Ciolini, Elio (Bande Haemers, Loge P2 en Italie)

http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2008/07/12/arrestato-finto-generale-della-nato-denuncio-falso.html

Arrestato finto generale della Nato denunciò falso attentato a Berlusconi

12 luglio 2008 — pagina 5 sezione: ROMA

NEL 2001 aveva rivelato l'esistenza di un fantomatico piano che prevedeva un attentato a Silvio Berlusconi. Ieri mattina, Elio Ciolini, 61 anni, un passato tra servizi deviati e grandi depistaggi, è finito in carcere perché fingendosi generale della Nato, nonché presidente di una associazione antiracket fantasma, era riuscito a ottenere finanziamenti e aprire un conto corrente in una banca della capitale. L'arresto, dopo una perquisizione disposta dalla Procura, è avvenuto nella sede della finta associazione onlus, dove l'uomo è stato trovato in possesso di documenti falsi, in particolare di un passaporto e un sigillo di stato della Nuova Guinea, di una tessera di riconoscimento con i distintivi dell'Unione Europea e della Repubblica Italiana. Il finto ufficiale millantava conoscenze altolocate negli ambienti delle forze dell'ordine e delle forze armate. Sono in corso indagini al fine di accertare l'eventuale commissione da parte sua di reati più gravi utilizzando le finte referenze e lo scopo benefico della sua associazione. E' stato sequestrato dai carabinieri anche l'appartamento indicato come sede della falsa onlus. Elio Ciolini, che nel 2001 aveva segnalato il progetto dell'attentato a Berlusconi, nel 2005 era stato coinvolto anche nell'inchiesta sulla polizia parallela Dssa dalla quale si era staccato formando un'altra associazione, "Corpo politico Civiltà cristiana" che nel proprio statuto si definiva un partito che si proponeva di "porre uno stop a quella sinistra forcaiola che sempre vilipendia il governo". Il "partito" di Ciolini millantava anche di poter assicurare i voti degli italiani all'estero per Forza Italia. Ciolini è stato spesso al centro di vicende oscure. Il più clamoroso "depistaggio" è stato quello delle indagini sulla strage alla stazione di Bologna. Nel 1982, quando era detenuto per truffa nel carcere svizzero di Champ Dollon, Ciolini riferì al giudice bolognese Aldo Gentile che la strage era stata commissionata dalla fantomatica Loggia massonica "Montecarlo", emanazione della P2, ai "neri" di Stefano Delle Chiaie. Per questo depistaggio Ciolini è stato processato e condannato a nove anni di carcere (quattro condonati) per calunnia. In una intervista rilasciata durante la latitanza aveva parlato di una sua appartenenza ad un "servizio per la lotta al comunismo che fa capo alla Nato". Nel 1992 Ciolini torna alla carica lanciando un allarme per un presunto "golpe" che fu raccolto dal Viminale e tradotto in una circolare ai prefetti che aveva creato polemiche.

(SECONDA EDIZIONE) - MARINO BISSO

J'arrive tard dans cette discussion mais j'ai quatre choses à vous dire:
1. Pour ma gloriole personnelle. Dupont n'a rien découvert. Il a repris le papier que j'avais réalisé pour La Lanterne quelques années plus tôt. A l'époque, tout cela paraissait le faire beaucoup rire...
2. Avec René Haquin, j'avais rencontré un proche de Smars aux Cerisiers. Pendant à peu près une nuit, cette personne nous avait tout raconté: Smars et la bande, Smars et Ciolini, l'argent que Smars (et lui seul) donnait à Ciolini pour l'organisation (à aucun moment il n'a parlé de P2), la grosse colère de Lacroix (qui soupçonnait Ciolini d'être un flic) et les montages financiers de la bande au travers de Belgopap.
3. Le sentiment surtout que notre confident crevait de trouille.
4. Haquin n'a jamais rien publié.

Peux être avez vous enregistré cette rencontre passionnante,ci ses le ca pourriez vous
nous la faire partager, ce serai un cadeau de fin d’année fabuleux.

Smars s'intéressait il à la politique avant l'arrivée de Ciolini ?

(il s'agit d'une traduction "Google")

http://antonella.beccaria.org/

http://www.lavocedellevoci.it/

L'AFFARE CIOLINI

PROFUMO DI CHANEL
PROFESSIONE DEPISTATORE
DI ANTONELLA BECCARIA

«Le parfum de Chanel," l'histoire de titres US 565 000 000 000 faux et les anciens noms qui émergent

7 juillet 2011

La voce delle voci - Luglio 2011 Elio Ciolini pas entendu parler depuis des années. Il a été 2005 et son nom était lié à l'extrême droite des contacts que les responsables italiens à Bruxelles avait essayé de trouver des fonds pour financer des activités n'est pas clairement défini. Mais son nom est associé à de nombreux autres événements, tels que trompeuses sur le massacre de la gare de Bologne le 2 août 1980 et la disparition de journalistes italiens Toni Italo et Graziella De Palo, a disparu de Beyrouth un mois plus tard. En plus de ce qui précède multi-cycles, entre le début des années nonante et la décennie suivante, de nouvelles attaques.

Mais maintenant de retour à faire parler de lui, car au printemps dernier a été inculpé par la cour de Rome pour avoir prétendument reçu des activités dont l'Italie, à Dubaï, en Malaisie, à Londres et en Suisse. Les hypothèses formulées par la poursuite de la criminalité dans la capitale - et étendu à sept autres personnes - il raconte l'histoire d'une conspiration criminelle qui aurait produit et vendu «au moins» 38 U. S. titres de créance du Trésor, la Charte internationale des échanges, dans le code, Iboe.

Parmi ces derniers, à la mi 2010, la police financière à Rome avait récupéré vingt "une valeur totale de 565 000 000 000 dollars américains."

Dans cet épisode, nous Ciolini finirait dans "les clients se procurer de l'organisation» et son rôle ne serait pas apicale. Plus important cependant d'autres fini dans le réseau d'enquêteurs romains. Parmi eux se trouve Victor Pascucci, qui est né il ya 73 ans à San Bartolomeo in Galdo (Bénévent) et vit à Rome, ce qui serait le «promoteur, éleveur et organisateur de l'association émettrice les directives nécessaires à la réalisation des objectifs et ensuite point de référence des associés. "

Si Pascucci sera Ciolini avec une procédure ordinaire en la matière ont déjà négocié les autres. Parmi eux, Nino Sobrero, 50 ans, l'Américain Jonathan Todd Clinard, 48 ans, Stephen Loy, 50 ans, Tiziana Scordo, 47 ans, Fabrizio Mori, 50 ans, et Roberto Biasizzo, 39. De diverses manières, ils sont ceux qui - ils ont reconstruit le système judiciaire et des flammes jaunes - donnerait de fausses sécurités, vendant les a traités dans les différents continents, faite par les arbitres pour le Moyen-Orient et les banques asiatiques et achetés pour les clients. En tout, sans l'autorisation du conseil de surveillance.

L'enquête a été créée fin 2008 et début de l'été 2010, une déclaration de l'unité de police spéciale de la monnaie de la police financière peut retracer le caractère de l'organisation à laquelle ils appartiennent pour la plupart des gens qui ont des antécédents d'infractions analogues. En plus de la Iboe 38 documentées dans l'enquête, il y a douze autres ont été saisis pour une valeur de 83,5 milliards de dollars. Près de deux ans d'investigations, a fait de l'écoute électronique, la surveillance, des contrôles aux frontières, les enquêtes internationales et des recherches, de reconstruire une image qui pourrait arriver à "intoxiquer" les marchés financiers bien au-delà ce qui est arrivé.

