|
| Les menaces de toutes sortes | |
|
+21Limir Roulio pierre CS1958 Merovingien kael totor AlPot RB flanby CS1959 Cusmenne Claude chien jaune michel Eric Kranz Henry FAITESVITE SiscoF Trisch K 25 participants | |
Auteur | Message |
---|
chien jaune
Nombre de messages : 90 Date d'inscription : 14/08/2010
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Lun 7 Fév 2011 - 15:50 | |
| Qui ne peux pas nager sur ce forum? |
| | | Cusmenne Claude
Nombre de messages : 1049 Date d'inscription : 23/10/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Lun 7 Fév 2011 - 17:20 | |
| celui qui à peur de l'eau..!!!!!!! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Lun 7 Fév 2011 - 21:04 | |
| @Sisco
il faut lire et relire beaucoup et vous aller trouver le triangle des Bermudes à Braine!
C'est là où les anguilles se faufillent et se mulitiplient.
les hommes de paille et les hommes de main
les donneurs d'ordres sont au chaud ailleurs probablement. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 5 Juin 2012 - 20:29 | |
| menaces dixit comm1 - Citation :
F. Affaires internes à la Sûreté de l'Etat
Les agents de la Sûreté de l'Etat qui ont découvert l'agent de la Sûreté de l'Etat infiltré et qui ont fait rapport à ce propos se sont sentis intimidés dès le moment où ils eurent découvert ce collègue dans les milieux du WNP. Un agent a même cru devoir se faire assister par un avocat. On aparlé de méthodes dignes du KGB (soumis- sion à un examen psychiatrique).
En outre, l'un d'entre eux a été victime d'appels téléphoniques anonymes qui étaient clairement liés à l'infiltration qu'il avait découverte et dénoncée.
Un agent de la Sûreté de l'Etat a déclaré avoir reçu, dans le cadre de l'affaire Latinus, la consigne de l'ad- ministrateur adjoint de dire, lors de son interroga- toire par le juge d'instruction, qu'il s'agissait d'un suicide. Cette thèse convenait mieux à la Sûreté de l'Etat. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mer 15 Aoû 2012 - 22:39 | |
| RENE HAQUIN: ds les Taupes dans l'extrême droite - Citation :
JEUX INTERDITS
Dès le moment où j'ai clairement indiqué, dans les articles publiés dans Le Soir, que nous disposions d'autres informations encore, tant sur les activités de jeunes extrémistes de droite que sur les relations qu'ils entretenaient avec des fonctionnaires de la Sûreté, avec des gendarmes et avec des militaires, les ennuis ont commencé.
Des yeux et des oreilles
J'ai remarqué pour la première fois que j'étais surveillé, lors d'un rendez-vous avec deux militants du Westland New Post dans un café, place de la Bourse, à Bruxelles. J'avais demandé quelques éclaircissements sur l'organisation du groupe. Ce jour-là, les deux militants me les apportaient. Les papiers étaient étalés sur la table du café. Je prenais des notes lorsque mon regard croisa celui d'un homme âgé d'environ cinquante ans, accoudé au comptoir, qui vidait lentement une Stella, campé sur un tabouret d'où il pouvait nous voir et nous entendre. Aussitôt j'ai rassemblé mes papiers et j'ai mis sur la table l'argent de la tournée. A voix basse, j'ai donné une autre adresse. Une demi-heure plus tard, les deux membres du WNP m'y rejoi- gnaient. 'Tu avais raison, m'ont-ils dit. Cet homme, au comptoir, nous surveillait depuis le début de notre rencontre. Nous avions, dans un autre coin du café, un de nos amis qui, lui aussi, surveillait l'établissement. Il a bien remarqué que l'homme installé au comptoir ne nous quittait pas des yeux.' Le lendemain, nouveau rendez-vous, pris par téléphone. Je devais retrouver un des responsables du WNP à quinze heures, dans une brasserie proche de la rue Royale à Bruxelles où nous nous étions vus quelquefois, en 1981 et 1982. Aucune précision inutile ne fut donnée au téléphone: le rendez-vous était à la même heure que la veille et à l'endroit utilisé autrefois.
