la piste rose

Ah, Frédéric L. ... ce forum est un peu hard !! Sans doute est-ce le sujet qui le veut... Mais autant annoncer la couleur: « je vous livre par sympathie un extrait » pouvait laisser entendre que ledit extrait était de votre plume. Croyez que lorsque les choses sont dites clairement on gagne un temps considérable, ce que ne semble pas avoir compris un grand nombre de forumeur-euse- s ( je ne vous vise pas , vous venez d'arriver ). L'échange d'nformations peut néanmoins être précieux.

undercover a écrit:

Charlyn, Il faut voir de quoi vous parlez; mais je ne developperai pas. Surement la maladie?

Avant que votre alzheimer ne soit définitivement irrécupérable, balancez moi vos bases de données

C'est plus agréable de vous lire sympas qu'agressifs.
Monsieur Charlie N., il m'est impossible de déposer toutes les accréditations journalistiques necessaires à la rédaction du livre en préparation, mais soyez certain qu'elles existent et que le nom des journalistes associés seront indiqués.
J'ai lu qu'un de vos membres avait relevé des erreurs techniques dans le texte, il est important que vous me signalez toute erreur chronologique ou de noms afin que le récit corresponde à toutes les véritables expériences vécues.
Merci par avance de m'aider en ce sens.
Frédéric L.

CharlyN a écrit:

undercover a écrit:

Charlyn, Il faut voir de quoi vous parlez; mais je ne developperai pas. Surement la maladie?

Avant que votre alzheimer ne soit définitivement irrécupérable, balancez moi vos bases de données

Ne parlez pas de contenu, je vais avoir la cellule chez moi... et je n'ai pas de café.
Vous savez si une table ronde pouvait avoir lieu (mais vu le succes de mon fil sur l'invitation, ca ne sera pas pour demain); il est toujours possible de comprendre certaine chose.

BR semble très affirmatif sur ce dossier. Mais je ne pense pas qu'il le connaisse suffisamment pour cela. C'est différent pour d'autres, comme le dossier mendez etc.

Donc je me demande pourquoi il est si virulent dans son objection? Enfin c'est son droit, bien sur.
Pour ma part, je suis intérrogatif. Si demain, je me retrouve sous surveillance de certaines personnes, je pense que ce ne sera pas pour une histoire de divorce. Et ca, c'est quelques chose d'élémentaire.

J'oubliais de vous informer que le projet du livre est nommé Prescription en 2015, si vous avez des propositions de titre, n'hésitez pas.
Je vous informe qu'étant un pool de journalistes, nous serons heureux d'accepter parmi nous d'autres journalistes qui peuvent apporter des témoignages.
J'espère que l'importance du groupe pour qui je travaille vous assurera toute garantie.

Citation :

J'ai lu qu'un de vos membres avait relevé des erreurs techniques dans le texte, il est important que vous me signalez toute erreur chronologique

Important pour qui?

Qui etes vous, pour qui bossez vous? Dites nous en plus?

Bonjour

Frederic L = Paris Match ????????

Je pense vous connaitre !!!!!!!

Citation :

Le commissaire bruxellois de la police judiciaire (PJ), Georges Marnette, est arrivé le premier sur les lieux et continue à affirmer que la corde à laquelle pendait Latinus était trop courte.

Hey fredéric L, ca c'est faux...C'est sur des conneries comme ca, qu'un dossier se plante. Tu devrais un peu faire gaffe.

Salut

A l'époque, un expert (Gaston Blais du canada) avait été solicité par la commision d'enquête, son rapport est resté confidentiel....
Je cherche a savoir pourquoi ??????

Artem

Une expertise sur quoi?

Un expert dans le cadre du dossier Pinon ?

Etre entendu à huis clos, cela peut s'expliquer.
Mais je n'ai jamais entendu parlé d'expertise dans le dosier Pinon.

Un expert en écriture qui devait examiner des documents retrouvés chez Latinus et Bulto


Artem

Citation :

"Il est certain que les ballets roses ont eu lieu", a décidé la commission-bis sur les tueries.

Quand la commission dit cela, elle ne parle pas de l'affaire Pinon, mais d'autres affaires de moeurs.

??????????????????????????

Pour l'histoire de X 1, je ne la crois pas crédible.
Quel document aurait on retrouvé, selon vous chez Latinus?

