Bilderberg

En néerlandais :

https://www.youtube.com/watch?v=Cs5g2yMtSx8

Prins Bernhard was lid van de NSDAP

https://www.youtube.com/watch?v=FA5m_-L9Md8

Prins Bernhard: corrupte en gewetenloze geldwolf

Intéressant de creuser davantage le rôle du prince Bernhard dans le "stay-behind" :

https://nl.wikipedia.org/wiki/Louis_Einthoven

http://www.voltairenet.org/article170482.html

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(traduction d'un message de Peter van Haperen)
 
Le groupe Prométhée joue un grand rôle dans mon livre car ce groupe d'acteurs importants s'est impliqué dans la guerre froide. Sur ordre de qui ? Je ne veux pas vraiment répondre à cette question pour le moment. Je peux dire que, comme vous le soupçonniez, le "groupe Bilderberg" a joué un rôle important dans la création du "groupe Prométhée". Le jeu bien connu de l'époque, la "formation de cellules" : Groupe Bilderberg - Prométhée - PIO - De Dienst - Burafex - WNP - BVN - CCC. Il y en avait d'autres, mais pas importants maintenant dans ce contexte.
 
La première impulsion de cette construction cellulaire, la création de Prométhée, a été conçue et discutée par une sélection de participants belges et néerlandais lors de la conférence Bilderberg à l'hôtel "La Réserve" à Knokke-Heist, du 21 au 23 avril 1972.
 
C'était un groupe mixte avec un passé commun, ils venaient tous de : la banque, la défense et/ou la résistance.
 
Six de ces participants étaient également présents à la fondation de Prométhée, et non des moindres.

 
Baron Léon Lambert - Banque Lambert

Louis Camu - résistant et président de la Banque de Bruxelles

Baron Bernhard Snoy et d' Oppuers

Robert vande Putte - ancien ministre et gouverneur de la Banque nationale de Belgique

Jo Meynen - ancien ministre de la guerre et membre du conseil de surveillance de la Nederlandse Bank et de l'Amrobank

Henry j. de Koster - alors ministre de la défense aux Pays-Bas.
 

Le prince Bernhard des Pays-Bas était le président de la conférence de Knokke. Il n'était pas présent à la fondation de Prométhée, mais je serais surpris qu'il n'ait pas été au courant de ces projets.

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https://publicintelligence.net/bilderberg-conference-1972/
 
Bilderberg Meetings 1972 Conference Report Knokke-Heist, Belgium

The twenty-first Bilderberg Meeting was held at the hotel “La Reserve”, Knokke, Belgium, on 21, 22 and 23 April 1972 under the Chairmanship of H.R.H. The Prince of the Netherlands.
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Delga, 2015 - 238 pages

Nombreux sont les premiers ministres, ministres et banquiers centraux qui, avant d’accéder à leurs postes, ont siégé ou ont été invités au Groupe Bilderberg ou à la Commission Trilatérale. Parmi eux, Emmanuel Macron, Christine Lagarde, Jean-Claude Trichet, Mario Draghi, Mario Monti, Angela Merkel, Bill Clinton, Tony Blair, David Cameron. On note aussi la présence de dirigeants de multinationales comme Bill Gates (Microsoft), Jeff Bezos (Amazon) ou David Rockefeller, mais aussi de piliers du pouvoir états-unien comme le général David Petraeus (ancien directeur de la CIA) ou Henry Kissinger. L’existence de ces organisations pose des questions décisives comme celle du contrôle démocratique sur les processus publics décisionnels. Est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des « élites » aussi restreintes ? D’autant que ces élites sont sélectionnées uniquement en vertu de leur immense richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne ni déléguées par aucune autorité publique, agissent souvent de manière secrète et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé. Les récentes vicissitudes de l’euro montrent à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. Ce livre analyse l’organisation des « élites » transnationales, les bases économiques de leur pouvoir, les orientations et procédés grâce auxquels elles réussissent à influencer les autres niveaux de pouvoir, à commencer par les États-nations. Il comporte également des tableaux explicatifs et les listes des participants aux récentes rencontres du Groupe Bilderberg et de la Commission Trilatérale (4ème de couv.)