123
Vaguement inquiet, j'avais invité un confrère du Soir, Jean- Paul Collette, qui a travaillé aussi sur le dossier WNP, à m'accompagner au rendez-vous. Nous y étions avec une demi- heure d'avance. Il n'y avait pas grand monde dans l'établissement - une quinzaine de consommateurs environ. Très vite, l'un et l'autre, nous fûmes intrigués par le comportement d'un homme âgé cette fois d'environ trente ans, installé au milieu de la brasse- rie, et qui se retournait vers nous à intervalles réguliers. Jean- Paul nota aussitôt qu'il avait déposé sur la table la monnaie de sa consommation - un café encore fumant - comme s'il voulait être prêt à pouvoir sortir à l'improviste. On devait m'apporter de nouveaux documents. A voix basse, nous avons convenu de nous séparer avant l'heure de mon ren- dez-vous. J'ai quitté Jean-Paul vers quatorze heures cinquante, prétextant à haute voix une conférence de presse qui devait com- mencer à quinze heures.
Je suis parti sans me retourner. Peu après, Jean-Paul m'a rejoint à la rédaction du journal, pour me dire que l'homme, m'ayant vu sortir, s'était aussitôt levé, m'avait suivi à petite distance, pratiquement jusqu'à l'entrée du Soir. Cette fois, la filature existait bel et bien. Le doute n'était plus possible. Il y eut d'autres incidents de ce genre, qui durèrent pendant près de deux mois. J'ai ainsi appris que lors d'un rendez-vous pris Grand'place à Bruxelles, un membre du Parti européen EPE m'avait surveillé toute la soirée. Celui qui me fit cette confidence appartenait au Front de la jeunesse. Il m'avait également sur- veillé. Ce soir-là, je traînais donc dernière moi deux anges gar- diens, sans m'en être aperçu ... A la Sûreté de l'Etat, on m'a aussi parlé d'autres contacts que j'avais bien pris discrètement avec des militants d'extrême- droite: on m'a confirmé que j'avais été suivi quelquefois, par des correspondants de la Sûreté. J'ai fait vérifier par un spécialiste l'installation de mon télé- phone privé, chez moi. Tout paraissait en ordre. Pourtant, le téléphone fut, à diverses reprises, hors service, pendant cette pé- riode. Le téléphone de mon collègue du Soir fit aussi des caprices. Il arriva en outre qu'un matin, appelant ma femme par télé- phone du journal, j'ai obtenu pour toute réponse, aux nombreux appels formés, des signaux de sonnerie (personne n'était donc là), suivis quelques minutes plus tard par des signaux 'occupé' (on parlait donc sur ma ligne), suivis à nouveau par la sonnerie.
124 Un peu plus tard, le téléphone ne réagit plus, comme s'il avait été coupé. Puis brusquement, à un nouvel appel, j'entendis décrocher le combiné. Mais personne ne parlait. Il y eut une série de déclics étranges, sur un fond musical très faible. Puis on rac- crocha. Ces incidents successifs déclenchèrent, à ma demande, une visite de la police dans mon quartier: on découvrit un homme, disant appartenir à la Régie des téléphones, qui travaillait sur la borne téléphonique de la rue. Il a été identifié, mais je n'ai pas eu d'information sur la suite de l'enquête.
A la même époque, il est arrivé que Jean-Paul, voulant vérifier son téléphone, forme son propre numéro. Et dans son apparte- ment, où personne ne se trouvait, le téléphone renvoyait l'indica- tif 'occupé'.
Pendant toute cette période d'octobre et novembre 1983, il a donc fallu prendre des précautions. Pour tous les rendez-vous importants, je ne circulais pratiquement plus qu'en taxi. Pour établir le contact avec autres personnes qui se sentaient, elles aussi, surveillées, nous avons utilisé des techniques un peu parti- culières: rendez-vous à dix ou quinze kilomètres de Bruxelles, changement de voitures, etc.