Pourquoi - est toujours lu dans les journaux de la magistrature - qui ont adhéré à ce projet était de donner beaucoup à faire pour entrer dans les bonnes grâces des plans financiers gros. Voyons ce que nous lisons dans la Octobre 2008 l'interception du médiateur Stephen Loy et Sobrero (Pascucci, qui avait confié la tâche de placer «le meilleur dans les établissements de premier plan," les actifs toxiques).


Loy: Alors j'ai dit (à la Ciolini, ndlr) pour nous car nous sommes concernés sont bons ... Ok?
Sobrero: oui oui oui.
Loy: J'ai dit que, vous faites vos tests dans le sens que vous avez à faire ... Alors j'ai dit voir si elles sont bonnes à ce moment qu'il a pris directement ... Je les prends tous les parfums (Alessandro Profumo, directeur général au moment du Groupe Unicredit, éd ) parce que si ton cul ...
Sobrero: Oh, bien sûr.
Loy: et il dit que si je vous apporte une bonne ... Nous sortons de la faveur, car je dois ... Maintenant je devrais les autres, si elles sont bonnes, et je lui ai dit de ne pas là ... Il est ... Il n'ya pas d'histoire dans le sens que que ce que nous voulons ... Pourquoi le cul parce que sinon pariamo manquer.
Sobrero: Oh ouais sûr ... (inaudible, ndlr) Unicredit permettrait de sauver le maximum.
Ciolini serait confiée à vérifier sur les valeurs mobilières ("ont ensuite confirmé ce que vous savez que j'ai déjà contacté [...], pour votre ami canadien, pour ainsi dire ...» dit-il à Stephen Loy dans une conversation interceptée à «Octobre 2008) et l'objectif est donc d'arriver à traiter directement avec les Bouquet, souvent appelé« Coco Chanel »à des appels téléphoniques entre les personnes impliquées. Il semble un fait accompli, mais pas tout se passe conformément au plan. Ils disent Sobrero et Loy Octobre 14, 2008:
Loy: Coco Chanel, comme vous l'appelez, est en peste désastreuse.
Sobrero: ah.
Loy, dans le sens où il a deux types de problèmes, qui est un Geronzi qui ne sait pas comment l'enlever la baise ...
Sobrero: ah, Geronzi, oui.
Loy: deux, le célèbre ... recapitalisation Luxembourg Fund SICAV faites sur le London Stock Exchange.
Sobrero: oui oui.
Loy: elle a été faite avec les titres de la «Bundes Reich".
Sobrero: et Madonna!
Loy: Eh bien, donné par celui qui se fait passer pour le fils de "Ales Elas" (...) ce qui apparaît maintenant sur ​​l'ensemble des journaux italiens se faire de la publicité et la presse (...) en essayant de comprendre où cela trouve une ischémie.
Sobrero: Je comprends.
Loy: ainsi il serait prêt à prendre deux (de Ibeo, éd.) Il nous donne un chiffre inférieur, nous donnerait un 15% ...

Victor, Fabrizio & Silvio

Si les pourparlers présumés avec UniCredit va sur et en dehors et en tout cas semble destiné à s'échouer à la fin Novembre 2008, d'autres grands noms qui sont faites pour donner plus de crédit de transaction. Fait Pascucci Loy appelé pour lui dire: «J'ai un rendez-vous avec un bouquet de lundi."

Loy: et pourquoi n'avez-vous pas vu aujourd'hui?
Pascucci: Non, je suis allé à Cicchitto (Fabricius, PDL, ndlr) aujourd'hui (...). Il a appelé en face de moi, pas parce que c'est dimanche matin et revenir à la conférence, vous comprenez?
Loy: ah, ah, ah, qu'est-ce que l'Fabricius bonne?
Pascucci, que si c'est ce que j'ai dit ... parce que je ne vois rien, non? (...). Je lui ai montré que la baisse des contrats (Dubaï, ndlr) (...). Il a dit que si ce que vous dites-vous qu'il soit déjà fait, parce que nous ne choisissez le banquier droite, mais il a aussi dit à Silvio.


Contactez réel? Auto-en supposant que, en plus de banques, en essayant de se frotter les uns aux autres? Pour déterminer ce sera le jugement, mais il semble qu'il y avait au moins quelques "ex" pour l'organisation d'aviron puissant. Comme Francesco FIDIO, 77, Catanzaro d'origine et d'adoption de Turin, le député de la sixième et la septième législature a été arrêté en 1993 pour corruption de Fréjus. Il serait, selon ce qui ressort de l'interception, comme l'a proposé d'avoir des contacts avec les Cicchitto, qui n'ont toutefois pas montré une sorte d'enthousiasme pour l'opération. "Cicchitto ne la sourde oreille, nous nous prenons soin», explique Décembre 5, 2008 à Pascucci FIDIO. Qui stipule: «Maintenant je vois la chose, all'Unicredit."

Mais il ya une autre vente importante - peut-être plus important - dans cette histoire: la tentative de vente de titres aux banques à Dubaï. Pour ce faire serait mis en place des coentreprises avec deux sociétés, l'arabe Al Rahba Investment Holding & Trust Company et la Kosmo Seraya Sdn Bhd de la Malaisie. Les bénéfices provenant de l'exploitation serait alors passé à travers les comptes de l'IOR (la banque du Vatican) à payer à une fondation, Ivec - in Veritate et caritate, géré par Mgr Francis Cuccarese, tandis qu'une partie du produit a été adressée à une autre religion, Monseigneur Bruno Guiotto. Lorsque le téléphone Pascucci a déclaré Loy de cette négociation, de contextualiser lui dit que «c'est toujours de l'autre côté du Tibre» qui doit regarder.

Mais alors il ya un problème. Le 21 Novembre, 2008 Pascucci, de retour de Dubaï, ont été arrêtés par la police à Fiumicino financière que le suspect est de 12 titres et un contrat pour la création de joint-ventures. Si elle ne semble pas particulièrement préoccupé par la saisie méandres, un peu "à la houle, il ya encore tellement de choses qu'il avait appelé pour s'enquérir Guiotto évêque de la situation et les autres ont encore du travail à faire pour« convenir d'un peu de "la ligne de conduite." Changer certains numéros de téléphone, travaillent à produire des matériaux qui ne doivent poursuivre les négociations et parer le coup avec «Les Américains qui ont peur, maintenant ils sont de plus agressifs, ils ont eu peur."

Face à un problème de liquidité, Ciolini est un "canal qui nous fait parvenir à la Banque d'Amérique", tandis que la situation semble aller plus vite avec une filiale de l'Cuneo Finanza & Futuro Banca de la Deutsche Bank, de sorte que le 15 juin 2010 La police financière a saisi des documents certifiant le dépôt d'ici un peu «en valeurs mobilières. A cette date, une chose est certaine pour les enquêteurs: non seulement les négociations continuent d'être, mais ils sont en commencer de nouveaux.

Ainsi, "sans scrupules opérations de toute structure évidente complètement sans garantie aux clients qui est sans doute attirés par des offres shopping pratique et rassuré par la fiabilité apparente et professionnalisme par les différents membres de l'organisation." Et le risque est de «déstabiliser le secteur de l'épargne publique." C'est, du moins, en fonction de ce que les enquêteurs ont reconstitué. Maintenant la balle est dans le processus.

