Paul Cams

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C'est bien le même colonel Guy Weber.

Il a écrit plusieurs livres... mais ne dit pas grand chose d'intéressant.

Cela permet néanmoins de suivre son parcours.

C'est notamment dans un de ses livres (une préface écrite par quelqu'un d'autre pour être précis) qu'il est question de nombreux liens entre Lyman Lemnitzer et Léopold III...

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@K

Au risque de décevoir certains, les accusations portées contre Jan dans certains forums relatifs à cette affaire, sont tout à fait fausses!

J'ai très bien connu Jan dans les années '70 et l'ont parlait souvent d'Afrique avec quelques vétérans qui avaient connu cette époque. Jan nous a montré quelques photos de lui, notamment en compagnie de M.Tchombé dont il a été le pilote attitré sur DH Heron entre-autres.

Avec toute la candeur de mes 18 ans (je n'étais pas encore devenu un vétéran moi-même), je lui ai posé directement la question:
-  "Est-ce toi qui a descendu de DC-6 de Dag H?"- et il m'a répondu du tac au tac -"Non, c'était impossible, le Fouga était HS ce jour-là, sont rayon d'action était insuffisant, et les deux pétoires de 7.5 (réalésées en 7.62) s'enrayaient tout le temps"- Avec le recul du temps, et ayant appris à connaître la nature humaine, je suis convaincu, que si il avait descendu le DC-6, il en aurait fait le récit avec force descriptions et détails "croustillants".

Mais une fois de plus, ce genre d'intervention nous éloigne du Brabant wallon.

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Que faut-il tirer comme information du document suivant ?

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(Ecriture de Walter De Bock)

Pannecoucke (Marbella)
2 millions de Francs/mois
de rente via Gibraltar

--> fuite facilitée par
MONSIEUR (PJ-police judiciaire)

Vernaillen tournait autour
du labo avant décès

+ Goffinon: aussi héroïne kg ds labo

--> mère de Cams "Yvonne"
partie civile afin de faire réouvrir le dossier

--> ministre promet de s'occuper personnellement
de ce dossier

..................................................

'fuite': il doit s'agir de la fuite de Pannecoucke (Mme Cams)
'labo': celui de Cams
'Décès': celui de Cams

Mis en ligne le 13/06/1991

Haren - Une explosion suivie d'un incendie a partiellement détruit, mardi midi, le garage d'entretien pour camions et autos situé 115 B rue du Dobbelenberg. L'explosion s'est produite alors qu'un ouvrier travaillant au chalumeau à un camion était parti déjeuner. Les dégâts se chiffrent à deux millions.

https://www.lesoir.be/art/uccle_t-19910613-Z042D8.html

plus moyen de retrouver le lien sur ce forum avec paul cams a cette adresse et un commerce de
boisson ,je crois, et ou on par la suite retrouve ferraresi
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HERVE a écrit:

(Ecriture de Walter De Bock)

Pannecoucke (Marbella)
2 millions de Francs/mois
de rente via Gibraltar

--> fuite facilitée par
MONSIEUR (PJ-police judiciaire)


'fuite': il doit s'agir de la fuite de Pannecoucke (Mme Cams)
'labo': celui de Cams
'Décès': celui de Cams

Qui serait le Monsieur en question ? Jacques ?

https://plus.lesoir.be/art/m/trafic-de-passeports-de-nice-a-bruxelles_t-19900212-Z02CX4.html

TRAFIC DE PASSEPORTS DE NICE A BRUXELLES

Par Alain Lallemand
Le 12/02/1990 à 00:00

Ce lundi, deux inspecteurs de la police judiciaire - section finances - de la Préfecture de Paris débarquent à Bruxelles dans le cadre d'une commission rogatoire internationale. Motif: escroquerie aux faux passeports (IRD) et escroquerie à la... prévention du sida! Le dossier de l'assassinat du diamantaire Paul-José Cams devrait à nouveau être examiné.

C'est une bien curieuse histoire que découvre, ce 5 mai 1989, le préfet de police de Paris: une association dénommée «Institut des relations diplomatiques», sise à Bruxelles, procède au dépôt des statuts d'une antenne parisienne dirigée par une danseuse (sic). Objet social: développer les relations diplomatiques, humaines et internationales. Pas moins...

Les «répondants» belges ont pour nom Emile Van Huynegem, Roger Van Rossum, Francis Dessart (autant de noms bien connus dans le milieu des escroqueries), mais n'attirent guère l'attention des Parisiens. Par contre, la démesure de l'objet social, en regard des fonctions professionnelles des membres fondateurs, met immédiatement la puce à l'oreille des services judiciaires. L'association est dissoute.

Campagne européenne contre le sida ?

Les mois suivants allaient amener leur lot de surprises. Et, tout d'abord, la percée, en France, d'une association de droit belge dénommée «Campagne européenne de lutte contre le sida»: même siège social que l'IRD, membres fondateurs communs, activités communes. Mais, cette fois, on ne parle plus de «relations diplomatiques» ou de consulats fumeux, on parle gros sous, et une demande de financement est adressée à la Commission européenne pour un montant de 3.513.000 écus, soit environ 148.600.000 FB, les fondateurs n'ayant bien entendu aucune connaissance scientifique établie. L'opération se déroule sous couvert d'une société commerciale bruxelloise - Euro-conseil, qui démentira après coup avoir jamais avalisé pareille opération - et doit permettre aux bonnes âmes de l'association de se rémunérer à concurrence de quelque 285.525 FB par mois!

Fin 1989, c'est sur un tout autre trafic que les enquêteurs allaient mettre la main: près de 2.400 faux passeports diplomatiques de l'IRD sont découverts dans le sud de la France. Vendus au prix de 12.000 FF (70.000 FB) l'unité par un certain Guogui Yaboutin, ils n'ont bien entendu aucune valeur officielle. Il est finalement intercepté à Toulouse et passe aux aveux: il n'aurait fait qu'utiliser un fonds d'«invendus», faux passeports commandés par l'IRD et imprimés, mais jamais réglés à l'imprimeur.

Immédiatement, les enquêteurs parisiens, sans pouvoirs sur une association de droit belge, prient Emile Van Huynegem de bien vouloir rejoindre la capitale française afin d'entendre ses explications à ce sujet. Et le président de l'IRD, naïvement, s'y rendra... Il fait depuis lors l'objet d'un mandat de dépôt.

L'existence de deux escroqueries présumées - l'Institut des relations diplomatiques et la Campagne européenne de lutte contre le sida - vont pousser les enquêteurs à systématiser leurs recherches: outre Yaboutin sur la Côte d'Azur et un faux-vrai consul du Maroc à Monaco, ils s'intéressent à un certain Robert Verdoïa, membre à lui seul de dizaines d'associations bidon. L'homme collecte en fait sur un compte bancaire français les cotisations de nombreux pigeons de tous horizons - dont les cotisations de l'IRD en France - et redistribue les gains aux auteurs respectifs de chacune des escroqueries.

De Palerme à Paul-José Cams

Un dernier mandat de dépôt est délivré à l'encontre d'un certain Didier Geney, membre lui aussi de l'IRD et collecteur de fonds pour Campagne européenne de lutte contre le sida. Ce dernier personnage permettra de faire le lien en France entre les faussaires belges de l'IRD et un faussaire sicilien de réputation mondiale: Victor Bùsa, de Palerme. Plusieurs membres de l'IRD sont de fait en possession à la fois de faux passeports de l'IRD et de faux passeports du Parlement international pour la sécurité et la paix, une escroquerie créée au Brésil par le Sicilien.

Les ramifications de l'enquête «IRD-Cels» obligent ce lundi les inspecteurs parisiens à enquêter directement au siège des associations concernées, en territoire belge. Ils seront assistés dans leur tâche par les agents de police judiciaire qui, en novembre 1983, avaient été chargés du dossier de l'assassinat du multimillionaire Paul-José Cams. Ce n'est pas un hasard: ce vendredi, les enquêteurs semblaient décidés à établir tout lien possible entre l'assassinat de Ganshoren (Paul-José Cams était membre de l'IRD et usait sans réserve du titre brumeux de consul honoraire du Sénégal) et les développements actuels de l'IRD en France.

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Note : l' IRD avait une association soeur en Italie qui s'appelait "IIRD" ... cela finira par nous conduire au rapport PANDA ...

Paul J. Cams

It is a magazine by the "SOSJ" chivalric order that tells about the Belgian priory of the order with Paul J. Cams and the Italian soi-disant Baron Dino Di Stefano.

Di Stefano was an Italian fixer that provided bogus diplomatic cards to the members of his order, that included South American gemstone traffickers.

He was associated with another Italian that probably had ties with Belgium: Sandrino Gottardo Roncoletta (known as Walter).

Dans le document ci-dessus :




https://pdfcoffee.com/qdownload/societes-occultes-amp-ordres-de-chevalerie-contemporains-andre-van-bosbeke-vf-non-officielle-pdf-free.html

(...)

12. Chevaliers et arnaqueurs

(...)

Affaires et politique

Le 28 octobre 1981, à peine deux ans après que la grande priorité Vella-Haber eut eu le plaisir de les rencontrer, "Dame" Jacqueline-Marie Speeckaert et "Meester" Jacques-Odile Vanderhaeghe furent arrêtés et accusés de fraude fiscale qui s'élevait à des millions de francs belges.

L'arrestation du duo a provoqué un tourbillon dans les milieux de la nouvelle haute société bruxelloise, mais aussi et surtout dans certains milieux politiques. Après tout, Speeckaert et Vanderhaeghe étaient les partenaires commerciaux privilégiés du ministre d'État Paul Vanden Boeynants. Avec lui, ils ont dirigé d'importantes entreprises de viande autour des Boucheries Ghysels, du nom du défunt mari de Jacqueline Speeckaert, Isidore Ghijsels.

Lorsque Jacqueline Speeckaert a été libérée deux jours après son arrestation, elle s'est réfugiée sur l'île de Malte, loin de l'administration fiscale belge. Sur cette île magnifique, il n'y a pas que Vella-Haber, le "grand prieur". L'un des principaux maillons de la chaîne des entreprises de viande de Speeckaert, Vanderhaeghe et Vanden Boeynants y a son siège social. Depuis février 1982, Jacqueline Speeckaert est à la tête de la société maltaise 'Mediterranean Meat Company', une société qui depuis sa fondation en mai 1981 est contrôlée par la société suisse AG fur Gastgewerbe. C'est cette société qui a été utilisée par Paul Vanden Boeynants pour tromper l'administration fiscale belge.

Un lecteur attentif réagit sur Dino Di Stefano...

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He was a soi-disant Baron with many international contacts and probably met Peron in the '50s.

He created various grotesque associations such as the "Diplomatic Academy for Peace" or the "World Organization of the Diplomatic Press" (Italian: "Organizzazione Mondiale per la Stampa Diplomatica"; Spanish: "Organización Mundial por la Prensa Diplomática") and distributed the Dag Hammarskjold Prize in Palma de Mallorca (Francoist Spain!) since 1963 (you can read about some of his businesses on the La Vanguardia Espanola 19/05/68. He obviously had distributed his "prize" to Francisco Franco and other francoist politicians to be protected in his activities.

He later created a paradiplomatic order called "Confederazione dei Corrispondenti Diplomatici", that distributed diplomatic plates and cards with the mark "CD" on it, symbols that were used by real diplomats.

Another of his - at the time - friend, Sandrino Gottardo Roncoletta known as "Walter" (that had criminal records and fought for the Mussolini's Republic), divided and founded a copycat association.

It may interest you that, from his criminal records, he appears to have been in Belgium for a short period of time.

The cards that Di Stefano distributed were used by traffickers that smuggled gems. This activity was discovered only in the later '70s as you can read on the Corriere della Sera (Milan edition) of 24/09/77 "Viaggiava con tessera diplomatica trasportando preziosi, armi e valuta", p.13 (attachment 1). The story is about a Venezuelan man with Italian origins, Goffredo Centi Tomay, who was arrested in September 1977 for clandestine detention of weapons illegally imported from Spain. He travelled on a luxury Cadillac, distributed very generous tips and brang a revolver in the belt. When his apartment was searched by police, they were found a thousand of gems, rings with diamonds, gold coins for hundred thousand of dollars of values and banking documentation with money transfer never lower than 20.000$, an automatic calibre 12 rifle, a carabine, a Beretta gun, a switchblade knife, a brass knuckles and two regularly detained guns. The police also found a card, regularly renewed of the Francoist Falange, two Spanish decorations at the military value and a card of the  "World Organization of the Diplomatic Press", the Di Stefano organization. While Tomay was taken to the police station, another Colombian man, Pozuelos Sparrow, came to the apartment and was searched and found with other gems in his case. This case would have been probably of great interest between the Italian public, but the information on the news seems to stop right there.

Another similar case occurred the year after, the 1978. As you will see on La Stampa (Alessandria and province edition) 05/05/78 "Aveva sull'auto preziosi e assegni per oltre 650 milioni: denunciato", p.27 (attachment 2), another member of Di Stefano's association (although it was misspelled "Associazione Mondiale Corrispondenti Diplomatici"), was searched by the Italian police and found with 10 solid gold watches (with a value of about 10.000$ dollars), 132 golden rings, checks and promissory notes for about half a million dollars, two diplomatic car plates and a card of Di Stefano's association.

Meanwhile Di Stefano had founded a new chivalric order (the same that had Cams has his member, as you will see in the SOSJ magazine that I have sent you) called "Confraternita Universale dei Cavalieri del Santo Graal" (in English: Universal Brotherhood of the Chevalier of the Holy Grail - sic) as you can see on the Corriere della Sera (Milan edition) of 11/09/76 "Cavalieri di Wagner", p.13 (on the same page you will also find a the news of a legal complaint by Licio Gelli, not already famous, and the Grand Master Salvini against the Italian journalist Melega for saying that Gelli was a fascist).

So, when doing research I found the name of Cams magazine associated with Di Stefano, whose order had many gem smugglers in it, I thought that it could have been an important piece of information to you.

(...)

Another important thing: let me know any information about the "Atlas Report". It would be very useful to the lawyers that are still trying to investigate the murder of the Italian journalist Ilaria Alpi and her collegues at the Italian State broadcast network, that are still fighting against judiciary red herrings, to know if that report is an official document, who have obtained and published it, if it's know the location where it is archived the original document or where could be submitted and addressed an official request to obtain a certified copy. Any information you may have could be useful.

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http://hemeroteca.lavanguardia.com/preview/1969/05/28/pagina-6/34307779/pdf.html?search=%22dino%20di%20stefano%22




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http://hemeroteca.lavanguardia.com/preview/1969/05/28/pagina-6/34307779/pdf.html?search=%22dino%20di%20stefano%22



(traduction)

Palma de Majorque, lieu permanent de l'événement "Prix international Dag Hammarskjoeld"

L'"Académie diplomatique de la Paix", qui décerne le prix, sera située dans le Temple de Vich du Village espagnol.

Palma de Mallorca, le 18 (pour LA VANGUARDIA, par J. PLANAS SANMARTI.)

Le "Prix international Dag Hammarskjoeld" sera décerné à Palma lors de l'édition 1968 et, de ce fait, la ville sera le cadre des remises ultérieures de ce prix.

Le professeur Diño Di Stefano, président de l'Organisation mondiale de la presse diplomatique et président fondateur du prix international, est déjà à Palma pour mettre au point les détails de la cérémonie de remise du prix, qui aura lieu le samedi 25.

Académie diplomatique pour la paix

Mais d'abord la ville offre à l'organisation le temple de Vich comme siège permanent. Un buste en bronze du défunt Secrétaire général des Nations unies et une plaque seront placés sur la reproduction de ce monument catalan qui, avec un autre du célèbre Arco de Bará, préside à l'entrée du Palacio de los Congresos del Pueblo Español à Palma de Majorque.

La légende de la plaque, qui sera posée lundi, est la suivante : "Académie diplomatique de la paix Dag Hammarskjoeid, sous le haut patronage honorifique de Son Excellence, M. Bo Hammarskjoeid, ancien gouverneur de la province de Stockholm, président général, afin que la postérité se souvienne de l'holocauste de Dag Hammarskjoeld, éminent diplomate, juriste, économiste, prix Nobel, secrétaire général des Nations unies, qui a tragiquement disparu au Congo".

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A friend of Dino Di Stefano was Sandrino Gottardo Roncoletta known as "Walter" (that had criminal records and fought for the Mussolini's Republic).

Corriere della Sera (Milan edition) of 24/09/77 "Viaggiava con tessera diplomatica trasportando preziosi, armi e valuta"








(traduction)

Un trafiquant vénézuélien arrêté dans un hôtel du centre-ville

"Il voyageait avec un laissez-passer diplomatique et transportait des objets de valeur, des armes et des devises."

Un millier de pierres précieuses, des bagues avec des brillants, des pièces d'or valant des centaines de millions, une documentation dense sur des transferts de devises pour des montants non inférieurs à vingt mille dollars (environ 18 millions de lires) entre l'Italie et la Suisse, ainsi que diverses armes ont été saisis par le bureau étranger de la préfecture de police dans l'appartement qu'un Vénézuélien d'origine italienne, Goffredo Centi Tomay, 64 ans, avait loué dans un grand hôtel de Piazza della Repubblica. Le matériel trouvé suggère que Tomay, qui a été arrêté pour avoir fait passer des armes d'Espagne en Italie et pour les avoir possédées, fait partie d'une vaste organisation internationale spécialisée dans le trafic de devises et de pierres précieuses.

Depuis quelque temps, le Dr Renato Crepas, directeur du bureau des étrangers, était informé de la présence à Milan d'une personne, Tomay, dont l'attitude éveillait les soupçons. En fait, l'individu menait une vie très dispendieuse, se déplaçant dans une "Cadillac" couleur bronze avec des plaques d'immatriculation américaines, distribuant des pourboires vertigineux, et exhibant facilement un revolver de calibre 38 qu'il gardait rangé dans sa ceinture de pantalon.

Après une série d'enquêtes et de filatures (menées par Roberto Di Lorenzo et le capitaine Gautiero), l'autre nuit, les hommes du bureau des étrangers sont passés à l'action. Après avoir fait une descente dans l'hôtel où il séjournait, ils ont trouvé dans deux valises, en plus des pierres précieuses et des documents, un fusil automatique de calibre 12, une carabine de calibre 22, un pistolet Beretta 7.65, un couteau à cran d'arrêt, un poing américain et deux autres pistolets régulièrement enregistrés.

Parmi les documents trouvés figurait une carte de format passeport délivrée par une "Organisation mondiale de la presse diplomatique" qui fournit également les plaques d'immatriculation des voitures diplomatiques et sur laquelle la police enquête depuis un certain temps. Au nom de Tomay, on a trouvé une autre carte, régulièrement renouvelée, de la Phalange et de deux décorations espagnoles pour la valeur militaire. Il a été établi que Goffredo Centi Tomay séjournait souvent en Espagne, ainsi qu'à Milan.

Dans l'appartement de l'hôtel de luxe avec le Vénézuélien se trouvait son amie, Iwona Dobrowosky, 26 ans, polonaise, mais résidant à Genève. La femme a également été emmenée au poste de police et interrogée pendant un long moment, mais elle a ensuite été relâchée car aucune charge n'a été retenue contre elle.

Alors que la perquisition était en cours, un Colombien, Pozuelos Sparrow, 49 ans, est arrivé à la recherche du Tomay. L'homme portait une mallette dans laquelle les agents ont trouvé de nombreuses autres pierres précieuses. Pozuelos a également été accompagné au poste de police, mais après avoir été interrogé, il a été libéré avec l'obligation de rester à la disposition de la police pour tout développement possible et non improbable de l'opération, qui promet d'être sensationnelle.

Les pierres précieuses saisies et la documentation relative au présumé trafic de devises ont été transmises à la Guardia di Finanza ainsi que des agendas remplis d'adresses et de numéros de téléphone. Tard hier soir, la police financière a procédé à une série de perquisitions dont le résultat n'a pas encore été annoncé. Entre-temps, des experts analysent les pierres pour déterminer leur valeur exacte.

Another member of Dino Di Stefano's association (although it was misspelled "Associazione Mondiale Corrispondenti Diplomatici"), was searched by the Italian police :





Bloccato ad Alessandria: è accusato di truffa continua

(traduction)

Bloqué à Alessandria: il est accusé de fraude continue

Il avait des objets de valeur dans sa voiture et des chèques de plus de 650 millions: dénoncé

ALESSANDRIA - Les Agents Mobiles d'Alessandria ont dénoncé pour fraude continue une personne dont l'identité est à vérifier (...) possession et utilisation de faux documents, commerce d'objets précieux, sans licence, Silvio Malaguti (...), résidant à Arenzano. Dans le même temps, il a été signalé à la Guardia di Finanza pour les cotisations fiscales dont il avait la charge.

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On a également trouvé dans la voiture les plaques du Corps Diplomatique et deux documents dans lesquels il apparaît que Malaguti est inscrit, ce qui n'est pas vrai, au syndicat national de la presse périodique et à l'association mondiale des correspondants diplomatiques.

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