empreintes

Au sujet des empreintes éventuelles laissées par la bande, certaines auraient été retrouvées à Maubeuge.

Des empreintes ont été retrouvées à Beersel (Auberge) sur des sacs en plastique probablement manipulés par les tueurs. Ces empreintes ont été considérées comme inexploitables (seulement 5 points de comparaison alors qu'il en faut 10).

Plus étonnant, sur la SAAB utilisée à Nivelles, les tueurs avaient placés des bandes autocollantes à certains endroits (autour de fils électriques). Les empreintes étaient nettes et auraient dû faire l'objet d'analyses. malheureusement, ces empreintes ont été "égarées"...

Hallucinant là...

Des empreintes oubliées sur des adhésifs, ca a déjà été le truc qui a débloqué des affaires (meurtre du juge Pierre Michel, attentats de l'été 95 en France avec Khaled Kelkal).

michel a écrit:

Les empreintes étaient nettes et auraient dû faire l'objet d'analyses. malheureusement, ces empreintes ont été "égarées"...

Comme par hasard c'est ce qui est arrivé avec tous les indices vraiment exploitables, alors qui a encore confiance dans cette enquête qui ressemble bien plus à une mise au placard ?

Il ressort d’un PV de la CBW que toutes les empreintes exploitables figurant dans le dossier du Brabant wallon,
dans le dossier Mendez et dans le dossier du meurtre de la Pastorale ont été comparées, mais sans aucun résultat
positif.

rien d'autre pour les Empreintes exploitables ?
pas de comparaison a un fichier national ?
pas de comparaison avec les empreintes de suspects ?

puisque l'on nous parle maintenant d'une bande Française, y'a t il eu demande de collaboration avec la justice Française pour qu'une comparaison avec leur fichier national ?


je sais que cela fait beaucoup de question mais savoir qu'il y ai des empreintes exploitables et qu'on ait pas de résultat me trouble.

Il en résulte et c'est une de mes hypothèses que si il y avait des empreintes, les TBW n'étaient pas cons et savaient que l'ont ne trouveraient rien avec les empreintes pour la bonne et simple raison, sans doute, que les TBW n'étaient pas fichés ni de casier !!!

Au sujet des empreintes digitales, cet article ancien de la DH :

Trahis par leurs... doigts! (12/06/2002)

En 2001,1.400 criminels ont été confondus grâce aux empreintes digitales

BRUXELLES Nous sommes 369.847 - en Belgique - dont le SIJ -Service d'identification judiciaire - stocke l'empreinte des dix doigts. En 2001, le service a traité 8.500 affaires... et en a résolu 1.400.
Pour l'instant, treize opérateurs manipulent ces données. C'est le seul service policier belge où chaque opérateur élucide cent affaires en moyenne par an. Avec 1,5 million d'euros d'investissements annuels, l'équipement est ultra-performant. On lui ajoute cette année encore une extension de mémoire, une ligne compatible avec les serveurs d'Interpol, plusieurs live-scan et des stations de transmission qui permettront aux services de police de s'adresser au système 24 h sur 24 de partout dans le pays avec une réponse assurée dans les dix minutes, un temps record.
Le problème, comme toujours, c'est le personnel! A peine 160 pour tous les labos de police scientifique dans le pays et tout juste treize opérateurs au SIJ à Bruxelles. Valère De Cloet, leur chef: `Du coup, les prélevés d'empreintes ne se font plus en Belgique que dans moins de 10% des cambriolages alors qu'il suffirait d'un personnel supplémentaire assez réduit pour récolter et traiter infiniment plus de données - et donc identifier beaucoup plus de suspects - de cambriolages, de car-jackings, de home-jackings, etc.: tout ce qui contribue au sentiment d'insécurité.´ Leur espoir (qui n'est encore qu'une promesse): les labos pourraient recevoir le renfort de 46 ex-militaires...
Pour la Belgique, le SIJ gère deux banques d'empreintes digitales: le `déca´ - avec 369.847 fiches de dix doigts chacune - et le `mono´ - qui stocke les traces latentes, à ce jour 88.200 empreintes incomplètes (de doigts mais aussi de... paumes de la main!) trouvées parfois depuis des années sur les lieux d'un crime.
Prenons les tueries du Brabant: plusieurs traces jamais identifiées sont toujours stockées ici; le système les compare en permanence et automatiquement aux autres traces latentes et aux 369.847 fiches déca-dactylaires stockées dans le système. Demain peut-être, ce système - appelé Afis 2000 - peut cracher le nom d'un tueur du Brabant.
De la même façon, le système repère les délinquants opérant sous fausse(s) identité(s) - 3.000 l'an passé - et les récidivistes - 17.000!
La procédure est d'abord anonyme. Chaque empreinte possède en effet son propre code-barres par le biais duquel se fait l'identification du suspect...