Box - Profession détourner

Braccioni Ciolini hélium est décrit par l'arrestation la demande en Juillet 2010 signées par le procureur adjoint de Rome Stefano Fava et l'ajout Caperna Albert: «Né à Florence le 18 août 1946, et résident des données personnelles (...) à ses propres frais des preuves abondantes a été trouvé (...) et interrogés dans le Ciolini hélium (...) et que Bruno Raul Sanchez Rivera, né au Pérou le 18 août 1951. Arrêté à plusieurs reprises pour escroquerie et poursuivi pour crimes contre la personne, la fraude de faillite, l'émission de chèques sans provision et la violation de l'interdiction de voyager. "


Mais plus que tout - vous lisez plus loin - «Les Chroniques connue comme la" pagaille "dans l'enquête sur le massacre de la gare de Bologne et signalé le projet serait soumis à l'agression contre Berlusconi. Dans l'histoire (de faux titres du gouvernement américain, ndlr) se distingue comme «le général Brown", a déclaré officiers supérieurs auraient pu entretenir des relations avec haut niveau de renseignement américains et le monde arabe et les institutions militaires et civiles, en particulier pour les prêteurs. "

Si il y a un an, par conséquent, se vantait le grade de général dans l'Ciolini années quatre-vingt a été présenté au colonel (se faisant appeler le colonel Bastiani) de bande passante pour la Belgique Haemers Patrick, fourgonnettes spécialisé dans l'assaut au CIT. Ciolini-Bastiani, un dépouillement judiciaire des reconstructions différentes, il n'y avait infiltré dans la période dans laquelle la puissance de feu du groupe a grandi et a viré en un kidnapping célèbre. C'est, en 1989,

L'ancien Premier ministre socialiste Paul Vanden Boeynants pour qui la libération de la rançon a été payée par Israël (bien qu'il ait été soupçonné que ce pourrait être une autosequestro).

Décrite par le général Nino Lugaresi, qui a repris le dessus de la P2 Les tremblements de terre, après le scandale qui a impliqué son prédécesseur, Joseph Santovito comme un "exécuteur des ordres, et un autre homme lié à Gelli," en 1982 Ciolini parlé de l'attaque du 2 août deux ans avant il a fait 85 morts et plus de 200 blessés. Il était en prison, le Dollon Champ suisse et, comme ils avaient fait Licio Gelli, Francesco Pazienza et Santovito, a tenté de répondre aux enquêtes sur les "pistes internationales», qui comprenait la corruption Montedison, la Commission Trilatérale et le Monte Carlo loge, qui, selon ses déclarations qui a été le véritable instigateur du massacre de Bologne.

Tous les faux, des chercheurs établis, et le même libellé a été jugé ses déclarations sur le Palo cas Toni De. Les journalistes - dit - ont été faites à disparaître par ordre d'un homme politique italien vu lors d'un sommet au Liban pour la vente de lots d'armes. Calomnies et de fausses accusations aggravées qui bougeait Gianni De Michelis, alors ministre de participation de l'État, et Claudio Martelli.

Non content, Ciolini au début des années 90 revendiqué l'existence d'un projet de coup d'état orchestré en Italie par les maçons et Mafia en Yougoslavie. Et de nouveau en 2001 a parlé d'un complot visant à tuer le Premier ministre Silvio Berlusconi, ainsi que d'autres attaques à effectuer dans diverses villes italiennes.


(Cet article a été publié en Juillet édition 2011 du mensuel Voix des articles )

Autre élément intéressant : Fioranelli et Volker Flick (voir l'article ci-dessous) sont dans le monde du football. Fioranelli est à la FIFA et Volker Flick est à mon avis l'avocat qui s'occupe de l'AS Roma ... beaucoup de grosses sommes et de dessous de table ...

http://www.libero-news.it/news/656974/As-Roma--manette-per-l-agente-Fifa-Vinicio-Fioranelli.html

et

http://www.calciomio.fr/flick-aucun-interet-pour-la-roma_15694


Fioranelli / Volker Flick / Elio Ciolini

( ... )

Secondo gli inquirenti, inoltre, alcuni degli indagati erano in stretto rapporto con un'organizzazione transnazionale specializzata in truffe nei confronti di istituti di credito svizzeri e tedeschi.

Traduction :

Selon les enquêteurs, en outre, certains des suspects ont été en relation étroite avec une organisation transnationale qui se spécialise dans la fraude contre les banques en Suisse et en Allemagne.

Il serait très intéressant d'en savoir plus sur cette "organisation transnationale" et sur ce qu'elle finance ...

HERVE a écrit:

Je crois que Philippe Lacroix a dit n'avoir rencontré Ciolini que deux fois seulement. Il nie avoir prêté de l'argent à l' Italien qui se promenait avec un faux passeport français , il n'avait pas confiance en Ciolini et a aperçu un changement dans le comportement de son ami Smars. Pour aider ce dernier, il a donné 1,7 million de FB ( 40 000 Euro ) pour l'achat d'un café. Selon Lacroix, Smars était un garçon aimable et fiable mais est devenu un obsédé politique sous l'influence de Ciolini. Selon Lacroix, c'est le hasard qui a conduit Ciolini à louer un appartement chez la grand-mère de Smars.

Note : il est très possible (et même probable) que Philippe Lacroix ne soit au courant que d'une partie de la réalité ... j'ai du mal à croire au hasard pour le choix de l'appartement ... Elio Ciolini était sans doute déjà au courant de ce qui se passait dans l'extrême-droite belge, via Robert Wellens (ancien directeur des Presses universitaires de Bruxelles, lié au vol de la rue Haute - version belge du "casse de Nice) et peut-être via René Paulus du Châtelet (dont le rôle exact ne me semble pas clair mais dont la soeur a eu des postes très importants dans le monde judiciaire belge).

Toutes les informations sont bien entendu les bienvenues. Je persiste à croire qu'Elio Ciolini sait beaucoup de choses ... mais a l'habitude de mener les enquêteurs en bateau en mélangeant le vrai au faux ...

J'ai lu quelque part que Ciolini aurait voulu engager Smars dans des actions contre l'ETA. C'est bien possible vu le parcours de Ciolini et celui de Stefano Delle Chiaie qui était lié à des hommes qui participeront ensuite aux GAL, les escadrons de la mort anti-ETA, et avec le Belge Léon Degrelle. Il faudrait cependant retrouver les sources de cette information.

Ciolini + stefano Delle Chiaie = opération Condor (certain pour le dernier)= élimination de personnalités de gauche en particulier ceux qui nuisent aux dictacteurs sud américains. Ils ont tué au Chili, en Argentine, en Italie et ... en Suède? ou en Belgique? Financement par la DINA (chilienne) et d'autres officines des dictactures sud américaines. Ce sont donc des 'barbouzes' animés d'une même idéologie.
Mais je constate qu'ils n'hésitent pas à manipuler des groupes pour faire faire une partie du travail.
C'est Robert Wellens qui a introduit Ciolini en Belgique ? Quand? Pourquoi? D'où vient-il? Il faut l'interroger (Wellens) à ce propos. On peut le contacter via facebook. C'est un ami de Xavier Magnée. Sans doute a-t-il été en son temps son avocat? Si c'est bien le même mais je le crois à lire sa prose d'extrême-droite.
Je complète l'information en indiquant que René Paulus de chatelet est le fondateur de la société 'SIS Belgium' ou quelque chose comme cela , une boîte de sécurité qui a engagé en 85 notamment Philippe Lacroix. Le monde est petit. On trouve aux cotés de Paulus un certain Meunier qui n'est peut être qu'un homme de paille...