https://www.youtube.com/watch?v=9fVDewJx0W4&t=2s&ab_channel=IlFattoQuotidianoFr





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Il dossier “Bilderberg”
Franco Ferrari

(traduction)

Le rapport de Giannettini s'en prend ensuite à Robert Kennedy, alors ministre de la Justice et frère du président américain... la mort de Bob Kennedy est un nouvel épisode de cette " guerre secrète ", qui " à travers ces groupes de pression, dont le groupe Bilderberg, apporte une désorientation générale et le chaos au monde libre " avec " le soutien de la CIA " (Imposimato 2013 : 55-57).

Dans la note correspondante, il précise la référence au document, qui porte la date du 5 juin 1967, et ajoute qu'il est " joint à l'acte d'accusation de E. Alessandrini sur le massacre de Piazza Fontana, en possession à Montebelluna, d'extrémistes de l'Ordine Nuovo, Franco Freda et Giovanni Ventura " (Imposimato 2013 : 64). Les données coïncident donc avec les déclarations publiques d'Imposimato qui parle précisément d'un document de 1967, trouvé parmi les papiers du juge Alessandrini. Il y a une certaine dramatisation à présenter le document comme s'il avait été découvert parmi les papiers du juge alors que plus simplement Alessandrini l'avait joint aux documents du Congrès du procès sur le massacre de Piazza Fontana, comme le soulignait correctement son livre de 2013.

Imposimato parle également du même document dans son autre livre dans lequel il examine un événement historique plus large et intitulé "La République des massacres impunis". Il vaut la peine de rapporter ce court passage car il offre quelques informations supplémentaires. Ce rapport "décrivait l'existence d'un gouvernement mondial invisible, qui s'était immiscé, et s'immisçait depuis des années par tous les moyens, dans la vie politique de divers pays ou de l'Occident, dont l'Italie". Le sujet du rapport était "Les groupes de pression internationaux en Occident". Ce document, composé d'un texte de base et de trois notes informatives concernant la CIA, le groupe Bilderberg et l'ADA (American for Democratic Action), contenait des conclusions extrêmement intéressantes : par exemple, le fait qu'une guerre secrète peu orthodoxe avait été déclenchée avec des massacres et des meurtres dans divers territoires de l'Ouest

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La Repubblica delle stragi impunite
Ferdinando Imposimato







(traduction)

Vinciguerra posait, depuis lors, un problème non négligeable :

Il fallait un changement radical d'approche, et que le pouvoir judiciaire accepte fondamentalement l'idée que ces responsabilités doivent être recherchées dans les appareils institutionnels qui, non pas par des déviations accidentelles, mais systématiquement et dans l'accomplissement de la véritable tâche qui leur a été assignée, en tant que structures parallèles, se sont rendus responsables de toute une série d'événements dont le but ultime est toujours celui de la conservation et du renforcement du pouvoir.

Le juge Grassi serait ainsi arrivé à la conviction que dans ces massacres "des structures de guerre non conventionnelle [...] avaient opéré, manifestation d'une stratégie internationale, fruit d'accords secrets entre services, et d'autres initiatives de nature supranationale, qui concernaient l'Italie et d'autres Etats occidentaux". Le diagnostic était précis, car il a été formidablement confirmé par le document inédit joint à l'acte d'accusation d'Alessandrini sur Piazza Fontana. Il s'agit du rapport RSD/1Zeta n° 230 du 5 juin 1967, qui décrit l'existence d'un gouvernement mondial invisible qui s'est immiscé, et s'immisce depuis des années par tous les moyens, dans la vie politique de différents pays ou de l'Occident, dont l'Italie. Le sujet du rapport était "Les groupes de pression internationaux en Occident". Le document, divisé en un texte de base et trois notes informatives concernant la CIA, le groupe Bilderberg et l'ADA (American for Democratic Action), contenait des conclusions d'un intérêt extrême : par exemple, le fait qu'une guerre secrète peu orthodoxe avait été déclenchée au prix de massacres et de meurtres dans divers territoires occidentaux. Une phrase de l'introduction suggère de "suivre l'évolution de la situation", ce qui laisse entendre que la guerre était toujours en cours lorsque l'auteur a rédigé ces notes.