Gilbert Dupont
© La Dernière Heure 2002

et l analyse adn ils l ont deja fait sur les suspects le sang du geant est a+ ou O+ je l ai lus dans une biographie grace a la trenspiration dans le bonnet de chasse et ils meme retrouver un cheveux synthetique donc peruque et aussi des traces de maquillage

Bizarre de determiner un groupe sanguin avec de la transpiration, j'ai du mal à y croire. Si c'est vrai, il me semble qu'ils ont 2 chapeaux du géant je serait curieux de savoir si les deux donnent le même résultat, d'autant que c'est loin d'être le groupe sanguin le plus courrant...on saurait enfin si le geant à toujours était le même (du moins c'est 2 fois la, c'est un début).

Par contre la transpi çà contient pas de l'adn? Ce serait encore plus fiable!

Enfin dernier point, si certains connaissent les groupes sanguins de certains suspects (surtout geant) çà pourrait déjà nous faire un sacré ménage...mais bon le groupe sanguin c'est pas le truc dont on parle à l'apéro, c'est pas gagné...mais j'aimerai bien savoir si Tournamianz est (était??) O+ par exemple.

Pour info. Intéressant dans la mesure où il existerait dans le dossier l'une ou l'autre empreinte :

Les "experts" font des bonds en matière d’identification
An.H.

Mis en ligne le 07/05/2011

En 2010, la police technique et scientifique a identifié 1 709 empreintes prélevées sur les lieux des crimes. Contre 998 en 2009.
Sur les lieux de crimes et de délits, on les reconnaît facilement à leurs combinaisons blanches et à leurs souliers recouverts de chaussons : les membres de la police technique et scientifique sont envoyés au plus tôt sur place pour récolter le plus possible de traces exploitables pour élucider une agression, un meurtre, un hold-up, un vol

En 2010, les limiers techniques et scientifiques de la police fédérale sont ainsi parvenus à identifier 1 709 empreintes. Des résultats spectaculaires, se félicite-t-on à la police fédérale, dans la mesure où ils constituent une augmentation de 71 % par rapport aux 998 identifications réalisées en 2009.

L’acquisition, en 2010, du système Apfis (pour Automated Palm and Fingerprint Identification System), plus performant, a largement contribué à ce bond en avant. Ce système permet de comparer les empreintes digitales et palmaires (de la paume de la main) d’un suspect prises lors d’une interpellation avec les traces prélevées sur les lieux. La ministre de l’Intérieur, Annemie Turtelboom (Open VLD) et son collègue de la Justice, Stefaan De Clerck (CD&V), tous deux démissionnaires, ont pu assister jeudi à une démonstration du système Apfis dans les locaux du Service d’identification judiciaire (SIJ).

Exemple présenté : une personne arrêtée pour vol de voiture. Au commissariat, les policiers prélèvent des empreintes de ses doigts et de ses paumes, soit sur une fiche à l’encre (qui est ensuite numérisée), soit via un "livescan", un appareil qui permet de prendre les empreintes de manière numérique et d’envoyer directement une fiche dactyloscopique dans la banque de données du Service d’identification judiciaire.

Dans un premier temps, le système compare ces empreintes avec toutes les informations déjà présentes dans la banque de données. Si le suspect est déjà fiché, le policier obtient immédiatement les informations concernant ses antécédents.

Dans un deuxième temps, le système compare cette même fiche avec toutes les traces contenues dans la banque de données et qui ne sont pas identifiées à ce jour. Après une vérification menée par deux experts, bingo : il s’avère que les empreintes du voleur de voiture correspondent à des traces retrouvées sur les lieux d’un cambriolage commis deux ans plus tôt et toujours pas élucidé jusqu’ici. L’information a été transmise au service de police chargé de l’enquête.