Dans son 2° bouquin la capitaine Barril évoque largement la "privatisation" de certains "services" qui, au travers d'anciens reconvertis dans le secteur privé, se chargent des très sales besognes.

http://www.scribd.com/doc/15109318/Rapport-VBDJ-Haemers-traduction-francaise

__________________

( page 44 )

INFO BSR BRUXELLES DU 24/04/1990 CIOLINI aurait une adresse de contact en ARGENTINE, province de BUENOS AIRES. Il s'agirait de sa demi-sœur, la nommée COHEN Marina, Fabienne, mariée à MARTING.
L'adresse se trouve dans le quartier MORON, téléphone 00-541-28.17.94.

__________________

( page 77 )

77/81

Années de plomb – Contacts d’information – Mise à jour 9/05/2009

CONTACTS INFORMELS AVEC Philippe LACROIX

28/03/1991

Affaire SMARS

Il semble également exact que LACROIX était en bagarre avec Thierry SMARS. Il aurait même été menacé de mort par Thierry. Cela se serait passé au café "LE CERISIER".

Il semble aussi que la relation était très mauvaise entre Thierry et son père. Thierry considérait son père comme un bon à rien. C'est aussi lui qui a payé tous les frais qui ont été engagés pour la maison de ses parents. A un point tel qu'il a même obligé ses parents à déménager vers l'étage supérieur.

D'après LACROIX, Thierry était très méfiant et ce n'est qu'un de ses très bons amis qui pouvait l'approcher pour le tuer. LACROIX confirme que la relation entre Thierry et Patrick HAEMERS était très mauvaise.

Le comportement de Thierry a commencé là changer vers juillet 1985, quand il a fait la connaissance de CIOLINI. Celui-ci aurait fait partie d'un groupement d'extrême-droite, qui avait des projets à la frontière franco-espagnole. CIOLINI était le fondateur d'une agence de détectives S.I.S. Smars voulait lui aussi travailler dans cette branche et donna 1.200.000 FB à CIOLINI, argent qu'il emprunta à LACROIX. Ce montant fut versé via une banque à SLUIS (très probablement) sur le compte de S.I.S.

Thierry SMARS aurait eu un compte dans cette banque.

Des agences de S.I.S existeraient également en FRANCE, en SUISSE et en ITALIE.

LACROIX n'exclut pas du tout la possibilité que SMARS et CIOLINI se soient adonnés à des activités de rackettage sur des personnes haut placées.

Après le décès de Thierry SMARS, LACROIX est allé chercher les factures de téléphone de CIOLINI chez la grand-mère de SMARS (chez qui CIOLINI habitait). Il a appelé tous les numéros pour voir chez qui il aboutissait.

D'après LACROIX il n'est pas possible de localiser LACROIX, parce qu'il n'entretien que peu
de contacts avec son fils.

LACROIX pense que CIOLINI n'était pas un escroc, mais qu'il travaillait en fait pour les services secrets français.


___________________

Selon X58, CIOLINI et SMARS partageaient quelques perversités sexuelles.

X58 affirme que tant MATHIEUX Caroline que GRANJA Sylvie commetaient des bestialités avec des chiens contre rétribution de CIOLINI (et SMARS).

Source: http://www.scribd.com/doc/15109318/Rapport-VBDJ-Haemers-traduction-francaise

SMARS était un très jeune père de famille à ce moment-là. Peut-être était-il corrompu par CIOLINI?

Je ne sais pas qui est X58 et s'il faut le (la) croire. Il faut en tout cas en savoir beaucoup plus sur Ciolini.

En janvier 2011, la justice a émis des mandats d'arrêt contre l'agent de la FIFA Vinicio Fioranelli et l'entrepreneur allemand Volker Flick (qui semble être l'avocat du club de football de Rome), tous deux vivant en Suisse. Le juge d'instruction Donatella Peacock a également émis une ordonnance de garde contre Elio Ciolini Baccioni, "opérateur financier résidant en Suisse".

Si j'ai bien compris, il s'agit d'un délit d'initié pour profiter d'un changement du cours de bourse de l'AS Roma.

On cite aussi : Victor Pascucci, Alessio Puissant Gonzalez et Alvaro Robelo sous le coup d'une enquête pour délit d'initié, mais pouvant impliquer du blanchiment d'argent.

C'est dans ce cadre qu'on a arrêté Elio Ciolini Baccioni. Plus précisément, on parle d'une demande d'arrestation datée de juillet 2010 et signée par le procureur adjoint de Rome Stefano Fava .

Un élément intéressant est que cela est une enquête de la "Garda di Finanza" dont la hiérarchie est impliquée fortement dans l'affaire de la loge P4.

Il faudrait faire l'effort de traduire correctement et de creuser l'article suivant :

http://antonella.beccaria.org/2011/07/07/profumo-di-chanel-storia-di-565-miliardi-di-titoli-usa-falsi-e-di-vecchi-nomi-che-riemergono/

Je ne suis malheureusement pas assez versé dans la finance pour saisir l'ampleur de la fraude ... je suis cependant étonné de l'importance des montants. A qui (ou à quoi) cet argent était-il destiné ?

Le nom d'Elio Ciolini apparaît depuis les années 1970 et son trajet est à la fois dans les milieux d'extrême-droite et dans l'escroquerie à grande échelle. Devrait-on conclure qu'il se chargeait du financement d'une "organisation" internationale d'extrême-droite ? Est-ce pour cela qu'il a reçu de l'argent de la bande Haemers et qu'il monte des escroqueries à répétition ? Tout en brouillant les pistes ...

Pas étonnant qu'il ait été "introduit" en Belgique pas Wellens ...

A noter aussi qu'il a créé une société avec le frère de Véronique Paulus de Châtelet.

On touche là un sujet sensible : a-t-il été abusé par Ciolini ou pas ?

Véronique Paulus de Châtelet, née le 16 décembre 1948 à Ixelles est une femme magistrate et gouverneure.

Elle est diplômée docteur en droit de l'ULB en 1972 et débute comme avocate.

De 1981 à 1989, elle fut juge au Tribunal de Première instance à Bruxelles. En 1982, elle est nommée juge d'instruction. En 1989, elle est nommée Présidente du Tribunal de Première instance de Nivelles. De 1994 à 1998, elle préside le Comité R, qui contrôle la coordination et l'efficacité des services de renseignements et vérifie que ces services ne violent pas les droits que la Constitution et les lois confèrent aux particuliers.

En 1998, le Roi la nomme Gouverneur de l'arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale, fonction qu'elle assumera jusqu'en 2008.

x58 = e.h. = le frère de pat.?

Citation :

x58 = e.h. = le frère de pat.?

Pour ma part, je le crois.

[quote="aurore"]

Citation :

x58 = e.h. = le frère de pat.?

Pour ma part, je le crois.[/quote
Comme X18 aurait été Achille Haemers le propre père.
Ces X étaient trop bien renseigné pour ne pas être des proches.

Parmi les personnes arrêtées avec Elio Ciolini se trouve un certain Jonathan Todd Clinard.

J'ai fait une recherche sur internet à son sujet.

http://www.moneyhouse.ch/fr/p/Jonathan+Todd-Clinard

Sauf erreur, il a travaillé pour :

Kelvin Finanz AG

Revalor Europe AG

Quelques détails supplémentaires :

Kelvin Finanz AG
St. Leonhard-Strasse 22
9000 St. Gallen

Inscription au Registre du commerce:
23/06/1977
Siège social:
Saint-Gall (SG)

CH-020.3.900.634-5
Registre du commerce:
Canton de St-Gall

Objet

Les conseils de tiers concernant les investissements, les assurances, le financement des projets et des investissements dans des projets d'infrastructure, de courtage d'assurance, de crédit et autres produits financiers et la fourniture de services de fiduciaire. La Société peut établir des succursales à l'étranger pour participer à d'autres entreprises ou fusionner avec eux et la terre d'acquérir, de détenir et de vendre.