Je sais que des documents on été trouvés chez Latinus et Bulto, mais sans connaitre leurs contenu...
Ils devaient être important ou peut-être révélateur pour ainsi devenir confidentiel

Citation :

Je sais que des documents on été trouvés chez Latinus

Pouvez vous situer à quel moment ces documents auraient été découvert?

si on reste dans le cadre du dossie Pinon, il a été dit que Latinus détenait le dossier mais qu'en fait il ne s'agissait que de deux ou trois feuilles. (de mémoire ) Est-ce que l'expert dont vous parlez serait intervenu en qualité de graphologue ??? Pour Bultot, je ne sais rien.

Bien que vous êtes impolis envers moi, à lire divers de vos posts, voici un des derniers articles publiés.
J'ai reçu bien meilleures sympathies ailleurs que dans votre site.
Les élections Françaises, premier tour, m'appellent, si il est quelques personnes désireuses de collaborer, qu'elles me contactent.
Un au-revoir de Paris à nos amis belges.



Jean-Claude Lacroix patron de l'enquête, arrive au terme de sa carrière.
Il se confie à Match au moment de partir.

A 61 ans, le président du tribunal de première instance de Charleroi ne renouvelle pas son mandat.
Fin mars, Jean-Claude Lacroix quitte la magistrature en même temps que la direction de l'enquète de sa vie : celle sur les tueries du Brabant.
Avant son départ il revient sur les faits marquants de cette affaire, véritable énigme judiciaire du XXe siècle en Belgique.
Il annonce également que la justice a décidé de soumettre le dossier à l'analyse de la profileuse belge Danièle Zucker.
Nantie d'une formation exceptionnelle auprès de Roy Hazelwood, le pionnier du profiling aux Etats-Unis, celle-ci va tenter de démasquer les tueurs du Brabant.
Une ultime occasion de percer le mystère avant le prescription de 2015.

A bientot 61 ans, Jean-Claude Lacroix choisit de mettre un terme à sa carrière de magistrat.
Une récente épreuve d'ordre familial lui a fait prendre conscience "qu'il ne faut pas attendre de ne plus avoir de dents pour commencer à croquer des noix".
Toutefois s'il quitte ses fonctions de président du tribunal de première instance de Charleroi, ce n'est pas pour se replier entièrement sur son potager : "J'ai accepté de prendre la direction du bureau d'éthique et de déontologie de la ville. Ma nomination est intervenue en décembre dernier".
Créé sur le modèle anversois dans la foulée des affaires, cet organe concrétise l'une des recommandations du livre blanc sur la nouvelle gouvernance à Charleroi.
Une vigie de luxe, donc, pour veiller à ce que le bateau ivre carolo maintienne le cap fixé par le nouvel équipage communal, qui peine d'ailleurs à sortir de la tourmente : "C'est pour moi un beau défi ainsi qu'une manière de conserver une vie active tout en continuant à être utile à ma ville et à ma région", observe le juge.

La carrière de Jean-Claude Lacroix démarre par dix années de barreau.
Ce n'est qu'en mai 1981 qu'il accède à la magistrature, affecté d'emblée à l'instruction.
Des débuts en fanfare puisque le prévenu de sa première enquète n'est autre qu'un certain Marc Dutroux.
En 1985, il est nommé vice-président du tribunal de première instance, mais demeure cependant magistrat instructeur.
Puis, en janvier 1987, au beau milieu des "années de plomb", il hérite de l'affaire de sa vie : le dossier des tueries du Brabant.
A vrai dire, seul un volet de ce qui est alors en passe de devenir l'énigme judiciaire du XXe siècle en Belgique lui revient.
"Suite à la décision de la Cour de Cassation de dessaisir Nivelles, j'ai été désigné pour instruire le dossier de la filière boraine. Avec le substitut Jonckheere, coordinateur national de l'enquête tueries, nous estimions pouvoir boucler l'instruction en six mois. Une cellule de trente hommes a été créée à cet effet, composée à part égale de gendarmes et de péjistes. Nous tenions également à ce que deux-tiers de nouveaux enquèteurs la composent, parmi lesquels quelques-uns venant de Mons-Borinage".

