Vw Santana

lire les messages de Wolf svp

J'ai vu qu'il parle de Delpierre qui habite dans la région de Nice, mais en mettant ce nom dans la fonction rechercher du forum, je ne trouve rien...bref je sais je pense de qui vous parlez, mais je ne sais pas qui il est, peu importe ce qui est sur, c'est qu'on ne se connait pas.

monsieur "faite vite" en 1966 je vivais dans la rue un tour de force a l'époque j'avais alors 16 ans j'ai connu toute la voyoucratie de bxl rien n'etait inconnu de moi j'etais pris en charge par les putes et la petite main des voyous ne cherchez pas a ce niveau

titi

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/gallery/articles-de-presse/TITI-pic_171.htm

c'est deja sur le site commenté aussi

et moi je connais le nord de la france...rien de dit que les tbw soient belges

et moi je rappelle que pour "Les faits de Maubeuge" ils ne se sont pas fait piquer en "Flag", ils ont téléphoné aux flics d'une cabine en face, et LES ONT ATTENDUS ...! Nuance, tout comme pour les faits de Nivelles, les gendarmes ont étés envoyés à l'opposé, suite à une bagarre générale....arrivés sur place , il ne s'y passait RIEN.....

c'est une déduction parce qu'on a pas retrouvé la personne qui a appelée, probable mais pas sur, je ne serait pas aussi affirmatif.

Maubeuge c'était le 13 aout 1982, un vendredi soir (comme souvent chez les tbw, ce qui fait supposer qu'ils avaient une activité normale la semaine, la encore çà cadre pas avec le grand banditisme), weekend de départ et retour de vacances. Il suffit que le mec qui a appelé s'est justement réveiller la nuit pour faire la route des vacances de nuit et a appelé la police. Ensuite lors de l'enquête de voisinnage forcément il était pas là. Il se peut aussi que ce soit des vacanciers qui aient appelés (çà existe, les ch'ti qui vivent ailleurs passent leur vacances dans le nord, certains hollandais aussi), là encore rien d'étonnant à ce qu'on ne les retrouvent pas, çà ne signifient pas que les tbw ont appelés.
Enfin ce weekend là il y avait des festivités, çà peut être quelqu'un qui n'habite pas maubeuge mais revenait des festivité qui a appelé la police d'une cabine, la encore on ne risque pas de le retrouver...vous tirez des conclusions trop hatives.

Claude en plus vous précisez vous même qu'à nivelles ils ont au contraire essayé de détourner l'attention de la police en les envoyant ailleurs, ce qui démontre qu'au contraire ils essayer d'éviter la police, et non de les affronter volontairement, décidément je ne m'adapte pas à vos déductions, et vous voyez bien que ce n'est pas de la mauvaise foix, juste une analyses des élèments, y compris ceux que vous me proposez.

Je viens de retrouver un article du soir où on rappelle ce que j'avais avancé sans me rappeler de la source, à savoir que les plaques d'immat étaient fixées par des rivets utilisés sur les plaques en france.

En même temps je surligne également un passage pour Claude concernant les faits de maubeuge, visiblement le policier qui s'est fait tirer dessus à maubeuge est tombé sur le gueteur des tbws, donc 1 seul homme, il me semble qui si ils avaient volontairement appelé la police en cherchant l'affrontement ils n'auraient pas laissé un homme seul, ils se seraient retranchés dans l'épicerie en attendant qu'ils arrivent pour faire front, si les policiers étaient arrivés ensemble au lieu de se séparer le gueteur aurait été abattu!

extrait de http://www.francesoir.fr/faits-divers/tueurs-fous-du-brabant-la-piste-francaise.29865

Tueurs fous du Brabant : la piste française
Brendan Kemmet 29/09/10 à 08h01
Vingt-cinq ans après la fin des tueries qui ont terrorisé toute la Belgique et fait 28 morts, la police belge explore une nouvelle piste. Celle du banditisme français.
Et si les « tueurs fous du Brabant » étaient français ? La piste, inexploitée, intéresse au plus haut point la police belge qui n’a toujours pas renoncé, vingt-cinq ans après, à élucider la plus grande énigme criminelle du royaume. Une dizaine de juges d’instruction, des centaines de policiers et 500.000 pages de procédure n’ont pas suffi à identifier les auteurs de cette vague de braquages et d’exécutions sommaires qui a agité le sud du plat pays entre 1982 et 1985. Vingt-huit personnes, dont des enfants, ont payé de leur vie cette dérive sanglante et inexpliquée. La sauvagerie des attaques était inversement proportionnelle à la valeur des butins, la plupart du temps dérisoires.

