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| Réflexions sur la prescription | |
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Auteur | Message |
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perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 12:03 | |
| Ok, merci,
Donc on peut considérer que les éléments matériels et indices ne sont pas concernés par la prescription, juste les faits. Il est clair que PDS a très finement joué son jeu : En avouant rapidement, il échappait ainsi aux gendarmes (qui, à l'époque, n'étaient pas des baby-sitters comme c'est souvent le cas maintenant), il se réservait aussi la possibilité de se retracter et de rechercher au plus vite le procés d'assises pour des faits moindres, ceci avant que l'on trouve assez de preuves pour le charger davantage. (qui l'a conseillé en ce sens ? quelqu'un de très au courant des pratiques de parquet, avocat, juge, proc ?). |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 12:29 | |
| Votre analyse me paraît correcte. Il s'agissait évidemment pour l'intéressé d'une stratégie mûrement réfléchie, sur la base de conseils… avisés. Personnellement, j'imagine mal qu'un magistrat, membre du parquet ou juge du siège ait à un quelconque moment conseillé PDS dans cette stratégie sauf à imaginer un dévoiement général de l'institution ou plus sûrement dans cette hypothèse d'un magistrat indigne. En revanche, je m'étonne que vous n'ayez pas pensé plutôt à un membre des forces de l'ordre, plus susceptible d'avoir un contact informel avec le personnage cité ci-dessus. Il ne s'agit là de simples supputations de ma part, nullement étayées, qui n'entament en rien la crédibilité et l'honnêteté de l'immense majorité des enquêteurs, qu'ils soient gendarmes ou policiers. |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 12:32 | |
| Mais oui, bien sur ! Un de ceux qui l'interrogeaient tout simplement, genre "arrangement avec le proc" comme on voit souvent dans les séries B made in US |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 12:40 | |
| Avec le procureur ? Quel aurait été l'intérêt pour le procureur ? En échange de quoi ? Je serais plutôt tenté par l'initiative intempestive d'un membre des forces de l'ordre agissant dans son seul intérêt et pour des raisons qui restent à ce jour obscur. |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 12:48 | |
| c'est la BSR qui a interrogé PDS ? |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 13:04 | |
| Je pense que la réponse figure sur ce site mais il faut chercher. Une autre hypothèse me paraît intéressante s'agissant des enquêteurs :
Freddy TROCH, Juge d'instruction à Termonde fut chargé des dossiers des tueries de Tamise et d'Alost. Il fut dessaisi par la suite au profit de Jumet. Le juge avait la volonté d'aboutir et estimait que la bande PDS était impliquée. Il a fait progresser l'enquête en 3 semaines en ce qui concerne la bande de Baasrode) et est à l'origine de la mise à jour des éléments matériels de Ronquières, avant le passage des techniciens de la PJ, ce qui était contraire aux accords interpolice/justice du moment selon Claude Cuesme.
En outre :
IV.2.1.9. Le transfert des dossiers de Termonde à Charleroi
Le transfert des dossiers suivis par le juge d’instruction Troch à Termonde à l’arrondissement judiciaire de Charleroi de même que les modalités de ce transfert ont été sévèrement critiqués à maintes reprises.
Le problème de la centralisation des différents dossiers relatifs aux « tueurs du Brabant » tient notamment aux activités de la première commission d’enquête parlementaire.
Le juge d’instruction Lacroix et le substitut du procureur du Roi Jonckheere ont été interpellés à ce propos lorsqu’ils ont témoigné (375). Les magistrats ont tout d’abord expliqué qu’en janvier 1987 — lorsque les dossiers provenant de Nivelles arrivent à Charleroi et qu’une connexité matérielle a déjà été établie entre les faits commis à Overijse, à Braine-l’Alleud et à Alost — le juge d’instruction Troch avait demandé à s’occuper des dossiers de Tamise et d’Alost, car une enquête était déjà en cours au sujet de la bande De Staercke (376). |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 13:06 | |
| PDS aurait est-il été le bénéficiaire d'une vengeance interne à la magistrature ou plutôt une lutte entre enquêteurs, chacun voulant tirer la couverture à lui ? |
| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 16:57 | |
| Pour avoir bien connu Philippe De Staercke et lui avoir établi certains de ses courriers (sur machine à écrire) à la prison de Namur je suis révulsé quand je me remémore les procédures qui ont été utilisées vu le manque de preuves de sa responsabilité dans l’affaire des TBW pour le faire payer comme s’il était un des auteurs. Révulsé parce que j’ ai toujours établi la parallèle entre son inculpation et mon inculpation pour l’attaque et la tentative d’assassinat de la caserne de Vielsalm
Voici la parallèle : Je suis inculpé en septembre 1985 sans aucun élément de preuve. Ceci est établi directement après mon extradition: première chambre de conseil : levée du mandat d’arrêt : "il n’y a rien contre Dislaire dans ce dossier Vielsalm ". Mais comme je suis sous le coup d’une condamnation pour autre cause, je reste incarcéré. Le juge d’instruction m’informe après qq mois : « ne vous tracassez pas, cette affaire ne sera jamais jugée » Etant primaire je demande ma conditionnelle (tiers de peine) mais celle -ci est refusée pour cause d’inculpation pour fait relevant des Assises : l’affaire de Vielsalm Il me faudra attendre 8 ans pour avoir le non lieu. Toutes les techniques ont été mises en place pour faire obstruction à ma conditionnelle et même à des congés. Incarcération jusqu’à la dernière minute de la dernière journée. (Fait reconnu par la presse comme unique en Belgique). Après seulement viendra le non-lieu...