Grassi a ainsi encadré une pluralité d'appareils employés dans la fonction d'une guerre non orthodoxe. Peut-être ne savait-il pas s'ils répondaient à un seul "central", bien qu'il ait encadré une telle structure dans Gladio, en rappelant la description de Vinciguerra. Ce dernier a également évoqué les liens de Delfo Zorzi, qui a admis avoir des contacts avec un fonctionnaire de très haut rang du ministère de l'Intérieur et qui "en Italie avait opéré un

(suite)



(traduction)

a également évoqué les liens de Delfo Zorzi, qui avait admis avoir des contacts avec un fonctionnaire de très haut rang du ministère de l'Intérieur et qui "avait fait fonctionner en Italie une organisation OTAN à laquelle sont imputables les drames et les tragédies du pays et qui, de temps à autre, faisait appel à des organisations secondaires ou créées par elle-même. Par exemple, la loge P2". Et il a rapporté qu'en 1974, il y avait eu un affrontement très dur au sein de la CIA, qui avait conduit à l'exclusion d'Angleton. Vinciguerra - un témoin que Grassi considérait manifestement comme fiable - a déclaré que "le massacre d'Italicus faisait partie de la progression qui devait conduire à l'état d'urgence ". Le juge a affirmé, par déduction logique, qu'"une telle stratégie a été élaborée pour opérer à l'échelle mondiale et, en particulier, dans les pays occidentaux les plus exposés aux changements de régime et à la prise du pouvoir même par des moyens démocratiques par la gauche, comme l'Italie [...] et de la stratégie en question [...] les États-Unis d'Amérique ont été les partisans les plus actifs ".

(suite)



(traduction)

Il convient de rappeler que le jugement du juge Grassi - que je n'ai obtenu que par miracle et sous la menace d'un appel aux archives du Palazzo Giustiniani - a en fait été tenu secret jusqu'en 2011. Il évoque les pouvoirs de l'ambassadeur des États-Unis à Rome, "qui peut demander mais non diriger les actions militaires qui seraient nécessaires pour soutenir le plan." Grassi a lié cette stratégie à Gladio. En outre, il avait également appris l'existence d'"une dépendance directe de la CIA de la section SAD du service italien, section qui, dans les années 1960 et 1970, a géré la structure italienne Stay Behind".

Par conséquent, le juge Grassi avait inscrit l'attentat d'Italicus dans le cadre des opérations Gladio, tout comme le massacre de Piazza Fontana pouvait être inclus dans ce jeu.

Dans un livre récent, Ferdinando Imposimato, vice-président honoraire de la Cour suprême de cassation, a déclaré avoir trouvé un document inédit joint à l'acte d'accusation du magistrat Emilio Alessandrini sur le massacre de Piazza Fontana, le rapport RSD/1Zeta n° 230 du 5 juin 1967, qui décrit l'existence d'un gouvernement invisible qui interfère avec l'Italie et d'autres pays occidentaux, avec la participation de la CIA, du groupe Bilderberg et de l'ADA.

Ce rapport fait 14 pages.








Extrait :



(traduction)

Il y a deux ans, se tenait à Rome la réunion du Conseil d'administration du Groupe Bilderberg - qui a mené en Europe, sous la présidence du Prince Bernard des Pays-Bas, une action parallèle à celle menée par l'ADA sur le continent américain - M. Sulzberger, au service du " New York Times ", a annoncé le nouveau changement de cap qui était sur le point d'être entrepris.