Revalor Europe AG
Oberneuhofstrasse 6
6341 Baar

Aperçu général
Inscription au Registre du commerce:
06/02/2006
Siège social:
Baar (ZG)

CH-170.3.029.128-6
Registre du commerce:
Canton de Zoug

Objet

Construction, acquisition, vente, gestion et financement des investissements dans des sociétés dans le domaine du traitement des déchets et l'élimination et la génération d'énergie, peuvent établir des filiales et des terrains d'acquérir, de détenir et de vendre

_ _ _


Dans les circonstances actuelles et même si on parle de la Suisse et pas directement de l'Italie, une précision comme "traitement des déchets et élimination" retient toujours mon attention.

Ce qui me semble assez remarquable, c'est la discrétion de la justice pendant de nombreux mois...

essaie de faire une recherche sur google sur Jac.Fostr. fils de diamantaire de bruxelles
aussi connu ds cet environnement (Zey&C°)
on en trouve plusiueres dont 1 qui fait des réclamations qu'on l'expulse de une centaines de mètres de ses 6 plages achetées en 1980 en.....Costa Rica

lien ? aucune idee?

Le Costa Rica me fait en effet penser à certaines personnes déjà citées sur ce site ... et par ailleurs en lien avec André Cools (qui était aussi dans la finance et les assurances), assassiné il y a 20 ans.

Je voulais cependant ajouter un autre article qui décrit un peu la complexité du circuit frauduleux impliquant notamment Elio Ciolini et l'américain Jonathan Todd Clinard (ainsi qu'un dénommé Vittore Pascussi). Une association extrême-droite / réseaux mafieux ? Pour financer quoi ?


Bomba T-bond falsi in banca

La Procura di Roma sequestra 565 miliardi di dollari in obbligazioni contraffatte. Ma nelle casse degli istituti ce ne sarebbero altrettanti. E 18 miliardi potrebbero essere finiti nel circuito legale

UN'ORGANIZZAZIONE INTERNAZIONALE CERCAVA Dl DEPOSITARLI IN BANCA E P0I SCONTARLI

Un'indagine della Procura di Roma scova e sequestra 565 mld di dollari di titoli contraffatti. Ma nei forzieri degli istituti potrebbero essercene altrettanti.

E stavano perfino per essere utilizzati per comprare la Roma

DI ANDREA BASSI

La domanda qualcuno se l'era posta oltre un anno e mezzo fa, quando alla frontiera con la Svizzera furono fermati due cittadini giapponesi con una valigia carica di bond americani falsi. Quanti sono i titoli Usa contraffatti in giro e a che cosa servono? Allora le Fiamme Gialle misero le mani su 134 miliardi di dollari in Treasury falsi, anche se per stabilirne l'autenticità fu necessario attendere gli emissari della Fed e dei servizi segreti Usa. La storia si era ripetuta solo qualche mese dopo, quando a Malpensa furono fermati due filippini con una valigia piena di T bond contraffatti. I finanzieri ne trovarono per ben 180 miliardi di dollari. Cifre esorbitanti, ma che sono una frazione di quanto scovato e sequestrato dalle Fiamme Gialle a seguito di una lunga inchiesta condotta dal sostituto procuratore del Tribunale di Roma, Stefano Fava.

La trama assomiglia a quella di una spy story che coinvolge Vaticano, Ior, Banca Mondiale e tutti i principali istituti di credito mondiali, con viaggi tra Dubai e la Malesia; e non è escluso che sul caso possa accendere un faro anche la Banca d'Italia. Il dato certo, però, è il sequestro di 20 falsi International Bill of Exchange (Iboe), titoli di credito del Tesoro statunitensi, per un valore complessivo di 565 miliardi di dollari. Il dato più allarmante, tuttavia, è che mancano all'appello altri 18 di questi titoli che, presumibilmente, sono finiti nel circuito finanziario legale. E l'importo di quelli finiti nei caveau delle banche potrebbe non essere lontano da quello dei titoli sequestrati. A mettere in allerta le autorità italiane sulla truffa erano stati gli stessi servizi segreti statunitensi, spiegando che gli unici titoli cartacei emessi dal governo americano sono i saving bond. Tutti gli altri sono elettronici. Il dipartimento del Tesoro, poi, aveva anche fatto sapere di conoscere i titoli oggetto dell'inchiesta, perché un'indagine simile era in corso anche negli Stati Uniti. Il capo dell'organizzazione, secondo le accuse della Procura, sarebbe Vittore Pascucci, che già in passato, stando agli atti, avrebbe subito accuse per associazione mafiosa, riciclaggio, esercizio illecito dell'attività finanziaria e introduzione di moneta falsa. A fornire i titoli contraffatti, invece, sarebbe stato un cittadino americano, Jonathan Todd Clinard. Durante una perquisizione effettuata presso un altro indagato, Ivo Sobrero, la Guardia di Finanza ha sequestrato l'originale di una due diligence di Clinard, con la quale dinanzi a un notaio inglese si attesta l'autenticità dei 38 Iboe. Non solo. È stato sequestrato un appunto dove accanto a ogni titolo è indicata genericamente la banca o il Paese nel quale il titolo contraffatto è stato depositato o negoziato (si legge, per esempio, Operazione Lamine, Dubai, Banca Nicaragua, Said, Malesia, Heisse, Banca dell'Est, Umbra Domini, Roma, Monaco). Insomma, una parte dei titoli sarebbe stata immessa con successo nel circuito legale. In che modo? Il modus operandi della banda era abbastanza semplice. Innanzitutto trovare un istituto depositario dove aprire un conto titoli sul quale far transitare gli Iboe contraffatti. Un'operazione non proprio semplice, considerando che il taglio dei bond era sempre nell'ordine delle centinaia di milioni di dollari. Il secondo passaggio era quello di scontare il titolo presso un altro istituto, accontentandosi a volte di incassare anche solo tra il 15% e il 20% del valore facciale. L'organizzazione era decisamente attiva. In alcune intercettazioni (come riportato da 1l Giornale di ieri) è spuntato perfino il nome di Alessandro Profumo (gli imputati lo chiamano Coco Chanel), perché *** Unicredit sarebbe stata interessata all'operazione. Probabilmente niente di più di una millanteria, perché tutto si è poi concluso con un buco nell'acqua. Più concreta, invece, si è dimostrata una trattativa intavolata a Dubai, dove è stata costituita una joint venture con la società araba Al Rhaba Holding e, successivamente, tra quest'ultima e la malesiana Kosmo Seraya Sdn Bhd che avrebbe dovuto garantire lo sconto dei titoli. Secondo quanto ricostruito dagli investigatori tramite le intercettazioni, poi, parte dei proventi avrebbe dovuto essere accreditata su un conto dello lor intestato alla fondazione ecclesiastica In veritate et Charitate (Ivec) gestita, scrivono i pm, da monsignor Francesco Cucca-rese (che non risulta indagato).

L'operazione, in realtà, era molto complessa. Al Rhaba doveva consegnare i titoli a Kosmo che, a sua volta, li avrebbe avuti nella sua disponibilità fino al 31 marzo 2011, pagando il 70% del valore facciale (in questo caso circa 1 mld di dollari). L'accordo, in realtà, non è stato poi rispettato e l'affare è saltato. A volte i titoli sarebbero stati usati invece come collaterale in altre operazioni, soprattutto immobiliari (ne è citata una: Le Cremalliere).

