Ds le cabinet du ministre de la culture d'epoque on avait déjà constaté des parachutages de P.Lat. qui a son tour fait entrer d'autres
gens de "nouvelles cul-tures":
Rechercher dans: Organisations Sujet: WACL (World Anti Communiste League) Lun 9 Jan 2012 - 13:51
et aussi on trouve un peu avant ds ce meme texte:
Citation:
Mais justement, que va faire un ingénieur technicien au
Bureau régional de l'ONEM à Bruxelles, à une place tout à fait
en dehors de ses qualifications ? Et pourtant,
en octobre 1978.
c'est la qu'il entre comme CST pour occuper une place de con-
seiller professionnel. Et la mission de Latinus se poursuit.
Grâce à sa nouvelle influence, il trouve une place de CST au
Ministère de la Culture Française pour
Béatrice Bosquet, mili
tante active du Front disparu avec Jean-Marie Paul au lende-
main de l'assassinat de Laeken et une autre place pour
Jacques
Hoebeek. ancien responsable du service logistique du Front de
la Jeunesse. Mais non content de placer ses camarades, il com-
mence le travail d'infiltration dans les organisations progres-
sistes En
mars 1979. il prend contact avec les 'Amis de la
Terre' en se présentant comme ingénieur et anti-nucléaire. 1
>donc Bousqet travaillait aussi chez Goor et l'autre HOEB aussi ou je comprend mal?
on se demande a qoui servent les cabinets , qui travaille encore là- dans pour
la CUL-TURE
Sujet: WACL (World Anti Communiste League) : Organisations Sujet: WACL (World Anti Communiste League) Lun 9 Jan 2012 - 13:43
@ Hervé
bonne peche ce doc:
Citation:
Entretemps, Latinus a quitté le Bureau Régional de
l'ONEM et est entré, toujours comme CST. au Ministère de
l'Emploi et du Travail où il est devenu secrétaire d'administra-
tion adjoint au conseiller adjoint pour la région de Liège. Cette
place lui a été attribuée grâce à l'intervention auprès du Minis-
tre De Wulf de deux personnalités influentes du CEPIC.
En
effet, en
juin 1980, Paul Vandeu Roeynants et le vice-premier
ministre José Desmarets envoient au cabinet de De Wulf une
recommandation écrite en sa faveur, afin de le faire nommer
fonctionnaire temporaire dans ce ministère. Et, récidivant.
Paul Vanden Boeynants, d'après une mention manuscrite
ajoutée sur la lettre que Madame Cécile Goor envoie au Minis-
tre de l'Emploi et du Travail, recommande à nouveau Latinus.
Cécile Goor qui est secrétaire d'Etat à la région bruxelloise a
son cabinet dirigé par deux membres influents du CEPIC
bruxellois.
-
Pierre Wyvekens, fondateur du MIC et membre du
bureau national du CEPIC et
-
Francis De Hondt. secrétaire politique du CEPIC de Bruxelles.
Elle a écrit en décembre
1980 au Ministre De Wulf pour lui demander que Paul Latinus
soit désormais détaché à son cabinet, ce qui fut accordé.
Au cabinet, Latinus est chargé de représenter Cécile Goor au
Comité de décision habilité à accepter ou à refuser les diffé-
rents projets de CST.
Le 7 janvier 1981. le Parquet perquisitionne au domicile de
Paul Latinus à la recherche de Jean-Marie Paul et découvre
qu'il détient sans autorisation une riot-gun et une 22 long rifle
munie d'un silencieux. Quelques jours plus tard, alors que
Pour vient de dénoncer les pratiques de Paul Latinus. celui-ci
disparait sans laisser d'adresse. Evanoui dans la nature. Deux
mois après, on apprend qu'il a juge bon de s'enfuir en Améri-
que latine parce qu'il aurait été l'objet de menaces de mort ano-
nymes. Latinus se choisit alors un avocat:
Jean-Paul Dumont.
Cet avocat, qui est membre du CEPIC et conseiller communal
PSC à Uccle dans la section de José Desmarets est aussi l'avo-
cat de
Daniel Gilson dans le procès du Front de la Jeunesse en
février 1981.150
Latinus livre au journal Le Soir sa version des événements: il
n'a jamais été membre du Front de la Jeunesse, il a contacté
Francis Dossogne
en juillet 1977 et lui a proposé de faire ven-
dre par ses militants des bébés phoques en peluche au profit de
lu fondation Franz Weber(4).