Ainsi j’ai payé le manque de preuves par des années de détention. C’est reconnu par le Procureur qui me signalera beaucoup plus tard : « Ce n’est pas " ma faute", cela venait de beaucoup plus haut ». Mon seul »tord « dans l’attaque de Vielsalm c’est d’avoir pris contact avec René Haquin …
Idem pour Philippe De Staercke :Il reste inculpé pour les TBW jusqu’en 2002 et est ainsi bloqué en prison « administrativement ». Il restera en taule plus longtemps que s’il était passé aux assises et condamné pour les TBW …
Les Droits de l’Homme condamneront l’Etat Belge pour PDS (5.000 € …versés à l’avocat pour honoraires.) Le GDL sera condamné dans mon cas pour extradition illégale. Indemnisation …en fonction des honoraires de procédures complexes « Dommage moral »
Certains comprendront mieux pourquoi ma pugnacité s’exprime toujours et encore. Pourquoi j’ai sorti mon livre « la nuit des commandos » Et pourquoi, je le jure, ce n’est pas fini.
RAPPEL : A –Philippe De Staercke condamné par la cour d'Appel de Gand à 20 ans de prison en 1987 pour une série de braquages ...
B -MONS Aujourd'hui, vendredi 5 avril ( 2002), il n'y a plus un seul inculpé dans l'affaire dite des Tueries du Brabant. À l'heure où vous lirez ces lignes, la chambre des mises en accusation de la cour d'appel de Mons aura rendu un arrêt de non-lieu dans le dossier ouvert à charge de Philippe De Staercke, confirmant ainsi l'ordonnance de non-lieu rendue le 30 mai dernier par la chambre du conseil de Charleroi…/….
Ce 5 avril sonnera aussi le glas d'une enquête, …/…Philippe De Staercke qui vit, lui, avec cette fausse réputation de tueur depuis... juin 1987, aura perdu des années de vie. Vous embaucheriez, vous, un ex-taulard officiellement inculpé dans les tueries? Il aura fallu toute l'opiniâtreté de son avocat pour qu'enfin la justice accepte de confirmer officiellement ce que tant d'enquêteurs savent depuis longtemps: aucun élément à charge de M. De Staercke n'a pu se voir confirmé malgré les moyens mis à disposition des enquêteurs. D.H.
C - On trouvera ici la décision de la Cour européenne des droits de l'Homme :
Invoquant l’article 6 § 1 (droit à un procès équitable dans un délai raisonnable) de la Convention, le requérant dénonçait la durée de la procédure pénale dirigée contre lui en raison de son implication présumée dans une attaque à main armée meurtrière, plus connue sous le nom de « tueries du Brabant wallon ».
La Cour relève que la procédure litigieuse s’est étendue sur plus de quinze ans et quatre mois. Eu égard aux circonstances de l’espèce, elle estime qu’une telle durée est excessive et ne répond pas à l’exigence de « délai raisonnable ». Dès lors, la Cour conclut, à l’unanimité, à la violation de l’article 6 § 1 de la Convention et alloue au requérant 5 000 EUR pour dommage moral.
