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 Cabinet Go.or

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MessageSujet: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 7:25

Ds le cabinet du ministre de la culture d'epoque on avait déjà constaté des parachutages de P.Lat. qui a son tour fait entrer d'autres
gens de "nouvelles cul-tures":

Rechercher dans: Organisations Sujet: WACL (World Anti Communiste League) Lun 9 Jan 2012 - 13:51
et aussi on trouve un peu avant ds ce meme texte:


Citation:
Mais justement, que va faire un ingénieur technicien au
Bureau régional de l'ONEM à Bruxelles, à une place tout à fait
en dehors de ses qualifications ? Et pourtant, en octobre 1978.
c'est la qu'il entre comme CST pour occuper une place de con-
seiller professionnel.
Et la mission de Latinus se poursuit.
Grâce à sa nouvelle influence, il trouve une place de CST au
Ministère de la Culture Française pour Béatrice Bosquet, mili
tante active du Front disparu avec Jean-Marie Paul au lende-
main de l'assassinat de Laeken et une autre place pour Jacques
Hoebeek. ancien responsable du service logistique du Front de
la Jeunesse.
Mais non content de placer ses camarades, il com-
mence le travail d'infiltration dans les organisations progres-
sistes En mars 1979. il prend contact avec les 'Amis de la
Terre' en se présentant comme ingénieur et anti-nucléaire. 1



>donc Bousqet travaillait aussi chez Goor et l'autre HOEB aussi ou je comprend mal?


on se demande a qoui servent les cabinets , qui travaille encore là- dans pour
la CUL-TURE

Sujet: WACL (World Anti Communiste League) : Organisations Sujet: WACL (World Anti Communiste League) Lun 9 Jan 2012 - 13:43
@ Hervé
bonne peche ce doc:



Citation:

Entretemps, Latinus a quitté le Bureau Régional de
l'ONEM et est entré, toujours comme CST. au Ministère de
l'Emploi et du Travail où il est devenu secrétaire d'administra-
tion adjoint au conseiller adjoint pour la région de Liège. Cette
place lui a été attribuée grâce à l'intervention auprès du Minis-
tre De Wulf de deux personnalités influentes du CEPIC.

En
effet, en juin 1980, Paul Vandeu Roeynants et le vice-premier
ministre José Desmarets envoient au cabinet de De Wulf une
recommandation écrite en sa faveur, afin de le faire nommer
fonctionnaire temporaire dans ce ministère. Et, récidivant.
Paul Vanden Boeynants, d'après une mention manuscrite
ajoutée sur la lettre que Madame Cécile Goor envoie au Minis-
tre de l'Emploi et du Travail, recommande à nouveau Latinus.

Cécile Goor qui est secrétaire d'Etat à la région bruxelloise a
son cabinet dirigé par deux membres influents du CEPIC
bruxellois.

-Pierre Wyvekens, fondateur du MIC et membre du
bureau national du CEPIC et
-Francis De Hondt. secrétaire politique du CEPIC de Bruxelles.

Elle a écrit en décembre
1980 au Ministre De Wulf pour lui demander que Paul Latinus
soit désormais détaché à son cabinet, ce qui fut accordé.

Au cabinet, Latinus est chargé de représenter Cécile Goor au
Comité de décision habilité à accepter ou à refuser les diffé-
rents projets de CST.

Le 7 janvier 1981. le Parquet perquisitionne au domicile de
Paul Latinus à la recherche de Jean-Marie Paul et découvre
qu'il détient sans autorisation une riot-gun et une 22 long rifle
munie d'un silencieux. Quelques jours plus tard, alors que
Pour vient de dénoncer les pratiques de Paul Latinus. celui-ci
disparait sans laisser d'adresse. Evanoui dans la nature. Deux
mois après, on apprend qu'il a juge bon de s'enfuir en Améri-
que latine parce qu'il aurait été l'objet de menaces de mort ano-
nymes. Latinus se choisit alors un avocat: Jean-Paul Dumont.
Cet avocat, qui est membre du CEPIC et conseiller communal
PSC à Uccle dans la section de José Desmarets est aussi l'avo-
cat de Daniel Gilson dans le procès du Front de la Jeunesse en
février 1981.
150




