2 départs à la CBW

Je viens de lire dans l'édition "papier" de la DH de ce jour que 2 personnages clef de la CBW sont partis à la retraite: le greffier en chef et le commissaire spécialiste des armes. Le premier cité aurait paraît-il voulu prolonger mais il a été poussé vers la porte...
Triste pour eux et certainement très dommageable pour l'enquête qui, me semble-t-il, n'avait vraiment pas besoin de cela!  

ED2M a écrit:

Je viens de lire dans l'édition "papier" de la DH de ce jour que 2 personnages clef de la CBW sont partis à la retraite: le greffier en chef et le commissaire spécialiste des armes. Le premier cité aurait paraît-il voulu prolonger mais il a été poussé vers la porte...
Triste pour eux et certainement très dommageable pour l'enquête qui, me semble-t-il, n'avait vraiment pas besoin de cela!  

Le second doit être mr Fievet. C'est encore lui qui "officiait" lors de la dernière rencontre rencontre avec les familles. Il a enquêté sur Dekaise et l'affaire des 'canons'.
Un militaire gendarme qui connaissait bien la 'maison'. Et les trafics d'armes.
Un des "anciens" qui part! Encore. La mémoire de l'enquête s'efface inexorablement. Et ce ne sont pas les magistrats arrivés sur le tard sur le dossier qui vont
compenser.

"FIEVEZ , taisez vous" , j'ai lu cela où , affaire Mendez?

Voir :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2315-fievez-pierre

Ancien adjudant de la gendarmerie. Actuel commissaire à la CBW. Dans son dernier livre (De bende van Nijvel en de CIA), Guy Bouten affirme qu'il serait un agent de la CIA.

_ _ _

Il faut acheter le journal parce que sur internet, il n'y a que ce qui suit :

Fievez ou Fievet:

le soir:

Citation :

Citation :Le gendarme écarté en savait trop

Tous les témoins entendus jeudi au procès-fleuve Bouhouche-Beijer et consorts étaient des gendarmes appartenant à la Brigade de surveillance et de recherche. Ce fut l'occasion pour Me Stephane Lempereur de faire reconnaître à tous que ce n'est qu'au lendemain de l'assassinat de l'ingénieur commercial de la FN Juan Mendez, le 7 janvier 1986, que les enquêteurs se sont intéressés au vol important d'armes commis chez le même Mendez près de huit mois avant le crime. Et immédiatement, on perquisitionne chez Madani Bouhouche.
On retiendra surtout la déposition de l'adjudant Pierre-Yves Fievet, qui est considéré comme le grand spécialiste de la surveillance des trafics d'armes, et qui, dès le lendemain du crime, fut appelé en renfort technique par ses collègues de Wavre. Quinze jours plus tard, l'adjudant est convoqué par le juge d'instruction Schlicker et par le procureur du Roi de Nivelles qui l'informent de ce qu'ils préféraient qu'il ne s'occupe plus de l'affaire.


Pourquoi? La question, posée jadis par les journaux, l'est aujourd'hui par le président de la cour d'assises et par la défense. Les premières explications sont déférentes. On aurait soupçonné l'adjudant d'avoir soustrait quatre armes lors de la perquisition, alors que ces armes ont été retrouvées ultérieurement à la brigade de Wavre? L'adjudant l'a cru un moment, dit-il. Comme il s'est demandé si ce n'était pas en vertu d'une rivalité locale entre gendarmes.

Me Lempereur, défenseur de Bouhouche, n'y croit guère, et il se fait préciser la date de ce Fievet, taisez-vous!.


L'adjudant reconnaît que ce fut vers le 21 janvier, après un procès-verbal qui faisait état d'informations qui lui était parvenues par un informateur qu'il connnaissait, digne de foi, mais devant rester anonyme. Et que trouvait-on dans ce PV, dont le seul but était d'éclairer les premières pistes sur le meurtre de Mendez? Que Mendez se livrait à un trafic d'armes avec le Nicaragua, qu'il établissait de faux certificats de destination... et que d'ailleurs, le lieu où il a été assassiné (la bretelle de l'autoroute à Rosières) était un endroit où il avait l'habitude de rencontrer ses clients, et même l'endroit où s'opérait parfois la livraison de la marchandise.
Il en sera question encore, dans cette journée, des «sorties d'armes illicites» dans notre Fabrique nationale d'armes.
- Dans certains autres dossiers, elles disparaissent par caisses entières, dit l'adjudant évincé.