En 2010, 23 % des identifications de traces se sont faites sur la base d’empreintes palmaires, pour seulement 2 % en 2009. Le nombre de fiches dactyloscopiques insérées dans le système Apfis augmente chaque année, grâce à l’utilisation plus répandue du "livescan" par les polices locales. On en comptait 720 000 personnes dans le système Apfis en 2010, contre 643 000 un an plus tôt.

Source : La Libre Belgique

http://www.bbc.co.uk/news/world-asia-pacific-13665935

K a écrit:

http://www.bbc.co.uk/news/world-asia-pacific-13665935

A essayer sur les armes de Ronquières, mais on les a probablement bien nettoyées pour les empêcher de rouiller...

K a écrit:

http://www.bbc.co.uk/news/world-asia-pacific-13665935

A essayer sur les armes de Ronquières, mais on les a probablement bien nettoyées pour les empêcher de rouiller...

Comment se passe la recherche sur les empreintes digitales?
Est-ce le labo qui descend sur les lieux ou bien les sevices policiers qui apportent les objets au labo

michel a écrit:

Au sujet des empreintes digitales, cet article ancien de la DH :

Trahis par leurs... doigts! (12/06/2002)

En 2001,1.400 criminels ont été confondus grâce aux empreintes digitales

BRUXELLES Nous sommes 369.847 - en Belgique - dont le SIJ -Service d'identification judiciaire - stocke l'empreinte des dix doigts. En 2001, le service a traité 8.500 affaires... et en a résolu 1.400.
Pour l'instant, treize opérateurs manipulent ces données. C'est le seul service policier belge où chaque opérateur élucide cent affaires en moyenne par an. Avec 1,5 million d'euros d'investissements annuels, l'équipement est ultra-performant. On lui ajoute cette année encore une extension de mémoire, une ligne compatible avec les serveurs d'Interpol, plusieurs live-scan et des stations de transmission qui permettront aux services de police de s'adresser au système 24 h sur 24 de partout dans le pays avec une réponse assurée dans les dix minutes, un temps record.
Le problème, comme toujours, c'est le personnel! A peine 160 pour tous les labos de police scientifique dans le pays et tout juste treize opérateurs au SIJ à Bruxelles. Valère De Cloet, leur chef: `Du coup, les prélevés d'empreintes ne se font plus en Belgique que dans moins de 10% des cambriolages alors qu'il suffirait d'un personnel supplémentaire assez réduit pour récolter et traiter infiniment plus de données - et donc identifier beaucoup plus de suspects - de cambriolages, de car-jackings, de home-jackings, etc.: tout ce qui contribue au sentiment d'insécurité.´ Leur espoir (qui n'est encore qu'une promesse): les labos pourraient recevoir le renfort de 46 ex-militaires...
Pour la Belgique, le SIJ gère deux banques d'empreintes digitales: le `déca´ - avec 369.847 fiches de dix doigts chacune - et le `mono´ - qui stocke les traces latentes, à ce jour 88.200 empreintes incomplètes (de doigts mais aussi de... paumes de la main!) trouvées parfois depuis des années sur les lieux d'un crime.
Prenons les tueries du Brabant: plusieurs traces jamais identifiées sont toujours stockées ici; le système les compare en permanence et automatiquement aux autres traces latentes et aux 369.847 fiches déca-dactylaires stockées dans le système. Demain peut-être, ce système - appelé Afis 2000 - peut cracher le nom d'un tueur du Brabant.
De la même façon, le système repère les délinquants opérant sous fausse(s) identité(s) - 3.000 l'an passé - et les récidivistes - 17.000!
La procédure est d'abord anonyme. Chaque empreinte possède en effet son propre code-barres par le biais duquel se fait l'identification du suspect...

Gilbert Dupont
© La Dernière Heure 2002

Autrement dit, toutes les polices d'Europe (via Interpol) disposent des empreintes depuis trente ans.
Cet élément n'a donné aucun résultat, ce qui laisse à penser qu'il faut chercher là ou n'a pas cherché.
Dans certains milieux évoqués par ailleurs.

C'est une évidence depuis longtemps. Les auteurs ne pouvaient pas faire partie du milieu criminel ordinaire et connu de la justice. Pas d'empreintes connues...