- HERVE a écrit:
Dulcie Evonne September, plus connue sous le nom de Dulcie September, était une personnalité politique sud-africaine, née le 20 août 1935, assassinée le 29 mars 1988 à Paris.
Dulcie September représentait l'ANC et a été assassinée, en bas des escaliers dans la courette parisienne desservant les bureaux de l'ANC à Paris entre 6 h 30 et 7 h du matin, de cinq coups de feu d'un calibre 22 avec un silencieux tirés en pleine tête. On ne connaît toujours pas l'assassin, mais les suspects sont Joseph Klue (Sergent Major du SADF), Dirk K. Stoffberg (vendeurs d'armes et agent SA), Heine Hüman ainsi que Jean-Paul Guerrier, proche du mercenaire Bob Denard.
Il a été suggéré que cet assassin a été engagé par le gouvernement sud-africain, notamment, le service action des services secrets, le Civil Cooperation Bureau. L'association Survie notamment accuse les services secrets français d'avoir collaboré à cet assassinat.
Avant son assassinat, Dulcie enquêtait sur un trafic d'armes entre la France et l'Afrique du Sud. Il y aurait du trafic de substances nucléaires.
Le lendemain du meurtre, Alfred Nzo a déclaré : « S'il y avait une cible facile, Dulcie September en était une ». Elle repose au cimetière du Père Lachaise à Paris.
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DES TEMPS JURIDIQUES, JAN. 27, 1992
Tribunal fédéral des États-Unis, district est de New York - Mémorandum et ordonnance modifiés
ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE CONTRE DIRK STOFFBERG, DÉFENDANT
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Gunrunner joue la carte surprise d'octobre(...)
Mais le jeudi 18 janvier 1990 - jour de la semaine de Dunn pour le traitement des affaires devant un tribunal de district américain - sa chance a radicalement changé.
Ce jour-là, un magistrat américain a assigné à Dunn le cas d'Ari Ben Ben Menashe, un agent des services de renseignements israéliens accusé d'avoir vendu illégalement des armes à l'Iran. En prenant l'affaire, Dunn a été plongé dans un monde de complots internationaux et d'intrigues de manteaux et de dagues qui l'ont conduit de Brooklyn à une cellule de prison en Allemagne
(...)
Dans les années 1970, Stoffberg, en tant qu'agent de l'Afrique du Sud, vendit des armes au gouvernement du Shah d'Iran
!...)
il a pu continuer à vendre des armes aux Iraniens après la révolution de 1979.
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l'été 1980 les futurs responsables de l'administration Reagan, William Casey et Richard Allen, pour discuter des otages américains retenus prisonniers en Iran. Il n'a pas révélé cette information avant d'avoir été accusé, en avril dernier, d'avoir violé la loi sur le contrôle des exportations d'armes pour avoir vendu 1 000 armes de poing Smith & Wesson de 9 mm à un agent des douanes américaines se faisant passer pour un courtier chilien.
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Selon Dunn, les bonnes relations que Stoffberg entretenait avec les responsables du régime de l'ayatollah Khomeiny ont conduit "deux responsables de la campagne américaine Reagan" à rencontrer son client à Londres à deux reprises à l'été 1980 pour discuter des 52 otages américains capturés par des militants iraniens après la révolution. .
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en 1981, Stoffberg avait joué un rôle clé dans la libération de trois membres du clergé anglican qui avaient été faits prisonniers par les Iraniens. L'épisode, a-t-il dit, pourrait être corroboré par les diplomates suédois.
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https://fas.org/irp/congress/1992_cr/h920204-october.htm
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pour rappel
LA BSR PROTEGEAIT-ELLE LES TUEURS BLANCS? LA BELGIQUE MONTREE DU DOIGT EN AFRIQUE DU SUD
Mis en ligne le 17/08/1996
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le 27 mars 1988, des habitants de la rue du Conseil à Ixelles aperçurent un colis suspect et alertèrent la police qui découvrit, sur le seuil du bureau de l'ANC, un colis contenant rien moins que 17 kg de TNT. De quoi faire exploser tout le quartier ! Le 4 février déjà, un inconnu avait tiré à l'intérieur du local. Très légèrement blessé au visage, M. Motsepe échappa de justesse aux coups de feu.
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https://www.lesoir.be/art/la-bsr-protegeait-elle-les-tueurs-blancs-la-belgique_t-19960817-Z0CGZU.html
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dim. 30 juin 2013 12:54
Une Belge admet son implication dans l’attentat de Pretoria
ai été impliquée dans l’attentat le plus meurtrier jamais perpétré par l’ANC ", a-t-elle avoué dans les colonnes du quotidien De Morgen. "J’ai réalisé le travail de prospection, et j’ai conduit la voiture chargée d’explosifs de Swaziland à Pretoria". La citoyenne belge admet ainsi avoir été active dans la lutte armée menée par l’ANC de Nelson Mandela contre le régime de ségrégation qui régnait à l’époque en Afrique du Sud.
L’attaque à la voiture piégée
survenue en mai 1983 à Church Street, dans la capitale administrative du pays, a causé la mort de 19 personnes et blessé environ 200 autres. Ce fut l'attaque terroriste la plus meurtrière jamais perpetrée dans le cadre de la lutte armée contre l’apartheid.
https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2013/06/30/une_belge_admet_sonimplicationdanslattentatdepretoria-1-1665747/
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