A Wavre, pendant ce temps, on s'occupait surtout de l'identification des quelque soixante pièces retrouvées chez l'armurier Bouhouche, dont le livre d'inscription légal contenait des «faux», comme par exemple la soi-disant fourniture de dix armes à un ancien armurier que la maladie a éloigné des affaires. Et parmi ces armes, vingt pour cent qui provenaient de la FN, illicitement, par Mendez interposé.
Signalons qu'il ne reste plus que huit jurés suppléants. Une dame au-dessus de tout soupçon a dû être récusée par principe parce qu'elle avait pris contact avec la presse pour placer des croquis qu'elle réalisait à l'audience.
GUIDO VAN DAMME

ED2M a écrit:

Je viens de lire dans l'édition "papier" de la DH de ce jour que 2 personnages clef de la CBW sont partis à la retraite: le greffier en chef et le commissaire spécialiste des armes. Le premier cité aurait paraît-il voulu prolonger mais il a été poussé vers la porte...
Triste pour eux et certainement très dommageable pour l'enquête qui, me semble-t-il, n'avait vraiment pas besoin de cela!  

Ca sent le sapin en effet.

Je suppose qu'il s'agit du greffier travailleur qui avait retrouvé des dossiers égarés.

J'ai lu l'article ...

Il s'agit bien de ce greffier et de Fievez ...

Un troisième serait sur le départ.

Le ton de l'article est plutôt pessimiste.

Quant à moi, je n'ai pas d'opinion pertinente. Tous les commentaires que j'ai lus au sujet du greffier étaient élogieux, ce qui n'était pas le cas de Fievez (il y a un fil de discussion à son sujet).

Voir :

http://www.scribd.com/doc/104163972/Monsieur-Monsieur

On y parle notamment de Jean-François Godbille et de l'enquêteur belge Pierre Fievez.

Ce dernier est mentionné dans un livre de Guy Bouten :

Pierre Fievez was in de jaren tachtig adjudant bij de rijkswacht en een echte wapenspecialist. Zijn naam stond in de agenda van Bouhouche

Hij onderhield ook nauwe contacten met Beijer en heeft op zijn aanraden een akte van de valse verklaring van wapenhandelaar Dekaize opgesteld. Daarbij was het de bedoeling enkele speurders van de BOB van Waver in diskrediet te brengen die in het Bendeonderzoek het spoor volgden naar extreemrechts en naar een group wapenhandelaars die connecties hadden met de CIA en de Mossad (...)

_ _

Bref, Guy Bouten parle de Fievez comme d'un "CIA-agent en nu lid van de cel Waals-Brabant"

.

Fievet de la Cia? Il en rit encore.

Je ne crois pas que la CIA soit un bloc monolithique. John Loftus a bien montré que des personnes très douteuses y ont trouvé une place et ce, depuis longtemps. Ce n'est pas de l'anti-américanisme de les dénoncer ... c'est au contraire un bon service à rendre au peuple américain...

Par ailleurs, il est "dans l'ordre des choses" que la CIA fasse ce qu'on lui demande (même si c'est illégal). C'est Henry Kissinger qui a voulu la chute de Allende et la CIA a agi en conséquence...

Ceci dit, il serait intéressant d'avoir le document suivant :





Dans l'immédiat, je continue à faire confiance à la juge d'instruction et au Procureur général.

Qui vivra verra ...

.

Un article qui pourrait vous intéresser :

http://articles.courant.com/2003-07-26/news/0307262173_1_arif-durrani-missile-parts-spare

Man Wants Arms Conviction Reversed

Claims Relationship With Cia

July 26, 2003 | By THOMAS D. WILLIAMS; Courant Staff Writer

BRIDGEPORT — In a federal courtroom Friday, Arif Durrani's lawyer made an argument that 16 years ago would have had observers wondering whether he was prosecuting or defending his client.