Sur ADA ( Americans for Democratic Action ) :

https://spartacus-educational.com/USACada.htm

https://adaction.org/ada-history/

Autre extrait de RsD/lZeta n° 230 du 5 juin 1967





(traduction)

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, afin de contenir la vague communiste, les vainqueurs occidentaux ont décidé d'une alliance des forces libérales laïques avec les forces catholiques. Terrain d'entente pour la rencontre, les NEI (Nouvelles Equipes Internationales), basées à Bruxelles. Les NEI étaient une sorte de bureau de liaison catholique-maçonnique, dont la fonction était de promouvoir le développement des forces démocrates-chrétiennes plus progressistes sur l'ensemble du Vieux Continent. Plus tard, l'action des NEI a été étendue à l'Amérique latine, par la création d'un bureau à New York, dirigé par le polonais Sleszynki. La base commune essentielle de ces forces hétérogènes était le libéralisme démocratique, le multipartisme, le multisyndicalisme et l'acceptation totale de tous leurs dogmes, même s'ils étaient déjà en crise dans toute l'Europe immédiatement après la Seconde Guerre mondiale. Tout comme la philosophie "Wilsonienne" de Versailles imposée par les Américains - qui avaient provoqué la crise que le totalitarisme fasciste tentait de résoudre -, ces idées s'imposaient donc contre toute logique comme une panacée universelle.

Ces forces ont contribué à l'installation et à la consolidation au pouvoir de la CDU en Allemagne de l'Ouest, du MRP en France et de la DC en Italie, ainsi que des mouvements démocrates-chrétiens en Amérique latine, notamment au Chili et au Venezuela.





Aux États-Unis, durant les quatre derniers mandats présidentiels, la force la plus décisive en termes d'influence américaine à l'étranger était représentée par la CIA (Central Intelligence Agency) ; qui opérait, en marge des canaux officiels du gouvernement, par l'intermédiaire des hommes les plus significatifs des syndicats dits libres (Meany & Reuther) et de l'ADA (American for Democratic Action), dont les fondateurs étaient Humphrey et Stevenson. On a beaucoup écrit sur les conceptions et la mentalité de cette dernière organisation, mais le jugement le plus substantiel est celui affirmé par l'un de ses principaux représentants, l'historien Schlesinger. Le "Journal of Sessions" du Congrès de Washington a récemment reproduit un article de Schlesinger paru dans l'hebdomadaire "Parisan Review", dans lequel il est affirmé de manière rigide qu'"il n'y a aucune raison pour que le socialisme démocratique soit impossible." De cette manière, Schlesinger explique la nécessité de "concurrencer" le communisme, au lieu de s'y opposer. C'est également le point de vue de Rostow, un autre membre très influent du Département d'État, d'après ce que l'on peut déduire de son ouvrage très discuté "Les étapes du développement économique".

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelles_%C3%89quipes_internationales

Entre le 31 mai et le 3 juin 1947, un congrès, présidé par l’ancien chef de gouvernement belge Paul Van Zeeland, est organisé à Chaudfontaine entre partis politiques d’inspiration chrétienne-démocrate. Opposés à la formation d’une organisation similaire à l’Internationale socialiste, où tous les partis membres doivent avoir la même position dans leurs pays respectifs, les délégués optent pour la création d’une association davantage confédérale appelée « Nouvelle Équipes internationales » (NEI)

https://www.cairn.info/revue-histoire-politique-2010-1-page-6.htm?contenu=article

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Note :

Le président Eisenhower avec les dirigeants syndicaux George Meany et Walter Reuther. 13 mars, 1958. Meany (centre) a été président de l'AFL-CIO, American Federation of Labor-Congress of Industrial Workers. Reuther (droite) a été président de l'United Auto Workers.