Je reçus aussi, dans mon courrier, quelques lettres anonymes éloquentes. Comme dans Tintin: Arrête de te mêler de l'affaire WNP, par exemple. Ou encore la carte de visite d'un professeur de judo et de karate. Sans commentaire. Des informations touchant aux réactions internes de responsa- bles de la Sûreté vis-à-vis des développements de l'enquête ou vis-à-vis de détails publiés dans mes articles m'ont été données, anonymement parfois, par téléphone. La conversation était tou- jours très brève et brusquement la communication s'interrom- pait. On devait m'appeler sans doute d'une cabine téléphonique. Début novembre(1983), après avoir évoqué le dossier du WNP sur l'antenne de radio 'Air Libre' - émission au cours de laquelle plu- sieurs auditeurs avaient appelé par téléphone et posé des ques- tions - je reçus de l'un d'eux, Roger A., de Saint-Gilles, la lettre suivante: '( ... )Fin de la première semaine de novembre 83, à la sortie du bureau de pointage, je vis la gueule de Hitler barrée de rouge: une affiche et le programme d'émissions radio concernant l'extrême-droite et la Sûreté de l'Etat. J'écoutai. Le deuxième jour, je téléphonai et posai une question à René Haquin concer- nant sa sécurité personnelle. Il y répondit clairement. 125 'Dix minutes après, mon téléphone sonna. Personne au bout. .. Sinon un bruit indéfinissable. La coïncidence. Je retéléphonai et demandai, sur antenne, si leur téléphone pouvait être mis sur écoute. On me répondit que c'était plus que probable, vu la nature des émissions.'
Un soir de novembre 1983, invité à participer à l'Ecran Témoin d'André François (RTBF), au palais des Congrès de Liège, plusieurs militaires de carrière m'ont attendu dans le hall et m'ont fait savoir qu'ils n'appréciaient pas les articles relatifs aux vols des télex à l'état-major. Un de ces militaires, proche d'un des respon- sables du WNP, a exhibé une carte de membre d'une organisa- tion nazie (la carte portait une croix gammée) 'plus dure et plus violente que le WNP', disait il.
Il me faut encore signaler qu'à plusieurs reprises, des voitures, avec deux ou trois personnes à bord, sont restées en stationne- ment devant mon domicile, parfois pendant plusieurs heures. A bord, les occupants prenaient parfois des notes, ou paraissaient dessiner des ébauches de plans de la façade de mon immeuble. Il y eut enfin des appels téléphoniques silencieux, ou presque: coups de téléphone au cours desquels un seul mot était prononcé, suivi d'un long silence. Puis on raccrochait. J'ai évoqué ces inci- dents dans quelques articles. D'autres journaux y ont aussi fait allusion, de même que la RTBF.
Tout cela m'a fait peur, je l'avoue. Mais en même temps, ces violences imperceptibles agis- saient sur moi comme autant d'aiguillons. La police et la gendar- merie, averties, ont procédé à des identifications. Parfois cela ne donnait rien. Un nom inconnu. Parfois, on retrouvait le nom de l'un ou l'autre militant de groupements d'extrême-droite.
Il y eut également de coups de téléphone, la nuit, chez un des juges d'instruction chargés des dossiers WNP: comme chez moi, il s'agissait d'appels silencieux et anonymes.
A signaler enfin un incident qui provoqua aussi une descente de police: un ami s'occupant du dossier Westland New Post, s'était rendu à Molenbeek pour y voir un ancien membre du VMO. Il eut l'impression d'être suivi par une voiture, dans la rue de l'Hôpital français à Koekelberg, et fit brusquement une manoeuvre. La voiture suive use effectua la même manoeuvre et le reprit en chasse.
Angoissé, il abandonna son véhicule rue Goffin et courut jusqu'à un café ouvert, d'où il téléphona. Lorsqu'il revint à pied vers sa voiture, il vit l'autre véhicule, une Opel Rekord bleue, arrêtée près de la sienne. Tout à côté, une moto blanche dont le pilote parlait avec le conducteur de l'Opel. Cette 126
moto blanche fit, à plusieurs reprises, le tour du quartier, mani- festement à la recherche de cet ami toujours planqué dans le café. Puis la police est arrivée. Mais l'Opel bleue avait disparu ...