But now Mark Zaid's arguments to U.S. District Court Judge Stefan R. Underhill that Durrani was part of the Iran-Contra arms-for-hostages deal are crucial to reversing his conviction.

Proving that he was involved with the scandal that rocked the Reagan administration could bring Durrani back to America and a permanent home in California with his second wife and visits with three children by his first marriage.

Durrani, a Pakistani, was deported from the United States in 1998 after a 1987 conviction for illegally dealing to Iran spare Hawk missile parts he obtained from Radio Research in Danbury.

Zaid's mission now is an attempt to get Underhill to reopen the case on the premise that Durrani was working for the government through alleged Central Intelligence Agency weapons operative Manuel Pires and Marine Lt. Col. Oliver North, a former White House national security aide.

Zaid said a document has been found from the Office of Independent Counsel that references a CIA document about Pires. Durrani claims he worked with Pires as go-between for North to get the missile parts Iran wanted.

But Assistant U.S. Attorney William Nardini charged that during Durrani's prosecution he ``manipulated the system, submitted false and fabricated evidence and committed perjury in front of [the trial judge].'' Underhill reserved decision until he can further study opposing arguments.

Nardini said it is unfair to the prosecution, the court and the public for Durrani to challenge his conviction so many years later.

Zaid argued high-ranking officials in former President Reagan's administration resigned in disgrace and were pardoned after they were indicted. Durrani was convicted and sentenced to the maximum term, Zaid wrote in written arguments, because the government illegally withheld and destroyed evidence that he was part of the high-level illegal government operation. The Iran-Contra scandal erupted one month after federal agents captured Durrani in the midst of his shopping for arms in Connecticut in the fall of 1986.

Durrani, 54, was part of the then-secret team led by North to secure spare military parts for Iran in exchange for seeking freedom for American hostages held in the Middle East, Zaid claimed. Some of the proceeds of the arms sales were diverted to the Contra rebels, who in the 1980s were fighting the Soviet-backed government of Nicaragua's Daniel Ortega.

During his trial, Zaid said, Durrani's explanations of his complicity in a high level international operation sanctioned by White House operatives were discounted by witnesses from the Central Intelligence Agency and the National Security Council who either may not have known the truth or could have covered it up.

After Durrani's jury conviction 16 years ago, the late Judge T.F. Gilroy Daly sentenced him to the maximum penalty of 10 years in prison, a $2 million fine and ordered his deportation after his imprisonment ended. In response to Durrani's defense of blaming the government for his predicament, Daly said the root of his trouble was ``greed and lies, money and perjury, avarice and conniving.''

Zaid claimed the judge effectively barred Durrani's defense that he was part of a U.S. ``intelligence operation sanctioned by the White House.''

On Friday, Durrani's wife, Susanne, listened raptly to opposing arguments in the one-day hearing.

``It's been a long struggle and I am grateful to Judge Underhill for listening,'' she said later.

When she was asked what hope there might be that her husband could get the conviction overturned and return to live with her in California, she wept briefly and then apologized.

``I'm still emotional after [all the years],'' she said. She said she travels regularly back and forth from Baja, Mexico, where Arif Durrani now lives, to her California home.

Voir aussi :

http://www.leagle.com/decision/19871245835F2d410_11148

UNITED STATES of America, Appellee,
v.
Arif DURRANI, Defendant-Appellant.

United States Court of Appeals, Second Circuit.
Argued November 5, 1987.
Decided December 3, 1987.

Manuel Pires est cité de nombreuses fois, notamment :

(...) Upon receiving the signed statement and payment of the outstanding balance due on the parts, Doyle released the goods for delivery to Jet Stream. Before shipment, however, at Durrani's express instruction, Jet Stream employees obliterated the markings on the packing crates, and redirected them to Comexas Airfreight Division in Zaventem, Belgium. The shipment was accompanied by a false invoice from CAD Transportation, an instrumentality of Durrani's, to KRAM, Ltd., a Belgian company controlled by Pires. Moreover, the invoice valued the goods at under $500, rather than the $347,000 Durrani had paid for them. This permitted Durrani not to file a "Shippers Export Declaration" with the Customs Service, as required for shipments in excess of $1000. The shipment was placed on a People Express flight to Brussels, Belgium on August 30th. (...)

http://www.grip.org/sites/grip.org/files/DOSSIERS_NOTES_ET_DOCUMENTS/ND-127.pdf





(...)