Ma l'indagine si è sovrapposta addirittura anche con quelle sulla compravendita della Roma da parte della cordata che faceva capo a Vinicio Fioranelli. I titoli, secondo le intercettazioni, avrebbero dovuto servire da provvista per l'affare. I contatti con il mondo bancario da parte della cricca dei bond falsi, sono stati decisamente estesi: dal Santander, a Barclays, all'Arab Bank, a Jp Morgan, contatti ci sarebbero stati persino con la Banca Mondiale e con la Banca centrale rumena. Le Fiamme Gialle hanno anche sequestrato documenti che attestavano il deposito di 500 milioni di dollari di Iboe presso la filiale di Cuneo di Finanza e Futuro (gruppo Deutsche Bank).

Voici deux autres documents sur Elio Ciolini.

Ils sont malheureusement en italien ...

http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2008/07/12/arrestato-finto-generale-della-nato-denuncio-falso.html

Arrestato finto generale della Nato denunciò falso attentato a Berlusconi
12 luglio 2008 — pagina 5 sezione: ROMA

NEL 2001 aveva rivelato l'esistenza di un fantomatico piano che prevedeva un attentato a Silvio Berlusconi. Ieri mattina, Elio Ciolini , 61 anni, un passato tra servizi deviati e grandi depistaggi, è finito in carcere perché fingendosi generale della Nato, nonché presidente di una associazione antiracket fantasma, era riuscito a ottenere finanziamenti e aprire un conto corrente in una banca della capitale. (...)

- - -

http://www.pmli.it/scopertapoliziaparallelanuovagladio.htm

Una nuova Gladio (Chi è Gaetano Saya)

Scoperta una "polizia parallela" composta da fascisti, massoni e poliziotti

Tre arresti e 24 indagati, tra cui elementi delle "forze dell'ordine", su mandato della procura di Genova. "Con stima e molta simpatia", così Licio Gelli dedicava una foto a Gaetano Saya (...)

Un article qui vient de sortir ... en italien lui aussi ...


( sur Elio Ciolini, voir aussi "agoravox" )


http://www.ilfattoquotidiano.it/2011/07/30/bomba-2-agosto-1980-stragi-di-mafia-p2-storia-del-depistatore-impenitente-elio-ciolini/148946/


Più informazioni su: 2 Agosto 1980, As Roma, Bettino Craxi, Champ Dollon, Claudio Martelli, David Rockfeller, depistaggi, Elio Ciolini, Fabrizio Cicchitto, Giovanni Falcone, Giuseppe Santovito, Licio Gelli, massoneria, Montecarlo, Mossad, Paolo Borsellino, Salvo Lima, segreto di Stato, servizi segreti, silvio berlusconi, Stazione di Bologna, Stefano Delle Chiaie, Walter Veltroni

Bomba 2 agosto 1980, stragi di mafia, P2


Storia del depistatore impenitente Elio Ciolini


Rapporti strettissimi con il Mossad, i servizi segreti americani, francesi ed italiani. Il sessantacinquenne fiorentino appare in decine di indagini come misteriosa voce premonitrice, o informatore a posteriori, delle più tragiche stragi terrostico-mafiose in Italia negli ultimi trent'anni. Oggi è agli arresti per emissione di titoli di stato statunitensi falsi e per aggiotaggio nella scalata all'As Roma


Questa è la storia di un depistatore, riassunta poco più di un anno fa in una richiesta d’arresto. Era il luglio 2010 e a firmarla erano due magistrati romani, il sostituto procuratore Stefano Fava e l’aggiunto Alberto Caperna. Di Elio Braccioni Ciolini scrivevano: «Nato a Firenze il 18 agosto 1946 e anagraficamente ivi residente […], a suo carico sono stati ritrovati numerosi riscontri (…) e risulta censito anche come Ciolini Elio […] e come Rivera Sanchez Bruno Raul, nato in Perù il 18 agosto 1951. [È stato] arrestato diverse volte per truffe e denunciato per reati contro la persona, bancarotta fraudolenta, emissione di assegni a vuoto e violazione del divieto di espatrio».

È dunque la biografia di persona già nota alle forze dell’ordine. Ma è anche la biografia di uomo – come si legge ancora nel documento della procura della Repubblica di Roma – “noto alle cronache quale ‘depistatore’ nelle indagini sulla strage alla stazione di Bologna nonché soggetto che avrebbe segnalato il progetto dell’attentato a Berlusconi. Nella vicenda (dei titoli di Stato americani falsi a cui si riferisce la richiesta d’arresto di un anno fa e di cui si parlerà più avanti, ndr) si presenta quale “generale Bruni”, asserito alto ufficiale dichiaratamente in grado di intrattenere rapporti di altissimo livello con l’intelligence statunitense e araba e con istituzioni del mondo militare e civile, in particolar modo istituti di credito».

I depistaggi del 1980: dalla strage alla stazione al caso Toni-De Palo. Questa storia sembra un romanzo criminale giocato per mezza Europa e anche oltre. Ma che vede a Bologna uno dei suoi momento topici. Inizia nel carcere ginevrino di Champ Dollon, lo stesso da cui nell’agosto 1983 evaderà Licio Gelli, il venerabile maestro della loggia P2. Correva l’anno 1982 e in galera Ciolini si trovava perché era stato accusato di truffa ai danni di una cittadina statunitense. Secondo quanto venne ricostruito, aveva convinto la donna che il Mossad, il servizio segreto israeliano, voleva assassinare il marito a causa di armi vendute ai mediorientali.

Vero o falso che fosse, comunque, Ciolini prese carta e penna e scrisse ai magistrati bolognesi perché sosteneva di avere informazioni sulla strage del 2 agosto 1980. In quegli anni, per quanto la pista nera imboccata dagli investigatori emiliani fosse già nel pieno, non erano ancora così chiari i depistaggi dei servizi militari italiani e della P2 verso l’estero. E proprio a loro si agganciava Ciolini quando iniziò a parlare con i magistrati: secondo lui, per trovare i responsabili, occorreva frugare in Germania o in Francia (proprio laddove puntava anche il Sismi con il falso dossier “Terrore sui treni” e con il ritrovamento del 13 gennaio 1981 di documenti, esplosivo e armi, rinvenuti sul convoglio Taranto-Milano all’altezza di Bologna).

Inoltre – aggiungeva Ciolini allegando anche carte che risulteranno false – la bomba che fece 85 morti e più di 200 feriti era la conseguenza di un’opera di distrazione di massa. Da che cosa? Da eventi vari, come la cessione di una quota della Montedison a una misteriosa entità per la quale sarebbe intervenuti membri della Commissione Trilaterale (gruppo fondato da David Rockfeller che comprendeva Stati Uniti, Europa e Giappone). Non pago, Ciolini disse anche che la “committenza” della strage sarebbe stata una loggia massonica con sede a Montecarlo, in raccordo alla P2 e popolata da personaggi provenienti dall’estrema destra, come Stefano Delle Chiaie di Avanguardia Nazionale.