Latinus livre au journal Le Soir sa version des événements: il
n'a jamais été membre du Front de la Jeunesse, il a contacté
Francis Dossogne en juillet 1977 et lui a proposé de faire ven-
dre par ses militants des bébés phoques en peluche au profit de
lu fondation Franz Weber(4). En mars 1978, Francis Dossogne
lui a demande de venir «organiser le Front de la Jeunesse sur les
bases d'une société commerciale pour donner au mouvement
une structure professionnelle de gestion et d'organisation
interne avec l'établissement de liens structures entre les ser-
vices». C'est ainsi qu'il a eu accès à tous les locaux et à tous les
documents. Une des conclusions de son travail a été le camp du
15 août des cadres du Front de la Jeunesse. Et joignant à son
explication une menace, il annonce qu'il dépose une plainte
contre l'hebdomadaire Pour, mais s'est bien gardé de le faire. Il
est évident qu'il craint, et qu'autour de lui d'autres craignent,
que ne soit réouvert 'le dossier*.
Car ouvrir le dossier Latinus, c'est mettre à nu les véritables
enjeux qui motivent certaines personnalités du CEPIC à soute-
nir financièrement la milice privée Front de la Jeunesse. Dans


l'affaire Latinus, on voie que des membres du CEPIC soutien-
nent et introduisent à des postes-clefs un militant fasciste dont
le but principal est de connaître et d'infiltrer les organisations
progressistes. C'est donc par le biais d'une milice, motivée par
son combat propre, que le CEPIC peut connaître une partie de
ses adversaires organises et tenter de les neutraliser par une
infiltration de militants fascistes en leur sein. Mais pourquoi se
servir du Front de la Jeunesse, alors que le CEPIC peut comp-
ter sur les services politiques de la BSR, du SDRA ou de la
Police Judiciaire pour accomplir ce travail ? Il est certain que
c'est à partir de ces dernières sources que le CEPIC, solide-
ment implantée dans l'appareil d'Etat, retire la majorité de ses
informations. Pourtant le travail du Front de la Jeunesse pré-
sente de nombreux avantages. Il permet tout d'abord, face à
l'opinion publique, de pouvoir rejeter sur celui-ci seul tout
l'impact déplaisant et antidémocratique des méthodes prati-
quées: il est plus facile de se distancier du Front que de dcnian-
derà la BSR de justifier ses méthodes. II permet ensuite d'user
des services d'individus spécialement préparés sur le plan idéo-
logique à détruire les organisations démocratiques en qui ils
reconnaissent leurs ennemis irréductibles. Il permet enfin au
CEPIC de ne pas devoir composer avec des fractions des
151



interessant est de connaitre la structure et les gens du cabinet Goor car doit y avoir qqun qui fait le lien avec DEWEE comme on a écrit qq part


qui là bas connaissait DEWEE ?
pour qui DEWEE etait un chauffeur ou faisait- t-il les commissions ? Pour madame -elle même ???

car il pouvait rouler avec le peugeot a sa maison donc il était chauffeur attitré de cette bagnole pour aller chercher madame la ministre, ou le chef du cabinet à sa maison ?


avec le procès du Front de la Jeunesse en février 1981 tout ces parachutistes étaient en chûte libre .

Tous ces donneurs de leçons sont debarqués des cabinets ? ...ils sautent avec leur Stick et c'est sûr , qu'ils ne sont pas atteris au CPAS .

Gros problèmes de sous ? création du WNP ? Qui est resté au cabinet ?

Deprez démolit le CEPIC et il y a cission .

les extremistes rejoingnent le liberaux de GOL


Qui des "parachutés" arrive après aussi chez GOL ? , ministre de la justice ! incroyable non , c'est la belgique.

GOL qui bloque la création d'un commission d'enquete parlementaire


pour être complet, un peu , il y a aussi des elements pe qui peuvent s'être converti ds l'action politique PFN


Latinus échappe au procèes , pas DOSS:


http://www.resistances.be/dossogne.html

Citation :
Condamné (puis emprisonné) lors du procès intenté contre le "noyau dur" du Front de la jeunesse (1981-1982), Francis Dossogne participera ensuite à la création du Parti des forces nouvelles (PFN). Le PFN sera activement impliqué dans la diffusion des thèses niant l'existence des chambres à gaz homicides nazies jusqu'à son incorporation au Front national de Daniel Féret, en 1991




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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 12:33

donc , le hasard veut que ce pauvre monsieur D.W. ce fait voler sa voiture de fonction
d'un ministere où par hasard la moitié des cabinetars sont F.J. et y sont parachutés par le CEPIC , ou
ils avait tous été viré
ou partie faire un tour en amerique du sud
comme Bosquet, Latinus

qui diable croit cela ?
pour montrer que c'est bien un vol on joue comme au theatre : overacting ! et
on vole en plus ses papiers !