Un documentaire en néerlandais :

https://www.youtube.com/watch?v=V4TtP2XRYbY

Peter R. De Vries - Gladio

Sur le site néerlandophone :

http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=988

Extraits :

Pierre Fievez is de vervanger van Lionel Ruth in de Cel Waals Brabant. Blijkbaar zou hiermee ook van alles aan de hand zijn. Er zou blijkbaar een band zijn tussen Fievez en de CIA.

De Franse wapenhandelaar Patrick Baudry verklaart dat Pierre Fievez bij hem tijdens een huiszoeking een tiental geweren en handvuurwapens in beslag liet nemen. "Ik heb de wapens nooit teruggezien. Toen ik klacht indiende, bleken ze te zijn verdwenen. Fievez werkte voor een buitenlandse geheime dienst waarvan ik de macht aan den lijve heb ondervonden na een conflict met de politicus Paul Vanden Boeynants over een grote wapendeal met een Afrikaans land. (...)"

Bron: De Bende van Nijvel en de CIA, Guy Bouten

_ _ _

Nu zullen er in deze wereld wel een paar Pierre Fievez's rondlopen, maar ik hoop ten zeerste dat het hier niet over dezelfde persoon gaat:

"Een aantal Brusselse collega’s zijn Bouhouche trouwens altijd erg genegen gebleven. De wapenexpert van de Brusselse BOB, Fievez met de bijnaam Pietje Boem, is altijd een goede vriend gebleven van Bouhouche en heeft zonder problemen kunnen deelnemen aan de huiszoekingen bij Bouhouche."

Michel Graindorge en de deken van de advocatenorde Magnée hebben enkele jaren geleden op een persconferentie de namen van een twintigtal rijkswachters en ex-rijkswachters die - volgens hen - betrokken waren bij de Bende van Nijvel genoemd. Het ging om de volgende personen:

Gringnez, Tchang, Poncelet, Marbaix, Depaus, Gombert, Beijer, Bouhouche, Lekeu, Amory, Meivis, Maquet, Pattyn, Trotsaert, Galetta, Fievez, de kolonels Mayerus, Fastrez en Lhost, de generaal Beaurir.


_ _ _


http://www.mo.be/artikel/illegale-wapenhandel-vanuit-belgie

(...)  'De wapens waren afkomstig uit het Midden-Oosten. Ze zijn met vliegtuigen boven een stuk jungle geparachuteerd dat onder controle staat van die terroristische groepering', zegt Pierre Fievez. Hij volgt al twintig jaar lang dossiers van wapentrafiek op bij de sectie antiterrorisme van de Brusselse federale politie. 'De link met België? De vliegtuigen waren gehuurd door een bedrijf met zetel in België. Een betrokken land heeft een rogatoire commissie naar België gestuurd om de zaak te onderzoeken, al is in ons land niemand veroordeeld.'

Marokkaanse maffia

'Stel je voor dat een wapentrafikant in België een bedrijf opricht en een contract opstelt om materiaal afkomstig uit het Oosten te leveren aan een Afrikaans land', zegt Fievez. 'Eender wie kan in België naar een notaris stappen, geld op een bank zetten, een bedrijf openen en vervolgens wapens beginnen verhandelen. Dat is gebeurd in de jaren tachtig, in de jaren negentig en het gebeurt nog altijd.' Fievez benadrukt wel dat op wetgevend vlak nuttige inspanningen zijn geleverd om malafide wapentrafikanten aan te pakken. 'Sinds 1999 kunnen zij bestraft worden wanneer zij in het buitenland wapenembargo's met voeten treden. Dat was vroeger niet het geval.

België moest geen wapenvergunningen afleveren en de trafiek niet controleren als er geen fysieke link was, als het materiaal niet door België passeerde. Maar sinds de wet van 1999 moeten ook tussenpersonen in de wapenhandel een vergunning hebben. Nu kunnen ze aan politiecontroles onderworpen worden, dat is belangrijk.'