Un mandato di cattura internazionale per calunnia e falso aggravato. Contestualmente affermò di avere informazioni anche sulla scomparsa a Beirut di due giornalisti italiani, Graziella De Palo, 24 anni, e Italo Toni, 50. Svaniti nel nulla il 2 settembre 1980 e mai più ritrovati, i due cronisti (che stavano indagando su traffici d’armi e attività terroristiche) sono diventati loro malgrado protagonisti di un’altra vicenda depistata dal Sismi. E quando i depistaggi emersero qualche anno più tardi, il silenzio fu imposto con il segreto di Stato, avvallato dall’allora presidente del consiglio Bettino Craxi e che cadrà solo nel 2014. A proposito di questa storia, Ciolini disse che a ordinare la loro sparizione era stato un noto politico italiano riconosciuto dai due giornalisti nel corso di un vertice avvenuto nella capitale libanese. Oggetto dell’incontro: partite d’armi.

Nel corso delle dichiarazioni che il depistatore rilasciò alle autorità italiane, fu tutto un avanti e indietro di uomini del Sismi verso e da Ginevra e la sua “collaborazione” venne riconosciuta anche in termini economici. Peccato che fosse tutto falso al punto che Ciolini verrà raggiunto nel 1983 da un altro ordine d’arresto. Su di lui, infatti, pendeva un mandato di cattura internazionale per calunnia e falso aggravato ai danni degli allora ministro per le partecipazioni statali Gianni De Michelis (citato nel riferimento al caso Toni-De Palo) e del vice segretario socialista Claudio Martelli (Bologna).

Il precedente del Belgio: qui era il colonnello Bastiani. Siamo a cavallo tra la fine degli anni Settanta e l’inizio degli Ottanta. In Belgio agisce una banda che assalta furgoni portavalori e che ha un leader, Patrick Haemers, classe 1953, morto suicida in carcere a 40 anni. Dopo il primo colpo del 1978 (per rubare il corrispondente di 235 mila euro prese in ostaggio 28 persone), si allea ad altre due persone, Philippe Lacroix e di Thierry Smars, e tutti e tre compioni 7 rapine mettendo insieme 5 milioni di euro. Ma nel 1985 ci scappano due morti e Haemers viene arrestato.

In galera però non ci rimane a lungo e dopo l’evasione organizza il sequestro dell’ex primo ministro belga, Paul Vanden Boeynants, rapito il 14 gennaio 1989 da un’inesistente “Brigade Socialiste Révolutionnaire” (su questa vicenda è rimasto il sospetto che si sia trattato di un auto sequestro). Il politico, che appartiene al partito socialista, resterà un mese nelle mani dei rapitori e sarà liberato solo dopo il pagamento di 1 milione e mezzo di euro, versati dal governo di Gerusalemme per mai chiariti meriti che l’esecutivo belga avrebbe avuto nei confronti dello Stato d’Israele.

Ciolini, che per l’occasione assume l’identità del colonnello Bastiani e si spaccia per appartenente all’intelligence francese, si infiltra nella banda Haemers. Secondo quanto verrà ricostruito dagli investigatori valloni, nel periodo in cui si passa dagli assalti a scopo di rapina agli obiettivi politici, tra i rapinatori belgi e il sedicente agente segreto ci sarebbe stato un passaggio di ingenti somme di denaro mai ritrovate.

I delitti del 1992-’93: una profezia avverata. Parlare di Elio Ciolini, ai più, è come parlare di nessuno: difficile che coloro che non hanno seguito la storia giudiziaria della strage alla stazione di Bologna se lo ricordino. Eppure, nella primavera 2010, quando diventavano sempre più insistenti le notizie a proposito della trattativa Stato-mafia, ci fu chi se lo fece tornare in mente. Fu il Pd Walter Veltroni che in due occasioni – un’intervista a Repubblica e una partecipazione ad Annozero dedicato al dark side dei servizi segreti – chiese pubblicamente perché nessuno avesse dato retta a quanto Ciolini aveva detto molti anni prima. E a questo punto dobbiamo fare un passo indietro.

Dopo la condanna del 5 febbraio 1991 a 9 anni di carcere per calunnia, probabilmente voleva riscattarsi dalla nomea di depistatore che ormai gli si era appiccicata addosso. E allora il 6 marzo 1992 prese un’altra volta carta e penna per scrivere a un magistrato. Sei giorni prima dell’omicidio del democristiano Salvo Lima, assassinato a Palermo il 12 marzo, si rivolse al giudice istruttore di Bologna Leonardo Grassi per dirgli che “nel marzo-luglio 1992 [si assisterà al] ritorno di una strategia omicida [...], esplosioni dinamitarde [...], eventuale omicidio di un esponente politico del Psi, Pci o Dc”.

Grassi allora preparò un’informativa che inviò a Roma, al ministero degli Interni, ma sembra che non sia possibile arrestare la scia di violenza che si scatenerà di lì a poco. Oltre all’esecuzione di Lima, difficile non ricordare che il 23 maggio 1992 salta per aria l’autostrada che dall’aeroporto siciliano di Punta Raisi a Palermo uccidendo il giudice Giovanni Falcone, sua moglie e gli uomini della scorta. E che il 19 luglio successivo un’autobomba, in via D’Amelio, falcia Paolo Borsellino e gli agenti che lo proteggevano. Poi, per qualche mese, torna il silenzio e la strategia stragista di cosa nostra riprenderà solo l’anno successivo, spostandosi sul continente.

Ciolini non era stato ascoltato, in quell’occasione, probabilmente perché ritenuto persona non affidabile. Del resto, sempre in quel periodo, aveva parlato di un colpo di Stato in Italia che si ordiva in Jugoslavia e che vedeva coinvolti miliziani, massoni ed esponenti della mafia italiana. E a più riprese, anche nel decennio successivo, aveva pronosticato attentati mai verificatisi contro il più volte presidente del consiglio dei ministri, Silvio Berlusconi. Inoltre era stato – presunto o meno che fosse – referente a Bruxelles di estremisti di destra italiani che cercavano agganci là nella seconda metà dello scorso decennio per non meglio precisati progetti.

Le indagini più recenti: i titoli di Stato Usa falsi e la scalata alla Roma. La richiesta d’arresto citata all’inizio di questo articolo si riferisce a un’inchiesta iniziata nel 2008. La guardia di finanza di Roma aveva scoperto l’esistenza di un’“associazione” di poco meno di una decina di persone che tentava di piazzare in giro per mezzo mondo (Stati Uniti, Canada e Dubai compresi) titoli di Stato statunitensi falsi. Impressionante l’importo della presunta truffa: 565 miliardi di dollari.

L’indagine – condotta con intercettazioni, pedinamenti e accertamenti bancari – aveva accertato che Elio Ciolini, rinviato a giudizio a fine maggio, avrebbe collaborato “procacciando clienti per conto dell’organizzazione”. Un’organizzazione che aveva tentato di infiltrarsi in grossi gruppi bancari, tra cui Unicredit, e in milieu di primo piano avvicinando – o cercando di farlo – personaggi come Fabrizio Cicchitto. E che aveva visto la collaborazione di politici della Prima Repubblica. Era il caso di Francesco Froio, nato 77 anni fa a Catanzaro e residente a Torino, deputato nella sesta e settima legislatura e arrestato nel 1993 per le tangenti del Frejus. Ma era anche il caso di fondazioni religiose legate allo Ior, la banca vaticana, tra cui la “Ivec – In veritate et charitate”.