En mars 1978, Francis Dossognelui a demande de venir «organiser le Front de la Jeunesse sur les
bases d'une société commerciale pour donner au mouvement
une structure professionnelle de gestion et d'organisation
interne avec l'établissement de liens structures entre les ser-
vices». C'est ainsi qu'il a eu accès à tous les locaux et à tous les
documents. Une des conclusions de son travail a été le camp du
15 août des cadres du Front de la Jeunesse. Et joignant à son
explication une menace, il annonce qu'il dépose une plainte
contre l'hebdomadaire Pour, mais s'est bien gardé de le faire. Il
est évident qu'il craint, et qu'autour de lui d'autres craignent,
que ne soit réouvert 'le dossier*.
Car ouvrir le dossier Latinus, c'est mettre à nu les véritables
enjeux qui motivent certaines personnalités du CEPIC à soute-
nir financièrement la milice privée Front de la Jeunesse. Dans
l'affaire Latinus, on voie que des membres du CEPIC soutien-
nent et introduisent à des postes-clefs un militant fasciste dont
le but principal est de connaître et d'infiltrer les organisations
progressistes. C'est donc par le biais d'une milice, motivée par
son combat propre, que le CEPIC peut connaître une partie de
ses adversaires organises et tenter de les neutraliser par une
infiltration de militants fascistes en leur sein. Mais pourquoi se
servir du Front de la Jeunesse, alors que le CEPIC peut comp-
ter sur les services politiques de la BSR, du SDRA ou de la
Police Judiciaire pour accomplir ce travail ? Il est certain que
c'est à partir de ces dernières sources que le CEPIC, solide-
ment implantée dans l'appareil d'Etat, retire la majorité de ses
informations. Pourtant le travail du Front de la Jeunesse pré-
sente de nombreux avantages. Il permet tout d'abord, face à
l'opinion publique, de pouvoir rejeter sur celui-ci seul tout
l'impact déplaisant et antidémocratique des méthodes prati-
quées: il est plus facile de se distancier du Front que de dcnian-
derà la BSR de justifier ses méthodes. II permet ensuite d'user
des services d'individus spécialement préparés sur le plan idéo-
logique à détruire les organisations démocratiques en qui ils
reconnaissent leurs ennemis irréductibles. Il permet enfin au
CEPIC de ne pas devoir composer avec des fractions des
151
interessant est de connaitre la structure et les gens du cabinet Goor car doit y avoir qqun qui fait le lien avec DEWEE comme on a écrit qq part
qui là bas connaissait DEWEE ?
pour qui DEWEE etait un chauffeur ou faisait- t-il les commissions ? Pour madame -elle même ???
car il pouvait rouler avec le peugeot a sa maison donc il était chauffeur attitré de cette bagnole pour aller chercher madame la ministre, ou le chef du cabinet à sa maison ?
avec le procès du Front de la Jeunesse en
février 1981 tout ces parachutistes étaient en chûte libre .
Tous ces donneurs de leçons sont debarqués des cabinets ? ...ils sautent avec leur Stick et c'est sûr , qu'ils ne sont pas atteris au CPAS .
Gros problèmes de sous ? création du WNP ? Qui est resté au cabinet ?
Deprez démolit le CEPIC et il y a cission .
les extremistes rejoingnent le liberaux de GOL
Qui des "parachutés" arrive après aussi chez GOL ? , ministre de la justice ! incroyable non , c'est la belgique.
GOL qui bloque la création d'un commission d'enquete parlementaire
pour être complet, un peu , il y a aussi des elements pe qui peuvent s'être converti ds l'action politique PFN
Latinus échappe au procèes , pas DOSS:
http://www.resistances.be/dossogne.html
- Citation :
- Condamné (puis emprisonné) lors du procès intenté contre le "noyau dur" du Front de la jeunesse (1981-1982), Francis Dossogne participera ensuite à la création du Parti des forces nouvelles (PFN). Le PFN sera activement impliqué dans la diffusion des thèses niant l'existence des chambres à gaz homicides nazies jusqu'à son incorporation au Front national de Daniel Féret, en 1991