Sans le savoir, à ce moment, Jean-Claude Lacroix, pas encore en tête de cordée, entame l'ascension des premières pentes d'un véritable Himalaya judiciaire.
Car le dossier des tueries et de ses vingt-huit victimes, c'est une montagne de deux millions de pages en comptant la documentation, prise d'assaut pat huit juges d'instruction et des dizaines d'enquèteurs, cernée de toutes parts par deux commissions d'enquête parlementaires (1990 et 1997), mais dont personne, à ce jour, n'a pu triompher.
Tous ceux qui ont entrepris d'atteindre au mystère ont échoué.
Pris de vertige devant l'incommensurable difficulté de la tâche, rendue plus ardue par l'accumulation invraisemblable de manquements et de fautes dans l'enquête, ou tout simplement égarés dans le maquis des théories.
"A cette époque nous ne savions pas très bien à quoi nous attendre", souligne le président en partance.
"Le dossier des Borains, tenait dans une trentaine de cartons lesquels, lorsque nous nous sommes plongés dedans, ont révélé des liens que nous ne soupçonnions pas entre les faits dont nous étions saisis et d'autres parmi ceux qui étaient toujours instruits par les cellules d'enquête de Nivelles et de Termonde. Notamment des liens balistiques. Ce qui nous a valu, dans les mois qui ont suivis, d'être saisis de l'ensemble des faits, à l'exception de la tuerie d'Alost restée à Termonde".

Si de fait, ces liens existent, ils laissent perplexes Jean-Claude Lacroix et son équipe quant aux rapports pouvant exister entre, par exemple les froides éxécutions de José Vanden Eynde et de Constantin Angelou, et la série de hold-up sanglants perpétrés lors de la seconde vague des tueries.
"En 1987, nous n'avions pas la certitude - comme c'est le cas aujourd'hui - qu'une même bande a agi lors des deux vagues d'attaques. On songeait à des auteurs différents derrière lesquels apparaissait un organisateur et peut-être un commanditaire", se souvient Jean-Claude Lacroix.
"Et puis, je le répète, nous n'avons pas été d'emblée impliqués dans tous le dossier, n'ayant sur celui-ci qu'une vue partielle. A partir de là, nous nous sommes d'abord contentés de mener à son terme l'instruction qui a conduit au renvoi des Borains devant la Cour d'Assises en janvier 1988. Mais suite au témoignage de Goffinon, faisant état d'un lien avec l'affaire Mendès, le procès a été reporté au mois d'avril de la même année avec l'issue que l'on connait".

Après cela s'en suit le dessaisissement de Termonde au profit de Charleroi qui, en 1990, reçoit la charge de l'enquête sur les tueries dans son intégralité, au moment ou la première commission parlementaire entame ses travaux.
En janvier de cette année-là, Jean-Claude Lacroix embrasse un nouvel horizon professionnel : promu à la Cour d'Appel, il conduit cinquante et une sessions d'Assises avant de se hisser, dès 1994, à la présidence du tribunal de première instance.
Dans l'intervalle, l'intérim à la tête de la cellule Brabant wallon (C,b.w.) basée à Jumet, a été assuré par le juge Hennuy, doyen des magistrats instructeurs carolos.
A un an de la retraite, ce dernbier exprime le souhait de confier la direction de son enquète marathon à un successeur bien en jambes, capable de tenir d'emblée le rythme et la distance de cette course contre la montre engagée plus de dix ans auparavant, dans laquelle le temps qui passe épaissit sans cesse le mystère.
Partant, le président reprend du service : "Faute de candidat ayant la connaissance de ce dossier devenu énorme, j'ai accepté de reprendre le flambeau".

Pour répondre notamment aux recommandations de la commission parlementaire, la C.b.w. demande et obtient des moyens renforçés.
A cette époque, la cellule juletoise compte jusqu'à quatre-vingt enquèteurs.
Le travail de bénédictins qu'ils réalisent dans les années qui suivent se mesure au nombre des pistes suivies, explorées, revisitées : "Outre la filière boraine, nous avons travaillé sur les bandes De Staerke et Haemers, l'extrème droite, le C;c;c;, les mercenaires, les ballets roses, la Sûreté de l'Etat, les cercles de tirs pratiques, Gladio, le W.n.p. : nous avons fouillé les pistes Latinus, Mendès, Bultot, Bouhouche-Beijer ; nous avons pris en compte l'hypothèse d'une destabilisation par la C.i.a. ou le Mossad, allant même jusqu'à consulter les archives de la Stasi ; bref, j'en oublie sans doute, mais rien n'a été négligé" insiste Jean-Claude Lacroix qui convient que la caractéristique de cette affaire hors normes, c'est précisément que chacune des pistes qui la traverse contient des éléments semblant indiquer qu'elle pourrait être la bonne, mais finit invariablement dans une impasse.
"Quoi qu'il en soit, nous n'avons jamais défendu une thèse plurot qu'une autre ; nous allons là ou le dossier nous conduit".