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| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 18:04 | |
| - dislairelucien a écrit:
Pour avoir bien connu Philippe De Staercke et lui avoir établi certains de ses courriers (sur machine à écrire) à la prison de Namur je suis révulsé quand je me remémore les procédures qui ont été utilisées vu le manque de preuves de sa responsabilité dans l’affaire des TBW pour le faire payer comme s’il était un des auteurs. Révulsé parce que j’ ai toujours établi la parallèle entre son inculpation et mon inculpation pour l’attaque et la tentative d’assassinat de la caserne de Vielsalm
Voici la parallèle : Je suis inculpé en septembre 1985 sans aucun élément de preuve. Ceci est établi directement après mon extradition: première chambre de conseil : levée du mandat d’arrêt : "il n’y a rien contre Dislaire dans ce dossier Vielsalm ". Mais comme je suis sous le coup d’une condamnation pour autre cause, je reste incarcéré. Le juge d’instruction m’informe après qq mois : « ne vous tracassez pas, cette affaire ne sera jamais jugée » Etant primaire je demande ma conditionnelle (tiers de peine) mais celle -ci est refusée pour cause d’inculpation pour fait relevant des Assises : l’affaire de Vielsalm Il me faudra attendre 8 ans pour avoir le non lieu. Toutes les techniques ont été mises en place pour faire obstruction à ma conditionnelle et même à des congés. Incarcération jusqu’à la dernière minute de la dernière journée. (Fait reconnu par la presse comme unique en Belgique). Après seulement viendra le non-lieu...
Ainsi j’ai payé le manque de preuves par des années de détention. C’est reconnu par le Procureur qui me signalera beaucoup plus tard : « Ce n’est pas " ma faute", cela venait de beaucoup plus haut ». Mon seul »tord « dans l’attaque de Vielsalm c’est d’avoir pris contact avec René Haquin …
Idem pour Philippe De Staercke :Il reste inculpé pour les TBW jusqu’en 2002 et est ainsi bloqué en prison « administrativement ». Il restera en taule plus longtemps que s’il était passé aux assises et condamné pour les TBW …
Les Droits de l’Homme condamneront l’Etat Belge pour PDS (5.000 € …versés à l’avocat pour honoraires.) Le GDL sera condamné dans mon cas pour extradition illégale. Indemnisation …en fonction des honoraires de procédures complexes « Dommage moral »
Certains comprendront mieux pourquoi ma pugnacité s’exprime toujours et encore. Pourquoi j’ai sorti mon livre « la nuit des commandos » Et pourquoi, je le jure, ce n’est pas fini.
RAPPEL : A –Philippe De Staercke condamné par la cour d'Appel de Gand à 20 ans de prison en 1987 pour une série de braquages ...
B -MONS Aujourd'hui, vendredi 5 avril ( 2002), il n'y a plus un seul inculpé dans l'affaire dite des Tueries du Brabant. À l'heure où vous lirez ces lignes, la chambre des mises en accusation de la cour d'appel de Mons aura rendu un arrêt de non-lieu dans le dossier ouvert à charge de Philippe De Staercke, confirmant ainsi l'ordonnance de non-lieu rendue le 30 mai dernier par la chambre du conseil de Charleroi…/….
Ce 5 avril sonnera aussi le glas d'une enquête, …/…Philippe De Staercke qui vit, lui, avec cette fausse réputation de tueur depuis... juin 1987, aura perdu des années de vie. Vous embaucheriez, vous, un ex-taulard officiellement inculpé dans les tueries? Il aura fallu toute l'opiniâtreté de son avocat pour qu'enfin la justice accepte de confirmer officiellement ce que tant d'enquêteurs savent depuis longtemps: aucun élément à charge de M. De Staercke n'a pu se voir confirmé malgré les moyens mis à disposition des enquêteurs. D.H.
C - On trouvera ici la décision de la Cour européenne des droits de l'Homme :
Invoquant l’article 6 § 1 (droit à un procès équitable dans un délai raisonnable) de la Convention, le requérant dénonçait la durée de la procédure pénale dirigée contre lui en raison de son implication présumée dans une attaque à main armée meurtrière, plus connue sous le nom de « tueries du Brabant wallon ».
La Cour relève que la procédure litigieuse s’est étendue sur plus de quinze ans et quatre mois. Eu égard aux circonstances de l’espèce, elle estime qu’une telle durée est excessive et ne répond pas à l’exigence de « délai raisonnable ». Dès lors, la Cour conclut, à l’unanimité, à la violation de l’article 6 § 1 de la Convention et alloue au requérant 5 000 EUR pour dommage moral.