Amalgames: la bande du Brabant, Air France, la chaussée d'Anvers Plusieurs journaux ont écrit, à la fin 1983, que les tueurs du Bra- bant, ceux qui avaient signé les crimes du Colruyt de Hal et de Nivelles, de l'auberge de Beersel, de la filature de Tamise, du Delhaize de Beersel et des bijoutiers de Maurage étaient des terroristes, et qu'ils appartenaient peut-être au West/and New Post. A un moment ou a un autre, nous avons tous pu le croire. Les crimes imputés à la bande dite du Brabant paraissaient gra- tuits. Organisés selon des méthodes militaires. Précisément, on avait découvert, dans les armoires de militants du West/and New Post, des instructions de type militaire, des procédures confiden- tielles utilisées par certaines unités spéciales pour des attentats ou des sabotages. Ces procédures ressemblaient à certaines métho- des utilisées par les tueurs du Brabant. .. Ainsi en fut-il au Colruyt de Nivelles. Un couple de Bruxellois a été abattu alors qu'il faisait le plein d'essence à la pompe, pro- bablement pour l'empêcher de témoigner plus tard. Or, à ce moment, les gangsters n'avaient pas encore forcé la porte blindée donnant sur les stocks de victuailles. Les corps furent évacués, puis les gangsters entamèrent le cambriolage projeté, sans s'aper- cevoir qu'ils déclenchaient l'alarme à la gendarmerie. Quand deux gendarmes arrivèrent, sans méfiance, ils les abattirent: l'un d'eux fut tué sur le coup, l'autre ne dut sa vie qu'au ricochet d'une balle sur son épaulette. La police suivit. Les bandits, utilisant deux voitures, eurent l'audace de prendre leurs poursuivants en sandwiche et, une fois la voiture de police coincée entre les deux véhicules des tueurs, ils ouvrirent le feu. L'opinion publique était en état de choc. Les tueurs fous du Brabant ne ressemblaient plus aux gangsters habituels: ils parais- saient décidés à tuer pour tuer, sans se préoccuper du butin, déci- dés à éliminer tout ce qui pouvait les gêner, comme s'ils avaient décidé de semer la terreur. Les munitions utilisées au Delhaize de Beersel étaient pareilles à celles qui avaient été volées au groupe Diane de la gendarmerie en janvier 1982. Les riots guns aussi. 127
...... |
| | | CS1959
Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 10/08/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Jeu 16 Aoû 2012 - 21:45 | |
| ...Les munitions utilisées au Delhaize de Beersel étaient pareilles à celles qui avaient été volées au groupe Diane de la gendarmerie en janvier 1982. Les riots guns aussi. 127 ... Est ce exact ? |
| | | flanby
Nombre de messages : 281 Date d'inscription : 09/06/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Jeu 16 Aoû 2012 - 23:58 | |
| - CS1959 a écrit:
- ...Les munitions utilisées au Delhaize de Beersel étaient pareilles à celles qui avaient été volées au groupe Diane de la gendarmerie en janvier 1982. Les riots guns aussi.
127
... Est ce exact ? C'est possible que ce soit exact mais il faut savoir si ces munitions étaient disponibles dans le commerce ou pas ? |
| | | CS1959
Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 10/08/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Ven 17 Aoû 2012 - 1:28 | |
| J ai toujours entendu parler de vol d armes, pas de munitions. |
| | | FAITESVITE
Nombre de messages : 987 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Ven 17 Aoû 2012 - 1:37 | |
| Pour la majorité des armes utilisées les munitions étaint en vente dans ls supermarchés en france (en belgique je l'ignore), c'est à dire pour les calibre de chasse (donc riot gun puisque c'est du 12) et le 22 (même si en loccurence les 22 utilisés sont des armes de poing et que le 22 en vente libre c'est des carabines...mais les munitions sont les même). Par contre pour certaines armes çà devait être plus difficile (à confirmer par quelqu'un qui connait la legislation belge), mais à mon avis du 38 çà ne se recharge pas sans au minimum une licence de tir. Reste qu'une munition çà se recharge, d'ailleurs il existe un tableau sur les armes et munitions utilisaient pour chaque attaques où on fait la différence entre une munition neuve et une rechargée, et c'était parfois le cas. Mais bon, ne soyons pas naïf non plus, c'est plus facile de trouver les alles que les armes, et un vol d'une boite de cartouche par exemple sur un stand de tir ne serait sans doute pas signalé (peut-être même pas remarqué), et ils n'ont pas eu besoin de tant de munitions que celà... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Lun 26 Nov 2012 - 23:29 | |
| Déclaration Dussart devant le comm 1
quote] .......
