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 la DH, 8/9/2006

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michel
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Date d'inscription : 16/11/2005

la DH, 8/9/2006 Empty
MessageSujet: la DH, 8/9/2006   la DH, 8/9/2006 EmptyVen 8 Sep 2006 - 10:17

Certains y verront peut-être un lien avec les tueries :

http://www.dhnet.be/breaking_news.phtml?id=161468&source=afp&status=3

Des militaires néonazis voulaient déstabiliser la Belgique par des attentats (08/09/2006 09:12)


BRUXELLES (AFP)

Les autorités belges ont annoncé jeudi le démantèlement d'un réseau néonazi au sein de l'armée qui envisageait, selon elles, des actions terroristes pour déstabiliser les institutions démocratiques du royaume.
Le principal suspect, identifié par les initiale B.T., est un militaire en fonction au Régiment Libération de Léopoldsburg, dans la province du Limbourg (nord-est).
Il est le fondateur et le "principal pivot" d'un groupement néonazi baptisé BBET (Bloed-Bodem-Eer-Trouw ; Sang-Terre-Gloire-Honneur), qui recrutait notamment au sein de l'armée.
L'homme organisait également des exercices paramilitaires, des week-ends de survie et des exercices de tirs, qui étaient pour certains organisés sur des terrains de l'armée à l'insu des autorités militaires, selon le parquet fédéral.
De plus, le principal suspect développait des contacts internationaux, notamment avec le groupe d'extrême droite néerlandais "De Nationale Alliantie".
L'enquête a permis de "démontrer qu'il "avait l'intention de mettre ses idées terroristes en pratique", selon le communiqué.
"On n'a pas trouvé d'indices pour un attentat spécifique", ajoute cependant le parquet fédéral.
Environ 150 policiers fédéraux ont perquisitionné dans la journée cinq casernes en Flandre (nord) et à Bruxelles et 18 adresses privées en Flandre et procédé à l'interpellation en tout de 17 personnes et à la saisie d'armes et d'explosifs.
Les personnes interpellées, qui seront présentées dans les prochaines heures au juge d'instruction anti-terroriste de Termonde (centre) Patrick Van Cauteren, sont "principalement des militaires et des personnes ayant une idéologie d'extrême droite qui, pour certains, s'exprime clairement par le racisme, la xénophobie, le négationnisme, l'antisémitisme et le néonazisme", selon un communiqué du parquet fédéral.
Le juge d'instruction dispose de 24 heures pour décider de les placer ou non en détention provisoire.
Lors des perquisitions, la police a saisi dans une habitation privée une bombe artisanale dissimulée dans un sac à dos et "assez forte pour faire exploser une voiture", ainsi que diverses armes à feu, des détonateurs de mines terrestres, une "grande quantité" de munitions, de la propagande néonazie et des explosifs, selon la même source.
L'arsenal découvert comprenait également des gilets pare-balles, des masques à gaz et des stupéfiants.
Dans un communiqué, le ministre de la Justice, Laurette Onkelinx, et le ministre de la Défense, André Flahaut, ont salué le "démantèlement d'un groupement néo-nazi au sein de l'armée se livrant notamment à un trafic d'armes et à de la propagande raciste, xénophobe, antisémite et négationniste".
Le ministre de la Défense a insisté sur le "rôle moteur" du service de renseignement militaire (SGRS) dans cette affaire.
"La découverte de quelques +pommes pourries+ ne doit pas avoir pour effet de jeter l'opprobre sur l'ensemble des forces armées et sur le travail remarquable des militaires ici en Belgique et en opération à l'extérieur", a-t-il estimé.
De 1982 à 1985, une bande criminelle, les "Tueurs du Brabant", avait commis de nombreuses agressions en Belgique, dont des hold-up de supermarchés, abattant 28 personnes, dont des enfants.
A l'époque, les enquêteurs avaient envisagé la piste d'une possible tentative de déstabilisation du pays par des militaires ou des gendarmes proches de l'extrême droite. Comme toutes les autres, cette hypothèse avait cependant débouché sur une impasse, l'identité des tueurs étant jusqu'ici toujours inconnue des autorités
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"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)
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la DH, 8/9/2006
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