(traduction)

CONCLUSIONS

L'existence de la guerre occulte n'est pas nouvelle. Ce rapport en dresse le tableau actuel (probablement incomplet).

Suivez ses développements, et suivez les traces des protagonistes (hommes et organismes).

L'existence d'une guerre cachée opérant également en Union soviétique, avec des caractéristiques similaires, semble certaine. Bases à l'intérieur ou à l'extérieur de l'URSS ? Recherche.

L'occasion de relire

http://www.italianinsider.it/?q=node/3133

sur Arnold van Zeeland et Colin McFadyean.

Pour information :

https://www.senate.be/www/?MIval=/Vragen/SchriftelijkeVraag&LEG=5&NR=4594&LANG=fr

Question écrite n° 5-4594
de Bert Anciaux (sp.a) du 23 décembre 2011
au vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes

Groupe de Bilderberg - Activités et objectifs - Membres - Réunions

wikileaks.org/wiki/Bilderberg_Group_History,_1956

(suite)

Voir aussi

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Retinger

https://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/1356047/Euro-federalists-financed-by-US-spy-chiefs.html

Euro-federalists financed by US spy chiefs

By Ambrose Evans-Pritchard in Brussels

19 September 2000 • 12:00am

DECLASSIFIED American government documents show that the US intelligence community ran a campaign in the Fifties and Sixties to build momentum for a united Europe. It funded and directed the European federalist movement....

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https://www.historia.fr/parution/mensuel-675





Voir aussi

https://www.les-crises.fr/special-historia-oui-la-cia-a-finance-la-construction-europeenne/

La CIA en France
Frédéric Charpier




(...)

Alexander Haig et Robert Close étaient présents à la réunion du Bilderberg de 1978.

Henri Kissinger et Etienne Davignon aussi.

https://wikispooks.com/wiki/Bilderberg/1978

The 1978 Bilderberg Meeting was the 26th such meeting (...)

It was held at the Henry Chauncey Conference Center, Princeton, New Jersey, USA

https://wikispooks.com/wiki/File:Bilderberg-Conference-Report-1978.pdf

Gauche ! Droite !
Robert Close

(page 373 et suivantes)

Pour information :

https://www.lecho.be/economie-politique/international/general/trois-belges-a-la-conference-du-groupe-bilderberg/10469028

Trois Belges à la conférence du groupe Bilderberg

19 mai 2023 13:15





Trois Belges participent cette année à la célèbre réunion du groupe Bilderberg: le commissaire européen Didier Reynders, le président de KBC Koenraad Debackere ainsi que son prédécesseur Thomas Leysen.

La 69e conférence du groupe Bilderberg se tient cette année à Lisbonne, au Portugal. La conférence a débuté jeudi et se clôture ce dimanche. L’occasion pour quelque 130 personnalités des deux côtés de l’Atlantique d’échanger sur les grands enjeux mondiaux du moment. Parmi les participants, on trouve aussi bien des politiques, des chefs d’entreprises et des personnalités issues du monde académique.

Tout comme la réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos, celle du groupe Bilderberg est dans le collimateur des tenants des théories du complot, qui y voient la preuve d’une gouvernance mondiale qui serait aux mains d’une élite agissant dans l’ombre. C’est pour contrer cette image que les organisateurs de la réunion Bilderberg de Lisbonne ont tenu à publier les thématiques abordées ainsi que la liste complète des participants.

Ils précisent en outre que le déroulement de la conférence ne s’appuie pas sur un agenda détaillé, qu’on ne vote pas sur des résolutions et qu’on ne formule pas de recommandations à l’adresse des gouvernants. Ce qui n’empêche que la réunion ait conservé un caractère sélect, voire fermé. La règle est que les participants peuvent utiliser les informations qu’ils récoltent, mais sans divulguer l’entreprise ou l’institution qui en est la source.