Cela allait de petites pressions ou des vexations dans le service, et l'absence de travaux a l'équipe de Wavre.
A la même époque, Monsieur le Juge d'Instruction SCHLICKER m'a parle personnellement, de même lors de plusieurs réunions de travail, qu'il avait été victime de pressions diverses et de menaces téléphoniques. Il avait fait placer un système d'alarme a son domicile.
AU même moment, j'ai reçu deux communications téléphoniques de Madame Schlicker me demandant ce qu'elle devait faire. Elle avait reçu, en 15 jours d'intervalle, deux menaces téléphoniques anonymes à l'égard de ses enfants. Elle me demandait conseil aux fins de savoir si elle devait ou non demander a son mari de cesser l'instruction en cours. L'ayant plus ou moins rassurée, Madame SCKLICKER m'a alors demandé de ne pas pas parler a son mari - ce que j'ai fait. ....
[/quote] |
| | | RB
Nombre de messages : 279 Date d'inscription : 25/06/2011
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 6:00 | |
| - CS1959 a écrit:
- ...Les munitions utilisées au Delhaize de Beersel étaient pareilles à celles qui avaient été volées au groupe Diane de la gendarmerie en janvier 1982. Les riots guns aussi.
127
... Est ce exact ? Il n'y a pas eu de munition cal 12 volé à l'ESI. Le Cal 12 était en vente libre à l'époque. Les seules munitions volées à l'ESI, étaient les 9mm para qui garnissaient les chargeurs des HK. On a gardé les chargeurs et on s'est débarrassé des 9mm para (qui auraient pu être marquées ...). |
| | | RB
Nombre de messages : 279 Date d'inscription : 25/06/2011
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 6:08 | |
| - K a écrit:
- Déclaration Dussart devant le comm 1
quote] .................. A la même époque, Monsieur le Juge d'Instruction SCHLICKER m'a parle personnellement, de même lors de plusieurs réunions de travail, qu'il avait été victime de pressions diverses et de menaces téléphoniques. Il avait fait placer un système d'alarme a son domicile......
Bizarre qu'à la commission, on ne parle pas du fait qu'à la même époque, le Juge Schlicker était fortement porté sur la dive bouteille, ce qui ne devait pas arranger son enquête. Oh, je ne veux pas l'enfoncer. Je l'ai connu personnellement pour avoir été interrogé quelque fois par lui. C'était un homme charmant, comme il faut, vraiment ! Mais à mon avis, beaucoup trop mou et sans ...ouille pour ce genre d'enquête et avec un tel patron (De Prêtre). |
| | | AlPot
Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 18/10/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 11:59 | |
| [quote="RB]On a gardé les chargeurs et on s'est débarrassé des 9mm para (qui auraient pu être marquées ...).[/quote] Dans le canal de Ronquières je suppose, comme toute bande professionnelle parfaitement organisée ? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 12:09 | |
| Pour les lecteurs : il faut comprendre que
1.:Wezel avait trop de travail pendant vague 1 et Schlicker lui est adjoint pour le soulager des autres affaires.
2.: Wezel part et Schlicker qui a déjà la charge des autres affaires se trouve avec tout l'héritage 1.-affaires courantes 2.-affaires borains 3.les affaires jointes des autres JI qui travaillait séparement pour Angelou,Wavre etc mis ensemble avec les dossiers TBW seulement à partir de novembre 1983 quand Dery a "detecté" la similitude.