Les voleurs sont en costume et il pleut !

et ils sont assez poli ! Bien éduqué qoui,
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HERVE




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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 15:01


Vous devriez lire le site suivant ... Roger Mertens a un profil proche de ceux que vous citez plus haut ...

http://www.rogermertens.be/Parcours.htm

Ceci dit, je ne sais rien de lui ...
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HERVE




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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 15:12


Cécile Goor, née Eyben, le 11 février 1923 à Anvers, fut une femme politique belge wallonne, membre du PSC, tendance CEPIC.

Elle fut sénateur; elle fut ministre (1980) et secrétaire d'État (1980-1985) de la région de Bruxelles-Capitale dans le gouvernement Martens V.


_ _ _


Ce n'est certainement pas idiot de s'intéresser à son entourage, notamment au vu des années où elle était au gouvernement (1980-1985) ...

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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 17:40

pour en savoir un peu plus

http://archives.lesoir.be/woluwe-saint-lambert-la-fete-cecile-goor-siege-au-conse_t-19930626-Z06XRR.html


pas totalitaire du tout !

ministre de la region Brux mais de qoui cul-ture? , pas clair

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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 18:16


http://www.senate.be/www/?MIval=/publications/viewPub&COLL=S&LEG=1&NR=657&PUID=16778625&LANG=fr




Citation :
BELGIQUE : APERÇU HISTORIQUE DE LA QUESTION DE LA PRÉSENCE DE FEMMES DANS LE GOUVERNEMENT, OU DE LA NÉCESSITÉ DE LEUR DONNER UN « COUP DE POUCE »
En Belgique, l'on n'a guère enregistré de progrès pour ce qui est de la présence de femmes dans le gouvernement. Après Margriet de Riemaecker-Legot, qui fut la première femme à entrer au gouvernement en 1965, les femmes ont été très peu nombreuses à encore accéder à cet organe exécutif suprême.
Mme de Riemaecker-Legot est restée au gouvernement jusqu'en 1968. Il a ensuite fallu attendre 1973 pour voir Irène Petry et Maria Verlackt être nommées secrétaires d'État. Mais, à peine neuf mois après son avènement, le gouvernement allait subir un remaniement qui les priverait de leur portefeuille, ce qui indigna profondément le mouvement féministe. Dans les gouvernements Tindemans et Vanden Boeynants qui suivirent, il y eut à nouveau une femme ministre, à savoir Rika De Backer-Van Ocken. Elle resta ministre dans le premier gouvernement Martens, où elle s'occupa de la Communauté flamande, tandis que Lydia De Pauw-De Veen et Rika Steyaert devenaient secrétaires d'État, l'une pour les Affaires bruxelloises et, l'autre, pour la Communauté flamande. Dans le deuxième gouvernement Martens, une quatrième femme fit son entrée dans le gouvernement : Cécile Goor-Eyben occupa la fonction de ministre de la Région bruxelloise. Le troisième gouvernement Martens compta lui aussi quatre femmes : Rika De Backer-Van Ocken (ministre de la Communauté flamande), Cécile Goor-Eyben (ministre de la Région bruxelloise), Lucienne Herman-Michielsen et Rika Steyaert (secrétaires d'État à la Communauté flamande). Dans le quatrième gouvernement Martens et dans le gouvernement Eyskens qui lui succéda, Rika De Backer-Van Ocken et Rika Steyaert furent secrétaires d'État à la Communauté flamande et Lydia De Pauw-De Veen et Cécile Goor-Eyben, secrétaires d'État à la Région bruxelloise.
L'on prévoya à l'occasion de la réforme de l'État de 1980, que les exécutifs des Communautés flamande et française n'allaient plus faire partie du gouvernement national après les élections qui s'approchaient. Ils en furent donc dissociés pour la première fois à l'occasion de la formation du cinquième gouvernement Martens, qui prêta serment le 17 décembre 1981. Il comptait trois femmes secrétaires d'État : Paula D'Hondt-Van Opdenbosch (P.T.T.), Jacqueline Mayence-Goossens (Coopération au Développement) et Anne-Marie Neyts-Uyttebroeck (Région bruxelloise).
Les sixième et septième gouvernements Martens comptèrent à nouveau trois femmes secrétaires d'État, à savoir Paula D'Hondt-Van Opdenbosch (P.T.T.), Wivina Demeester-De Meyer (Santé publique et Politique des Handicapés) et Miet Smet (Environnement et Émancipation sociale). Le huitième gouvernement Martens compta une nouvelle fois une ministre : Paula D'Hondt-Van Opdenbosch se vit confier le département des Travaux publics. Trois autres femmes, à savoir Leona Detiège (Pensions), Anne-Marie Lizin-Vanderspeeten (Europe 1992) et Miet Smet (Environnement et Émancipation sociale), furent nommées secrétaires d'État. À l'occasion d'un remaniement du gouvernement, une quatrième femme, Wivina Demeester-De Meyer (Finances), les rejoignit. Dans le neuvième gouvernement Martens, qui dura à peine une semaine, Wivina Demeester-De Meyer fut ministre du Budget et de la Politique scientifique, tandis que Leona Detiège, Anne-Marie Lizin-Vanderspeeten et Miet Smet continuèrent à exercer leur ancienne fonction.
Le gouvernement Dehaene I, qui vit le jour en mars 1992, battit pour ainsi dire tous les records. Il comptait trois ministres féminins : Laurette Onkelinx (ministre de la Santé publique, de l'Environnement, et de l'Intégration sociale ¬ jusqu'en mai 1993), Mieke Offeciers-Van De Wiele (ministre du Budget ¬ jusqu'en septembre 1993) et Miet Smet (ministre de l'Emploi et du Travail et de la Politique de l'Égalité des chances). En mai 1993, Magda de Galan fit son entrée dans le gouvernement pour remplacer Laurette Onkelinx, et elle se vit confier ensuite, en janvier 1994, le département des Affaires sociales. Dans le gouvernement actuel, l'on retrouve Magda de Galan (ministre des Affaires sociales) et Miet Smet (ministre de l'Emploi et du Travail et de la Politique de l'Égalité des chances).
Voici la liste de toutes les femmes qui exercèrent des fonctions de ministre ou de secrétaire d'État dans notre pays, au niveau national ou fédéral :


