.com/SitiodeMemoriaESMA/posts/el-centro-piloto-de-par%C3%ADs-creado-para-contrarrestar-las-denuncias-en-el-exterior/886287014851308/

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Le rôle des services secrets des USA dans le "plan Condor" (auquel Stefano Delle Chiaie a participé) n'est pas négligeable.

https://www.nytimes.com/2001/03/06/world/new-files-tie-us-to-deaths-of-latin-leftists-in-1970-s.html

New Files Tie U.S. to Deaths Of Latin Leftists in 1970's

By DIANA JEAN SCHEMO

A recently declassified State Department document shows that Latin American officers involved in Operation Condor, the joint effort in the 1970's by right-wing governments to crush left-wing opposition, used an American communications installation to share intelligence.

A cable to the State Department in 1978 from the United States ambassador to Paraguay at the time, Robert E. White, quoted the chief of staff to the dictator Alfredo Stroessner as saying an American installation in the Canal Zone was ''employed to coordinate intelligence information'' among South America countries. ''Obviously,'' the cable said, ''this is the Condor network, which all of us have heard about over the last few years.''

Mr. White wrote that he had not independently confirmed the accuracy of the Paraguayan's report. But he recommended that Secretary of State Cyrus R. Vance ''review this arrangement to insure that its continuation is in the U.S. interest.''

To Mr. White's knowledge, he said recently, the review was never done.

But the cable appeared to open new avenues of inquiry about the American role in Condor, a shadowy operation to stamp out the Latin American left that, among other things, dispatched death squads to kill critics at home and overseas.

Documents already made public have shown that the F.B.I. helped Condor's efforts early on by investigating South American leftists who were arrested and, in at least one case, tortured.

The cable was discovered by a Long Island University professor, Patrice McSherry, among thousands of documents being declassified on American relations with South American dictatorships.

If Latin American officers did use American facilities to transmit intelligence, this would have provided United States officials the opportunity to monitor Condor activities closely.

Lt. Gen. Samuel Wilson, retired, who was director of the Defense Intelligence Agency through August 1977, said, ''If such an arrangement existed on an institutional basis, I would have known about it, and I did not then and do not now.''

However, he added, ''that such an arrangement could have been made locally on an ad hoc basis is not beyond the realm of probability.''

But Peter Kornbluh, a senior analyst at the National Security Archive, said the cable implied ''foreknowledge, cooperation and total access'' to the plans and operations of Condor.

''The degree to which the U.S.A. knew about and supported these operations has remained secret until now,'' he said. ''The layers of the onion are peeling away here.''

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Sur le plan Condor :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Condor

http://www.rfi.fr/ameriques/20130306-argentine-condor-proces-videla-pinochet

http://www.papelesdesociedad.info/IMG/pdf/el-plan-condor.pdf

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http://www.cryptome.org/2012/01/cercle-pinay-6i.pdf




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https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00080905/document

https://www.lavenir.net/cnt/dmf20150331_00626806

Affaires africaines
De Pierre Péan





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Explications de Michel Libert :





Il s'agit de De Vlieghere de la sûreté de l'Etat.

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Voir

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t875-de-vlieghere-jacques

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Monsieur,


Il s'agit d'une mention traduisant que Patrick Huart faisait partie / répondait d'un bureau auxiliaire lié à "l'organisation" ... donc via Burafex et/ou un de ses membres assurant le "liant" dans une strate qui ne me concernait pas.

TC

ML