4.-meurtre latinus 5.vague 2 6.-meurtre Mendez le travail de Alost qui doit être traduite car en Wallonie on peut devenir juge ou medecin sans connaitre les langues du pays.
On comprend pas pourqoui on ne l'a jamais donné du renfort comme on avait fait avec Wezel
Si en plus on l'a menacé même dans les carnets d'école de ces enfants , alors on comprends qu'il s'est brisé et qu'il est devenu malade.
et puis notre membre a trouvé un nouveau message en dessous qui lui va comme un gant , et nous aussi d'ailleurs , raison en plus de lire par deux fois ces médisances, car plein de verités là-dedans!
Dernière édition par K le Mar 27 Nov 2012 - 13:18, édité 1 fois |
| | | RB
Nombre de messages : 279 Date d'inscription : 25/06/2011
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 12:49 | |
| - AlPot a écrit:
- [quote="RB]On a gardé les chargeurs et on s'est débarrassé des 9mm para (qui auraient pu être marquées ...).
Dans le canal de Ronquières je suppose, comme toute bande professionnelle parfaitement organisée ?[/quote]Eh non, pas le canal de Ronquières ! Mon canal préféré et qui m'a servi de poubelle a toujours été celui de Vilvorde ! |
| | | RB
Nombre de messages : 279 Date d'inscription : 25/06/2011
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 13:05 | |
| - K a écrit:
- ..... et puis notre membre a trouvé un nouveau message en dessous qui lui va comme un gant , et nous aussi d'ailleurs ,
raison en plus de lire par deux fois ces médisances, car plein de verités là-dedans! Bizarre votre réaction ! Vous vous sentez visé ou vous reconnaîtriez-vous dans ce dicton ? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 13:16 | |
| Parfaitement , les dictons me vont comme un gant aussi , continuez !!! je ne suis pas sous serment ! |
| | | AlPot
Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 18/10/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 16:22 | |
| "Mon canal préféré et qui m'a servi de poubelle (pas bien) a toujours été celui de Vilvorde !"
Donc , un canal (ici celui de Ronquières) pour se débarrasser d'armes chaudes, cela vous semble pas anormal, voire un coup monté ? Ou il y avait plus simple et évident pour les TBW ?
|
| | | RB
Nombre de messages : 279 Date d'inscription : 25/06/2011
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 17:03 | |
| - AlPot a écrit:
- "Mon canal préféré et qui m'a servi de poubelle (pas bien) a toujours été celui de Vilvorde !"
Donc , un canal (ici celui de Ronquières) pour se débarrasser d'armes chaudes, cela vous semble pas anormal, voire un coup monté ? Ou il y avait plus simple et évident pour les TBW ?
Oui, j'avoue: A l'heure du bio, des problèmes climatiques et d'environnement, le "canal-poubelle" , c'est pas bien ! Je vois plus le canal dans l'idée de se débarrasser définitivement de "choses gênantes". Car enfin, il y avait plus de chances de ne pas retrouver les sacs que du contraire. Je pense aussi que jeter les objets séparément auraient été plus "définitif", cfr les armes dans l'affaire Vernaillen. Mais peut-être que le fait de mettre tout ensemble a été guidé par l'intention de faire vite et d'être donc de se faire le moins possible repérer le long du canal. Mais je crois aussi que l'accumulation en un seul sac de cette ferraille a facilité le travail de l'appareil de détection. Enfin, je pense tout haut là ... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 17:16 | |
| suivant certains info's , après avoir jeté les sacs ils (1 ou 2 voitures) ont continué le long du canal , et là , il n'y avait pas de maison ni baraque frites donc encore moins de risques.
Personne ne sait où est parti le proprio dixit un pensionné de la pj du coin , rencontré par hasard.
ds le petit hameau près du pont il me semble qu'il y a maintenant un armurier
|
| | | Kranz
Nombre de messages : 823 Date d'inscription : 08/11/2008
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 20:49 | |
| - K a écrit:
- suivant certains info's , après avoir jeté les sacs ils (1 ou 2 voitures) ont continué le long du canal , et là , il n'y avait pas de maison ni baraque frites donc encore moins de risques.
