Ordre de Malte

Certificat d'appartenance de William Casey à l'ordre de Malte (1964)

https://www.carasycaretas.com.uy/los-banqueros-oscuros-los-caballeros-malta/

(...)   Los tentáculos de la logia en Uruguay llegaron a través del mismo Gelli y su agente de primera línea, Umberto Ortolani, quien aparecía en el cuarto lugar en la lista encontrada por la policía en Arezzo en 1981. La mayor fuerza de sus negocios se encontraba en un banco, el Bafisud (Banco Financiero Sudamericano). Detrás del consejo de administraciones del Bafisud se encontraba nada menos que Gelli. Las personalidades se entrelazan en este punto y aparece una organización católica y conservadora de origen medieval de la que de forma casual o quizás causal entrelazan los nombres. Los miembros de la P2 aparecen también en las listas de la Soberana Orden de Malta. De hecho, Gelli operaba, según consignaron fuentes a Caras y Caretas, desde la sede de la Orden de Malta y desde allí manejaba los hilos. Aunque a veces erraba el candidato. (...)

(traduction)

Les tentacules de la loge en Uruguay passaient par Gelli lui-même et son agent de première ligne, Umberto Ortolani, qui figurait en quatrième position sur la liste trouvée par la police à Arezzo en 1981. Le principal atout de son entreprise était une banque, Bafisud (Banco Financiero Sudamericano). Derrière le conseil d'administration de Bafisud se trouvait nul autre que Gelli. C'est à ce moment-là que les personnalités s'entrelacent et qu'apparaît une organisation catholique et conservatrice d'origine médiévale, dont les noms s'entremêlent par hasard ou peut-être par causalité. Les membres de P2 figurent également sur les listes de l'Ordre souverain de Malte. En fait, Gelli opérait, comme des sources l'ont dit à Caras y Caretas, depuis le siège de l'Ordre de Malte et c'est de là qu'il tirait les ficelles. Bien que parfois le candidat se soit trompé.

En Europe, les membres de l'Ordre de Malte viennent souvent de la noblesse (y compris de familles régnantes comme en Belgique et au Luxembourg) alors qu'en Amérique (du nord et du sud), ils sont souvent des banquiers et des hommes d'affaires.

Alexander Haig (SHAPE, secte Moon, IEPS, etc) et William Casey étaient membres de l'Ordre de Malte.

Alexandre de Marenches était aussi chevalier de l'Ordre de Malte ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_de_Marenches ).

Alfredo Ottaviani était "Cardinal Bailli Grand-Croix de l'Ordre Souverain Militaire de Malte".

En Belgique, on retrouve la famille de Liedekerke (proche du WNP)

Il faut aussi citer don Ottino Caracciolo di Forino et Yves du Monceau de Bergendal (tous les deux aussi à l'IEPS, comme Alexander Haig et la comtesse Philibert de Liedekerke)

A vérifier...

https://digilander.libero.it/autodifesa/doc/vbdoc1.htm

(...)  Allen Dulles and James Angleton were SMOM members. Numerous SMOM members were also prominent in the P2 lodge; however, of the two organizations, the SMOM is incomparably the more senior and powerful; in fact, from available evidence, P2 is more appropriately thought of as an "operational" spin-off of the SMOM  (...)

(...) Numerous leaders of Italy's military intelligence organization were members of both SMOM and P2, including Gen. Giuseppe Santovito (former head of SISMI, which replaced SID after 1977), Adm. Giovanni Torrisi, Chief of the General Staff of the Army, and Gen. Giovanni Allavena, head of SIFAR. Another key P2 member who was a Knight was Count Umberto Ortolani, a member of the SMOM's ruling inner council, and a veteran of Mussolini's counterespionage service. Some say he was the real brains behind P2, and he did sponsor the entrance of P2 boss Licio Gelli into the SMOM. Ortolani was a financier who, among other things, owned the second-largest bank in Uruguay, where he commanded enormous influence; the fascist Gelli had been in exile in Ibero-America until higher powers brought him back to Italy in the early 1960s to set up what became the P2 lodge. (...)

Pour information :

https://blogs.mediapart.fr/casanier/blog/040721/assassinat-de-robert-boulin-la-piece-manquante

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https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-22-mai-2021

Samedi 22 mai 2021

Delubac, une petite banque ardéchoise au bras long

Kazakhgate, Dubaï Papers, soupçons de trafic d'influence… Delubac, un établissement bancaire ardéchois plutôt habitué à la discrétion se retrouve sous les projecteurs judiciaires. Des documents révèlent comment la banque s'est vu ouvrir les portes de l'Elysée.

C'est l'une des dernières banques familiales indépendantes françaises. La banque Delubac & Cie a été créée en 1924 dans la commune du Cheylard en Ardèche, par un habitant, Maurice Delubac. Depuis, la banque s'est développée en se rapprochant d'un homme au profil financier, Serge Bialkiewicz. Dans les années 80. L'établissement s'installe à Paris, se développe et se diversifie en devenant une des banques des administrateurs judiciaires, des entreprises en difficultés ou encore des syndics de copropriété.