minstre ou secr de la region brux et pas de la culture ?
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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyMer 11 Jan 2012 - 19:35

doc au moment que latinus était au cabinet c'etait avant que l'état était coupé en trois regions:

http://www.senat.be/www/webdriver?MItabObj=pdf&MIcolObj=pdf&MInamObj=pdfid&MItypeObj=application/pdf&MIvalObj=33574981


Citation :

Dans les gouvernements Tindemans et Vanden Boeynants qui
suivirent, il y eut à nouveau une femme ministre, à
savoir Rika De Backer-Van Ocken.

Elle resta ministre dans le premier gouvernement Martens, où elle
s’occupa de la Communauté flamande, tandis que
Lydia De Pauw-De Veen et Rika Steyaert devenaient
secrétaires d’E´ tat, l’une pour les Affaires bruxelloises
et, l’autre, pour la Communauté flamande.

Dans le deuxième gouvernement Martens, une quatrième
femme fit son entrée dans le gouvernement:
Cécile Goor-Eyben occupa la fonction de ministre de la
Région bruxelloise
.

Le troisième gouvernement Martens compta lui aussi quatre femmes:
Rika De Backer-Van Ocken (ministre de la Communauté flamande),
Cécile Goor-Eyben (ministre de la Région bruxelloise),
Lucienne Herman-Michielsen et
Rika Steyaert (secrétaires d’Etat à la Communauté flamande).

Dans le quatrième gouvernement Martens
et dans le gouvernement Eyskens qui lui succéda,
Rika De Backer-Van Ocken et Rika Steyaert furent
secrétaires d’Etat à la Communauté flamande et
Lydia De Pauw-De Veen et
Cécile Goor-Eyben, secrétaires
d’E tat à la Région bruxelloise.

L’on prévit, à l’occasion de la réforme de l’Etat de
1980, que les exécutifs des Communautés flamande et
française n’allaient plus faire partie du gouvernement
national après les élections qui s’approchaient.

Ils en furent donc dissociés pour la première fois à
l’occasion de la formation du cinquième gouvernement
Martens, qui prêta serment le 17 décembre 1981.
Il comptait trois femmes secrétaires d’E´ tat : Paula
D’Hondt-Van Opdenbosch (PTT), Jacqueline
Mayence-Goossens (Coopération au développement)
et Anne-Marie Neyts-Uyttebroeck (Région bruxelloise).




on peut donc voir que pendant le proces du front j en février 1981 C.G; etait sous le patron MARTENS 4
latinus est partie vers fin 1980 puis revient juste après le procés en mars 1981 ?


donc Latinus est a peine recommander par VDB en decembre 1980 (plus Haut)

Citation :
Elle (cecile Goor) a écrit en décembre 1980 au Ministre De Wulf pour lui demander que Paul Latinus
soit désormais détaché à son cabinet, ce qui fut accordé.