Pas très pratique de les jeter ailleurs: les berges sont en pente et si le sac est lourd il risque de tomber au bord et de rester apparent. S'il est trop léger un sac plastique est freiné par l'air, pas possible de le jeter au loin. C'était donc cet endroit ou alors un pont, mais là les risques d'être vus sont plus grands. |
| | | AlPot
Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 18/10/2012
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 21:41 | |
| - Kranz a écrit:
- K a écrit:
- suivant certains info's , après avoir jeté les sacs ils (1 ou 2 voitures) ont continué le long du canal , et là , il n'y avait pas de maison ni baraque frites donc encore moins de risques.
Pas très pratique de les jeter ailleurs: les berges sont en pente et si le sac est lourd il risque de tomber au bord et de rester apparent.
S'il est trop léger un sac plastique est freiné par l'air, pas possible de le jeter au loin.
C'était donc cet endroit ou alors un pont, mais là les risques d'être vus sont plus grands. Merci pour cette info qui tendrait à prouver qu'il ne souhaitaient pas qu'on retrouve ces sacs d'indices et qu'il(s) connaissai(en)t bien cet endroit et l'embarcadaire. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mar 27 Nov 2012 - 23:44 | |
| - Citation :
- ds le petit hameau près du pont il me semble qu'il y a maintenant un armurier
confirmation et juste en dessus ds le liste sur le net on trouve Dek ! pur co-incidence car je pense que c'est un armurier recent sans étallage pe qu'un stand de Tir ? |
| | | FAITESVITE
Nombre de messages : 987 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mer 28 Nov 2012 - 0:43 | |
| - Kranz a écrit:
- K a écrit:
- suivant certains info's , après avoir jeté les sacs ils (1 ou 2 voitures) ont continué le long du canal , et là , il n'y avait pas de maison ni baraque frites donc encore moins de risques.
Pas très pratique de les jeter ailleurs: les berges sont en pente et si le sac est lourd il risque de tomber au bord et de rester apparent.
S'il est trop léger un sac plastique est freiné par l'air, pas possible de le jeter au loin.
C'était donc cet endroit ou alors un pont, mais là les risques d'être vus sont plus grands. En même temps personne ne les obligeait à lancer le sac, ils auraient pu jeter les armes une par une dans le canal depuis la berge, et donc plus loin, tout en étant sur qu'elle coule et surtout en ne mettant pas tout les oeufs dans le même panier...c'est sur qu'aujourd'hui on se dit que pour faire disparaître les armes définitivement çà aurait été pus efficace. Mais si le sac n'avait pas été retrouvé, au final ils auraient eu raison et on ne se poserait pas la question. C'est toujours facile d'analyser après coup mais difficile de se baser là dessus pour connaitre leur intention, malheureusement çà ne nous dit pas si la découverte est volontaire ou pas. |
| | | FAITESVITE
Nombre de messages : 987 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes Mer 28 Nov 2012 - 0:52 | |
| Par contre ce qui pourrait permettre d'avancer c'est de connaitre les circonstance qui on amené au témoignage. A priori le témoins dormait dans sa caravane (qui à priori n'était pas encore devenu une friterie, mais servait à quoi??) parce qu'il avait été volé plusieurs fois (donc je présume qu'il espérait pouvoir pour surprendre les voleur). Est-ce que c'est vrai? Quel type de vol (nourriture? chocolat? huile? champagne? ...ce serait trop beau!) et par qui (ou avait-il des doutes?)?
Peut etre que c'est en attirant le témoins dans sa caravane à travers ces vols qu'ils se sont garanti la découverte des armes... On peut aussi se demander si ce témoins était lui aussi venu en voiture, auquel cas ils ont du la voir et savoir qu'il était là (hypothétique, je n'en sait rien). Il faudrait avoir le pv de déposition du témoin mais je ne pense pas qu'il ai été rendu public, ou mieux si il nous lit qu'il témoigne sur le forum!! |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Les menaces de toutes sortes | |
| |
| | | | Les menaces de toutes sortes | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |