l'influence CIA

Sur un autre fil (Ciolino) je signalais à notre ami Alain l'intérêt d'un ouvrage en cours de lecture; "Nos agents à la Havane", de Jean Marc Pillas, paru chez Albin Michel (1995).

On n'y parle pas de la Belgique, mais l'étude des modes opératoires de l'agence en terre étrangère y est admirablement décrite... puisque suivie au coup par coup et durant des années.

Je ne résiste pas non plus à vous offrir copie d'un paragraphe situé page 239;

" En 1979, la presse jamaïcaine révèle que la CIA a tenté d'abattre Castro au cours de son voyage dans l'île caraïbéenne deux ans plus tôt. Depuis 1980, les disparitions accidentèles ou pour le moins mystérieuses et les assassinats du tiers monde hostiles à la politique des Etats-unis se multiplient: Omar Torrijos au Panama, James Rodos en Equateur, Indira Gandhi en Inde, Olof Palme en Suède, Samora Machel au Mozambique.... Le leader cubain aurait-il simplement plus de chance que d'autres ? Il peut se vanter en tout cas d'avoir une santé de fer."

35 tentatives d'assassinats répertoriées contre Castro. A trois reprises au moins des "guerres bactériologiques" ayant provoqués des dizaines, voire des centaines de morts notamment parmi les enfants... sans compter les attaques contre les productions sucrières ou de tabac dument découvertes... les sabotages d'une usine de production d'amoniac qui, par explosion, (si la sécurité interne cubaine n'avait eu d'impérieuses raisons de vérifier le matériel) provoquant un nouveau Seveso... Le mode de recrutement à l'extérieur... mais aussi la stupidité de l'esprit américain ne pouvant incapable d'imaginer que des gens puissent résister à l'appât du dieu $.

Bonne lecture !

Revenons à la déstabilisation de la Belgique en période cruciale pour les intérêts US avec Reagan...
Pour ne s'en tenir qu'à la seconde vague où la thèse est très soutenue en ce moment, dans la veine Bouten, de multiples éléments que l'on retrouve dans le Dupont et Ponsaers, des détails fournis par les témoins etc etc ne militent absolument pas dans ce sens;
Même le fil avec le WNP est ténu en fin de compte.
La Cia et sa nouvelle version Condor : l'attaque des Delaize ?
Pas d'attentat de Bologne en Belgique...
Pas d'assassinats d'hommes politiques...
Non, vraiment, je n'arrive pas à être convaincu même si l'on a recensé pas mal d'ultra conservateurs pas franchement démocrates mais plus adeptes visiblement du bénitier que du riot gun...
Un bémol pour les traineurs de sabre mais là encore, pourquoi les supermarchés ? Les pralines et le café ?
Pas assez de sous à Braine ? On file à Overijse....
Finalement, résultat des courses insuffisant, on se fait Alost.

Au fait, les TBW n'auraient pas utilisé des emphétamines de guerre ? Ca expliquerait des anomalies de comportement mieux que la Duvel ou le pétard...

La méthamphétamine est une drogue synthétique psycho-stimulante qui provoque une euphorie, une forte stimulation mentale et qui est hautement addictive lorsque prise au-delà des dosages médicinaux.

Pure, elle se présente sous une forme solide, cristalline (d'où sa dénomination de crystal), incolore et inodore qui peut rappeler du verre pilé ou de la glace (d'où sa dénomination de ice)4.

Aux États-Unis, elle est aussi appelée meth, crystal meth, crystal, ice ou encore Tina. En Thaïlande, c’est yaa baa, le « médicament qui rend fou » où elle est présentée sous forme de cachets colorés et sucrés. Elle et son dérivé hydrochloré ont par ailleurs de très nombreuses dénominations5.

Elle a été commercialisée sous diverses formes dont le Desoxyn.

Il se présente sous forme de comprimés colorés et sucrés. Il se consomme généralement fumé dans une pipe.

La forme hydrochlorée de la méthamphétamine est appelée Pervitin® ou pervitine.

Autres noms (Canada) : 222, beurre d'arachides, chalk, crank, crystal, crystal meth, glass, hawaiian salt, high speed, chicken feed, ice, jib, koolaid, kryptonite, meth, peach, pinotte, rock candy, sketch, soiks, speed, spooch, stove top, tina, tweak, zip6.

Sommaire
[masquer] 1 Historique 1.1 Usage militaire
1.2 Usage sportif

2 Chimie 2.1 Synthèse

3 Usage détourné et récréatif
4 Effets et conséquences
5 Aspects économiques 5.1 En Océanie
5.2 En Asie

6 Notes et références
7 Article connexe 7.1 Bibliographie
7.2 Filmographie
7.3 Liens externes

Historique[modifier]

La méthamphétamine a été synthétisée pour la première fois en 1919 au Japon par le chimiste Akira Ogata.

La forme HCl a été synthétisée, brevetée en 1937 et commercialisée dès 1938 par la société pharmaceutique allemande Temmler (de) sous la marque Pervitin®.

Comme les amphétamines, elle a largement été utilisée sur les soldats lors de la Seconde Guerre mondiale, notamment des allemands, des finlandais, mais également des japonais et des pilotes de bombardiers américains. L'étude des effets secondaires n'ayant pas été poussée encore très loin à cette époque, des doses assez fréquentes étaient ainsi administrées.4.

Comme d'autres drogues, elle fut testée sur des araignées dès les années 1950. Celles qui y furent exposées, même à de faibles doses, produisirent des toiles tout à fait anormales7,8,9,10. Plus la toxicité du produit est élevée, plus l'araignée laisse de trous dans sa toile11.

Elle fut un temps commercialisée comme un médicament aux États-Unis, pour divers problèmes médicaux allant de l'obésité à la dépression. Mais depuis 1970, elle est classée comme stupéfiant.

Sa consommation s'est développée à partir de la Corée et des Philippines sur la côte ouest des États-Unis vers 19854, puis la côte est, au cours des années 1990.

Au début des années 2000, l'ice et le crystal ont fait leur apparition sur le marché des drogues britanniques. Aujourd'hui, cette méthamphétamine est fabriquée à partir de divers médicaments. On la trouve fréquemment dans les anciens pays communistes d'Europe.

En 2008 , La série Breaking Bad diffusée sur AMC (chaîne de télévision) a fait de la Méthamphétamine l'un des éléments les plus important de la série.

Usage militaire[modifier]

La méthamphétamine a souvent été donnée aux troupes combattantes et aux pilotes en temps de guerre par leur gouvernement. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle était d'usage chez la plupart des belligérants, notamment en Allemagne et chez ses alliés sous le nom de Pervitine12.

Durant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande a distribué de la Pervitine dans ses divisions à tous les niveaux. Elle est utilisée sous le nom de « Panzerschokolade », « tablettes Stuka » ou encore « pilules Hermann Göring ». Le but recherché est de diminuer l'anxiété et d'augmenter puissance et concentration chez les soldats et les pilotes. Entre avril et juin 1940, la Wehrmacht et la Luftwaffe auraient utilisé plus de 35 millions de comprimés de pervitine13. Cependant dès mi-1941 le médicament n'était plus en vente libre, mais disponible uniquement sur ordonnance. Cela en a réduit l'utilisation de manière significative.

Usage sportif[modifier]

L'alpiniste autrichien Hermann Buhl a utilisé la Pervitine sur les conseils du médecin de l'expédition pour sa première ascension du Nanga Parbat en 195314.

En octobre 2010, une enquête allemande a révélé que la victoire de la RFA lors de la coupe du monde de football de 1954 était imméritée, car l'équipe allemande s'était dopée à la Pervitine15,16,17,18.

Chimie[modifier]

La méthamphétamine est un produit chimique appartenant au groupe des amphétamines. Elle diffère de l'amphétamine par l'ajout d’un groupement méthyl sur l'atome d'azote. L'atome de carbone en α de l'amine est chiral et donc la méthamphétamine consiste en deux énantiomères, R et S. Seul l'énantiomère S est utilisé comme drogue.

Synthèse[modifier]

Méthamphétamine pure.
Les principaux précurseurs sont des décongestionnants nasaux vendus (avec des restrictions) en pharmacie : pseudoéphédrine, phénylpropanolamine (PPA) et éphédrine.

Ce produit pose des problèmes particuliers dans les pays consommateurs car sa synthèse est relativement aisée et peut être réalisée à partir de produits relativement courants même s'ils sont de plus en plus contrôlés19. Il se développe ainsi de nombreux petits laboratoires indépendants20 produisant de petites quantités.

Plusieurs méthodes de synthèse existent, mais les principaux produits secondaires utilisés sont : le phosphore rouge, l'iode, le lithium, l'ammoniac anhydre, ainsi que des solvants, bases et acides (toluène, acide sulfurique, acide iodhydrique et chlorhydrique, soude et ammoniaque) entre autres.

La manipulation de ces produits chimiques reste malgré tout dangereuse, ce qui donna lieu à plusieurs accidents, aux États-Unis notamment21 (explosions et intoxications), des produits comme la phosphine, un gaz très toxique pouvant se former lors de la réaction.

Un dérivé en est le 3,4-méthylène-dioxy-méthylamphétamine ou MDMA, plus connu sous le nom d'ecstasy.

Usage détourné et récréatif[modifier]

« Drogue de travail », elle a servi aux routiers pour rester éveillés pendant leurs longs trajets. Elle est aussi utilisée pour le dopage22. Elle est répertoriée par la convention sur les substances psychotropes de 1971.

En 2005, le Canada a augmenté la peine maximale encourue pour la production et la distribution de méthamphétamines, la faisant passer de dix ans à la prison à vie, et classant la méthamphétamine au même rang que la cocaïne et l'héroïne.

Effets et conséquences[modifier]

gélules et comprimés de Méthamphétamine, aussi connues sous le nom de yaa baa
Elle est le plus généralement fumée sous sa forme cristalline, et ingérée sous forme de pilules. Les usagers-injecteurs liquéfient les cristaux avec de l'eau pour pratiquer l'injection4.

Effets recherchés :
stimulation de la vigilance4 ;
absence de fatigue ;
euphorie4 ;
stimulation de la libido, retard à l'éjaculation.

Effets secondaires :
anxiété, agitation4 ;
diminution de la concentration4 ;
importante perte de poids ;
Inflammation de la peau ("boutons du speed")
léthargie ;
bouche meth (en) (destruction sévère des dents).

Autres effets à long terme :
hallucinations, délires ;
paranoïa ;
comportements violents ;
dépression ;
troubles du sommeil et de la circulation sanguine ;
dérèglement du cycle menstruel chez les femmes.


Les effets durent de 8 à 24 heures4 et elle se fait encore sentir dans le corps pendant au moins 3 jours. La plupart des toxicomanes qui consomment cette drogue deviennent dépendants dès les premières consommations.

L'usage prolongé et répété peut induire des troubles comportementaux (agressivité, troubles de l'adaptation), des épisodes psychotiques avec hallucinations et paranoïa4.

À long terme, elle peut provoquer une dépression du système immunitaire et de l'asthme. Comme toutes les amines secondaires, elle est oxydée par le métabolisme en hydroxylamine, et favorise par conséquent la production de monoxyde d'azote23, responsable de la régulation de la mort des cellules du système immunitaire24, et fortement corrélé à l'asthme25.

Un usage abusif et répété peut entraîner une dépendance4. Une dépendance psychologique apparaît rapidement; il n'est cependant pas prouvé qu'une unique consommation peut créer une dépendance26.

Il peut, éventuellement (fatigue, parfois -rarement- "psychose amphétaminique"), provoquer de violentes hallucinations et un effet d'éveil important (trois, quatre jours sans dormir)4.

L'usage prolongé et répété peut induire des troubles comportementaux (agressivité), pulmonaires et rénaux voire une paranoïa4.

Aspects économiques[modifier]

En Océanie[modifier]

Selon un chercheur néo-zélandais, dix pour cent de la production mondiale proviendrait d'Australie et de Nouvelle-Zélande, même si la majorité de la méthamphétamine est toujours produite en Asie27 (chiffres de 2006).

En Asie[modifier]

Au Myanmar d'après les ouvrages de Pierre-Arnaud Chouvy, 800 millions de pilules de méthamphétamine ont été produites en 2002, dont une partie non négligeable est consommée en Asie du Sud-Est même. Et ce, pour des laboratoires qui ont dû être implantés vers 1993.

Cette production et le trafic qui en découle sont situés près de la frontière avec la Thaïlande qui subit les effets de la consommation parmi ses habitants.

Racémate de méthamphétamine : le yaba (yaaba, yaa baa) aussi appelé « médicament qui rend fou » (crazy medecine) est la méthamphétamine produite dans le Triangle d'or, associée à de la caféine, et très populaire en Orient4.

À la frontière de la Thaïlande et du Laos, le principal producteur serait une milice ethnique et indépendante alliée à la junte militaire birmane, la United Wa State Army (UWSA) ou (Armée unie de l'État de Wa)4 qui contrôle une partie de la province de l'État Shan. D'après les spécialistes de la drogue dans le monde, cette armée serait la plus structurée et puissante des producteurs de drogues (près de 30 000 hommes). Cette armée est contrôlé par le frère ainé de Bao You-Xiang's, Bao You-Yi28,29. Depuis une dizaine d'année, suite à son tarif très faible et sa rentabilité pour les trafiquants, cette drogue fait des dégâts de plus en plus important sur la population thaïlandaise, laotienne et sur les jeunes touristes étrangers30.

Notes et références[modifier]


1.↑ (en) ChemIDplus, « Methamphetamine - RN: 537-46-2 [archive] » sur chem.sis.nlm.nih.gov, U.S. National Library of Medicine. Consulté le 23/07/2008.
2.↑ Masse molaire calculée d’après Atomic weights of the elements 2007 [archive] sur www.chem.qmul.ac.uk.
3.↑ a et b (en) ChemIDplus, « Methamphetamine hydrochloride - RN: 51-57-0 [archive] » sur chem.sis.nlm.nih.gov, U.S. National Library of Medicine. Consulté le 23/07/2008.
4.↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Michel Hautefeuille, Dan Véléa, Les drogues de synthèse, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2002 (ISBN 2-13-052059-6)
5.↑ PubChem : SID271075 [archive]
6.↑ Méthamphétamine, Préoccupations liées à la santé [archive] Santé Canada, 24 février 2009
7.↑ From issue 1975 of New Scientist magazine, 29 April 1995, page 5
8.↑ Images [archive] de toiles faites par des araignées exposées à 3 toxines (marijuana, caféine, benzedrine)
9.↑ Peter N.Witt & Jerome S. Rovner, Spider Communication: Mechanisms and Ecological Significance, Princeton University Press -1982.
10.↑ Autres illustrations [archive] (toiles tissées par des araignées exposées à du LSD, de la mescaline, du hachich, de la caféine)
11.↑ Paul Hillard, spécialiste araignée au Natural History Museum de Londres : "It appears that one of the most telling measures of toxicity is a decrease, in comparison with a normal web, of the numbers of completed sides [of a web]; the greater the toxicity, the more sides the spider fails to complete"
12.↑ Soldats allemands dopés aux amphétamines [archive] l'avenir.net, 6 octobre 2010
13.↑ SID 271075 PubChem Substance Page on Methamphetamine [archive]
14.↑ Karl-Maria Herrligkoffer: Nanga Parbat. Sieben Jahrzehnte Gipfelkampf in Sonnenglut und Eis. Ullstein Verlag, Berlin 1967, S. 100ff.
15.↑ Football : les champions du monde 1954 étaient dopés [archive] Nouvelobs.com, 26 octobre 2010
16.↑ Les «héros de Berne» étaient dopés [archive] L'Équipe, 26 octobre 2010
17.↑ Football : les champions du monde allemands de 1954 étaient dopés [archive] LeMonde.fr, 26 octobre 2010
18.↑ Football : la Coupe du Monde « volée » aux Hongrois en 1954 ! [archive] hulala.org, 27 octobre 2010
19.↑ Combat Methamphetamine Epidemic Act 2005 (Title VII of Public Law 109-177) [archive]
20.↑ Meth lab discovered in Stromsburg 08/11/04 - Grand Island Independent: News [archive]
21.↑ Cat.Inist [archive]
22.↑ Source dopage [archive]
23.↑ http://www.iupac.org/publications/pac/2000/7206/pdf/7206desaiah_1001.pdf [archive]
24.↑ Contrasting effects of NO and peroxynitrites on HSP70 expression and apoptosis in human monocytes; Adrie C & al. Am J Physiol Cell Physiol 279:452-460, 2000. [archive]
25.↑ Allergies [archive]
26.↑ Anne-Élyse Deguire, « Fiche de renseignements - La méthamphétamine [archive] », Centre canadien de lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies, août 2005. Consulté le 12 janvier 2009
27.↑ Production d'ice : l'Australie et la Nouvelle-Zélande en tête dans la région, Tahiti Presse, 21/8/06
28.↑ http://www.courrierinternational.com/article/2005/08/25/bao-youxiang-seigneur-de-la-drogue [archive]
29.↑ http://articles.janes.com/articles/Janes-World-Insurgency-and-Terrorism/United-Wa-State-Army-UWSA-Myanmar.html [archive]
30.↑ Livre : Yaa Baa. Production, trafic et consommation de méthamphétamine en Asie du Sud-Est continentale - Auteur : Pierre-Arnaud Chouvy, Joël Meissonnie - Editeur : L'Harmattan - 2002

Pas mal comme info:
"Comme d'autres drogues, elle fut testée sur des araignées dès les années 1950. Celles qui y furent exposées, même à de faibles doses, produisirent des toiles tout à fait anormales7,8,9,10. Plus la toxicité du produit est élevée, plus l'araignée laisse de trous dans sa toile11."

Si les TBW n'ont pas pris de la méthamphétamine cette drogue synthétique psycho-stimulante qui provoque une euphorie, il semble que pas mal de forumeur aient une adduction à ce genre de produit. Il suffit de faire la comparaison entre les toiles d'araignées de laboratoire,pleines de trous, et les toiles du forum pleines de trous suite aux délires interprétatifs des intervenants. Les Luxembourgeois visionnaires,traités à la méthamphétamine semblent particulièrement sensible à ce produit.

Comment ça, cela ne fait pas partie du kit survivant du petit gladiateur? Ne me dites pas que vous êtes tombé en disgrace ? Alors j'espère que vous avez quand même pu garder votre passport américain ?

dislairelucien a écrit:

Pas mal comme info:
"Comme d'autres drogues, elle fut testée sur des araignées dès les années 1950. Celles qui y furent exposées, même à de faibles doses, produisirent des toiles tout à fait anormales7,8,9,10. Plus la toxicité du produit est élevée, plus l'araignée laisse de trous dans sa toile11."

Si les TBW n'ont pas pris de la méthamphétamine cette drogue synthétique psycho-stimulante qui provoque une euphorie, il semble que pas mal de forumeur aient une adduction à ce genre de produit. Il suffit de faire la comparaison entre les toiles d'araignées de laboratoire,pleines de trous, et les toiles du forum pleines de trous suite aux délires interprétatifs des intervenants. Les Luxembourgeois visionnaires,traités à la méthamphétamine semblent particulièrement sensible à ce produit.

Il a été évoqué souvent pour expliquer l'assurance des TBW le possible fait qu'ils étaient drogués.
On a parlé ensuite du paramilitaire etc
Pourquoi pas envisager cette hypothèse qui serait un peu la synthèse des deux.

La manipulation ex-CIA n'aboutit pas forcément à des massacres intensifs... le bouquin cité en apporte la démonstration... Il en existe une floppée d'autres... mais déméler le vrai du probable ou du faux rste parfois assez ardu. N'empêche... il suffit de voir le nombre de tarés qu'engendre cette "religion", et on en arrive à ne plus se demander du tout pourquoi le pro-CIA en ont autant après les rouges ou les barbus déjantés; ils excècrent la concurence dans l'oeuvre de décérébration.

Aux chercheurs un tant soit peu soucieux d'accumuler la matière de réflexion, l'oeuvre d'uniformisation de la "pensée" $ progresse grace à la (vraie) mafia, et celle encore pire qui la... dirige, la phagocite ?

Au travers de rachats "insoupçonnables", la société Carlyle grignote par secteurs entiers ce qui va entrer demain dans nos assiéttes... Carlyle c'est le vénérable Carluci, son ancien patrons de la Centrale, plus ceux qui lui ont succédé, et tous les joyeux drilles possédant la haute main sur les complexes militaro-pétroliers (la liste est copieuse... mais il suffit de dénicher le jeu de cartes, réponse des barbus sous évolués du bulbe à celui de la CIA pour étayer l'impartance de SA guerre du Golfe)

Ouais !... Pas sur que ce soit pour faire chier les antis-porc, mais la mafia blanchit désormais ses capitaux dans la salaison; Justin Bridou, Cochonou & compagnie sont tombés dans son escarcelle... d'ici qu'ils nous collent dans la saucisse les mêmes bactéries allègrement testées à Cuba et dans les pays sympathisants à cette autre forme d'abondante pilosité faciale... on n'est pas clairs !

Eh !... Et on nous con-jure de nous méfier de l'expansionnisme Chinois !... Comme-ci on ne nous prenait pas suffisamment pour des cons-tout-court !

Mafia Power !... Les élites ostracistes de la Wacl s'y emploient ardemment par le biais de toutes leurs succursales.

Avec son bérèt basque, j'ai toujours soupçonné Justin Bridou d'être un membre influent de l'ETA plutôt..

[quote="CS1958"]

Il a été évoqué souvent pour expliquer l'assurance des TBW le possible fait qu'ils étaient drogués.
On a parlé ensuite du paramilitaire etc
quote]

Rassurez-vous, CS... certains "centres de formation" n'ont pas nécessairement besoin de drogues... même s'ils en expérimentèrent massivement jusque sur leurs propres hommes, à leur insu... toutes les "fictions" hollywoodiennes ne sont pas délirantes... pas plus qu'elles ne sont atteintes de persécutionnisme, de phobie de la manipulation mentale ou autre... Les Jason Bourne et autres Caméléon ont bel et bien existé (de façon plus discrête)... leur centre de (dé)formation est d'ailleurs parfaitement connu; un ancien hopital psychiatrique abandonné courant des années 60 après avoir suscité la curiosité de la presse... son parc révéla un vrai cimetierre clandestin !... pour créer des tueurs psychopates à sans froid... suffit juste de prendre un faible d'esprit et lui faire croire qu'il s'affranchira de la bassesse de sa condition en effectuant ce que font naturellement les élites... l'abruti ne déviera pas d'un poil de la ligne de conduite qui lui a été édictée (Ex. flagrant; Sirhan Sirhan... à un degré moindre mais pour un résultat (presque) similaire; Lee Harvey Oswald.

Affirmer que ces représentants du pays le plus tapageur au niveau des droits humains et de la liberté (dont il use comme du papier Lotus) sont derrière les évênements belges des années 80... Si tel était le cas ce serait particulièrement difficile à démontrer étant donné la complicité spontanée dont ils pouvaient bénéficier sur place... Appelons çà un "échange de bons procédés"... vous savez... comme pour les règlements de comptes entre mafieux... on "se rend service" d'un bout à l'autre du pays... pas de mobile, pas de liens possible à établir; enquête vouée à l'échec... surtout si, en cas de nécessité, le "maillon opérationnel" (vrai ou en trompe l'oeil) saute... souvenez-vous le cri de détresse répété d'Oswald à l'adresse de la presse ; "I am a pigeon !... I am a pigeon "!"... Le champion de tir au pigeon qui le dégomma se savait condamné... hasard ?... Pourquoi sont mortes (très discrêtement) les 2 putes qui avaient conservé le souvenir "d'étrangers très turbulents" reçus princièrement juste avant l'élimination de JFK ?

Hasard... hasard... on dit hasard ? Comme c'est bizarre !

CS1958 a écrit:

Avec son bérèt basque, j'ai toujours soupçonné Justin Bridou d'être un membre influent de l'ETA plutôt..

A ne pas confondre avec la Mère Denis... pourtant, ça lave vâchement plus blanc aussi !

michel-j a écrit:

CS1958 a écrit:

Avec son bérèt basque, j'ai toujours soupçonné Justin Bridou d'être un membre influent de l'ETA plutôt..

A ne pas confondre avec la Mère Denis... pourtant, ça lave vâchement plus blanc aussi !

Retirée trop tôt à notre affection, cette femme d'age mûr aurait été la rédactrice du billet à destination de Vittorio, dit "message au cochon d'Inde".
Son appartenance au SAC n'a pas pu être prouvée.
Information à ne pas mettre entre toutes les mains

michel-j a écrit:

souvenez-vous le cri de détresse répété d'Oswald à l'adresse de la presse ; "I am a pigeon !... I am a pigeon "!"...

"I'M JUST A PATSY" plutôt, ce qui peut effectivement se traduire par "pigeon".

le 6 août 2011,
La fille d’un ancien para français porte plainte pour "séquestration" contre Kadhafi.
ParJean-Pierre Vergès


Quand son père n’est pas rentré de "mission" pour son anniversaire, à l’automne 1978, Marie* a compris que quelque chose de grave s’était passé. Aujourd’hui, après trente-trois années de silence, elle exige de connaître la vérité sur la disparition de Michel Winter, introuvable depuis son mystérieux départ en Libye, avec deux autres mercenaires français, le 27 septembre 1978. "C’est ma guerre, ma bataille", affirme cette quadra chic, au caractère bien trempé. "Aujourd’hui, je m’attaque à Kadhafi. C’est à la limite de l’inconscience, mais je n’ai peur de personne! C’est maintenant ou jamais".

Alors que le régime libyen vacille sous les coups de boutoir de l’Otan et de la rébellion armée, Me Alexandre Varaut, l’avocat de Marie, vient de lui ouvrir un front judiciaire en déposant plainte à Paris pour "séquestration". Un crime par définition continu qui permet d’éviter l’écueil de la prescription. "La France a abandonné mon père, c’est vraiment dégueulasse. Mon but est de faire lever le secret-défense qui nous a toujours été opposé", explique la quadragénaire.

Elle a 15 ans quand "son idole", comme elle dit, part pour cette fameuse "mission". "Il venait de m’apprendre à tirer au Riot Gun, j’ai été un peu élevée comme un garçon", reconnaît-elle en riant. "À l’école, je ne pouvais pas écrire qu’il était agent secret, alors je mettais chef d’entreprise". Né à Paris, ce fils de militaire est un ancien sous-officier du 7e bataillon de chasseurs parachutistes passé par l’Indochine et l’Algérie, où il a appartenu à l’OAS. "Ça ne me pose aucun problème et j’en suis fière. C’était un signe de reconnaissance entre patriotes plus qu’autre chose", martèle Marie avec un air de défi. Émargeant au Sdece, l’ancien contre-espionnage français, Michel Winter joue les mercenaires en Afrique et notamment au Biafra. "Mon père aimait les armes, il marchait à l’adrénaline et était là quand on avait besoin de gens pour faire le sale boulot", lâche la fille, avare de détails.