Toch werkt het huidige controlesysteem volgens Fievez nog niet naar behoren. 'Er is een nieuwe wet maar heeft de overheid voldoende personeel voorzien om wapenhandelaars te controleren? Neen. Van de ene dag op de andere zegt men dat de lokale politie zich moet bezighouden met de zaak, maar is die daarvoor opgeleid? Neen.' Een ander pijnpunt volgens Fievez zijn de zogenaamde end user certificates die de eindbestemming van officiële wapentransacties aangeven. 'Wie gaat controleren of de wapens daadwerkelijk ter plekke afgeleverd worden en niet in een of ander conflictgebied? Niemand. Ik heb een wetsvoorstel geschreven om die end users ter plekke te laten controleren door de politie, maar daar is niets mee gebeurd.'  (...)

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Fievez was in de jaren tachtig adjudant bij de rijkswacht en een echte wapenspecialist. Zijn naam stond in de agenda van Bouhouche. Hij onderhield ook nauwe contacten met Beijer en heeft op zijn aanraden een akte van de valse verklaringen van wapenhandelaar Dekaise opgesteld. Daarbij was het de bedoeling enkele speurders van de BOB van Waver in diskrediet te brengen die in het Bendeonderzoek het spoor volgden naar extreemrechts en naar een groep wapenhandelaars die connecties hadden met de CIA en de Mossad.

(...) Dekaise was woedend (op de speurders van de Waverse BOB) maar Bob Beijer stak hem een handje toe en overhandigde hem een envelop met het rijkswachtlogo en daarin twee pistoollopen, die eerder door Bouhouche in beslag waren genomen bij Marchetto, een vriend van Dekaise. Het volstond dat de Waverse wapenhandelaar beweerde dat de speurders Bihay en Balfroid hem hiermee willen omkopen. De BOB'er Pierre Fievez bood zich na een tip van Beijer aan om de klacht te registreren en stelde een pv op.

Districtcommandant majoor Mouthy verwijderde Bihay en Bakfroid uit de BOB en degradeerde hen tot straatgendarm. Meteen was men twee lastposten kwijt.

Guy Bouten beweert in zijn boek (De Bende van Nijvel en de CIA) dat Fievez als spion was aangeworven door de CIA, net zoals Bouhouche en Beijer.

Nu stel ik mijzelf de vraag hoe zo iemand zo'n functie kan krijgen in een onderzoek waarin hij zelf bijna een verdachte is?

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Als ik in het boek van Guy Bouten lees dat Fievez een CIA-agent was dan geef ik in Spotlight de naam Fievez in en zie ik wat er uit komt. Die gegevens verzamel ik dan in een topic en zet ik op het forum. Iedereen is vrij om die gegevens te bevestigen, te ontkennen of met tegenargumenten te komen. Ik heb geen bewijs van de stelling die Bouten in zijn boek schrijft, maar ik kan het ook niet negeren, daarvoor is het te belangrijk.

Ik zie bijvoorbeeld dat Fievez door twee advocaten al eens was beschuldigd van betrokkenheid bij de Bende. Het zou interessant zijn voor deze discussie om te ontdekken welke redenen die twee advocaten daarvoor hadden. Was dat een grondig onderzoek, hebben zij bepaalde documenten of materieel bewijsmateriaal of bepaalde getuigen die zaken bevestigen?

Ik stel mij dan ook, luidop, de vraag hoe zo iemand zo'n functie kan krijgen.

DH du samedi 12 avril 2014 :

De Bende van Nijvel en de CIA
Guy Bouten




(...)

http://issuu.com/audax/docs/primo_magazine_1150/55







(la suite est aussi intéressante ...)

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Michel, je vous trouve un brin démoralisé ces derniers temps...
  

michel a écrit:

Ca sent le sapin en effet.

HERVE a écrit:

DH du samedi 12 avril 2014 :

Ils ont fait un travail de titan ....et ils sont partis d une facon indigne.......(sic)
Classique un fonctionnaire il fonctionne et puis a la poubelle ........... c est la vie .....mais qui encore s indigne???