Près d'un siècle après sa création, la banque est cependant bousculée par une crise qui n'a rien à voir avec les soubresauts de la finance. L'établissement se retrouve aujourd'hui mentionné dans des affaires pénales d'envergure.

En 2012, des enquêteurs vont tomber sur le nom de cet établissement dans le cadre du Kazakhgate, qui porte sur des soupçons de corruption internationale et de blanchiment. Dans cette affaire apparaît le nom de la banque Delubac. Elle a été utilisée pour faire circuler des fonds suspects. Un des protagonistes mis en examen dans ce dossier, et soupçonné d'avoir reçu d'importantes sommes en liquide, avait également un compte au sein de la banque.

Une autre enquête pour des faits de trafic d’influence est ouverte suite à la découverte de plusieurs documents. Ils montrent que la banque a bénéficié de l’activisme de ces deux personnalités publiques : Jean-François Etienne des Rosaies, ancien préfet et chargé de mission auprès de la présidence de la République jusqu'en 2010, et le sénateur Aymeri de Montesquiou.

Au-delà du Kazakhgate et de cette enquête pour trafic d’influence, la banque apparait aussi dans les Dubaï Papers, cette fuite de documents internes issus du groupe Helin International, révélant un réseau d’évasion fiscale à destination de plusieurs dizaines de contribuables et chefs d’entreprises français piloté depuis Dubaï.

Secrets d'info montre aujourd'hui comment Delubac, cet établissement bancaire ardéchois plutôt habitué à la discrétion, se retrouve sous les projecteurs judiciaires.

https://www.franceinter.fr/delubac-une-banque-discrete-citee-dans-plusieurs-affaires-judiciaires

Delubac : une banque discrète citée dans plusieurs affaires judiciaires

par Abdelhak El Idrissi, Cellule investigation de Radio France publié le 21 mai 2021 à 6h01

Le Parquet national financier s'intéresse aux réseaux de la banque Delubac, un petit établissement bancaire enregistré en Ardèche qui a bénéficié de coups de pouce depuis l'Elysée, sous la présidence Sarkozy.

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https://www.sydneycrimemuseum.com/crime-stories/knights-of-crime/

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Aladena James "Jimmy" Fratianno, également connu sous le nom de "Jimmy the Weasel", était un gangster américain d'origine italienne qui était le chef par intérim de la famille du crime de Los Angeles

The Mob and Me: Wiseguys and the Witness Protection Program
John Partington, Arlene Violet

L'avis d'un lecteur attentif...

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The first sources of the SMOM affiliation on  various American intelligence leaders (Angleton, Allen Dulles) was the magazine Covert Action, founded by the former CIA agent Philip Agee.

Indeed, the Vatican distributed those distinctions to whom was useful to keep communists away from Italian power. In the period from 1945 to 1946, various American officials were awarded with the knighthood of the SMOM order, but also a Nazi as Reinhard Gehlen, who was put by the Americans as the head of the West German secret service, received it.




Gehlen appears with a SMOM distinction on the cover of his autobiography "Memorie del generale Gehlen", Club degli Editori, 1973.


Also, many members of the P2 lodge were SMOM members. Surely Gelli and Ortolani were members of the order, but also a almost unknown Carabinieri official of noble origin, Manlio del Gaudio (del Gattamelata di Jueli), that diverted the investigations on the far-right in Padua. There were many other members of the SMOM that also belonged to the P2, mostly in the military also affiliated during the fascism. That happened because the order is traditionally tied with the Italian nobility, so the noble families preferred to be in close contact with people that could assure the respectation of their private properties and a fast repression of the poor people, in case of revolts against the landlords.

It is important not to confuse the official Malta order (recognized by the Vatican) with the unofficial (unrecognized/parallel) orders of Malta. Basilio Petrucci, who was in contact with the mafia boss Fratianno, was the leader of an unofficial order called "OSJ", one of the most important parallel orders. Petrucci commercialized bogus diplomas, degrees, knighthood titles and some refer that he could also arrange, in exchange of consistent amounts of money, private meetings with the Pope. He had a bogus order called CISCA and one of the most notorious members of his order was the Italo American singer Frank Sinatra. After his death, he was replaced by his son, Arnaldo Petrucci. The order splitted various times and some of the leaders of the scissionist branches are cited in the "Rapport Godbille" (for example Kelinu Vella Haber, leader of the "SOSJ").

Alexander Haig et Bill Casey, ordre de Malte :



President Reagan attending a National Security Planning Group (NSPG) meeting in the Situation Room with William Casey, Alexander Haig, George Bush and Caspar Weinberger. 03/04/1981.


Bill Casey, ordre de Malte :

https://www.reaganlibrary.gov/public/archives/photographs/large/c12386-22a.jpg




President Reagan meeting with the Director of CIA William Casey in the Oval Office. 01/23/1983


https://www.reaganlibrary.gov/public/archives/photographs/large/c13369-13.jpg




President Reagan meeting with the Director of CIA William Casey in the Oval Office. 03/11/1983


https://www.reaganlibrary.gov/public/archives/photographs/large/c31923-6a.jpg




President Reagan talking to William Casey in a National Security Planning Group (NSPG) with James Baker, George Shultz and Don Regan in the Situation Room. 11/12/1985.