Au cours de l’été 1978, le baroudeur est contacté par un émissaire de Kadhafi qui lui fournit de l’argent pour acheter un DC3, destiné à transporter un commando lors d’une mission dont l’objectif final n’aurait pas été dévoilé. "C’était une opération pour de l’argent, j’ai entendu parler de 3 à 5 millions de francs de l’époque", précise Marie. Michel Winter enrôle Roland Raucoules, un pilote de 42 ans, ancien de l’OAS, qui n’a pas hésité en 1961 à aller bombarder seul un camp du FLN pour venger la mort de son frère, tué dans les Aurès… Ancien pilote du dictateur nicaraguayen Somoza et du président Omar Bongo, ce baroudeur s’ennuie ferme sur la ligne régionale Rodez-Paris.

Quarante Libyens, un ancien 'béret vert" et trois paras
Le duo embarque alors Philippe Toutut, un copilote de 34 ans, membre de l’Union aéronautique du Rouergue. "Ces hommes ont été recrutés non seulement en raison de leur connaissance du continent africain et de leurs compétences opérationnelles mais aussi dans le but de brouiller les pistes sur la nature véritable de leur mission", souligne Me Alexandre Varaut, qui assure que les mercenaires français ne s’attaquaient généralement pas aux intérêts de leur patrie.

Le trio décolle de Toulouse le 27 septembre 1978 à destination de Zouar, au nord du Tchad. Il y aurait rejoint un commando de quarante Libyens entraînés par un ancien "béret vert" américain, lui-même actionné par un ancien agent de la CIA. Les Français découvrent qu’ils doivent acheminer ces soldats sur l’aéroport de la capitale tchadienne, Ndjamena, afin de détruire huit avions de chasse français durant la nuit. Rêvant d’un grand État saharien, le colonel Kadhafi voulait alors annexer une partie de ce pays soutenu par la France.

"Il semble que les trois Français, informés à leur arrivée de la nature réelle de leur mission, ont pu avertir les autorités françaises", note Me Alexandre Varaut. La défense de l’aéroport de Ndjamena, plongé dans le noir, aurait alors été renforcée, entraînant l’échec de la mission. Les Français, ayant refusé de repartir pour une nouvelle tentative, auraient alors été arrêtés et emprisonnés en Libye. "Mon frère adorait son pays, il n’aurait jamais touché à la France", jure Jean-Claude Raucoules, le frère de Roland, dont les lettres adressées à Nicolas Sarkozy n’ont pas abouti.

À partir d’informations parcellaires de  Tchadiens proches des Libyens ou d’articles de presse, les familles des disparus pensent que le trio était encore en vie au début des années 1980. "Ils ont été détenus pendant un long temps dans les prisons libyennes dans le but peut-être de servir de monnaie d’échange ou pour utiliser leurs compétences", suggère Me Alexandre Varaut.

"Mon père aurait aujourd’hui 81 ans, c’était un teigneux, un être indestructible", insiste Marie, qui affirme avoir été dissuadée de poursuivre ses recherches après avoir reçu des menaces anonymes en 1985. "Tant que l’on ne m’aura pas prouvé que mon père est mort, je resterai persuadée dans mon cœur qu’il est vivant".

* Prénom d’emprunt.

https://www.lejdd.fr/International/Afrique/le-fille-de-Michel-Winter-ancien-sous-officier-porte-plainte-contre-le-colonel-Kadhafi-pour-sequestration-369059-3230327

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Le premier " avion renifleur " est retrouvé

Publié le 14 janvier 1984
M. Philippe Halleux - qui fut l'éphémère président de la Compagnie européenne de recherches (CER), société belge créée par les " inventeurs " - aujourd'hui introuvable,
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L'appareil, en fait, avait déjà été racheté par MM. Pierre Teyssèdre, pilote professionnel, Michel Winter, ancien de l'O.A.S., mercenaire et agent de marketing, et Roland Raucoules, pilote, ancien de l'O.A.S., un moment membre de la garde présidentielle du président du Gabon (le Monde du 20 octobre 1978). Ces hommes, marginaux des services secrets pour deux d'entre eux, s'étaient envolés pour une mission secrète au Tchad qui fut un fiasco. Ont-ils péri au cours de cette opération ?

https://www.lemonde.fr/archives/article/1984/01/14/le-premier-avion-renifleur-est-retrouve_3002340_1819218.html