Le dossier a notamment conduit le président Lacroix assisté du juge d'instruction Raynal, et les enquêteurs, à considérer de nouvelles options ; entre autres celle du terrorisme.
Raison pour laquelle en 2002 des contacts sont noués entre la C.b.w. et les services de rensignements militaires français qui débouchent sur une collaboration avec le général Louis Crocq, ancien psychiatre des armées, détaché auprès du ministère de la Défense.
Professeur associé à l'université de Paris V, praticien à l'hôpital Necker, spécialiste des traumas, l'homme est un expert du comportement des victimes d'attentats.
Et il est formel : les tueries du Brabant n'ont aucun relent de terrorisme.
Entre alors en piste Jean-Pierre Bouchard, Français également, thérapeute dans une U.m.d. (Unité de malades difficiles).
En France, il est une figure du petit monde des spécialistes de la psychologie criminelle et des tueurs en série.
De son analyse, rapprochée de celle de Crocq, sur base du mode opératoire des auteurs des équipées sauvages de la première moitié des années quatre-vingt, des témoignages des victimes survivantes de celles-ci et des différentes scènes de crime, il ressort que les tueurs n'appartiendraient pas au milieu du grand banditisme, pas plus qu'à une quelconque faction terroriste, un groupuscule d'extrème droite ou une organisation clandestine inféodée à l'appareil d'Etat.
En substance, on serait plutot en présence d'individus marginalisés, des parias en quelque sorte, froids, déterminés et brutaux, mais non calculateurs et dépourvus de toute forme d'idéologie.
Bref, une "meute".
Le cas échéant, la fameuse thèse tant controversée des prédateurs chère à l'ancien procureur du roi de Nivelles, Jean Deprêtre, reprend de la consistance.

Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que cette enquête a servi de laboratoire d'essais pour quantités de nouvelles techniques, depuis l'hypnose, utilisée pour réaliser les portraits-robots, jusqu'à l'analyse criminelle, en passant par le polygraphe (détecteur de mensonges) et l'étude géomatique qui permet de déterminer la zone de refuge des auteurs.
C'est la Sûreté du Québec, la police de la "Belle Province", vers laquelle la cellule de Jumet s'est tournée dernièrement, qui a initié ses responsables à la géomatique.
Mais pas seulement : "Nous avons soumis à son expertise remarquable, l'ensemble du dossier des tueries" explique Jean-Claude Lacroix.
"Parmi d'autres considérations, ils nous a été dit que les auditions faites durant les premières années de l'enquête manquaient singulièrement de professionalisme, sans toutefois qu'il soit question de fautes commises volontairement. Le plus génant d'après les Québécois, c'est que ces mauvaises auditions et les informations qui en découlent ont contribué à polluer le dossier. De ce fait, ils nous ont conseillé de réintéroger toute une série de personnes en nous basant sur une sorte de cahier des charges établi par leurs soins. Malheureusement c'est impossible. Pour des raisons matérielles évidentes, les faits remontent à plus de vingt ans, mais aussi parce que les policiers québécois ont recours à des techniques d'audition mises au point à l'école de police de Nicolet située entre Montréal et Québec, dont s'inspire par exemple l'école de gendarmerie de Fontainebleau, mais qui sont encore largement inconnues en Belgique".

Est-ce à dire que les derniers espoirs de percer à jour le secret des tueries se sont à jamais envolés ?
"Pas encore" rassure le magistrat qui dévoile son ultime plan de bataille avant que sonne l'heure de la retraite.
"Nous pensons désormais être face à une bande relativement restreinte, comprenant au moins trois individus dont les portraits robots ont été affinés, derrière lesquels se profilent celui qu'on a appelé le "géant", un homme plus âgé, et le tueur auquel on attribue une vingtaine de victimes sur les vingt-huit. D'autre part, une étude géomatique grâce à laquelle il est possible de délimiter la zone de confort des tueurs en s'appuyant sur des données objectives telles que par exemple, les lieux ou ils abandonnent des véhicules et des armes, les déplacements qu'ils effetuent, etc., a été approfondie par l'institut de géographie de l'Université de Liège. Il apparait maintenant que cette zone se trouve en bordure de la forêt de Soignes, là ou on retrouve la Santana de chez Dekaize. Ce que nous allons faire à présent, en accord avec les Québécois, c'est concentrer nos recherches sur les personnes et les évènements du dossier réliés à cette zone. Pour nous y aider, nous avons officiellement requis les services de Madame Zucker".

Danièle Zucker est belge.
Psychothérapeute spécialisée dans le domaine de l'urgence psychiatrique et de la criminalité sexuelle, elle est en outre analyste compertementale, ou profileuse suivant la terminologie anglo-saxonne.
Le profiling, technique venue des Etats-Unis, consiste à établir le profil d'un criminel multirécidiviste, assassin ou tueur en série le plus souvent, en s'attachant essentiellement à ses motivations er à son mode opératoire.
Danièle Zucker s'est formée auprès du maître de la discipline : Roy Hazelwood.
Il est l'un des pionniers du profiling qu'il a pratiqué dès les années 1970 au département des sciences comportementales du F.b.i. à Quantico en Virginie ; et qu'il continue d'enseigner aux agents des services policiers américains et canadiens.
En Belgique, personne d'autre que son élève n'a profité de sa science de manière continue.
C'est donc forte de celle-ci en plus du suivi assuré par Anne Davies l'ex-patronne du service de l'unité d'analyse criminelle de Scotland Yard, que Danièle Zucker va tenter de démasquer les tueurs du Brabant.
Ils est d'ailleurs vraisemblable que leurs noms figurent déjà dans le dossier.
Jusqu'à aujourd'hui, tous ceux qui ont travaillé dedans sont passés à coté.
Danièle Zucker parviendra-t-elle à mettre le doigt dessus ?
Jean-Claude Lacroix y croit toujours, mais il concède : "Nous tirons nos dernières cartouches, ensuite nous ne pourrons plus guère compter que sur la chance, un témoignage inédit qui mettra un ou plusieurs noms sur des portraits robots par exemple, que ce soit sur le site de la cellule ou sur les forums qui existent et qui traitent des tueurs du Brabant, pour résoudre l'énigme avant la prescription de 2015. Si le moindre indice survenait dans un de ces forums, il est vital d'en informer la cellule de Jumet. Avec autant de faits et d'éléments matériels, les auteurs doivent nécessairement avoir commis une erreur quelque part. Et cette erreur, elle demeure exploitable selon moi".

29 mars 2007
Frédéric Loore
www.parismatch.com www.lalibre.be

Monsieur L...

Vous faites des erreurs dans vos articles et vous semblez prendre pour argent content certaines informations. Cela risque de nuire , non seulement à votre travail de groupe, mais egalement à la credibilité de votre travail.
Certaines informations sont facilement vérifiables et vous serons mises sous le nez . Et des lors, si un élément demontré est faux, chacun concluera que tout est faux.
Dommage...

Je vous en remercie par avance, soit vous le faites sur ce site, soit que vous m'envoyez vos remarques par émail.
Il est en effet vital que les éléments neufs que vous détenez modifient l'histoire telle que nous l'avons transcrite.
Me permettez-vous de vous citer ?

Citer un pseudo?
De nouveau étonnant...

Je peux vous certifier, mais je n'irai pas plus loin, que ce n'est pas l'inspecteur que vous citez, qui est arrivé en premier sur place. Mais bien une PM de la gendarmerie qui etait de permanence. Concernant la longueur du fil,....verifiez.

Pour le reste, je pense que certains, de manière desagreable, vous répondrons , sans aucun doute.

Moi je suis undercover, et donc...je ne peux me dévoiler

Remettez mon bonjour à caro

Un de mes collègues m'interpelle concernant votre récente intervention, Mr undercover, je n'y avais pas prété attention.
Est-ce en rapport avec ce que Monsieur le juge d'instruction Jean-Claude Lacroix a dit ?
Insinueriez-vous qu'il aurait menti et manipulé Match ?
Ici, à Paris, nous sommes profondément interpellé par votre message.
Si vous craignez pour votre sécurité, nous pouvons organiser une réunion au sein de notre groupe en Belgique afin que vous puissiez déposer vos éléments.
Merci par avance de me contacter.

"Une ultime occasion de percer le mystère avant le prescription de 2015."

C'est bien... Ultim ratio comme dirait l'autre.
Exact charlyn, j'aime mangez un morceau de temps à autre

Pour l'affaire Latinus, je confirme mon information.

Pour votre invitation,...je me rend régulièrement à Paris, mais comme caro, je n'aime guere etre suivi par certains services. Vous comprendrez des lors que je la refuse.