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Sujet: Re: 12 novembre 1983 CESSNA 210 Mar 23 Fév 2016 - 15:47
doc retrouvé:
Citation :
OO-DIL Cessna 210 L Centurion II; ingeschreven van 13/6/1975 tot 3/1/1984
Het valt op dat dit vliegtuig geschorst is amper 6 weken na de geforceerde landing in de omgeving van Limoges
naturellement personne n'a controlé plus loin à l'époque !!! on aurait pu retrouver le flight book obligatoire ds l'avion
qui est devenu le F-ZBEQ
Cessna 210 L Centurion N°60712 >>>>F-ZBEQ OO-DIL et encore avant N1677X (USA)
Du …/03/86 au …/…/01 Réformé Préempté (par la douane)
Histoire : En 1986, un second appareil monomoteur léger préempté, le Cessna 210L Centurion (n°60712 F-ZBEQ) était affecté à la BSA de Dijon. La perte du premier hélicoptère à Pau réduisait le parc à un seul hélicoptère monomoteur.
DIR INTER REG DES DOUANES DE DIJON Adresse : 2 RUE DU PORT 21600 LONGVIC Partager
Code Postal : 21600 Ville : Longvic Pays : France
Dernière édition par K le Ven 21 Fév 2020 - 20:13, édité 1 fois
arthur29923
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Sujet: Re: 12 novembre 1983 CESSNA 210 Sam 13 Jan 2018 - 1:57
swansongunsung a écrit:
Extrait du livre L'ENQUETE (Hugo Gijsels)
C’est le joueur de tennis belge Jean-Claude Vandenborght qui déclencha toute l’affaire lorsque le 12 novembre 1983, son Cessna 210 ayant des ennuis mécaniques, il dut faire un atterrissage forcé à une cinquantaine de kilomètres de Limoges (France). Parti du Maroc, il se rendait à l’aéroport de Wevelgem en Flandre occidentale. Il transportait 205 kilos de cannabis, qu’il essaya de cacher sur les lieux de l’atterrissage mais la police, alertée, découvrit le pot aux roses. Vanderborght, qui n’avait absolument rien d’un malfaiteur professionnel - il avait défendu les couleurs belges lors de la Coupe Davis - passa assez rapidement aux aveux. Lorsque la commission rogatoire belge lui rendit visite à la fin décembre 1983 dans la prison de Limoges, elle recueillit un récit circonstancié sur un trafic international d’armes et de stupéfiants.
Vanderborght révéla que Marcel de Blick, Maurice Beekmans et Tony Bosmans lui avaient demandé de transporter une cargaison de 100 kgs d’armes de Bruxelles à Paris. Cet arsenal était destiné à un certain Lerosay d’Aix-en-Provence, tenancier de la pizzeria a La Grange B et fournisseur en armes du FLNC, le mouvement séparatiste corse aujourd’hui dissout. Le transport des stupéfiants constituait une partie du paiement du trafic d’armes. Durant l’enquête, un informateur anonyme suggéra aux enquêteurs d’aller jeter un coup d’oeil dans un garage situé avenue Mettewie à Molenbeek Saint-Jean, une commune de Bruxelles. Ils y découvrirent une quantité incroyable d’armes, d’explosifs et de drogues. Le garage avait été loué au nom de Tony Bosmans, lequel affirma qu’il avait << prêté >> la clef à Marcel de Blick. Toute cette marchandise, dont des revolvers FN, une grande quantité de balles 7,65 mm et 9 mm et deux bombes à télécommande, était destinée à Julien Claes, demeurant à Anvers.
Deux figures clés de l’extrême-droite ont également habité avenue Mettewie : le chef du WNP Paul Latinus et l’ancien agent de la BSR Martial Lekeu. Les bombes trouvées dans le garage semblaient avoir le même et rare mécanisme de mise à feu que celle qui explosa dans la voiture de service de l’adjudant Goffinon en octobre 1981.
est ce que les corse ( en mediteranée)on l habitude d acheter des armes en belgique ou est ce encore une special histoire d ou on sait pas grand chose ?
100kilo d armes 205kilo de cannabis
Le transport des stupéfiants constituait une partie du paiement du trafic d’armes. (4 belges)
et pas de corse ( Vandenborght ) le transport constitue une partie du payement
donc ceux qui transporte achete les armes ?-4 belges ?
et Vandenborght doit transporté les armes a paris (pas de corse)
Cet arsenal était destiné à un certain Lerosay d’Aix-en-Provence, (corse?)
Lerosay
serais ce possible que ce soit le barbouze des rosaies ? une simple question qui me taraude a chaque fois que je lis ce nom "un certain lerosay de provence"
Il a tout du frère jumeau de Jean-Charles Marchiani, homme à tout faire de la galaxie chiraco-pasquaïenne, laquelle n’aurait pourtant jamais osé le propulser à une fonction officielle à l’Elysée. C’est le risque pris par Nicolas Sarkozy en nommant Jean-François Etienne des Rosaies comme chargé de mission entre 2007 et 2010. Récemment placé en garde à vue dans le Kazakhgate, une vente d’hélicoptères à Astana sur fond de trafic d’influence en vue de sortir quelques oligarques du pétrin, il illustre à merveille la porosité entre la politique et les affaires. Car si les hommes de pouvoir ont toujours eu recours aux hommes de l’ombre, il est rarissime de les installer officiellement au cœur des réseaux.
Guère diplômé, tout juste un brevet de l’école technique de l’armée de l’air, JFER tâte de la communication et du journalisme (au Commissariat à l’énergie atomique et à l’ORTF) avant de trouver sa voie, le relationnel, et un métier, «chargé de mission». Auprès de chefs d’Etat africains (1972), du ministre français de la Coopération (1973) et du président de la Générale des eaux, Guy Dejouany (1976-1986). Son rôle consiste à fréquenter les élus de tous bords, que la vieille dame arrosait proverbialement. «Il en a sur eux autant qu’ils en ont sur lui», résume un ex-collaborateur.
«Fatuité». Après un bref retour en cabinet (auprès de Robert Pandraud, ministre délégué à la Sécurité sous la première cohabitation), fort utile pour recharger le carnet d’adresses, JFER se fait bombarder préfet en 1987. Il vise la Nouvelle-Calédonie, Charles Pasqua met le holà : «Si je le nomme là-bas, il est capable d’y foutre le feu.» Ce sera la plus paisible Meuse, ou on ne le croisera guère : «Il n’était jamais là et partait toujours pour des déplacements mystérieux, témoigne son ex-directeur de cabinet à la préfecture. J’ai rapidement compris qu’il avait été nommé là avec une mission particulière.» La libération des otages français alors retenus au Liban, en l’espèce(s). Pasqua confirmera son rôle, mais un ancien conseiller ministériel nuance : «Etienne des Rosaies était "la chèvre"qu’on met en avant pour mieux masquer (...)
Mais, quand il s’agit d’acheter le silence d’un ex-dirigeant de la Générale des eaux se disant prêt à déballer quelques secrets d’affaires, la mission semble avoir réussi. (...) la justice française ne retiendra qu’un financement de 10 millions de francs via la Sofremi (société d’import-export du ministère de l’Intérieur), (...) Il se fait tout petit, nonobstant l’enquête sur un fric-frac en 1999 : dans les locaux du ministère de l’Intérieur, un individu force la porte d’accès...
Une fois à la tête de Ricard, Charles Pasqua trouve le moyen, après l'indépendance du Maroc, de mettre en place un trafic et une culture massive de cannabis à Ketama, avec l'assentiment du Roi Mohammed VI (un enculé de monarque aux bottes du gouvernement de Gaulle), afin de pouvoir alimenter en cannabis ses usines Ricard, pour produire de l'absinthe. Dans le cours des années 60 l'absinthe est définitivement interdite en France. La société Ricard change donc de créneau et se consacre entièrement à la production de pastis.
Charles Pasqua quitte la direction de Ricard (mais demeure l'actionnaire numéro 2 du groupe) et réorganise le trafic de cannabis a Ketama.
(...)
Il serait intéressant de vérifier les liens entre Charles Pasqua et le Maroc ainsi que ceux entre l'absinthe et le cannabis ...
En se souvenant que J-F Etienne des Rosaies était l'ami d'une princesse marocaine ...
.
arthur29923
Nombre de messages : 509 Date d'inscription : 08/07/2015
Sujet: Re: 12 novembre 1983 CESSNA 210 Jeu 25 Juil 2019 - 15:07
pour info
Le mystère autour d'un bunker nazi oublié en Flandre enfin percé? Un féru d'histoire pense l'avoir trouvé au fond de ce puits
Un journaliste local a fait une découverte étonnante en Flandre, à Wevelgem, près de Courtrai. Passionné d'histoire, il avait entendu parler de l'existence d'un bunker construit par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
Le complexe comprenant une dizaine de chambres avec tout au bout, des portes encore fermées. Le journaliste qui a découvert les lieux est persuadé est persuadé qu’il s’agit d’un hôpital utilisé par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs historiens en doutent. "Pour moi, il s’agit d’un abri, un abri souterrain bétonné en cas d’attaque aérienne, construit par les Allemands vers 1943
Nombre de messages : 1425 Date d'inscription : 06/08/2013
Sujet: Re: 12 novembre 1983 CESSNA 210 Jeu 25 Juil 2019 - 19:43
arthur29923 a écrit:
pour info
Le mystère autour d'un bunker nazi oublié en Flandre enfin percé? Un féru d'histoire pense l'avoir trouvé au fond de ce puits
Un journaliste local a fait une découverte étonnante en Flandre, à Wevelgem, près de Courtrai. Passionné d'histoire, il avait entendu parler de l'existence d'un bunker construit par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
Le complexe comprenant une dizaine de chambres avec tout au bout, des portes encore fermées. Le journaliste qui a découvert les lieux est persuadé est persuadé qu’il s’agit d’un hôpital utilisé par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs historiens en doutent. "Pour moi, il s’agit d’un abri, un abri souterrain bétonné en cas d’attaque aérienne, construit par les Allemands vers 1943 ...
On ne passe pas des civières par un puit et les couloirs sont beaucoup trop étroit pour manœuvrer une civière.
Ce qui est intéressant c'est ; 1. Le banc qui, tout le monde le sait, permet de s’assoir(sur la droite) et donc d'attendre quelque chose...
2. La porte renforcée qui se situe dans le prolongement et ce qui veut dire que ce n'est "que" le sas d'entrée. Ca doit donc être une sorte de poste de garde à l'entrée du bunker.
3. Quand on prend du recul, on s’aperçoit que ca se situe à environ 800 m de la piste construite en 1919 par les allemands et ce qui veut dire que c'est soit une position défensive, soit que c'est un bunker ce qui devait servir aussi de tour de contrôle "de rechange" pendant une attaque aérienne. Je pencherais plutôt pour le second puisqu'on ne met pas d’hôpital à proximité d'une piste d’aérodrome.
Mais on verra de quoi il retourne, quand ils auront forcé la porte "blindée" du sas