Au cabinet, Latinus est chargé de représenter Cécile Goor au
Comité de décision habilité à accepter ou à refuser les diffé-
rents projets de CST.



Citation :
En janvier 1981, lorsque l’hebdomadaire de gauche « Pour » révéla au grand public les activités politiques de Paul Latinus, celui-ci prit directement la fuite pour le Chili. Jean-Francis-Ferrari Calmette (un instructeur du FJ et du WNP, mais aussi de l’Escadron spécial d’intervention de la gendarmerie) serait intervenu dans la fuite de Latinus, tout comme le bureau bruxellois de liaison de la DINA, la police politique chilienne
>resistances
……



et il doit s'enfuir en amerique du sud car "Pour" ecrit sur lui

Citation :
De retour en Belgique, après un mois et demi passé au Chili, Paul Latinus (dont le nom de code était « Orf ») reprit en main l’équipe du WNP. C’est lui qui supervisa personnellement les missions d’infiltration au cœur du dispositif de l’armée belge et au siège bruxellois de l’OTAN. Des filatures et diverses missions furent encore organisées par le WNP pour le compte de commanditaires restés jusqu’à présent inconnus
>resistances



et le 7 janvier 1981 on fait perquisition chez lui ? et d'autres...;

Citation :
Le 7 janvier 1981. le Parquet perquisitionne au domicile de
Paul Latinus à la recherche de Jean-Marie Paul et découvre
qu'il détient sans autorisation une riot-gun et une 22 long rifle
munie d'un silencieux. Quelques jours plus tard, alors que
Pour vient de dénoncer les pratiques de Paul Latinus. celui-ci
disparait sans laisser d'adresse. Evanoui dans la nature
il faut pe aussi corriger: Bosquet est à ministère de la culture et pas à la région Bruxelloise
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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyVen 13 Jan 2012 - 11:34

donc à peine arrivé chez De.wulf après le lettre de VDB de juin 1980

latinus demande via Go.or d'etre detaché vers son cabinet debut decembre 1980.
vue que cela prends du temps et que les cabinets et ministères prennent tous une pauze bien merité vers 23 decembre 1980 - 2 janvier 1981 , puis recommençent avec un bal dansant et des party partout il est pas impossible que latinus debarque ds ce cabinet que vers le 5 effectivement ;

mais le 7 janvier il ya perquisition chez lui et ils trouvent des armes !

On peut donc facilement penser qu'il n'a jamais mis le pieds ds ce cabinet de GOOR !!!
En plus il a passé un examen /premier episode pour pouvoir entrer ds les services de RAES!
il est très mobile, règle vite fait son ex-filtration vers le Chili

Y offusce ses hôtes et peut déguerpir vers la belgique avec des ticket payées par les ricains.


Il arrive juste a temps pour lire ds les journaux la condamnation de Doss pour constitution milices privés


Il n'est plus acceuilli ds sans cabinet de Go.or je pense , mais n'est pas intorrogé non plus
il a un maitre doeuvre Dumont qui s'occupe de ces paccotilles et peut tranquillement s'occuper de mettre sur pied le WNP fondé en ..... pour infiltrer le FJ qui n'existe plus ?


Dernière édition par K le Jeu 3 Mai 2012 - 17:58, édité 1 fois
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CLEMENTL.




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MessageSujet: Re: Cabinet Go.or   Cabinet Go.or EmptyJeu 3 Mai 2012 - 17:54

Cecile GOOR- EYBEN. Y aurait il un rapport avec ceci :

A "LA RELEVE", hebdo ou mensuel des Démocrates Chrétiens tendance Villa Lorraine -sic Jacques Schepmans du PP- (édité par Jacques Bekaert avec le concours de Edouard Poullet et sans doute de Jacques Van Yperseel) où tout les brillants cabinetards du PSC assistaient aux réunions de rédaction, il y avait fin des années 70 la nièce de Gaston Eyben (en poste au Soudan pour les UN). Une fille, une nièce de CG-E ?

Une petite anecdote en complément: lorsque l'affaire François et du BND a éclaté, je me suis fait expulsé manu militari par Jacques Bekaert, pour avoir voulu traité cette affaire: alors que la Relève disposait et comment, d'informateurs de l'intérieur, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu une couverture très large de l'affaire.
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