Les pistes des marginaux belges, celle des militaires d’extrême droite voulant déstabiliser l’Etat belge ou celle du terrorisme d’extrême gauche ont systématiquement mené à des impasses. Et pourtant, l’enquête continue. Le mois dernier, les policiers ont fouillé le canal Charleroi-Bruxelles à Ronquières, en vain. Avant l’été, ils ont diffusé un portrait-robot d’un suspect, réalisé sous hypnose, avec l’aide d’un témoin tardif… Si aujourd’hui les enquêteurs tournent maintenant leur regard vers la France, c’est qu’ils ont le sentiment d’avoir épuisé les pistes belges.

Maubeuge, août 1982

Ils n’ont pas oublié que l’épopée sanglante des tueurs fous du Brabant n’a pas commencé en Belgique, mais en France. C’était à Maubeuge, à huit kilomètres de la frontière, le 13 août 1982, un week-end. L’épicerie fine Piot était visitée de nuit. A 3 h 50, un appel anonyme avertit le commissariat, à 100 mètres de là. Trois gardiens de la paix partent à pied. Ils se séparent. L’un d’eux, Christian Delacourt, se trouve nez à nez avec un guetteur, qui fait aussitôt feu sur lui. Il est gravement blessé. Il sera sauvé in extremis par les médecins. Les voleurs, au nombre de trois, prennent la fuite dans une Volkswagen Santana, direction la Belgique. Dans leur coffre, des bouteilles de champagne et de vin et quelques boîtes de thé. La marque des tueurs fous du Brabant qui n’hésiteront pas, pendant trois ans, à sortir de puissants riot guns lors de petits cambriolages et braquages, et à tirer systématiquement sur les témoins. Pour tuer.

Ce n’est pas le seul élément qui rattache l’affaire de Maubeuge à la bande. La Santana sera en effet réutilisée un mois plus tard lors de l’attaque de l’armurerie Dekaise à Wavre, en Belgique. A une centaine de kilomètres de Maubeuge. Là, les tueurs se saisissent d’armes dont des prototypes, après avoir fait leur choix. Un policier communal approche. Il est abattu froidement. Puis, lors de leur fuite, les tueurs fous tirent à feu nourri sur une patrouille de gendarmerie. Comme à l’exercice. La Santana sera découverte abandonnée dans une forêt, en banlieue de Bruxelles. Aperçue avec des plaques françaises lors du braquage, elle a été retrouvée avec de fausses plaques belges. Les enquêteurs ont relevé que le système de rivets, assez bizarrement, était exclusivement utilisé en France. Autre rapprochement, la balistique. Une arme de calibre 7,65 a tiré à Wavre, comme à Maubeuge.

En résumé, une présumée Audi Santana/ Pl Francaise, devient à Overyse une Santana/Pl Belge...,puis suite à la fusillade du Koldam, échappe à ses poursuivants et....disparait.....elle est retrouvée détruite par incendie volontaire drève des Tumulis...La copie de plaque retrouvée au Dr.DERSCHEID ,est bien une copie d'immatriculation d'un habitant d'ixelles,attribuée pour un véhicule VW Santana, DSN237. Retraçons donc ces faits dans le bon ordre, il apparait donc que les plaques ont été démontées avant d'y bouter le feu, d'une part, mais sont emportées dans un endroit qui permet la découpe minutieuse, tel que l'on peut voir sur la photo. Si l'on sait aussi, que les plaques sont numérotées par lot, et que l'on sait, dans le rapport de commission "bis" >> Bihay/Balfroid, que cette oièce à conviction à disparu de greffe de Nivelles...!!!!!

il l'ont envoyé en allemagne j'ai lu qq part

il faut le leur repeter pe .

Je pense à un truc, si la SANTANA a été retrouvée sans plaques (puisque les plaques DSN 237 ont été démontée et retrouvée ds le canal), comment se fait-il que les enquêteur parlent des fixations par rivets?
Parce que si ils ont retrouvés des morceaux de rivets dans la doublure çà n'a rien d'anormal, on sait que la SANTANA a eu un temps des plaques françaises, normal que pour les plaques françaises ils aient mis le systeme français (d'autant que ces plaques française il a bien fallut qu'ils les fassent faire en france rien d'étonnant dès lors qu'ils aient été mis au courrant de la façon de les poser), rien ne dit que c'était le cas pour les plaques belges et donc que çà implique quoi que ce soit...çà m'ennerve j'ai l'impression de tourner en rond, d'ecrire une chose puis son contraire 3 posts plus tard!

(puisque les plaques DSN 237 ont été démontée et retrouvée ds le canal), comment se fait-il que les enquêteur parlent des fixations par rivets?


AH Bon........!!!!!!!!!!!!! SOURCE svp ?

Faites

freinez

relisez

nul-part on dit qu'on a trouvé la plaque decoupée ds le canal:trouvée drève corneille près du clinique Derscheid

mais c'est vrai que à ronqieres les témoins qui ont tout vu ,ont cité qu'on a aussi jeté des plaques d'immatriculations qu'on a d'ailleurs jamais retrouvé

moi je pense que tout est faux ds ces témoignages .

le témoin ds le resto ne pouvait rien voir de là ou il était à l'interieur

et le témoin2 deux est inconnu ou protégé.

J'ai confondu, çà ne change rien la plaque a bien été retrouvée découpée en petits morceau, elle n'était donc pas sur la voiture, pourquoi vous relevez ce détail qui ne change rien et qu'à côté de çà vous ne répondez pas à la question: comment savoir qu'une plaque était fixée avec des rivets alors que la voiture a été brulée sans plaque et qu'elle a déjà au préalable était immatriculée en france, donc avec des rivets. Les éventuels morceaux de rivets retrouvés pourraient provenir de la periode plaque française, qq1 sait-il pourquoi la cbw dit que le systeme de fixation des plaques retrouvés sur la santana etait exlusivement utilisé en france? Cà ne vous parait pas incohérent avec la plaque DSN 237 desoupée (peut importe qu'on l'ai retrouvée dans le tirroir de la commade de la grand mère du père noel, lol)??

Monsieur faites, (corrigé)

J'abonde une dernière fois dans votre sens, si c'est ce que vous voulez entendre, la SANTANA à été volée à LEMBEECK, vous pouvez le comprendre çà ? Et selon vous, qu'en ont ils a faire de vos rivets ..? ils appliquent des plaques Francaises pour les faits de Maubeuge, et le départ des faits Dekaise, des plaques Belges pour la suite que l'on connait......alors votre histoire de rivets, c'est bon comme çà!

Pourquoi vous m'appelez sans? Je ne suis pas RB comme quoi encore une fois vous êtes à côté de la plaque (jeu de mot vu le sujet qui nous interresse, je précise)
Pour le reste çà ne m'explqie pas les déclaration de VOS, mais bon puisque depuis le départ vous ne voulez pas vous y interresser, ce que je comprend, pourquoi vous sentez vous obligé d'intervenir sur tous les posts, je ne m'adresse pas à vous mais à ceux que que çà interresse comme K qui suit tout ce qui a trait aux vehicules.

ah bon, je suis à coté de la plaque..?? ok, fin de discussion, je déteste perdre mon temps,en fait, tout ceci ne relève pas de vos compétences.

c'est clair, j'ai pas l'habitude de discuter avec des personnes ayant un QI plus proche du mollusque que du chimpanzé, alors si en plus vous n'avez pas d'humour (ce que je supposai, c'est pour çà que j'ai pris la peine d'expliquer le jeu de mot que tout un chacun sauf vous aurait compris entre parenthèse, mais visiblement vous ne savez pas lire non plus).
C'est fou quand même comment vous $etes capable de pourrir tous les posts, rien qu'aujourd'hui je suis au minimum le second avec qui vous vous êtes pris la tête...

L'arret à Tombeek

Et si les TBW avaient pensé qu'ils étaient plus suivis
ils pourraient s'être arrêté là parce qu'ils devaient être LA !

ou


ils étaient déjà trop loin et voulaient retourner sur leur pas.

Ils ont continué contre leur gré et déjà à Overijs ils commencent à virer à gauche vers Hoeilaert

le question est là : pourqoui ils ne continuent pas tout droit ....

sauf si le trafic devenait trop dense direction Bruxelles.

k, je ne crois pas qu'ils aient songé un seul instant qu'ils n'étaient plus suivis.....je ne crois pas qu'ils voulaient retourner sur leurs pas, dans quel but ? qu'ils aient continué contre leur gré semble bien probable....mais pour quelle raison ont ils pris la direction de Hoeilaart ? mystère..., tout comme le fait de ne pas avoir pris la E411 a hauteur du Garage Fiat..., autre mystère..en revanche, le coin du Koldam, et ses environs immédiats devaient représenter un intérêt particulier...!Planque...? voiture relais ..?

je ne pense pas que Campinne et Sartillot avait vu que les Tbw avait pris l'ancienne route

C'est aussi possible que les tbw en moins de 20 secondes ont pu changer de voiture Audi 80 vers une voiture VW Santana et d'y mettre le sac avec les armes.
ceci explique le fait que moteur à froid ils n'ont pas pu semer en Santana le renault R4 à Overijse-Hoeilaert

je reste sceptique quant à cette éventualité, mais, ma foi pourquoi pas admettons...! Dans ce cas, compte tenu des faits s'étant produits tant à Wavre, que à Hoeilaart, le même jour, les mêmes auteurs..., comment expliquer que l'on pas découvert une Audi 80, abandonnée à l'endroit supposé de l'échange ?

oui t"'accord

seules autres possibilités:

1.:A tombeek ils voulaient aller à droite vers le sanatorium abandonné

ils hésitaient d'entrer ds ce cul de sac et voulaient voir s'ils étaient suivi encore.


2.: A tombeek passe la ligne de démarcation entre la Flandre et la Wallonie.

Cette frontière suit les rivières et les routes et des parcelles.
il est possible que dans cette ancienne route à Tombeek il y existait un chemin de sable à gauche ,qui les enmenaient vers Rosières -Limal ?

n'oublions pas les affaires le lundi suivant les affaires de Nivelles.

k,

Le sanatorium Joseph Lemaire, a été exploité jusque 1987. L'entrée de la bretelle d'accès, située en pleine courbe, ne permet pas à de malfrats poursuivis par un véhicule GD, d'envisager seulement 1 instant de s'engouffrer dans cette bretelle, sous peine d'etres coincés comme des rats en plus. Quelle ligne de démarcation ? Chemin de sable vers Rosières ? TOUS ces chemins étaint bien connus à l'époque, des riverains pratiquant de l'enduro, dont je faisais partie....il est possible, de rejoindre Rosières et son cimetière de chiens, au moyen d'une moto d'enduro....pas d'une Santana/Audi ?! En revanche, toute cette "bretelle" de Tombeek, ne manque pas d'intérêt. Il faut savoir qu'elle se compose de deux options: l'entrée en venant de Wavre, soit dans la courbe en face du sanatorium, pavés, longueur 250m, située a l' arrière du garage Volvo, sortie donc 250m plus loin, (a la fin de la courbe) ET SURTOUT,sachant que la courbe est la N4, 80m plus loin, et toujours à gauche, le chemin (carrosable) qui permet de traverser le hameau de Tombeeck, et de ressortir 2 kms plus loin, à nouveau sur la N4...trajet utilisé par les Bus PULLMAN, bien connu de .........................RB