Monsieur Dislaire, Je m'étonne que vous établissiez un parallèle entre votre cas et celui de PDS au nom d'une pseudo fraternité des Damnés. I est possible et peut-être probable que vous ayez été victime d'une justice. Pour autant, était-il vraiment nécessaire te monter au créneau pour dénoncer le « martyre » d'un individu sur lequel pesaient et pèsent toujours des indices graves et concordants de culpabilité. vous savez pertinemment que s'il fallait systématiquement des preuves, le crime serait rarement puni. J pense tout simplement que le PDS a eu la chance de bénéficier du syndrome des borains , à savoir la crainte d'un nouveau procès qui aboutirait à un fiasco . vous faites étonnamment abstraction du lourd passif de sa bande et de ses exactions . Que la justice belge je n'ai pas réussi à s'en sortir avec cet individu démontre simplement que votre système judiciaire était malade. q Quant à votre référence aux droits de l'homme et à la jurisprudence de la cour européenne des droits de l'homme, je dois dire que vous m'épatez, vous qui vous êtes illustré en Afrique dans des conditions qui n'étaient peut-être pas en totale adéquation précisément avec les droits de l'homme . Faut-il mettre en parallèle votre soudaine conversion à la religion des droits de l'homme sur le compte de la nécessité d'assurer la promotion de vos œuvres littéraires ? auriez-vous cédé aux sirènes du politiquement correct ? T |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 18:32 | |
| Dans le prolongement de ce qui vient d'être dit, je vais probablement vous rendre service en vous disant ce que je pense de l'institution dont vous faites état. La cour européenne des droits de l'homme est l'archétype de la bonne conscience d'une oligarchie bourgeoise et élitiste issue de la tradition girondine de la révolution française, à l'échelle européenne, à laquelle vient se surajouter pour faire bonne mesure un vieux fond de protestantisme à la mode anglo-saxonne. Ainsi, au nom des grands principes de la morale et du droit, sont catapultés en dehors de tout contrôle des peuples et de leur souveraineté, les plus éminents représentants des classes dirigeantes. Dans un contexte de crise politique et morale ressemblant étrangement à l'ambiance d'avant-guerre, ces très distingués magistrats apatrides sont les plus sûrs garants de l'ordre établi et un magnifique alibi valant vernis de respectabilité à une société capitaliste en voie d'écroulement eu égard à sa cupidité atavique. Ainsi, le gardien des libertés formelles permet fort à propos de sauvegarder un système économique et social amoral et injuste.En toute bonne conscience ! |
| | | Kranz
Nombre de messages : 823 Date d'inscription : 08/11/2008
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 21:40 | |
| - dislairelucien a écrit:
…Philippe De Staercke qui vit, lui, avec cette fausse réputation de tueur depuis... juin 1987, aura perdu des années de vie. Vous embaucheriez, vous, un ex-taulard officiellement inculpé dans les tueries?
Pour pouvoir l'embaucher il faudrait d'abord qu'il ait le désir de faire un travail honnête ce qui relève de la pure utopie. Ne racontez pas n'importe quoi en plaignant cette "pauvre victime", l'injustice c'est aussi un tas de méfaits pour lesquels il n'a jamais été condamné faute de preuves suffisantes. |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 22:08 | |
| Parfaitement d'accord avec vous, Kranz. Monsieur Dislaire ne nous avait pas habitué à une telle sollicitude. Curieux de la part d'un d'ancien croisé de la lutte contre le bolchevisme |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 22:48 | |
| Mais bon, quoi qu'ait fait (ou pas) le vénérable M. De Staercke, même si il est loin d'être un enfant de coeur, l'accuser d'avoir tué des enfants de sang-froid, c'est quand même terrible. Là dessus, je suis d'accord avec M. Dislaire. |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:02 | |
| @CS1958 - Citation :
- Que la justice belge je n'ai pas réussi à s'en sortir avec cet individu démontre simplement que votre système judiciaire était malade.
Et elle n'est pas en voie de rémission !!! Par exemple récemment, le p'tit Léon, braquage au contrôle technique de Foret. Et leurs "cousins", les Becker, la relève est assurée, et là, on parle pas de vol, mais de crime de sang ... - Citation :
- Les deux Becker acquittés
posté le 26 septembre 2012 | catégorie Affaire Laurette Derudder, Bibliothèque judiciaire
Le doute profite à Samson, Steve n’avait rien à se reprocher
Les deux. Steve et Samson. Acquittés. C’est mardi soir. Il est 19 heures. Le président Delmarche vient de donner lecture de l’arrêt. Il invite Steve Becker, qui avait comparu libre, à quitter le box des accusés et à rejoindre la salle où s’agglutine une bonne moitié de la tribu Becker. Samson, lui, reste détenu pour des faits étrangers à la cause – un vol qualifié qu’il a commis, en août dernier.
Steve empoigne sa bouteille de coca et descend lourdement l’estrade, l’air ravi d’un gosse qui vient d’obtenir le prix de la camaraderie à une proclamation scolaire.
Il y a un peu de grabuge quand il rejoint le clan.
– « Monsieur Becker, sermonne le président, vous pourriez patienter cinq minutes ! ».
– « J’ai glissé, chef ! », claironne le maousse, rigolard.
– « Comment m’avez-vous appelé ? », s’insurge le président.
– « Euh, m’sieur l’président », bafouille l’arsouille.
C’est terminé. Le doute, brillamment instillé par sa défense – rien, c’est vrai, ne l’accablait vraiment – a profité à Samson Becker « même s’il subsiste à son propos des éléments troublants », a estimé le jury. Son implication dans la mort de Laurette Derudder, tuée de 61 coups de couteau dans la soirée du 18 décembre 2009, n’a pu être suffisamment démontrée. « Rien, ont estimé les jurés, ne prouve que la victime est bien montée dans le véhicule de Samson Becker », ce soir-là. Et l’ignorance dans laquelle on se trouve du moment, du lieu et des circonstances dans lesquels Laurette Derudder fut assassinée réduit à l’état de simples conjectures les scénarios qui purent être échafaudés à partir des témoignages recueillis par l’enquête.
Les jurés ont pareillement estimé que trop d’incertitudes entouraient les expertises génétiques : prudentes, leurs conclusions revenaient à dire qu’on ne pouvait exclure que le profil génétique retrouvé sur un chiffon, à côté du corps de la victime, fût bien celui de Samson Becker. Pareil pour les écoutes – cette fameuse conversation enregistrée qu’eurent Steve et Samson Becker, alors qu’ils attendaient en cellule de comparaître devant la chambre du conseil : « Elle peut donner lieu à toutes sortes d’interprétations », a estimé le jury.
Steve Becker ? « Aucun élément ne prouve qu’il a été impliqué dans le meurtre », dit l’arrêt. Steve Becker a toujours été constant dans ses déclarations. Et il a fourni, pour expliquer la présence de son ADN sur la plupart des écouvillons soumis aux analyses, « une explication vraisemblable et crédible ».
L’audience est levée. Steve Becker commente le verdict au milieu d’un essaim de caméras. « Y z’ont pas jugé l’nom Becker, y z’ont jugé l’homme », répète-t-il. On n’en tirera rien de plus. Anéanti, Humphrey J., le fils de Laurette Derudder, s’éloigne sans mot dire, avec sa compagne. La mort de sa mère restera, à jamais, un mystère.
D’autres Becker viendront répondre, en avril prochain, d’un autre meurtre devant les assises du Hainaut. Celui d’un cafetier du Courtraisis, assassiné en 1991. Dans le box, il y aura Daniel Becker, ses fils Laurent et Johnny, et un proche. Laurent est le père de Samson et le frère de Steve. Daniel, l’aïeul, est le patriarche du clan. Stéphane DETAILLE A titre de comparaison, sortez au restaurant entre amis et faites vous contrôler avec, ne serait-ce qu'un gramme / litre de sang (1 apéro,4 verres de vins et un digestif). Vous verrez que l'assassin que vous êtes sera condamné et blâme à la une de la DH !!! Parfois, je me demande si j'aurais pas du faire "baraki" puisqu'on les protège. Quand je vois la charge des palais de justice, c'est bien ces gens là qui font vivre les juristes et permettent d'entretenir un certain climat d'insécurité qui sert d'écran de fumée aux malversations politiques.
Dernière édition par perplexe le Ven 22 Mar 2013 - 23:08, édité 1 fois |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:05 | |
| - Citation :
- Anéanti, Humphrey J., le fils de Laurette Derudder, s’éloigne sans mot dire, avec sa compagne. La mort de sa mère restera, à jamais, un mystère.
29 ??? |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:07 | |
| Donc ces gens sont parfaitement capables de tuer de sang froid et d'en éprouver aucun remord ???? |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:09 | |
| Et là, M. Dislaire ne fera pas de commentaires, pourtant, ce sont bien des "borains" les Becker non ? |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:11 | |
| Encore un peu ? - Citation :
- Les Becker, le Far West en plein Borinage
DELEPIERRE,FREDERIC
Page 38
Samedi 12 février 2011
à Quaregnon, cette famille divisée en deux clans traîne une sale réputation. Trois d’entre eux vont être jugés pour un meurtre datant de 1991. Ils se disent innocents et accusés par les autres.
Espèce de Becker », « sale Becker ». Des insultes comme tant d’autres ? Pas vraiment. Celles-ci sont pourtant localisées. Elles foisonnent surtout dans le Borinage. Et notamment dans certaines cours de récréation d’écoles de la région de Quaregnon. Problème : Becker n’est pas un nom d’oiseau mais celui d’une famille implantée à Quaregnon. Une grande famille aux origines gitanes dont les petits-enfants fréquentent les écoles de la région. « La vie de mes deux filles de 12 et 13 ans est par moments un enfer », lance Laurent, 41 ans.
Si certaines familles ne voient aucune objection à ce que leurs enfants fréquentent les petit(e)s Becker, il n’en va pas de même partout. Récemment, des enseignants sont même venus aux nouvelles. Alertés qu’ils étaient par la une d’un quotidien local qui ne faisait pas dans la dentelle. « Trois “Becker” borains poursuivis pour meurtre ». Une affaire vieille de vingt ans qui devrait être jugée lors de la prochaine rentrée judiciaire aux assises de Mons. Une affaire complexe.
Ce fameux 9 mai 1991, dans son café « ’t Oud Gemeentehuis », à Kaster, près de Courtrai, André Maroy a bloqué son téléviseur sur la finale du concours Eurovision de la Chanson. Dans le bistrot, on disserte sur le futur vainqueur. Le concours se termine tard. Pendant ce temps, Elza, l’épouse d’André, passe la soirée en famille.
A son retour dans le café, pour Elza c’est le choc. André gît sur le sol. Battu à mort, il a une corde serrée autour du cou. Le meurtre vient de se produire. Pour preuve, Elza n’a ni le temps de réagir ni d’appeler au secours. Quatre hommes se jettent sur elle. Ils la ligotent et l’enferment dans la cuisine. Avant de partir, ils effectuent une razzia : des bijoux, 70.000 francs belges ( +/- 1.750 euros ) en argent liquide et 1,8 million de francs belges en titres ( +/- 45.000 euros ).
Dès après les faits, le 14 mai 91, les enquêteurs orientent leurs soupçons vers une branche de la famille Becker. Le « patriarche », Jean-Claude est appréhendé avec deux de ses fils Fernand et Emile et un quatrième acolyte, Haichour. Le quatuor n’a pas d’alibi. Des témoins certifient même avoir vu Haichour et Emile à Kaster le soir du meurtre. Eux reconnaissent avoir passé la soirée à Kaster mais pour y chasser le hérisson. Une tablette de chocolat confirmera la présence d’Emile car une empreinte de ses dents y sera retrouvée. Face à ces éléments, les suspects nient tout en bloc. Ils passent six mois en détention préventive et sont finalement relâchés. Retour à Quaregnon, au bout de la chaussée de l’Espérance, à deux pas de La Bouverie.
En plein no man’s land, la maison en impose. Sur le côté, un campement d’une douzaine de caravanes résidentielles. « Ces baraquements sont loués par le CPAS de la ville qui y loge des allocataires sociaux, lance un voisin. Tous les jours, le CPAS vient apporter les repas. Il y en a en général aussi un pour les propriétaires. »
Et la cohabitation ? « Elle se passe bien, embraie un autre voisin de la rue du Fief, sous le regard d’un terril. Je sais qu’on les accuse d’être des voleurs. La police est d’ailleurs déjà venue plusieurs fois. Parfois même en force, avec hélicoptère et tout. Certains ont même fait de la prison pour des vols, de la contrefaçon et des bagarres. Mais comme on dit, ils ne vont pas venir voler leurs propres voisins. Par contre, entre eux, ils ne s’épargnent rien. Il y a deux clans dans la famille. Tout le monde habite dans le quartier, y compris les fils. Ils se sont déjà tiré des coups de feu l’un vers l’autre. Il y en a même un qui a failli en mourir… »
Il n’y aurait cependant pas que des coups de feu. Il y aurait aussi des coups bas, selon Me Sven Mary, l’avocat de l’autre pan de la famille, celui de Daniel Becker qui habite quelques centaines de mètres plus loin, sur la même chaussée de l’Espérance. « Dès qu’il est sorti de prison, Jean-Claude Becker a lancé une cabale contre son frère Daniel, affirme l’avocat. Il l’a chargé et le juge d’instruction gantois l’a cru. »
Suite à des informations parvenues anonymement aux enquêteurs, Daniel et ses fils Laurent et Johnny sont entendus durant l’été 2000. Ils seront, dans un premier temps, mis hors de cause. Momentanément… Et, faute de preuves tangibles, l’enquête va s’enliser. Jusqu’à s’interrompre. Pour redémarrer, de manière spectaculaire, en avril 2010. Le 15 précisément.
Ce mercredi-là, tôt le matin, la police judiciaire fédérale de Mons, appuyée par les unités spéciales de la police fédérale, passe à l’action. Quatre perquisitions simultanées sont menées aux domiciles de membres de la frange Daniel Becker à Jemappes, Quaregnon et Frameries. Au total, dix personnes sont interpellées. Dans le cadre du dossier Maroy mais aussi dans celui du meurtre sauvage d’une femme de 40 ans commis le 19 décembre 2009, à Marchipont. « Comme souvent lorsque nous nous rendons là-bas, ça a été un peu rock and roll mais il n’y a pas eu d’incident majeur », avait alors précisé François Farcy, directeur judiciaire à la PJ de Mons. Un an plus tard, l’affaire a laissé des traces.
« Ils ont cassé ma vie et celle de mes deux filles, s’exclame Laurent. Ils m’ont cassé trois côtes et m’ont frappé à l’œil. Est-ce bien normal qu’ils aient mis une cagoule sur la tête de mes filles et qu’ils aient immobilisé leurs mains avec des colsons ? Des enfants qui avaient à l’époque 11 et 12 ans. S’ils m’avaient envoyé une convocation, je serais allé les voir. Comme d’habitude. »
Dans sa villa cerclée d’une barricade en béton et entourée de matériel de chantier à vendre, l’épouse de Daniel Becker embraie. « Mon mari et mes enfants sont innocents, lâche-t-elle sous le regard approbateur de deux immenses chevaux en verre ornant sa cheminée. Comment peut-on ainsi détruire une famille et traumatiser des enfants à vie sans la moindre preuve ? » « Ils nous ont battus à mort, réagit Daniel, 61 ans, sorti ce jeudi de l’hôpital où il est soigné pour un cancer. J’ai tellement reçu de coups de pied que je n’arrivais plus à marcher. Ils m’ont massacré pendant les interrogatoires. » « Il sortait déjà de l’hôpital quand ils sont venus le chercher, enchérit l’épouse. Ils l’ont tellement frappé que ses points de suture ont sauté. »
Pourquoi en effet un tel déploiement de forces ? Surtout si longtemps après les faits ? « Lors de la remise en liberté du clan de Jean-Claude Becker, la fille de la victime s’est répandue dans la presse flamande, commente Sven Mary. “Les policiers m’avaient dit qu’ils tenaient les assassins”, a-t-elle déclaré. Cela, ajouté à la propre déception des enquêteurs de voir leur travail anéanti, ça a dû provoquer un électrochoc. »
C’est alors que survient l’ADN. Telle une apparition. « Près de 20 ans après le meurtre, l’ADN de Daniel Becker est découvert sur les lieux du crime, poursuit l’avocat. On en trouve une trace sur l’étiquette décollée d’une vieille bouteille de coca. Mais personne ne peut affirmer objectivement qu’elle vient de là. Je me pose donc des questions. J’ai d’ailleurs demandé une contre-expertise à un spécialiste allemand. »
Assis à la table de sa cuisine, Daniel est fatigué. « Ce soir-là, j’étais à la maison avec un ami, Herman M., dit-il. On regardait l’Eurovision. Je l’ai dit au juge. D’ailleurs, qu’est-ce que je serais allé faire en Flandre ? Je n’y vais jamais, je ne parle pas flamand. » L’alibi a été vérifié. Il tient la route. Pourtant, les trois Becker, qui ont fait deux mois de préventives, vont être jugés. « Ils prouveront publiquement leur innocence et sortiront libres. Comme lors de la chambre du conseil. Lors du prononcé, il y a eu un énorme coup de tonnerre et la lumière est apparue. C’est un signe que Dieu nous croit », assure la « matriarche » sous ses imposantes boucles noires comme du jais. A l’extérieur, des impacts de balles dans la corniche et les châssis de la maison témoignent des relations de bon voisinage entre les deux « clans » de la famille. Faut-il y voir une explication dans la peur que suscite le nom « Becker » dan la région ? Peut-être.
« Pourtant, nous ne sommes pas des gitans, rétorque la cheffe de famille. Nous habitons une maison, pas une roulotte. Et personne chez nous n’a de casier judiciaire. » |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:15 | |
| Il faut relire notamment sur ce site (mais pas seulement) tout ce qui a été dit sur la bande de PDS. Celle-ci ne se résume pas au seul intéressé. Le palmarès de cette bande est accablant. Je pense que vous changerez d'avis une fois que vous aurez lu ce qui est pu se dire sur le sujet. J'avais pensé répertorier à partir des seules informations qui figurent sur le site tout ce qui milite en faveur d'une implication directe indirecte de PDS. Je me permets de vous suggérer d'examiner tous les éléments rubrique par rubrique. Je vous concède que PDS et consorts n'étaient peut-être pas les seuls et uniques auteurs mais quand on est chef de bande, il faut assumer les dérapages des exécutants zélés occasionnels. Souvenez-vous également des déclarations de l'intéressé lui-même, aussi délirantes qu'elles puissent être pour certaines d'entre elles. Beaucoup de coïncidences quand même. Un peu trop. Une présence à Alost l'après-midi du drame, une valise Samsonite qui par pur hasard nécessite un traitement spécial au même moment etc. etc. etc. |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:33 | |
| Nicolas Karafilis affirme que PDS lui a confié en cellule qu'il avait 28 ans et 28 morts sur la conscience. Chacun en pensera ce qu'il voudra. |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Ven 22 Mar 2013 - 23:54 | |
| Je vais enquêter un peu sur leur palmarès.
Je suis convaincu que ce "tiers monde" belge est capable du pire, surtout si on légitime et appuie leur action (effet de meute). Donc les DS (bande à De Staercke) auraient été manipulés ? par qui ? pour quoi ?
Une idée que j'ai, un peu folle, c'est que ceci a été orchestré par des membres de la classe moyenne / supérieure à un moment où le communisme, "la voie du peuple" avait le vent en poupe en Europe, CCC en Belgique qui s'attiraient de la sympathie auprès du milieu ouvrier.
Ce terrorisme communiste était perçu, en bas, comme une revanche du front populaire contre le capitalisme. Aussi, utiliser des gens d'en bas pour effectuer des actions "horribles" contre la classe inférieure/moyenne (clientèle des Colruyt et Delhaize) permettrait, une fois ceux-ci confondus et leur collusion avec l'extrême droite prouvée établie de semer le trouble dans la population, discréditer extrême gauche et extrême droite. Après tout, on sait bien que le WNP était une verrue pourrie du front de la jeunesse.
Soit je deviens fou, soit je commence à comprendre |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Sam 23 Mar 2013 - 0:16 | |
| Je n'ai pas dit qu'ils avaient été. L'effet de meute que vous évoquez s'explique par la personnalité d'un chef sortant de l'ordinaire. Tel est bien le cas de PDS. PDS n'était pas seul. Ainsi, il a été vu à Alost en compagnie d'Alain Moussa dont le cas relevait de la psychiatrie. Même pour l'auberge des trois canards tenancière de bistrot l'a reconnu un peu avant les faits se rétracter ensuite en raison de très probablement pressions susceptibles de porter atteinte à son intégrité physique. Il est donc question de la première vague. Que les Becker aient contribué à l'entreprise criminelle est plus que probable. À suivre votre raisonnement, on passe alors de la thèse du banditisme à celui des marionnettes manipulées dans le cadre d'une vaste conspiration. Le pas est trop vite franchi. Je pense que vous penchez pour cette thèse à la suite des déclarations PDS selon lesquelles tout a été programmé « par les forces du royaume », manière bien commode de se dédouaner de ses propres responsabilités de délinquants d'habitude, multirécidiviste, présentant de nombreuses caractéristiques communes avec le clan Becker du même tonneau. |
| | | perplexe
Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Sam 23 Mar 2013 - 0:19 | |
| Exact, je me suis emballé, moi-même influencé.
Ils auraient alors été les seuls instigateurs de ce bain de sang ? C'est des fous dangereux alors ... |
| | | FAITESVITE
Nombre de messages : 987 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Sam 23 Mar 2013 - 0:19 | |
| L'effet de groupe est toujours dévastateur en ce qui concerne les passages à l'acte et entraîne des ignominies, même pour des personnes qui peuvent être de 'bon gars' individuellement parlant. Je pense qu'il faut oublier l'argument type 'ok c'est pas un enfant de coeur, mais tuer des gamins...', parce que cette phrase marchera de toute façon avec n importe quel suspect, et ils ont quand même bien abattu un gosse! Je ne parle pas spécifiquement pour PDS, mais on nous l'a fait pour Hammers, pour PDS, pour MD... n’empêche que pour la tuerie d'Auriol (crime politique) on a aussi abattu des gosses et celui qui a fait çà était pourtant un instituteur même pas gros bras à la base (juste politisé)...l'effet de groupe encore |
| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Réflexions sur la prescription Sam 23 Mar 2013 - 5:15 | |
| - Kranz a écrit:
- dislairelucien a écrit:
…Philippe De Staercke qui vit, lui, avec cette fausse réputation de tueur depuis... juin 1987, aura perdu des années de vie. Vous embaucheriez, vous, un ex-taulard officiellement inculpé dans les tueries?
Pour pouvoir l'embaucher il faudrait d'abord qu'il ait le désir de faire un travail honnête ce qui relève de la pure utopie. Ne racontez pas n'importe quoi en plaignant cette "pauvre victime", l'injustice c'est aussi un tas de méfaits pour lesquels il n'a jamais été condamné faute de preuves suffisantes.
Relisez bien mon texte: ce n'est pas moi qui établi ce raisonnement, c'est un journaliste . Moi je rapporte, c'est tout. Voir message suivant. |
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