Come andrà a finire questa storia lo dirà il tribunale di Roma. Ma intanto la “carriera” di Elio Ciolini si è arricchita a inizio 2011 di un altro tassello. È un’altra inchiesta condotta dalla procura della Repubblica della capitale. Se in questo caso l’inquisito più celebre è l’agente della Fifa Vinicio Fioranelli, accusato di aggiotaggio nel tentativo di scalata dell’As Roma avvenuta nel 2009, le manette sono scattate anche per Ciolini, definito “operatore finanziario residente in Svizzera”. Sempre lui, il depistatore della strage alla stazione di Bologna, si sarebbe procurato da diverse banche il denaro poi utilizzato per comprarsi la squadra giallorossa. Il tutto con alcuni dei suoi presunti complici nell’affaire dei titoli Usa.

Ecco la storia dell’“uomo legato a Licio Gelli”. In conclusione su Elio Ciolini rimangono indelebili le parole pronunciate dal generale Nino Lugaresi, subentrato ai vertici del Sismi dopo lo scandalo P2, esploso il 17 marzo 1981 e che aveva coinvolto il suo predecessore, Giuseppe Santovito. L’ufficiale dei servizi italiani lo aveva definito come un «esecutore di ordini altrui e uomo legato a Gelli» mentre per i giudici di Bologna che indagavano sulla strage del 2 agosto 1980 era «probabilmente legato sia ai servizi francesi che a quelli italiani». Sta di fatto che, comunque, quei depistaggi di quasi trent’anni fa non hanno fermato un personaggio che ha attraversato i decenni.

Precedenti di questo articolo

Cronologia della strage alla stazione di Bologna (2 agosto 1980)

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_ _ _

Pour être complet, un article de 1983 :


http://www.nytimes.com/1983/08/28/world/pride-of-swiss-is-dealt-blow-by-a-jailbreak.html


PRIDE OF SWISS IS DEALT BLOW BY A JAILBREAK

By HENRY KAMM

Published: August 28, 1983


GENEVA, Aug. 25— Switzerland's reputation for efficiency has suffered a blow with the escape from a Geneva prison this month of an Italian arrested here almost a year ago.


The Italian, Licio Gelli, 64 years old, was arrested as he tried to withdraw perhaps as much as $20 million from a numbered Swiss bank account that had been blocked by court order.


The order blocking the account had been obtained by a Swiss prosecutor who suspected that it contained money illicitly removed from companies controlled by the Banco Ambrosiano, the Milan bank that failed and in which the Vatican had investments.


Mr. Gelli was not immediately identified by the Swiss at the time of his arrest. He was first jailed for entering the country with a false Argentine passport.


After the arrest, Mr. Gelli was revealed to be the man who had been sought by the Italian authorities since 1981 when he was identified as the grandmaster of the Propaganda 2 Masonic lodge. The lodge has been officially accused in Italy of being a conspiracy of people in high places working against the Italian state, and the scandal surrounding its discovery brought down the Italian Government of Prime Minister Arnaldo Forlani. Italy Sought Extradition Italy immediately moved for Mr. Gelli's extradition, and he was detained pending a ruling on the request. He was housed in a large, modern prison near the French border pending a ruling on the Italian request.


Mr. Gelli is under Italian investigation on 15 separate charges that range from false bankruptcy to conspiracy against the state to being the head of a secret organization. He has not been indicted on any charge.


The Italian press has linked Mr. Gelli to several major crimes in recent years, including the bombing of the Bologna railroad station in 1980 in which 85 people were killed.


Mr. Gelli first came to public attention in May 1981, when the police, searching his Tuscan house in connection with its inquiry into the case of Michele Sindona, who is serving a 25-year prison term in New York for his role in the bankruptcy of the Franklin National Bank, found a list of 953 purported members of the Masonic lodge. The list included the names of 3 Cabinet ministers, 30 generals, 8 admirals and 43 members of Parliament. Mr. Gelli disappeared, presumably to Argentina.


Swiss embarrassment at Mr. Gelli's escape from prison on Aug. 10 is such that no senior official of the federal Government in Bern or of the cantonal authorities in Geneva would discuss the Gelli case.


Instead, officials of lower rank responded by accusing the Italian authorities, particularly the intelligence agencies, of unlawful activities on Swiss territory. Swiss Blame Italians


Defending themselves against accusations of negligence over Mr. Gelli's escape by high Italian officials, including the new Interior Minister, Oscar Luigi Scalfaro, Swiss officials began by blaming Italy for letting Mr. Gelli escape from Italy in the first place.


In an official statement, Switzerland announced that a Yugoslav working for Italian intelligence has been in prison in Lugano since last November after confessing to killing his wife, an Italian right-wing extremist and a Swiss citizen who was a friend of the victims.


The man was indentified as Dragutin Petrovic, 35. A Justice Ministry official, Joerg Kistler, said Mr. Petrovic had been sent to Lugano to keep watch over right-wing Italian extremists there on behalf of the Italian intelligence agency that is controlled by the Italian Defense Ministry.


The chief of the Lugano criminal police, Gualtiero Medici, was sentenced last month to a fine of about $1,500 and suspended from his post after being convicted of ''economic espionage'' and of passing official documents, including some pertinent to the Banco Ambosiano scandal, to the same Italian intelligence agency.


Mr. Kistler also accused Italian judicial authorities of interrogating in a Swiss prison, without permission, another suspect being held for possible extradition to Italy. The man, Elio Ciolini, is believed by Italy to have information linking the Propaganda 2 Masonic lodge to the Bologna railway station bombing. Italy Warned of Escape Attempt


Italian officials have disclosed that Italy had warned the Swiss Justice Ministry last February that they had information that an attempt to free Mr. Gelli was planned, possibly involving an assault on the prison by helicopter.


Swiss Justice Ministry officials acknowledge passing on the information to the Geneva authorities that run the prison and suggest that whatever laxity occurred took place on the local level.


A single prison guard has confessed to helping Mr. Gelli escape. The guard, Edouard Ceresa, said he led Mr. Gelli out of his cell, across the prison yard and out the main gate, hid him in his car for four hours and then drove him to France.


In France, Mr. Gelli was reportedly met by accomplices, including perhaps two of his sons, and taken by helicopter to Monte Carlo. There any trace of him appears to end.


Meanwhile, Switzerland's highest court gave additional cause for criticism when, nine days after his escape, it granted Italy's request for Mr. Gelli's extradition.


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J'ai bien connu Claude Dubois de 1972 à 1973. Il avait une passion pour les belles bagnoles.. Lanborghini, Masertion et aussi le moto-cross. Il tenait à l'époque un garage rue Vanderkindere. Pour grand il l'était cetainement 1.90m ! Il avait un copain bien plus petit que lui avait qui il partageait tout. je l'ai revu en 1990, sa fille allait à l'école avec la mienne à Schaerbeek. En 2000 ? il a été arrêté pour avoir dépecer un arabe ! Il toujours tout nier ! je crois que pendant un temps on la retrouvé rue de Malines ? Je crois qu'il est mort maintenant car il était enn très mauvaise santé et je serais surpris si j'apprenais qu'il vit encore. Pour plus de renseignements je dois consulter mes notes !

Claude Dubois est mort mais son avocat maximenicolai est venu souvent sur le forum et il y a d'ailleurs un fil à ce sujet.

Il y a en effet un fil spécifique sur Claude Dubois.

Si je me souviens bien, ce fil abordait aussi des trafiquants d'armes comme R. Rossignol (dont on voit apparaître le nom dans le dossier des Tueurs du Brabant).

Les trafics d'armes conduisent à ceux de la drogue et des diamants. De plus, ils suscitent l'intérêt des services secrets. Cela devient rapidement très compliqué ...

Relire le passé avec un regard actuel peut être intéressant ; c'est ainsi que le diamantaire anversois attaqué par Beijer et Bouhouche apparaît ensuite comme impliqué dans des trafics d'armes.